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Mohamed BENCHICOU et l'imposteur bouteflika


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Mohamed BENCHICOU et l'imposteur bouteflika

 

livre_benchicou.gif

 

Résumé

 

 

Comment ne pas penser à L'Automne du patriarche de Garcia Marquez, où est décrit le monde de la dictature à la sud-américaine ?

 

Cupidité, soif maladive du pouvoir, abus sexuels, telles sont les caractéristiques du pouvoir des tyrans.

 

Mais dans ce document, nous sommes bien loin de la cocasserie et de la jubilation du roman colombien.

 

Peut-être qu'à l'avenir, ce livre prendra une dimension burlesque s'agissant des aventures de " l'enfant adultérin d'un système grabataire et d'une démocratie violée ".

 

Pour l'heure, il a des résonances tragiques, car il s'agit de l'avenir et de la dignité nationale de l'Algérie.

Plus qu'une charge contre Abdelaziz Bouteflika, l'auteur établit une chronique du temps perdu dans la recherche d'un destin national digne des innombrables sacrifices du pays.

 

Il dénonce avec force autant l'arlequin transformé en héros que le système, porté par des parrains aux biographies falsifiées, qui l'a mis sur scène. Ce livre a le courage du combat mené à visage découvert.

 

Mohamed Benchicou ne s'attaque pas à un prince déchu. Il brandit la braise de son indignation morale et de sa colère de citoyen à la face du " maître " de l'heure, tandis que ce dernier se réclame de l'amitié des puissants de ce monde, de la légitimité d'un scrutin tronqué, use de la puissance persuasive des milliards d'une cagnotte nationale détournée et de la force dissuasive d'une justice réduite au triste rôle de geôlier auxiliaire.

 

Oui, ce livre est véhément et sans concessions !

Mais il est surtout précis et documenté.

 

Il repose sur des écrits, des témoignages et des documents indiscutables car authentiques.

 

Biographie

 

Mohamed Benchicou, journaliste depuis 1974, fut rédacteur en chef du premier journal indépendant algérien, Alger républicain. Il est directeur du quotidien Le Matin depuis sa fondation en 1991.

 

Sommaire

 

Le civil.

Le maquisard.

Le diplomate.

Le successeur.

L'opposant.

Le prophète

 

 

Mohamed Benchicou lauréat du prix Voz del occidente de la liberté d'expression 2005, Espagne

 

Mohamed Benchicou lauréat du prix Pen International, Barbara Goldsmith freedom to write 2006, USA

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ceci n'ont plus ?

 

Bruxelles, le 15 juin 2006

 

Suite à la libération du journaliste algérien Mohamed Benchicou, le Président du Parlement européen, Josep BORRELL a déclaré:

 

" Je tiens à saluer la libération hier matin de Mohamed Benchicou, directeur du quotidien Le Matin, après avoir purgé l'intégralité de ses deux années de prison.

 

Je tiens néanmoins à renouveler mes regrets qu'il n'ait pas bénéficié, à l'instar d'un certain nombre de ses collègues, de la grâce présidentielle accordée par le Président Abdelaziz Bouteflika, sujet que de plus j'avais soulevé avec lui lors de notre entretien à Alger en mars dernier.

 

A ce propos, je rappelle le souhait émis par le Parlement européen, dans sa résolution du 9 juin 2005, de voir "les autorités algériennes adopter et mettre en oeuvre sans délai des mesures législatives permettant le plus grand respect des droits fondamentaux, et notamment le plein respect de la liberté de la presse, et ce conformément aux accords et pactes internationaux auxquels l'Algérie est partie" et "que les délits de presse soient définitivement dépénalisés".

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ferhat_mehenni.gif

 

 

17 juin 2006

 

TIMANIT I TMURT N IQVAYLIYEN

 

MOUVEMENT POUR L’AUTONOMIE DE LA KABYLIE / M.A.K

 

Nous apprenons avec soulagement la libération de Mohamed BENCHICOU, Directeur du quotidien "Le Matin". Cet élargissement qui n’est dû ni à la "réconciliation nationale" dont avaient bénéficié 3500 criminels islamistes, ni à une grâce quelconque, est le fait d’une purge totale de la peine à laquelle avait été condamné un intellectuel brillant, démocrate et opposant aux imposteurs au pouvoir en Algérie. Le MAK salue son courage et sa détermination ainsi que le recouvrement de sa liberté dans la dignité.

 

P/Le MAK Ferhat MEHENNI

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enfin l'homme benchicou ou l'homme bouteflika ne nous importe peu

içi il s'agit de la liberté d'expression et du pouvoir personnel et despotique

et le monde de la liberté d'expression en sait q qchose

la preuve

il honore l'un et accule l'autre !

donc lka chitta priere se taire !

si vous aviez des arguments dites !

sinon taisez vous ! !

 

prix_goldsmith.gif

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Mohamed Benchicou est jeté en prison, non pas pour l’histoire à dormir debout des « bons de caisse », mais pour sa hardiesse de journaliste imbu de valeurs de sa profession.

 

Chroniqueur de talent, mais aussi directeur d’un journal qui faisait toucher du doigt l’information, et voilà !

 

Puis, avec son livre « Bouteflika : une imposture algérienne », Benchicou était allé encore trop loin dans sa tentation du diable.

 

Qui mieux que lui a osé tenir tête à un Bouteflika omnipotent, ainsi qu’à ses laquais, dans un pays où on prend à présent les ombres pour des réalités ?

 

De même qu'il aurait été stupide prétendre enfermer les idées, de même il est absurde de justifier l'injustifiable.

 

La parole est liberté.

 

Comme on dit, on chasse le naturel, et il revient au galop.

 

Le monde change constamment au gré du vent des libertés.

 

Et plus personne ne pourra infléchir ce formidable élan de conscience universel à l'épanouissement, à l'émancipation... Tous autant que nous sommes, et aujourd'hui plus que jamais, nous devons maintenir vivace la flamme de ces hommes libres qui ont su dire qu'une autre Algérie est possible. Celle des libertés, des droits humains et de la démocratie.

 

N'en déplaise aux bien-pensants, aux guardiens du Temple qui semblent d'un autre âge.

 

Mohamed Benchicou sortira grandi de cette injustice dont il est victime.

 

Et il nous aura donné une leçon magistrale de liberté de dire. Donc, pas seulement d'informer, mais d'opiner aussi...

 

Mohamed Ziane-Khodja

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Le Matin dut fermé et mis sous scéllléspour avoir dévoilé

 

le vrai visage de l'équipe su clan d'Oujda,

 

ramassis de mercenaires et de tortionnaires.

 

pour avoir révélé l'affaire Sadaoui,

dévoilé le passé de tortionnaire de Zerhouni,

dévoilé les détournements dans Sonatrach,

découvert que Bouteflika s'est servi de l'argent du Trésor et de celui de Khalifa.

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le Président coopté assène une insulte de plus au peuple algérien :

 

« Je fais ce qui me plaît. »

 

Honte à vous, Monsieur Bouteflika, de profiter ainsi de votre situation de Président coopté pour narguer un peuple fier et qui ne vous a jamais élu. Honte à vous, Monsieur Bouteflika, de vous prendre pour un méchant despote quand vous n'avez toujours été, pour paraphraser Nezzar, que la « marionnette de Boumediène ».

 

Honte à Ahmed Ouyahia,

 

personnage des petites besognes et qui s'obstine à le rester, vil exécuteur des basses uvres, l'homme qui aura suspendu deux fois la presse de son pays pour plaire à ses commanditaires, celui dont on dit qu'il pourrait être notre Président par la volonté des généraux comme s'il n'y avait plus assez d'hommes sur cette terre pour que, après les marionnettes d'Oujda, elle ait à subir les valets de service.

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Hi! lyes...tu pètes la forme on dirait...:)

Tal3ab wa7dak, tarchom wa7dek...:D

Allons! allons!... lyes ne confondons pas la liberté d'expression avec les roublardises de ce gugus;)

A moins que.....:rolleyes:

 

 

non aggounis !

ce n'est pas pour toi

c'est pour les ahuris

et puis le gugus ne m"interresse pas

j'ai déja preciser !!!

et puis l'otre topic est verouillé et le debat n'est pas clos entre chitta et verité

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non aggounis !

ce n'est pas pour toi

c'est pour les ahuris

et puis le gugus ne m"interresse pas

j'ai déja preciser !!!

et puis l'otre topic est verouillé et le debat n'est pas clos entre chitta et verité

 

Hé lyes!... c'est Egomis..c'est pas aggounis, j'y tiens à mon heu!... statut:04:

T'es ... un sacré heu!...heu!... que dois-je dire lyes;)

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AMICALEMENT VOTRE .Canada .

 

non aggounis !

ce n'est pas pour toi

c'est pour les ahuris

et puis le gugus ne m"interresse pas

j'ai déja preciser !!!

et puis l'otre topic est verouillé et le debat n'est pas clos entre chitta et verité

 

 

 

La liberté c'est le respect des droits de chacun ; l'ordre c'est le respect des droits de tous mais toujours utile ,Un homme d'humble condition qui se comporte avec arrogance est copieusement détesté. Un homme de grande condition qui se comporte avec modestie est hautement respecté.Connaître les autres, c'est sagesse. Se connaître soi-même, c'est sagesse supérieure.

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La liberté c'est le respect des droits de chacun ; l'ordre c'est le respect des droits de tous mais toujours utile ,Un homme d'humble condition qui se comporte avec arrogance est copieusement détesté. Un homme de grande condition qui se comporte avec modestie est hautement respecté.Connaître les autres, c'est sagesse. Se connaître soi-même, c'est sagesse supérieure.

goulha li bebete

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Vive Benchicou, le plus courageux des journalistes qui n'a jamais dénoncé Chadli, ni Zeroual, ni les détornement de fond, ni les politiques qui ont mené à la ruinemais qui dans un dernier sursaut est devenu courageux comme un lion, sans l'aide de personne et s'est attaqué à Bouteflika.

 

Bravo!

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Vive Benchicou, le plus courageux des journalistes qui n'a jamais dénoncé Chadli, ni Zeroual, ni les détornement de fond, ni les politiques qui ont mené à la ruinemais qui dans un dernier sursaut est devenu courageux comme un lion, sans l'aide de personne et s'est attaqué à Bouteflika.

 

Bravo!

mais non mon ami khringo ce n'est pas benchicou qui nous interresse içi

c'est le parcours odieux et sans honte d'un mec anonyme sous mohammed V

qui devint president d'un glorieux pays VOISIN

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Vive Benchicou, le plus courageux des journalistes qui n'a jamais dénoncé Chadli, ni Zeroual, ni les détornement de fond, ni les politiques qui ont mené à la ruinemais qui dans un dernier sursaut est devenu courageux comme un lion, sans l'aide de personne et s'est attaqué à Bouteflika.

 

Bravo!

:lol_mdr:wavetowel3:

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AMICALEMENT VOTRE .Canada .

 

mais non mon ami khringo ce n'est pas benchicou qui nous interresse içi

c'est le parcours odieux et sans honte d'un mec anonyme sous mohammed V

qui devint president d'un glorieux pays VOISIN

 

 

Pour votre comparaison , je vous conseille de faire demi-tour, c'est une mauvaise manière de poursuivre ce voyage.

 

Un President comme Son Excellence , c'est un être qui ne doute jamais de vous, qui ne vous demande rien et qui est prêt à tout vous donner... C'est un coeur large qui oublie et pardonne.Notre President , c'est la perle au fond des mers.Il n'existe pas d'autre voie vers la solidarité humaine que la recherche et le respect de la dignité individuelle.

SANS RANCUNE : ( rassem054@yahoo.fr ):clover::40::fish2::artist:

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Bouteflika imposteur !

 

Le président Bouteflika est-il un imposteur ?

Difficile de ne pas dire non !.

 

Par contre quelques-uns de ses «succès» de mandats, comme l’économie et la diplomatie, méritent qu’on y traque un relent d’imposture.

 

Explications.

 

Il reste que l’idée de l’imposture est une filière féconde lorsqu’il faut traiter

non plus tout à fait du personnage de Bouteflika mais de son action à la tête de l’Etat.

 

Deux thèmes essentiels illustrent le contre-emploi durant le mandat présidentiel.

 

L’économie et la politique extérieure.

 

Sur le premier sujet, les convictions de l’écurie de course Bouteflika étaient ultra-libérales.

 

Sur le second, elles s’affichaient avec des relents Boumediénistes avec notamment le slogan de la «izza et la karama».

 

C’est à un contre-pied complet que les Algériens ont été conviés.

 

Le bilan économique auquel s’est adonné le chef du gouvernement Ahmed Ouyahia, vendredi dernier, est, de ce point de vue, totalement renversant.

 

On aurait dit un cacique du politburo de l’ex-URSS qui rapporte la dernière publication du Gosplan.

 

Tout ou presque est décliné en volume.

 

Tout ou presque est réalisé par les moyens, au moins financiers, de l’Etat.

 

Nous sommes à mille lieues des élans «Temmariens» du début du mandat présidentiel qui promettaient de faire passer par le jeu libre du marché la moindre tentative de bouger en Algérie. Les entreprises publiques ?

Tout privatiser.

 

L’investissement ?

Appeler surtout le capital étranger.

Les infrastructures ?

Lancer des appels d’offre et attendre. C’est exactement l’inverse de ce qui s’est produit et qui fait aujourd’hui la «fierté» des ultra-libéraux de la mouvance Bouteflika.

La dynamique de la croissance est largement portée par les dépenses publiques, l’emploi est sauvé par la préservation de l’activité dans le secteur public et l’investissement est surtout le fait du privé national si l’on omet les factures d’hôtel payées par les successives missions de prospections des grands patrons étrangers.

 

L’imposture est intégrale.

 

On se bat pour la libéralisation brutale et on est content de remettre la machine en marche grâce aux vieilles recettes de l’Etat comme premier levier de l’activité. Même Ahmed Ouyahia, qui pourtant dédaigne rarement jouer au gentil cynique, a été gêné par l’énumération frénétique des «réalisations de l’Etat» et a furtivement ajouté, sous la pression du scrupule pourquoi pas,

 

«nous attendons de tout cela qu’il soit prolongé par une dynamique de marché». Bel aveu.

 

La dynamique de marché n’est pas encore là. Mais quelle importance si le budget de l’Etat assure croissance et réélection.

 

L’imposture dans la relation avec le reste du monde est moins sympathique.

 

L’Algérie était censée redevenir la voix des peuples opprimés qu’elle était avant...

Respectée et écoutée justement pour cela.

 

Le contre-pied est disloquant.

 

L’affaire de Sfax résume toute la déchéance.

 

La diplomatie algérienne de 2004 est beaucoup plus faible que deux membres du CCE du FLN de fin 1956 obtenant, dans le bras de force, à Tunis de Bourguiba qu’il facilite l’acheminement des armes vers l’intérieur.

 

Tout chauvinisme mis à part, peu approprié en particulier lorsqu’il s’agit de défendre des supporters algériens massivement «insortables»,

 

la bastonnade meurtrière de Sfax méritait une vive réaction solennelle de l’Algérie officielle.

 

L’Algérie de la «izza et de la karama» triomphe donc dans les courbettes devant les plus puissants.

 

Tant pis pour la Palestine et l’Irak... et pour l’îlot de Persil.

 

Et pourtant, la fréquentation des grands de ce mnde est versée aujourd’hui à la colonne des actifs.

 

L’Algérie était isolée avant.

Elle se serait donc désenclavée au prix d’un reniement sans équivalent s’il n’y avait eu, entre-temps, l’obséquieuse «ouverture» de Kadhafi.

 

Ainsi va la vie de la realpolitik.

 

Imposture ou pas, le bilan économique de Bouteflika et son bilan de politique extérieure - mis en vitrine de sa campagne - sont de parfaits détournements de casting.

 

Là où l’on attendait du Mohamed Mahatir

- créateur habile du capitalisme malaysien -,

on a vu du Boumediène de la période des «tedchinates».

 

Et là où l’on espérait des relents de Boumediène de la période des «principes», on a vu du Hussein de Jordanie frisant à peine le septembre noir.

 

Abdelaziz Bouteflika a peut-être tout compris avant les autres.

 

Il faudrait le lui accorder cela. Sauf peut-être dans le cas Khalifa.

 

Utiliser l’argent des autres pour arroser le pays entier et devenir populaire, c’est tout de même une invention brevetée chez la maison de Rafik Moumène.

 

Bouteflika l’a reprise à son compte en 2003.

 

Juste après avoir poussé l’illustre «homme d’affaires» dans la fosse aux lions.

 

Etait-ce là aussi une imposture ?

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Halte AU PARTAGE DE NOTRE PAYS et a la Division du Peuple .

 

:lol_mdr:wavetowel3:

 

 

L'ARABE , Bonjour AZUL.

Si, en effet, Internet a beaucoup à offrir à qui sait ce qu'il cherche le même Internet est tout aussi capable de compléter l'abrutissement je fait allusion a cet individu de Khrigo , de ceux et celles qui y naviguent sans boussole.

SANS RANCUNE : ( rassem054@yahoo.fr )

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Lettre d’un citoyen à Abdelaziz Bouteflika :

12 septembre, 2007

 

“Désolé Mr le Président, vous ne pouvez prétendre à un 3eme mandat”

 

Désolé Mr le Président, vous ne pouvez prétendre à un 3eme mandat de Président de la République, car vous avez démontré au courant de votre carrière de Président de 1999 à ce jour que vous n’êtes pas à la hauteur des tâches qui vous sont confiés par le peuple et que vous éprouvez des difficultés à mener à bien votre mission.

Vous avez failli à votre serment et vos deux précédents mandats sont pollués par les vols, la corruption à outrance et la spoliation par votre entourage des biens et deniers de l’état.

 

Cet état de faite est une insulte au tempérament discret de notre peuple aujourd’hui au seuil de la folie puisque bon nombre nommés HARRAGAS se jettent à la mer pour en avoir ras-le-bol de cette vie quotidienne avec d’énormes difficultés tous azimuts sous l’égide de votre Présidence.

 

Vous êtes également à l’origine de l’esprit petit bourgeois qui s’est introduit par des voies de corruptions, des manigances, des gestions abusives et des profits malsains dans les rangs de nos cadres et de nos officiers supérieurs de l’armée.

 

Vous êtes Monsieur le Président entourés par vos subalternes complaisants qui ne peuvent dévoiler leur passé parce que ils sont tout simplement HARKIS à l’époque coloniale et tortionnaire par la suite à la SM pour uniquement se venger et faire souffrir les véritables enfants de cette patrie.

 

Comment expliquer votre aide à l’égard des « Algériens » qui ont changé délibérément de nationalité qui ont même accepté de chanter à ISRAEL dans la mesure où ils sont invités alors que des citoyens affrontent quotidiennement la misère et les difficultés de la vie.

 

J’en connais Monsieur Le Président toute une famille morte parce qu’elle mangeait chaque jour de la NOUKHALA (aliment du bétail) avec du lait LAHDA et quel est le sort de ces femmes SDF à l’heure ou KHALIDA TOUMI inaugurait ALGER capitale de la culture arabe et ou des dépenses ahurissantes ont été enregistrées et portées à la connaissance des citoyens par le bais des cadres de ce Ministère.

 

Avouez au peuple Monsieur le Président que vous n’étiez pas en mesure d’instaurer des nouvelles structures susceptibles de favoriser et de garantir l’émancipation du citoyen avec la pleine jouissance de ses libertés.

 

Rendez vous compte que ces chaînes interminables continuent d’exister partout ou vous vous rendez tandis qu’on fait parvenir aux charognards du pouvoir et aux ex terroristes tout ce dont ils désirent et s’accordent même le privilège de rouler en 4/4 au vu et au su de tout un peuple victimes de leurs barbaries et atrocités

.

Vous me direz que c’est le peuple qui s’est prononcé dans le cadre de la réconciliation national pour une paix. C’est une réplique mais ou est donc cette paix ?

Alors que vous savez très bien que la démocratie populaire : c’est l’édification consciente du pays et du pouvoir aux mains du peuple.

 

Avez-vous condamner et combattu un seul instant l’étalage de l’aisance et du luxe, le gaspillage des deniers de l’état , les dépenses somptuaires et les traitements mirifiques au profit des commis de l’état et des officiers supérieurs de l’armée.

 

Intimer une enquête Monsieur le Président, vous verrez ce dont ils étaient capables d’acquérir illégalement durant vos deux mandats et notamment dans le foncier.

 

Inutile de vous parler de la Justice de notre pays car tous les tribunaux offrent une image désolante et dégradante durant vos deux mandats et les décisions rendues « Au nom du peuple » sont souvent remises en cause.

 

Nous sommes devant un dysfonctionnement avéré de cette institution au point de constater que nos magistrats sont corrompus.

 

Comment expliquez vous monsieur le Président les astronomiques pertes de caisse sociales, déposées illégalement à KHALIFA BANK et dont les auteurs avait assumer la responsabilité de cette transaction devant la justice se trouvent encore en liberté.

Ils bénéficient d’une impunité sans précédent avalisée d’ailleurs par la présidence.

 

Comment se fait il que vos proches impliqués pourtant ne soient pas cités par la chambre d’accusation lors du fameux procès de Khalifa Bank.

 

Par ailleurs, l’Algérien relève sans équivoques dans votre politique économique le recours aux formes de subjectivisme, l’approximation et la tendance à idéaliser la réalité en ne retenant que les aspects spectaculaires.

 

Ainsi beaucoup d’indices restent à ce jour divergent d’une institution à une autre et sciemment superflus alors que des études socio-économiques doivent s’appuyer sur l’analyse objective des faits et l’appréciation correcte des réalités.

 

Il y a donc nécessité de faire connaître aux Algériens vos clarifications dans les domaines suivants :

 

1. La croissance et son incidence sur le niveau de vie des Algériens

2. Comment est géré l’argent octroyé aux wilayas. Est il budgétisé et fait il partie du plan de relance

3. La destination du fond de régulation et les réserves de change ;

4. Existe il une stratégie économique dans les milliards de dinars dépensés dans le cadre du budget d’investissement.

5. qu’est ce qui motive la privatisation et le recours aux investissements étrangers.

6. Pourquoi les ratios de l’emploi et du chômage n’ont jamais reflété la réalité et pourquoi des bas salaires pour une très forte inflation.Ce sont là quelques manquements à vos obligations de Président de la République.

Retirez vous Monsieur le Président

et partez en retraite

 

jillali

 

ps : depuis cette date silence radio .

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Bouteflika LE GRAND VOLEUR et les voleurs DE LA REPUBLIQUE

 

Dans son discours devant les présidents des assemblées communales, le président de la République a demandé aux Algériens

« d’arrêter d’accuser tout le monde de voleur »,

 

estimant que

 

« cela ne fera pas avancer le pays ».

 

Mieux, il précise que si

 

l’« on commençait à parler de voleurs, tous les Algériens, ‘hacha lima yasthelch’ (ndlr : exception faite pour celui qui ne le mérite pas), ont volé. Il n’y en a pas un seul qui n’a pas mis le doigt au miel ».

 

Un message qui suscite vraiment des interrogations d’autant qu’il y a quelques années, lorsque le même Président préparait sa première campagne électorale, il avait appelé les Algériens à dénoncer ceux qui pillent les richesses du pays.

 

De nombreuses affaires de dilapidation de deniers publics ont éclaté au grand jour grâce au concours de citoyens qui ont fait de la lutte contre la corruption leur cheval de bataille. Les premières affaires qui éclatent sont dévoilées par l’Inspection générale des finances (IGF).

 

Des missions d’inspection au niveau des services des Douanes lèvent le voile sur de nombreux scandales.

D’abord l’accaparement par de hauts responsables de l’Etat des villas situées dans la zone d’Etat de Moretti, puis celles appartenant au ministère des Affaires étrangères ou encore des biens de l’Etat gérés par les domaines ou les OPGI.

 

Les rapports de l’IGF sont restés sans suite.

 

Début 2000, les inspecteurs de l’IGF lèvent le voile sur des courants de fraude ayant occasionné au Trésor public un préjudice estimé à 7 milliards de dollars, et ce en l’espace de 4 années seulement.

 

Vraies fausses domiciliations bancaires, fausses déclarations en matière d’exportation de déchets ferreux et non ferreux et d’importation de produits électroménagers dans le cadre de la formule dite Règle 2 A et des dispositions CKD-SKD destinées au soutien de l’industrie du montage et de l’assemblage sont alors les principaux dossiers remis par l’IGF à la justice.

 

De nombreux cadres de la direction générale des Douanes, des banques publiques et des services de police ont été convoqués et certains d’entre eux inculpés. A ce jour, la justice n’a pas terminé son travail.

 

En 2003, le grand scandale du groupe Khalifa éclabousse les plus hautes institutions de l’Etat. L’affaire est prise en main par la justice et seul un volet du dossier, la gestion de la caisse principale, est jugé alors que la partie la plus importante n’est toujours pas sortie du bureau du tribunal de Chéraga.

 

Pendant cette période, les banques publiques font l’objet de véritables hold-ups.

 

D’importants crédits sont alloués à des opérateurs privés sans aucune garantie à même de sécuriser le remboursement.

 

Aucune banque n’a été épargnée et les scandales arrivent en cascade, impliquant les plus hauts dirigeants de ces institutions, alors que les pertes financières occasionnées se chiffrent en centaines de milliards de dinars.

 

Ces grandes affaires de corruption impliquent toutes de hauts responsables de l’Etat et non pas le petit citoyen devant lequel se dresse une montagne d’obstacles lorsqu’il s’agit d’un crédit immobilier ou d’une aide dans le cadre de l’Ansej.

 

Les affaires énumérées, qui ne reflètent que la partie visible de l’iceberg, sont toutes au stade de l’instruction. Une instruction qui risque un jour d’être totalement dépassée du fait de la prescription.

 

Accuser « tous les Algériens » d’avoir « goûté au miel » revient à assurer une couverture aux véritables voleurs des richesses de ce pays.

 

Ces derniers, tapis dans tous les rouages du système, ont accès à toutes les ressources.

 

Et ce n’est certainement pas un simple citoyen qui peut décrocher un rendez-vous avec le P-DG d’une banque publique, un directeur des domaines, encore moins avec un ministre pour se voir octroyer un bien de la collectivité.

Les voleurs sont ailleurs que parmi le petit peuple

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