pmat 276 Posted October 15, 2009 Partager Posted October 15, 2009 Bonjour bien des opposant comme des militants comme des Intellectuelle en colère ici et la Comme tous les beau parleur ils ne peuvent qu'être Infidele il ne peuvent tenir des engagement car bien des chose se défont car nul n'a capacité a tenir la longueur car l'homme sombre dans l'ennui a force du train train l'homme n'aime pas la discipline et désire changer son avis tout les cinq minutes IL PARLE DU BLANC MAIS SE COMPORTE EN NOIR MAIS EN ATTENDANT IL FONT BEAUCOUP DE MAL EN S'EN PRENANT AUX INOCENTS les intellos nouvellistes CA PARLE COMME DES LIVRS MAIS OU IL MANQUE BEAUCOUP DE PAGES Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted October 15, 2009 Author Partager Posted October 15, 2009 les militants que ce soit ceux de la republique de la mairie de la laicité de 1789 ceux de ZORRO de Zavata De CARL MARX de tout reve d'apres guerre comme la creation de l'O.N.U le militantisme Algerien a se liberer du colonisateur du militantisme du tché et des cubains comme celui de DE GAULLE ou les uns ont ete accusé deja de terroristes en leurs temps MAIS TOUS ONT ETE INFIDELLE et la coruption a pris le dessus pour denaturé la pensé premiere qui elle etait noble LA REVOLUTION Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted October 15, 2009 Author Partager Posted October 15, 2009 Voila Ce Que Le Moulin A Paroles Quebecois Dit voila ce que le moulin a paroles quebecois dit Posté le: Mercredi 16 Septembre 2009, 15:24 Sujet du message: Perroquet en chef , Québec, Canada Manifeste du FLQ Manifeste du FLQ [Texte intégral] Le Front de libération du Québec n’est pas le Messie, ni un Robin des bois des temps modernes, C’est un regroupement de travailleurs québécois qui sont décidés à tout mettre en œuvre pour que le peuple du Québec prenne définitivement en mains son destin. Le Front de libération du Québec veut l’indépendance totale des Québécois, réunis dans une société libre et purgée à jamais de sa clique de requins voraces, les « big boss » patronneux (1) et leurs valets qui ont fait du Québec leur chasse gardée du cheap labor et de l’exploitation sans scrupules. Le Front de libération du Québec n’est pas un mouvement d’agression, mais la réponse à une agression, celle organisée par la haute finance par l’entreprise des marionnettes des gouvernements fédéral et provincial (le show de la Brinks, le bill 63, la carte électorale, la taxe dite de « progrès social » (sic), power corporation, l’assurance-médecins, les gars de Lapalme). Le Front de libération du Québec s’autofinance d’impôts volontaires (sic) prélevés à même les entreprises d’exploitation des ouvriers (banques, compagnies de finance, etc.). « Les puissances d’argent du statu quo, la plupart des tuteurs traditionnels de notre peuple, ont obtenu la réaction qu’ils espéraient, le recul plutôt qu’un changement pour lequel nous avons travaillé comme jamais ; pour lequel on va continuer à travailler. » René Lévesque, 29 avril 1970. Nous avons cru un moment qu’il valait la peine de canaliser nos énergies, nos impatiences comme le dit si bien René Lévesque, dans le Parti québécois, mais la victoire libérale montre bien que ce qu’on appelle démocratie au Québec n’est en fait et depuis toujours que la « democracy » des riches. La victoire du Parti libéral en ce sens n’est en fait que la victoire des faiseurs d’élections Simard-Cotroni. En conséquence, le parlementarisme britannique, c’est bien fini et le Front de libération du Québec ne se laissera jamais distraire par les miettes électorales que les capitalistes anglo-saxons lancent dans la basse-cour québécoise à tous les quatre ans. Nombre de Québécois ont compris et ils vont agir. Bourassa dans l’année qui vient va prendra de la maturité : 100 000 travailleurs révolutionnaires organisés et armés ! Oui il y en a des raisons à la victoire libérale. Oui il y en a des raisons à la pauvreté, au chômage, aux taudis, au fait que vous M. Bergeron de la rue Visitation et aussi vous M. Legendre de Ville de Laval qui gagnez 10 000 dollars par année, vous ne vous sentiez pas libres en notre pays le Québec. Oui il y en a des raisons, et les gars de la Lord les connaissent, les pêcheurs de la Gaspésie, les travailleurs de la Côte Nord, les mineurs de la Iron Ore, de Québec Cartier Mining, de la Noranda les connaissent eux aussi ces raisons. Et les braves travailleurs de Cabano que l’on a tenté de fourrer (2) une fois de plus en savent des tas de raisons. Oui il y en a des raisons pour que vous, M. Tremblay de la rue Panet et vous, M. Cloutier qui travaillez dans la construction à St-Jérôme, vous ne puissiez vous payer des « vaisseaux d’or » avec de la belle zizique (3) et tout le fling flang (4) comme l’a fait Drapeau-l’aristocrate (5), celui qui se préoccupe tellement des taudis qu’il a fait placer des panneaux de couleurs devant ceux-ci pour ne pas que les riches touristes voient notre misère. Oui il y en a des raison pour que vous Madame Lemay de St-Hyacinthe vous ne puissiez vous payer des petits voyages en Floride comme le font avec notre argent tous les sales juges et députés. Les braves travailleurs de la Vickers et ceux de la Davie Ship les savent ces raisons, eux à qui l’on a donné aucune raison qu’ils voulaient se syndiquer et à qui les sales juges ont fait payer plus de deux millions de dollars parce qu’ils avaient voulu exercer ce droit élémentaire. Les gars de Murdochville la connaissent la justice et ils en connaissent des tas de raisons. Oui il y en a des raisons pour que vous, M. Lachance de la rue Ste-Marguerite, vous alliez noyer votre désespoir, votre rancœur et votre rage dans la bière du chien à Molson. Et toi, Lachance fils avec tes cigarettes de mari… Oui il y en a des raisons pour que nous, les assistés sociaux, on vous tienne de génération en génération sur le bien-être social (6). Il y en a des tas de raisons, les travailleurs de la domptar à Windsor et à East Angus les savent. Et les travailleurs de la Squibb et de la Ayers et les gars de la Régie des Alcools (7) et ceux de la Seven Up et de Victoria Precision, et les cols bleus de Laval et de Montréal et les gars de Lapalme en savent des tas de raisons. Les travailleurs de Dupont of Canada en savent eux aussi, même si bientôt ils ne pourront que les donner en anglais (ainsi assimilés, ils iront grossir le nombre des immigrants, Néo-Québécois, enfants chéris du bill 63). Et les policiers de Montréal auraient dû les comprendre ces raisons, eux qui sont les bras du système ; ils auraient dû s’apercevoir que nous vivons dans une société terrorisée parce que sans leur force, sans leur violence, plus rien ne fonctionnait le 7 octobre ! suite Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted October 15, 2009 Author Partager Posted October 15, 2009 SUITE ET FIN Nous en avons soupé du fédéralisme canadien qui pénalise les producteurs laitiers du Québec pour satisfaire aux besoins anglo-saxons du Commonwealth ; qui maintient les braves chauffeurs de taxi de Montréal dans un état de demi-esclaves en protégeant honteusement le monopole exclusif de l’écœurant Murray Hill et de son propriétaire-assassin Charles Hershorn et de son fils Paul qui, à maintes reprises, le soir du 7 octobre, arracha des mains de ses employés le fusil de calibre 12 pour tirer sur les chauffeurs et blesser ainsi mortellement le caporal Dumas, tué en tant que manifestant ; qui pratique une politique insensée des importations en jetant un à un dans la rue les petits salariés des Textiles et de la Chaussure, les plus bafoués au Québec, aux profit d’une poignée de maudits « money-makers » ( roulant cadillac ; qui classe la nation québécoise au rang des minorités ethniques du Canada. Nous en avons soupé, et de plus en plus de Québécois également, d’un gouvernement de mitaines qui fait mille et une acrobaties pour charmer les millionnaires américains en les suppliant de venir investir au Québec, la Belle Province où des milliers de milles carrés de forêts remplies de gibier et de lacs poissonneux sont la propriété exclusive de ces même Seigneurs tout-puissants du XXe siècle ; d’un hypocrite à la Bourassa (9) qui s’appuie sur les blindés de la Brinks, véritable symbole de l’occupation étrangère au Québec, pour tenir les pauvres « natives » (10) québécois dans la peur de la misère et du chômage auxquels nous sommes tant habituées ; de nos impôts que l’envoyé d’Ottawa au Québec veut donner aux boss anglophones pour les « inciter », ma chère, à parler français, à négocier en français : repeat after me : « cheap labor means main-d’œuvre à bon marché » ; des promesses de travail et de prospérité, alors que nous serons toujours les serviteurs assidus et les lèche-bottes des big-shot (11), tant qu’il y aura des Westmount, des Town of Mount-Royal, des Hampstead, des Outremont, tous ces véritables châteaux forts de la haute finance de la rue St-Jacques et de la Wall Street, tant que nous tous, Québécois, n’aurons pas chassé par tous les moyens, y compris la dynamite et les armes, ces big-boss de l’économie et de la politique, prêts à toutes les bassesses pour mieux nous fourrer (2). Nous vivons dans une société d’esclaves terrorisés, terrorisés par les grands patrons, Steinberg, Clark, Bronfman, Smith, Neapole, Timmins, Geoffrion, J.L. Lévesque, Hershorn, Thompson, Nesbitt, Desmarais, Kierans (à côté de ça, Rémi Popol la garcette, Drapeau le dog, Bourassa le serin des Simard, Trudeau (12) la tapette, c’est des peanuts (13) !). Terrorisés par l’Église capitaliste romaine, même si ça paraît de moins en moins (à qui appartient la Place de la Bourse ?), par les paiements à rembourser à la Household Finance, par la publicité des grands maîtres de la consommation, Eaton, Simpson, Morgan, Steinberg, General Motors… ; terrorisés par les lieux fermés de la science et de la culture que sont les universités et par leurs singes-directeurs Gaudry et Dorais et par le sous-singe Rober Shaw. Nous sommes de plus en plus nombreux à connaître et à subir cette société terroriste et le jour s’en vient où tous les Westmount du Québec disparaîtront de la carte. Travailleurs de la production, des mines et des forêts ; travailleurs des services, enseignants et étudiants, chômeurs, prenez ce qui vous appartient, votre travail, votre détermination et votre liberté. Et vous, les travailleurs de la General Electric, c’est vous qui faites fonctionner vos usines ; vous seuls êtes capables de produire ; sans vous, General Electric n’est rien ! Travailleurs du Québec, commencez dès aujourd’hui à reprendre ce qui vous appartient ; prenez vous-mêmes ce qui est à vous. Vous seuls connaissez vos usines, vos machines, vos hôtels, vos universités, vos syndicats ; n’attendez pas d’organisation miracle. Faites vous-mêmes votre révolution dans vos quartiers, dans vos milieux de travail. Et si vous ne le faites pas vous-mêmes, d’autres usurpateurs technocrates ou autres remplaceront la poignée de fumeurs de cigares que nous connaissons maintenant et tout sera à refaire. Vous seuls êtes capables de bâtir uns société libre. Il nous faut lutter, non plus un à un, mais en s’unissant jusqu’à la victoire, avec tous les moyens que l’on possède comme l’ont fait les Patriotes de 1837-1838 (ceux que Notre sainte mère l’Église s’est empressée d’excommunier pour mieux se vendre aux intérêts britanniques). Qu’aux quatre coins du Québec, ceux qu’on a osé traiter avec dédain de lousy French (14) et d’alcooliques entreprennent vigoureusement le combat contre les matraqueurs de la liberté et de la justice et mettent hors d’état de nuire tous ces professionnels du hold-up et de l’escroquerie : banquiers, businessmen, juges et politicailleurs (15) vendus !!! Nous sommes des travailleurs québécois et nous irons jusqu’au bout. Nous voulons remplacer avec toute la population cette société d’esclaves par une société libre, fonctionnant d’elle-même et pour elle-même, une société ouverte sur le monde. Notre lutte ne peut être que victorieuse. On ne tient pas longtemps dans la misère et le mépris un peuple en réveil. Vive le Québec libre ! Vive les camarades prisonniers politiques ! Vive la révolution québécoise ! Vive le Front de libération du Québec ! Notes explicatives : (1) patronneux : exploitant. (2) fourrer : escroquer. (3) zizique : [par plaisanterie] musique. (4) tout le fling flang : tout le tralala. (5) Jean Drapeau : maire de Montréal de 1954 jusque dans les années 1980. (6) bien-être social : aide sociale. (7) Régie des alcools : Société des alcools [société d’État qui détenait, à l’époque, le monopole de la vente des boissons alcoolisées (vins, bières, spiritueux, etc.)]. ( money-maker : capitaliste avide de gagner de gros sous. (9) Robert Bourassa : Homme politique (Parti libéral), premier ministre du Québec de 1970 à 1976, puis de 1985 à 1994. (10) natives : [mot anglais] autochtones. (11) big-shot : [mot anglais] homme d’affaires influent, une grosse légume. (12) Pierre Elliott Trudeau : Premier ministre du Canada, référence ici au Bill Omnibus légalisant les relations homosexuelles entre adultes consentants dans l’intimité des chambres à coucher. (13) c’est des peanuts : c’est de la petite bière. (14) lousy French : [mot anglais] méprisables Francophones [mot à mot : Français pouilleux]. (15) politicailleur : politicard. Est-ce les riches qui payaient des salaires de misère et le gouvernement qui nous fourrait par sa politique ou le FLQ les terroristes? Moi je dis que le FLQ et tous ceux qu'ils ont nommés étaient tous des terroristes. D’encourager l’extinction par la misère et de ne pas donner de postes élevés aux canadiens-français c’était un comportement carrément raciste surtout quand un canadien-français aurait pu faire mieux le travail que n’importe qui. C’est de valeur que vous n’eûtes pas connue les quartiers pauvres du Québec auquel appartenait la main-d’œuvre des exploiteurs anglais. Et je ne parle pas de la politique corrompus d'Ottawa de cette époque Je sais que les actes du FLQ ont été scandaleux, mais pas plus que contre qui il se révoltait. Rien n'est fait pour rien dans ce monde. C'est bien beau traité le FLQ de terroriste, mais vous avez à savoir le pourquoi et contre qui il se révoltait. Et il n'y a pas eu qu'au Canada où il y a eu des événements pareil _________________ Seule la vérité triomphe *Normand Lester, Le Livre noir du Canada anglais, tome 1, ISBN 2-89549-045-7 *Le Livre noir du Canada anglais, tome 2, ISBN 2-89549-065-1 *Le Livre noir du Canada anglais, tome 3, ISBN 2-89549-117-8 Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted October 16, 2009 Author Partager Posted October 16, 2009 Toutes Les Revolutions N'on Pas De Programe NI DE PROJET De Societe C'est Pourquoi Apres Son Effort Elle Dort Et Fait Reculer La Societe Citer Link to post Share on other sites
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