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Troisième mandat de Bouteflika, l’Algérie au congélateur


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Bouteflika avant 777213-921729.jpg

Quel crédit reste t-il encore à ce pouvoir, si tant est qu’il en ai eu un jour ? Voila un pouvoir, qui décide de changer de week-end, non pas pour revenir au week-end universel mais en introduisant un week-end semi universel. Beaucoup ont remarqué le manque de courage et de clairvoyance des autorités en se contentant du fameux « c’est mieux que rien ». Or, le pouvoir recule chaque jour. Après la poste, suivi par d’autres administrations qui avaient décidaient de travailler le samedi, jour de repos hebdomadaire, c’est au tour de l’éducation de revenir sur le week-end. Le ministre Benbouzid vient d’ordonner l’ouverture des écoles le samedi. On revient donc au week-end islamiste en pire, puisque seul le vendredi est un jour férié. Ce pouvoir qui ne rate aucune occasion pour afficher sa détermination et sa « force » lorsqu’il s’agit d’interdire, de réprimer, de donner des leçons de souveraineté se couche lamentablement face aux conservatismes. Il revient sur sa propre décision en catimini au risque de désorganiser totalement la société. C’est valable pour la gestion de tout le pays. Des lois sont votées que personne ne respecte en attendant qu’une autre loi, qui ne sera pas plus respectée, annule la première. Des secteurs entiers sont paralysés par des grèves sans que personne ne bouge. De sévères critiques sont émises par nos partenaires étrangers sans que quiconque daigne y répondre. Résultat : il n’y a plus de vrai week-end en Algérie, chacun fait ce qui lui plait, il n’y a pas de stratégie économique, pas de stratégie industrielle et donc pas d’usines qui donneraient du travail, pas de formation pour la jeunesse, pas de politique monétaire et la liste est malheureusement longue. Le pays est au congélateur, sauf bien entendu, pour réprimer et interdire, ici un livre, là une conférence sur les droits de l’homme. Cela ressemble étrangement à une fin de règne ; Un président absent, des conseils de ministres qui ne se tiennent plus, un premier ministre qui n’a aucun pouvoir réel et des ministres qui font n’importe quoi et son contraire. Le troisième mandat de Bouteflika ressemble aux deux premiers, l’improvisation comme règles et l’allégeance comme fonctionnement. Tout est fait pour pousser les algériens au désespoir

Bouteflika Apres

1.jpg

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Pourtant

 

Il Y Avait La Place Avant Qu'il Vienne Lui

 

Et Meme Pendant Tout Est Libre

 

On Est Libre A Se Presenter A Une Election Presidentielle

 

 

 

Donc C'est Bien Aute Chose

Nul N'a Capaciter A Tenir Devant Lui

 

Et Ceux Qui Le Prefere A Quelqu'un D'autre

 

Il Vaut Mieux Commencer A Pleureer Sur L'apres Bouteflika

Qui Aura La Meme Capaciteret A Continuer Le Programe De Modernisation Et De Construction

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Que c'est triste de voir ou on est arriver! on est tous conscient de l'ampleur de la situation car en Algerie rien ne va c'est l'anarchie totale comme si on n'a pas de gouvernement ou que ceux qui nous gouvernent sont deconnecter de l'algerie et vivent ailleurs et que le peuple est leurs dernier soucis qu'il crève de faim ou de maladie c'est kifkif mais la question qui s'impose c'est est-ce qu'il ya une solution? est-ce que ce pauvre peuple sortira un jour du gouffre? cette jeunesse desesperèe est-ce qu'elle aura un jour d'autre rèves que de se jetter dans les dents de la mort !est-ce une fatalitè ce qui nous arrive? est-ce que nous somme vraiment incapable de changer ce système? et de trouver des gens intègres qui aimerons vraiment l'Algerie et les algeriens.

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Que c'est triste de voir ou on est arriver! on est tous conscient de l'ampleur de la situation car en Algerie rien ne va c'est l'anarchie totale comme si on n'a pas de gouvernement ou que ceux qui nous gouvernent sont deconnecter de l'algerie et vivent ailleurs et que le peuple est leurs dernier soucis qu'il crève de faim ou de maladie c'est kifkif mais la question qui s'impose c'est est-ce qu'il ya une solution? est-ce que ce pauvre peuple sortira un jour du gouffre? cette jeunesse desesperèe est-ce qu'elle aura un jour d'autre rèves que de se jetter dans les dents de la mort !est-ce une fatalitè ce qui nous arrive? est-ce que nous somme vraiment incapable de changer ce système? et de trouver des gens intègres qui aimerons vraiment l'Algerie et les algeriens.

bonjour elhouria

 

j'aime ton message car il est plus vrais que celui du sujet

 

bien vu

 

entierement d'accord

L'Etat est absent la police est absente les regles sont absente

meme l'algerien il est absent

 

ou est il?

 

lui aussi il s'en fou

 

mais tu lui met un imeuble a acheter il est pret a l'acheter

et çà ils savent le faire d'ailleur c'est tout ce qu'ils savent faire

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Que c'est triste de voir ou on est arriver! on est tous conscient de l'ampleur de la situation car en Algerie rien ne va c'est l'anarchie totale comme si on n'a pas de gouvernement ou que ceux qui nous gouvernent sont deconnecter de l'algerie et vivent ailleurs et que le peuple est leurs dernier soucis qu'il crève de faim ou de maladie c'est kifkif mais la question qui s'impose c'est est-ce qu'il ya une solution? est-ce que ce pauvre peuple sortira un jour du gouffre? cette jeunesse desesperèe est-ce qu'elle aura un jour d'autre rèves que de se jetter dans les dents de la mort !est-ce une fatalitè ce qui nous arrive? est-ce que nous somme vraiment incapable de changer ce système? et de trouver des gens intègres qui aimerons vraiment l'Algerie et les algeriens.

 

Mille fois d'accord, on a l'impression que ce pays porte en lui une malédiction, et c'est toujours le pauvre qui en paie le prix. Un pays qui traite ainsi sa jeunesse est un pays qui creuse sa propre tombe, mais les responsables n'ont d'yeux que pour leurs propres intérêts...

Une autre question se pose, on dit souvent que les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent; est-ce le cas de l'algérie? que peut faire le peuple pour changer?

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Mille fois d'accord, on a l'impression que ce pays porte en lui une malédiction, et c'est toujours le pauvre qui en paie le prix. Un pays qui traite ainsi sa jeunesse est un pays qui creuse sa propre tombe, mais les responsables n'ont d'yeux que pour leurs propres intérêts...

Une autre question se pose, on dit souvent que les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent; est-ce le cas de l'algérie? que peut faire le peuple pour changer?

Machiavel

il nous reste que l'humour du docteur haouse

qui dit quand vous mourez tout le monde vous aiment bien et c'est tres verifiable

tout les gens mort deviennent des gens bien

 

alors attendons que le notre de president meure piur lui reconnaitre du merite

 

 

ou alors si vous etes malade et que vous soyez condamner là

 

tout le monde vous adore

 

mais quand vous etes en vie

 

vous etes la betes noire du peuple

 

car meme avoir passer une mauvaise nuit

c'est la faute du president

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