L'enfermement carceral

[nacerino 10]

Bievenue dans l'univers carceral,si vous avez deux minutes, partagé cette expérience qui transpire de vérité démontrant que l'homme retera a tous jamais un loup pour l'homme:

 

Tu dégueule ta rancoeur lorsque le voile se glisse sur les barreaux rouillés qui referme ta souffrance,emfermé dans l'univers carcéral ou meme les reves y sont emprisonné,les jours de plus en plus pesant te livre comme domicile fixe des murs épais chargé de souvenir,d'insultes et de sanglots.

 

Les quatres photos placardé sur tes murs reste le seul espoir non éteint qui te pousse a espéré a de meilleur lendemain,un endroit ou le suicide y est possible,ou les paradis artificiels son perçu ici comme un enfer,ou par orgueil ou inconscience on ne regrette rien.

 

Je te voue une admiration légitime a toi mon frére qui par conviction un beau jour de ton existence tu a décidé que tu avez quelques années a perdre,et que le "mektoub"s'en chargerai,c'est toute a ton honneur.

La prison marque de son empreinte ses hotes,elle en tue certains et en détruit d'autres,quand les hommes,esperent,revent,meditent,se branlent,ronflent ou survivent,elle,porté par son élan te brise,au point ou certains une fois défait de ses liens non pour seul alternative de ce laissé glissé a nouveau dans ses entrailles,ceux la meme qui pensé qu'aucun systeme ne les briserai,a genoux le nez dans leur misere,épuisé par tans d'années de souffrance,ils tombent a terre,ruiné par toute ces années perdus,et ce laisse crevé.

 

Tous le monde s'occupe l'esprit comme il peu,certains font des monologues,renouant avec d'ancienne discution inachevé nouveau piliers de barreaux,d'autres plus volage preferent s'en servir pour joué de la harpe,analyser le temps et les gens,comment faire pour que tous s'accélere pour que les années défile sans pour autant perdre son temps,car ici il fait toujours gris,les murs transpirent la souffrance,et tel un buvard ils épongent les confidences des détenus.

 

Le dealer en manque qui raconte le reseau qui la mis en place pour faire marché son trafic,et comment suite a certaines balance on la alpagué.

L'escrot qui regrette mais ne plie pas,endormir les gens les soulagé de leur butin sans pour autant ce servir d'une arme,reside de l'art,mais celle de la manipulation est prohibé par la loi,il ne leur menté pas quand il leur vendé du miel,ce qui l'ometté de dire c'est qu'il avait qu'une abeille,et qu'il fallait etre patient pour toucher des dividandes.

 

Le braqueur nostalgique du "gang des tractions",qui narre l'epoque ou le pavé était tenu par des hommes,Mesrine et autres René la canne ou Emile Buisson qui pour lui reste les références du banditismes parisiens,et qui l'on precedé dans ces lieux chargé d'histoire,lui aussi c'est fait respecter a coup de 11.43,ce vantant d'en avoir fumé plus d'un,et qu'une fois dehors il refera parlé de lui en jurant que cette fois-ci plutot crevé que d'etre pris,un peu ronflant le mec du style 5 doigts,6 bagues.

 

Le pédophile qui raconte ses histoires sordides qui te font regretter la guillotine,alors ces co-détenus ce colle a la tache,celle de lui faire regretté amerrement ces ébats pratiqué sur de petites fesses innocente,donc un acte bestiale a joliement perforé,faisant découvrir a ces victimes le poids des blessures de l'ame,poussant certains d'entre eux,les plus faibles a ce suicider,alors pour venger ces innocents,ces co-detenus lui offre comme sentance une souffrance identique a celle faite a ses victimes,

battu et humilié sous les yeux de ses geoliers qui ne riposte pas,il reste blotti contre un mur en sang,et la seule chose qu'il garde en mémoire afin de ne pas flanché,c'est le gemissement que fera sa future victime une fois dehors,mais aujourd'hui malgré son penchant sur le menbre latin,il souffre le martyr que les co-detenus lui offre pour lui faire comprendre qu'il existe des limites que meme la pire des charognes ne doit pas franchir.

 

Il y a aussi l'innocent,victime des circonstances,des bavures policieres,des enquetes mené a l'arrache,ceux-là represente la majorité des détenus,

pour certains la couleur aidant,il font le coupable ideale,pourquoi ce prendre le teston il se ressemble tous.

Contre ces murs gris qui son leur unique horizon,ils s'en sont allés pleurés leur désaroi.

Alors il n'y a pas péril en la demeure quand tu te brule le coeur pour des idées extremes,y en a bien qui meurent pour des idées,et de mort lente en plus,quand elle est donné par des adeptent de la torture,ceux la meme qui te font comprendre que dehors tu est libre,libre de t'envolé dans une cage.

Donc ne soyez pas étonné lorsque de temps en temps,l'homme va a la limite de l'incroyable,quitte a y laissé sa peau pour franchir les murs qui le sépare de la liberté,car pour lui ça ne change rien,dedans il est entrain de ce consumé,alors pourquoi pas accéleré le processus avec la chance de passé a travers les mailles du filet,et de vivre en marge de la société,celle là meme qui tous au long de son existence,la rejeté.

 

Et ils y a ceux qui malgré leur souffrance purge leur peine,passage oblige dans une vie qu'ils ont choisi,ou les inconvégnants sont severe,celui d'etre enfermé ne les brusques pas plus que ça,ce qui fait naitre une rage en eux,une haine chronique envers la justice,viens du faite que ceux qui sont chargé de la faire respecté,la bafoue a leur guise,

les lois n'existe que dans le code,elle ne prive pas un détenus de parloir ou de courrier,l'erreur d'un temoignage peut envoyé un individu de longues années derriere les barreaux,mais la société est ainsi faite,elle se donne le droit a l'erreur comme le flic se donne le droit a la bavure,et le détenus le droit de la fermer.

La taule forge les caractéres,certains dise que c'est en taule qu'on distingue les vrais hommes,certains sans calibres deviennent des laches,et dans ce monde d'embrouille,de frimeurs et d'enculade,certains garde la tete haute quand d'autre ont le ventre a terre,mais la prison elle n'a qu'un but:

détruire celui qui a le malheur de franchir ces lourdes portes de metal.

Une fois a l'intérieur ces murs sont assez hauts pour empeché d'entendre le desespoir et les cris de haines de ses locataires,et de ce faite elle garde bonne conscience et laisse le détenus gouté a la misere psychologique.

 

 

A TOUS CEUX QUI EN SOUFFRE

 

Nacer