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blague carambars :

 

Une jeune femme blonde entre dans un bar, et s'approche du comptoir.

le patron derrière son zinc lui demande:

_ qu'est-ce que vous prenez?

_un wisky...

 

Le patron lui sert son wisky.

la blonde sirotte son verre, puis s'en retourne vers la sortie.

-eh! mademoiselle, vous n'avez pas payé votre consommation!

La jeune femme répond, :

_ Mais je ne vous ai rien demandé, c'est vous qui m'avez invitée en me demandant ce que je prenais...

 

Le patron estomaqué ne sait plus quoi dire et la femme s'en va.

après reflexion,il se dit qu'il s'est bien fait avoir, mais qu'on ne l'y reprendrait plus.

Le lendemain, la demoiselle revient s'approche du comptoir.

Le patron se garde bien de lui demander quoique ce soit. Mais il la voit qui soudain , écale un oeuf dur ,pris sur le comptoir et emiette la coquille en tout petits morceaux.

 

Surpris le patron du bar lui demande:

_ mais que faites vous avec ces coquilles d'oeuf?

_Je me prépare des appâts pour la pêche.

_Comment ça des appâts pour la pêche?

-Et bien oui , je m'en sert comme appât...

_et ça marche?

 

_ oui bien sûr...

-Et que prenez vous?

 

_ un wisky......

 

 

 

comme quoi les blondes ne sont pas débile .

enfin pour certaine cela reste à prouvé :confused: :chut: :mdr:

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blague carambars :

 

Une jeune femme blonde entre dans un bar, et s'approche du comptoir.

le patron derrière son zinc lui demande:

_ qu'est-ce que vous prenez?

_un wisky...

 

Le patron lui sert son wisky.

la blonde sirotte son verre, puis s'en retourne vers la sortie.

-eh! mademoiselle, vous n'avez pas payé votre consommation!

La jeune femme répond, :

_ Mais je ne vous ai rien demandé, c'est vous qui m'avez invitée en me demandant ce que je prenais...

 

Le patron estomaqué ne sait plus quoi dire et la femme s'en va.

après reflexion,il se dit qu'il s'est bien fait avoir, mais qu'on ne l'y reprendrait plus.

Le lendemain, la demoiselle revient s'approche du comptoir.

Le patron se garde bien de lui demander quoique ce soit. Mais il la voit qui soudain , écale un oeuf dur ,pris sur le comptoir et emiette la coquille en tout petits morceaux.

 

Surpris le patron du bar lui demande:

_ mais que faites vous avec ces coquilles d'oeuf?

_Je me prépare des appâts pour la pêche.

_Comment ça des appâts pour la pêche?

-Et bien oui , je m'en sert comme appât...

_et ça marche?

 

_ oui bien sûr...

-Et que prenez vous?

 

_ un wisky......

 

 

 

comme quoi les blondes ne sont pas débile .

enfin pour certaine cela reste à prouvé :confused: :chut: :mdr:

 

comme quoi les préjugés je vis ca constament depuis ma tendre enfance t'imagine le calvaire

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Aujourd'hui 29 septembre. Une nouvelle journée qui commence, sous un soleil qui a cessé depuis deux semaines déjà d'être insolent. Je l'accueille avec plaisir au réveil, à travers mes volets mal fermés.

 

J'avais oublié combien la vie peut être belle, et si simple, quand personne ne vous pourchasse.

 

J'ai encore dû changer de nom. Mais ce n'est pas la première fois. Je m'appelle agent Ines wecan, à en croire mes papiers d'identité… avant c'était KAT lablonde. Avant… peu importe. Seul compte le moment présent.

 

Inutile de repenser au passé, à moins de vouloir repenser aussi à…

 

Non non, c'est de l'histoire ancienne maintenant...

 

 

Aujourd'hui 29 septembre, j'ai un entretien pour un travail de professeur dans un lycée de privé nice belle couverture :04: . Tout ce qu'il me faut. Ca n'a rien de passionnant, j’avoue. Mais ça serait mon premier vrai travailsans commetre de bavure depuis longtemps. Tout ça à cause…

 

Ne pas y penser.

 

Le temps de me préparer et me voilà dans la rue, bordée d'arbres aux feuilles éclatantes de santé. Pas l'ombre d'une voiture en vue. J'ai eu de la chance de trouver cett maison.

 

Je croise quelques voisins que je salue avec un sourire. Ca ne coûte pas cher de se faire apprécier. Puis on ne sait jamais, ça peut toujours servir. Je n'aime pas les gens, mais je sais leur faire croire le contraire. :04:

 

J'arrive au a la station de bus . Là, c'est déjà la cohue. J'entre. Un bus dans deux minutes, j’attends patiemment.

Je me sens bien dans ma peau, vraiment. Moi qui n'aime pas la foule, me voilà en train de sourire pourtant, le cœur léger. Décidément, la vie est belle.

 

Je me faufile jusqu'à une place libre et m'installe. Je n'ai pas oublié de prendre un livre. La clé de la réussite en toute chose est d'avoir l'air de ne pas faire attention aux autres. Comme ça, ils ne se sentent pas agressés.

 

En fait, je ne lis pas, je fais juste semblant. Je n'aime pas la foule alors je me méfie. Je ne rate pas un geste, un regard, une attitude.

 

Mais tout va bien aujourd'hui. J'arrive même à lire réellement.

 

J'ai avalé deux pages au moment où le bus s'arrête à la 6ème station. Je relève la tête pour regarder monter les passagers.

 

Et là tout bascule.

 

Des yeux d'un bleu profond se posent brièvement sur moi. Trop brièvement peut-être pour qu'on puisse en déduire quelque chose, mais je sais ce qu'il en est. Le même éclat dans le regard. C'est lui.

 

D'habitude il préfère les yeux bleu, mais peu importe, il n'y a pas de doutes. Je suis passé maître dans l'art de le reconnaître. Depuis le temps.

 

Je dois lui concéder qu'il sait choisir des visages, des vêtements, des façons de se mouvoir, totalement différents à chaque apparition. Et il a du goût. Jamais vulgaire, jamais quelconque. Coiffure impeccable. 1m90. il déteste les baskets, n'en porte jamais. il préfère les vêtements simples aux tenues trop tapageuses. Des couleurs unies, chaleureuses, qui mettent en valeur son sourire si franc, et cet éclat dans le regard.

Ce même éclat, et cette façon de sembler ne pas faire attention à moi, alors qu'en moins d'une seconde il a fouillé mon âme …

 

Tu peux te déguiser autant que tu voudras, mon canard. Je te reconnaîtrai toujours.

 

Je balaye du regard l'espace qui me sépare de la porte la plus proche. Je perçois son regard sur moi à nouveau, fugitivement. Il faut que je trouve une solution, vite.

 

Deux semaines, je croyais bien l'avoir semé cette fois, mais il n'en est rien. Si je m'en sors, il faudra que je prenne encore plus soin de brouiller les pistes la prochaine fois. Une bouffée de rage m'envahit.

 

Quand donc cessera-t-il de me pourrir la vie ?

 

Je n'ai pas le choix, comme toujours. Maintenant qu'il sait que je l'ai vu, il ne cesse de m'observer à la dérobée. C'est un professionnel, il sait comment s'y prendre pour que sa cible ne remarque rien, mais j'ai appris avec le temps à passer entre ses regards, à le prendre par surprise.

 

A le tuer, aussi.

 

Je l'ai déjà fait des centaines de fois. Et puisqu'il veut continuer la traque, puisqu'il n'en a pas encore assez, alors je vais soigner sa fin tout particulièrement aujourd'hui. Qu'il s'en souvienne. Qu'il sache que si je n'y prends aucun plaisir particulier, sa souffrance me tient néanmoins très à cœur.

 

Il faut que celle-ci soit maximale. Pour qu'enfin il renonce.

 

Le bus s'immobilise à la station.

 

Il se lève, continue à faire semblant de ne pas me voir, tout en scrutant (un millième de seconde tout au plus) ma réaction. Puis,il sort, et d'un nouveau regard furtif, me défie de le suivre.

 

Comme si j'avais le choix.

 

Comme si je ne devais pas résoudre le problème à tout prix.

 

 

Mais quand même, j'attends la dernière seconde pour débarquer. Pour qu'il doute.

Puis, je m'engouffre, juste avant que les portes se referment...

 

 

et là ........... à suivre

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suite

 

et la je ressens une pression sur mon bras qui m'attire vers une ruelle juste à coté Un éclat de vie dans ton regard fiévreux. sa main dans la mienne. Mon cœur qui bat plus vite.Son regard ténébreux croisa le mien

Comme la première fois que je l'ai vue, il y a 10 ans.

Rien n’a changé.

Chutttt… ne dis rien, me dit il en posant sa main sur ma bouche Un baiser achève de me convaincre, il me sourit et ferme les yeux Il attend un peu, je le regarde. Il me dit qu'il ne pourrait pas imaginer sa vie sans moi.Son murmure me tire de ma rêverie.

Si tu n’étais pas ma femme, si c’était le premier regard, je tomberais amoureux, là, mes yeux dans les tiens.:o:o mais pourquoi as tu disparue !!

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soudain ses sourcils se froncèrent et son regard devint menaçant comme la dernière fois ... la dernière fois ou il avait porté les mains sur elle ...non pas pour un geste d'amour non elle l'aurait voulu !!!non la dernière fois qu'il l'avait battue.... LE CAUCHEMARD RECOMMENCE ENCORE UNE FOIS COMMENT A T IL FAIT POUR LA RETROUVER!!!!!!

Il l'entraîna dans sa voiture mais elle n'osait dire un mot elle était comme muette devant lui.....

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que va -t-elle pouvoir faire pour s'en sortir !La mort est rarement belle à voir!

 

il étaient arrivé... .arrivés en enfer ! elle était la derrière la voiture recroquevillée sur elle -même comme pour se protéger d'un geste vif et puissant il l'a sortie du véhicule sans ménagement !De claques en gifles, de coups de poing , de pieds, décidée de se défendre et d’essayer de rendre coup pour coup… mais en vain les coups fusèrent de plus en plus fort il pris un malin plaisir à la frapper, à la battre, à la tabasser. Sans aucune raison. Beaucoup plus costaud quecelle, la brute épaisse arrivait parfois à coincer la jeune femme dans le garage et là, c’était sa fête si elle ne parvenait pas à se dégager rapidement et à trouver le salut dans la fuite.

elle eut l’impression que sa souffrance à la tête disparaissait en repensant à toute cette époque de calvaire qu'elle a pu bien passée a ses cotés!Cent fois la jeune femme avait pensé s’enfuir du domicile conjugal mais Mais les menaces de son bourreau l’en avaient dissuadée!!!

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Elle était si belle sa femme, au moment de leur première rencontre. Le charme et l'élégance personnifiés.

 

Cela lui avait tout de suite plu chez elle, cette discrétion, ce raffinement si rare, tout en finesse, tant de fraîcheur, cela s'alliait si bien à sa propre âme sensible et le portait aux nues.

Il l'avait épousée très vite, certain d'un bonheur sans faille auprès de cet être sans défaut.

 

Ah ! S'il avait su !

 

Personne ne savait : seulement lui ! Pas même elle, qui ne se rendait compte de rien. Personne ne saurait jamais, ce serait la honte, le ridicule. Il avait tant fait l'éloge de sa perle rare, sa beauté sans faille, son bonheur parfait.

 

Il ressasse cette pensée, assis dans son lit à côté d'elle qui vient de s'endormir paisiblement.

 

Chaque nuit, depuis dix ans, c'est la même chose, même de pire en pire, et il ne peut toujours pas en parler.

 

A personne !

 

A qui l'expliquer ?

 

A elle, si délicate ? Il la rendrait malheureuse, il ne veut surtout pas la rendre malheureuse.

 

Au médecin ? Il le lui répéterait, cela reviendrait au même.

 

Aux copains ? Ils se ficheraient de lui, ça c'était sûr. Ils en feraient des gorges chaudes après tout ce qu'il avait raconté !

 

Pourtant ses nuits ressemblent à l'enfer.

 

Près de sa femme allongée, endormie, il se sent vraiment impuissant.

 

Il faudrait pourtant bien faire quelque chose, il se le répète, nuit après nuit, depuis toutes ces années, mais il ne sait vraiment pas quoi...

 

Voilà, maintenant, c'est l'heure où son calvaire commence :

 

Cela débute doucement par une respiration plus forte, plus appuyée, puis arrive une espèce de petite musique, comme une complainte.

 

Progressivement cela s'amplifie ; viennent les soupirs, les bruits divers et enfin puisqu'il faut bien le dire ; les ronflements !

 

Depuis dix ans, sa femme, sa jolie petite femme si délicate, si fragile, si réservée, si... Enfin sa femme ronfle toutes les nuits de la façon la plus vulgaire !

 

 

Et depuis tout ce temps il se répète : ça ne peut pas durer, il faut que ça cesse, ce serait mieux pour lui, mieux pour elle... Et pourtant, ça dure, ça dure...

 

Les yeux clos, le nez en l'air, la bouche grande ouverte, elle émet des râles, des hoquets, des grognements, c'est l'horreur...

 

Il ne veut pas l'entendre, il ne peut plus l'entendre, il tient ses deux mains sur ses oreilles.

 

Soudain, n'y tenant plus, il s'allonge doucement sur sa femme, prend son oreiller et le plaque sur le visage de l'aimée en le maintenant fermement pendant de longues minutes.

 

La femme s'agite un peu sous son corps lourd, puis se calme, les ronflements se sont tus, sa respiration s'est arrêtée.

 

" Voilà mon amour, voilà c'est fini, tout va bien, le cauchemar est terminé", dit-il tendrement en déposant un doux baiser sur son front.

 

 

 

Il reprend son oreiller et s'allonge sur le dos, enfin calme et détendu dans le silence de la nuit.

 

Quel imbécile :mad:

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Elle était si belle sa femme, au moment de leur première rencontre. Le charme et l'élégance personnifiés.

 

Cela lui avait tout de suite plu chez elle, cette discrétion, ce raffinement si rare, tout en finesse, tant de fraîcheur, cela s'alliait si bien à sa propre âme sensible et le portait aux nues.

Il l'avait épousée très vite, certain d'un bonheur sans faille auprès de cet être sans défaut.

 

Ah ! S'il avait su !

 

Personne ne savait : seulement lui ! Pas même elle, qui ne se rendait compte de rien. Personne ne saurait jamais, ce serait la honte, le ridicule. Il avait tant fait l'éloge de sa perle rare, sa beauté sans faille, son bonheur parfait.

 

Il ressasse cette pensée, assis dans son lit à côté d'elle qui vient de s'endormir paisiblement.

 

Chaque nuit, depuis dix ans, c'est la même chose, même de pire en pire, et il ne peut toujours pas en parler.

 

A personne !

 

A qui l'expliquer ?

 

A elle, si délicate ? Il la rendrait malheureuse, il ne veut surtout pas la rendre malheureuse.

 

Au médecin ? Il le lui répéterait, cela reviendrait au même.

 

Aux copains ? Ils se ficheraient de lui, ça c'était sûr. Ils en feraient des gorges chaudes après tout ce qu'il avait raconté !

 

Pourtant ses nuits ressemblent à l'enfer.

 

Près de sa femme allongée, endormie, il se sent vraiment impuissant.

 

Il faudrait pourtant bien faire quelque chose, il se le répète, nuit après nuit, depuis toutes ces années, mais il ne sait vraiment pas quoi...

 

Voilà, maintenant, c'est l'heure où son calvaire commence :

 

Cela débute doucement par une respiration plus forte, plus appuyée, puis arrive une espèce de petite musique, comme une complainte.

 

Progressivement cela s'amplifie ; viennent les soupirs, les bruits divers et enfin puisqu'il faut bien le dire ; les ronflements !

 

Depuis dix ans, sa femme, sa jolie petite femme si délicate, si fragile, si réservée, si... Enfin sa femme ronfle toutes les nuits de la façon la plus vulgaire !

 

 

Et depuis tout ce temps il se répète : ça ne peut pas durer, il faut que ça cesse, ce serait mieux pour lui, mieux pour elle... Et pourtant, ça dure, ça dure...

 

Les yeux clos, le nez en l'air, la bouche grande ouverte, elle émet des râles, des hoquets, des grognements, c'est l'horreur...

 

Il ne veut pas l'entendre, il ne peut plus l'entendre, il tient ses deux mains sur ses oreilles.

 

Soudain, n'y tenant plus, il s'allonge doucement sur sa femme, prend son oreiller et le plaque sur le visage de l'aimée en le maintenant fermement pendant de longues minutes.

 

La femme s'agite un peu sous son corps lourd, puis se calme, les ronflements se sont tus, sa respiration s'est arrêtée.

 

" Voilà mon amour, voilà c'est fini, tout va bien, le cauchemar est terminé", dit-il tendrement en déposant un doux baiser sur son front.

 

 

 

Il reprend son oreiller et s'allonge sur le dos, enfin calme et détendu dans le silence de la nuit.

 

L'horeur, comme quoi nul ni parfait. T'as bein su jouer avec nos nerfs Inas

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il y a plus de suite ? :eek:

 

si ca viendra je suis malade en ce moment mes neurones travaille sur ma défense immunitaire et comme tu sais qu'une blonde ne peut pas faire deux chose a la fois :mdr::mdr::mdr:

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si ca viendra je suis malade en ce moment mes neurones travaille sur ma défense immunitaire et comme tu sais qu'une blonde ne peut pas faire deux chose a la fois :mdr::mdr::mdr:

 

lol pourquoi le pluriel?

tout le monde sait que tu as un neurone solitaire! :mdr:

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