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N'OUBLIONS PAS NOS CHOUHIDS EN CE 1er NOVEMBRE 2009


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la corruption est un mal qui ronge l’Algerie depuis longtemps,et seule une vraie démocratie,peut stoper ou au moins réduire ce fléau,Mr. Mouloud HAMROUCHE à l’époque l’a bien compris, il a essayé de mettre, les fondements de celle-ci,

malheureusement, ceux qui nous gouvernent actuellement ont fait barrage,à son investiture, bouteflika avait annoncé en tout haut que 15 généraux corrompus sont à l’origine de toutes les corruptions en Algérie,mais après presque trois mandats,il est toujours un spectateur, entrain de visionner un film qui n’a pas de fin,et lui seul sait q’il n’est là que pour faire de la figuration,qu’on ne dérange pas les corrupteurs,laissez les travailler.

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C’est triste mais en même temps bizare !

chaque fois que l’on aborde un sujet qui exige précision, netteté et clarté, les gens se mettent d’accord pour abandonner la proie pour l’ombre, la cause pour la conséquence, le criminel pour sa trace, etc...

IGNORE -T’ON A CE POINT QUE LE PREMIER CORROMPU EST LE CLAN MAFIEUX au pouvoir,

que les premiers corrompus (par ce clan bien sûr ! )

 

sont ces comités de soutien, ces mercenaires lâchés tous azimuths pour infiltrer les partis politiques, les organisations de masses, les moudjahidines, les syndicats (surtout l’UGTA) la fonction publique, l’armée, le parlement, etc...

 

MORALITE :

 

le pays totalement corrompu, est gouverne par des corrompus, et ce sont des corrompus/corrupteurs qui tiennent tout dans une main de fer.

 

ce n'est LE bREzIDane , l’assassin de la cour des comptes, le premier ministre, le premier assassin des élections honnêtes et transparentes, et le ministre de la justice que vous connaissez qui vont lutter contre ce fléau,

mais LE TOUT PUISSANT ET LE PEUPLE LORSQU’IL SE REVEILLERA UN JOUR IN CHA ALLAH !

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Je souhaite à Mr. Hadjadj longue vie et bonne continuation dans sa noble mission. Je souhaite relever que dans un communiqué dont voici un extrait.

 

Association algérienne de lutte contre la corruption (AACC) Section algérienne de Transparency International E-mail : aaccalgerie@yahoo.fr Tél. 07 71 43 97 08

 

Communiqué

 

Face à l’explosion de la corruption dans un grand nombre de wilayas / La mobilisation citoyenne doit s’intensifier pour combattre le système des « gangsters » autorisés

Alger le 17 mai 2008.

 

¨E-gouvernement. Il est temps que le ministère de l’Intérieur et des collectivités locales mettent en place un site Internet, et que les wilayas fassent de même : des sites de qualité, modernes et actualisés, qui permettent l’accès à l’information.¨

 

Il a été reproché au gouvernement de ne pas avoir mis en place des sites web de qualité à même d’assurer une certaine transparence dans la gestion des affaires publique. Je souhaite appeler Mr. Djillali à faire la même chose au sein même de l’association (Création d’un site web Algérien de l’association pour lutter contre ce fléau). On y gagnera certainement à voir émerger des opinions, des dénonciations, des communiqués, des bilans, des élections au sein de cette associations, des membres affichés, des partenaires (Magistrats, avocats, personnalités publiques), ainsi, on peut en temps réel dénoncer les tracasseries et les intimidations que subissent les membres de cette association. La transparence et la circulation de l’information commence au niveau de cette association même.

 

Mr. Hadjadj, croyez en ma sincérité et en mon admiration pour ce que vous faites. Votre courage est digne d’un CHAOUI, d’un ¨HOMME LIBRE¨ AMAZIGH.

 

Mouloud Ait Ouferoukh

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Savais-tu que ton Mouloud HAMROUCHE n'etait qu'un insignifiant garde de corps du temps du Grand, Majestueux, Révolutionaire, RADJEL Haouari Boumedienne ? Et oui quand le chat n'est plus là les souris dansent !:(

 

Qui sont les plus grands corrompus en Algérie ? A qui appartiennent les grosses fortunes d'aujourd'hui ? A qui sont confiés les titanesques projets ?

Aux arabes ? NON !

Aux mozabites ? NON!

Aux chaouis ? NON !

Aux terguis ? NON !

 

Faites la liste et vous sauriez qui sont ces gens et qui sont-ils !

 

Vous vouliez vous autres cacher le soleil avec un tamis, c'est impossible !

LES ARABES NE SONT PAS DUPES !

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Savais-tu que ton Mouloud HAMROUCHE n'etait qu'un insignifiant garde de corps du temps du Grand, Majestueux, Révolutionaire, RADJEL Haouari Boumedienne ? Et oui quand le chat n'est plus là les souris dansent !:(

 

Qui sont les plus grands corrompus en Algérie ? A qui appartiennent les grosses fortunes d'aujourd'hui ? A qui sont confiés les titanesques projets ?

Aux arabes ? NON !

Aux mozabites ? NON!

Aux chaouis ? NON !

Aux terguis ? NON !

 

Faites la liste et vous sauriez qui sont ces gens et qui sont-ils !

 

Vous vouliez vous autres cacher le soleil avec un tamis, c'est impossible !

LES ARABES NE SONT PAS DUPES !

je ne dis pas bonjour à un chiatt et suffisant en plus !

il n'y a pas de sot metier il n'y a que de sottes gens !

d'une !

d'autre part ! un homme de confiance qui fut dans la garde rapprochée d"'un puisssant chef de junte militaire ne peut etre qu'un homme de la mm trempe et puis mm si on le deteste :

il a dans son actif et son parcours de quoi faire jaloux un imposteur comme ton nabot leon

fils de chahid et moudjahid des sa jeunesse et officier de valeur , ayant gravi les echelons de l'ALN et l'ANP ccomme ton serviteur , un à un sans l'aide de personne excepté le repechage de FEU kasdi merbah .

 

 

SERVIR sa patrie dans n'importe quel poste n'est jamais insignifiant ni degradant !

toi t'as l'habitude de cirer que les grosses pointures des gens sur le podium squatté .

Normal tu ne comprendras que les artifices qui brillent.

ET PUIS LA CORRUPTIONCOURTTJR

AU LIEU DE CITER LA RACE DES GENS riches ,dis nous quia cisailler la cour des comptes et pourquoi ????

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Textes de l’intervention

de Mouloud Hamrouche .

à l’Institut royal d’études internationales et stratégiques, Madrid, le 24 mai 2006

 

texte n:1

 

Est-il nécessaire de rappeler que la démocratie, qui est plus qu’un mode de fonctionnement des pouvoirs publics, permet d’établir des rapports confiants, de réaliser un développement harmonieux et de renforcer la sécurité ? Mais cela reste tributaire de l’indispensable émergence de forces sociales et politiques et de la

 

Malheureusement, cette approche est faiblement partagée par les élites des pays du sud. Mieux, il y a une croyance selon laquelle la sécurité ne peut être assurée et garantie qu’au prix de la limitation, voire la négation de ces libertés et du respect des Droits de l’Homme.

 

Mieux encore, il est clamé qu’une gouvernance autoritaire convient davantage pour mobiliser les potentialités, assurer une stabilité durable et garantir les progrès sociaux économiques. Bien plus, la démocratie est présentée comme le plus court chemin vers l’insécurité et l’instabilité, et une porte grande ouverte sur toutes les dérives. Il est même insinué que c’est l’exercice des libertés démocratique qui engendre des violences et débouche sur les violations des Droits.

 

Or, les sociétés qui connaissent différentes formes de violence sont gouvernées, depuis longtemps, par des régimes autoritaires. Des régimes qui se caractérisent par une absence flagrante de toute régulation économique, sociale et politique, de tout fonctionnement institutionnel du gouvernement, et de tout contrôle légal. Ceci a entraîné, d’ailleurs, une confusion entre l’étatique, le politique, le religieux, l’économique, le social et le culturel. Cette confusion est souvent génératrice de pratiques de passe-droit, de corruption et d’abus de pouvoir. Ce sont ces conditions qui enfantent l’insécurité, créent de l’injustice et génèrent des zones de non droit.

 

Ces maux ne sont pas, comme vous pouvez le constater, des conséquences d’une démocratisation débridée, ou d’un exercice démesuré des libertés

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Textes de l’intervention

de Mouloud Hamrouche .

à l’Institut royal d’études internationales et stratégiques, Madrid, le 24 mai 2006

 

texte n:2

 

Que dire alors de ces gouvernants autoritaires qui se fondent sur leurs propres revers, carences et atrophies pour convoquer l’impératif sécuritaire en promulguant des lois d’exception et en instaurant état d’urgence et état d’exception ? Or, ce type de mesure n’améliore ni la légitimité, ni le contrôle, ni la protection des Droits, ni la légalité. Comme il n’empêche pas l’extension de la violence et des actes terroristes. Mais ces mesures agissent merveilleusement bien sur le maintien de la fermeture du champ politique, de la confiscation des libertés syndicales et de l’éloignement de la transparence.

 

Pour toutes raisons, l’introduction ou la tolérance d’un faux pluralisme, un multipartisme de façade, un syndicalisme maison, un parlement croupion et des fausses élections nourrissent le ressentiment et découragent les citoyens qui oscillent entre résignation et révolte impuissante. Ce schéma du pluralisme altère le message politique et empêche la démocratisation de la société. Car il n’incarne pas une culture d’émancipation de la société. Cette forme de multipartisme ne peut produire des idées ou des solutions, modifier les rapports sociaux ou peser sur les structures sociopolitiques. La société ne se reconnaît plus ni dans la représentation sociale ni dans la représentation politique. Et cela élargit le fossé entre gouvernants et gouvernés, et aggrave le malentendu entre élites et citoyens. Tout cela, enfin, débouche sur une impasse démocratique et sécuritaire

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Textes de l’intervention

de Mouloud Hamrouche .

à l’Institut royal d’études internationales et stratégiques, Madrid, le 24 mai 2006

 

 

texte N:3

S’il est admis qu’il faut du temps pour faire fonctionner une société sur des bases démocratiques, il néanmoins indispensable de commencer par astreindre l’exercice de tout pouvoir à une institutionnalisation, soumettre les hommes et les femmes qui exercent une parcelle de pouvoir à la règle de comptabilité, et le processus décisionnel à concertation. Comme le développement économique a besoin d’infrastructures de base pour s’étendre, l’évolution politique et l’instauration de la démocratie requièrent un cadre institutionnel et des structures sociales pour s’épanoui et se pratiquer.
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A l’issue de son intervention, Mouloud Hamrouche a répondu à une série de questions, dont voici les principaux extraits :

 

A propos de la réconciliation :

Nous avons eu la réconciliation. On demande de se prononcer pour ou contre. C’est précisément le piège, comme si on demandait de choisir entre la démocratie et la sécurité.

 

En Algérie, la réconciliation a consisté à amnistier les gens sans le dire. Oublions ce vous avez fait, oublions ce que nous avons fait. Ouvrons une nouvelle page. C’est le discours de la réconciliation. Mais le problème, c’est qu’on veut ouvrir une nouvelle page avec les mêmes instruments qui ont engendré la crise, alors que nous savons que les mêmes causes produiront les mêmes effets

.
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A l’issue de son intervention, Mouloud Hamrouche a répondu à une série de questions, dont voici les principaux extraits :

 

Sur l’islamisme en Algérie :

 

Vous aurez remarqué que je n’ai pas parlé d’islamisme jusque là. Ce n’est pas un pas oubli.

 

Mais l’islamisme est un faux alibi. Car l’autoritarisme, qu’il prenne la couleur de l’islamisme, du communisme, du nationalisme, est le même. L’alternative islamiste est la même qu’une autre alternative autoritariste portant un autre un habit. Les mécanismes et le fonctionnement sont les mêmes.

 

En fait, il faut déplacer le sujet. Il faut admettre, accepter des règles de fonctionnement. Le gouvernement doit accepter qu’il a un pouvoir, pas tous les pouvoirs, le président a des pouvoirs, pas tous les pouvoirs. Ceci est valable pour toutes les institutions.

 

Avec un tel dispositif, on démocratiser la société.

 

On ne peut certes pas démocratiser la société du jour au lendemain, mais on peut imposer un fonctionnement démocratique du pouvoir en s’imposant des règles, comme le respect du jeu institutionnel et la transparence.

 

Jamais mon gouvernement n’a pris une décision en dehors de la loi. J’ai d’ailleurs été accusé de laxiste parce que j’obligeais les services de sécurité à agir dans le cadre de la loi. J’ai interdit au gouvernement de toucher à l’argent en dehors budget.

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B]A l’issue de son intervention, Mouloud Hamrouche a répondu à une série de questions, dont voici les principaux extraits :[/b]

 

Démocratisation :

 

Construire la démocratie aujourd’hui, c’est convaincre les acteurs politiques et sociaux de la nécessité d’institutionnaliser le pouvoir, de respecter les règles, c’est séparer les pouvoirs et faire en sorte qu’ils ne se diluent pas.

 

Vis-à-vis de la société et des citoyens, c’est un processus long qui demande une représentation politique et sociale réelles. Il faudra peut-être une période d’adaptation pour convaincre les citoyens qu’ils sont dans un véritable processus de démocratisation.

 

Car les élections elles-mêmes en Algérie sont un facteur de déstabilisation et de révolte, car on appelle les Algériens à voter en sachant que leur vote ne compte pas.

 

Tant que les régimes autoritaires demeurent en place, toutes les révoltes apparaîtront sous la bannière ou l’habit de l’islamisme. En tous les cas, les pouvoirs diront que c’est des islamistes qui en sont à l’origine.

 

Il faut sortir de ce piège. Il faut imposer des règles, et définir avec précision les pouvoirs. Si un parti islamiste gagne une élection, il doit se plier aux règles, non les changer.

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A l’issue de son intervention, Mouloud Hamrouche a répondu à une série de questions, dont voici les principaux extraits :

 

Transition :

 

La difficulté, c’est de réaliser un consensus nouveau. Il faut construire, avancer, innover. Il est toujours difficile d’introduire de nouvelles règles, car on s’accommode plus facilement de règles existantes même si elles sont nuisibles.

 

La démocratisation ne peut être l’œuvre d’un despote éclairé, qui agit par décret. C’est une construction longue et complexe.

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Le marché de la corruption en Algérie

 

900 000 tonnes de sucre.

 

Plus que tout autre, les marchés agroalimentaires ont fait la fortune de quelques grands intermédiaires.

Sucre, café, lait, blé, semoule : autant de produits stratégiques qui ont permis aux puissants dignitaires algériens de se payer sur la bête.

 

Pour chacun de ces produits, quelques sociétés françaises monopolisent l'essentiel des commandes : certaines, pour le blé et la semoule, sont désormais sévèrement concurrencées par des sociétés italiennes ou américaines ; une autre, pour le lait, fit l'objet d'un sévère rapport de la cour des comptes du Luxembourg.

 

Un appel d'offre peut bien être lancé à Alger, les jeux sont truqués : aucunes vraie concurrence ne fonctionne, comme l'explique Abderrahim Zerouali dans "Le Drame algérien" en évoquant "les circuits de l'argent noir" :

 

"La source principale de la corruption vient des commissions illégales prélevées sur les flux extérieurs dont la structure est quasi pathologique." Le marché du sucre est exemplaire des errements algériens.

 

Sucrant plus que de raison leurs cafés et leurs pâtisseries, les Algériens en importent-ils jusqu'à 900 000 tonnes, comme le déclarent les chiffres officiels ?

 

La question mérite d'être posée.

 

Une grande part de ce marché est la chasse gardée de quelques intermédiaires.

 

Le drame algérien tient à cette perversion de la rente pétrolière.

 

Contrairement au Maroc et à la Tunisie, les grosses commissions de ces marchés d'import-export sont très peu investies en Algérie.

 

Plus grave, les principaux bénéficiaires de cette manne se sont employés à y empêcher tout investissements industriel qui aurait menacé les importations.

 

Il n'y a jamais eu de véritable délocalisation industrielle européenne comme cela existe pour l'automobile, la construction électrique et le textile en Tunisie ou au Maroc. De telles initiatives, qui auraient menacé la rente des intermédiaire, ont été tuées dans l'oeuf.

 

Depuis octobre 1988, toutes les grandes tentatives de réforme du commerce extérieur ont buté sur la remise en cause de ces privilèges.

 

La première tentative d'assainissement est menée de 1989 à 1991 par le Premier ministre, Mouloud Hamrouche, et son équipe issue d'une jeune génération de technocrates compétents.

 

Leur but est d'établir de nouvelles règles du jeu dans l'attribution des marchés.

 

Au nom du libéralisme et de la concurrence, ces réformateurs luttent contre les monopoles d'importation et tentent de mettre en place un dispositif de partenariat.

 

A ce titre, un certain nombre de sociétés agroalimentaires ont tout fait pour faire échouer l'expérience d'Hamrouche, du fait des bénèfices qu'elles tiraient de l'ancien système.

 

En février 1991, le monopole du commerce extérieur est aboli par ce gouvernement réformateur. En juin de la même année, ce dernier tombe sous les coups conjugués des services spéciaux algériens et d'une partie de l'armée :

"On avait sous estimé le poids de la rente, tous les rouages de l'Etat sont contaminé", admet aujourd'hui l'ancien Premier ministre Mouloud Hamrouche.

 

Une autre démarche, plus dramatique, émane de Mohamed Boudiaf, le successeur de Chadli Bendjedid en janvier 1991, qui lance une campagne souvent maladroite contre la corruption.

 

Une discrète délégation menée par son chef de cabinet tente d'enquêter à Paris sur les frasques de quelques généraux, Six mois après son accssion au pouvoir, ce héros de l'indépendance algérienne, fondateur du FLN, est assassiné en juillet 1992 à la maison de la culture d'Annaba par un militaire, le lieutenant Mbarek Boumaarafi, dans des conditions mal éclaircies.

 

La dernière tentative en date revient à Belaid Abdesselam, chef du gouvernement pendant quinze mois, du milieu de l'année 1992 à la fin de l'année 1993.

 

Pour ce boumediéniste déclaré, la corruption en Algérie n'est possible qu'avec la complicité de l'étranger.

Lors d'une conférence internationale contre la corruption en Allemagne, il prône une coopération entre les Etats à l'image de celle qui existe pour lutter contre le commerce de la drogue. Curieusement, c'est à titre privé qu'il participe à cette réunion.

 

Ce Premier ministre est remercié quelque temps plus tard.

 

Sa volonté de lutter contre la corruption, largement passée sous silence, est certainement déterminante dans son départ.

 

Depuis ces tentatives d'éviction, ces sociétés ont repris pied à Alger.

 

Les régimes passent, les présidents algériens se succèdent, les intermédiaires demeurent entre la France et l'Algérie.

 

"Le monopole du commerce extérieur, poursuit Mouloud Hamrouche, permet des liens opaques au profit de certains opérateurs français et algériens.

 

Ces sociétés-écrans et ces revendeurs ont empêché la vraie France industrielle de s'implanter en Algérie."

 

Les tords sont largement partagés entre Paris et Alger.

 

Ce vaste marché de la corruption n'est possible qu'avec des appuis et des complices à Paris. La France officielle n'a jamais cessé de prendre aux sérieux les plus "entreprenants" des Algériens.

 

 

Nicolas Beau

source extraits "Paris, Capitale, Arabe"

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Savais-tu que ton Mouloud HAMROUCHE n'etait qu'un insignifiant garde de corps du temps du Grand, Majestueux, Révolutionaire, RADJEL Haouari Boumedienne ? Et oui quand le chat n'est plus là les souris dansent !:(

 

Qui sont les plus grands corrompus en Algérie ? A qui appartiennent les grosses fortunes d'aujourd'hui ? A qui sont confiés les titanesques projets ?

Aux arabes ? NON !

Aux mozabites ? NON!

Aux chaouis ? NON !

Aux terguis ? NON !

 

Faites la liste et vous sauriez qui sont ces gens et qui sont-ils !

 

Vous vouliez vous autres cacher le soleil avec un tamis, c'est impossible !

LES ARABES NE SONT PAS DUPES !

 

juste "une petite" correction, M. Hamrouche étais chef de protocole mais pas garde du corps ! et pour votre information il est fils et frère de chahids, et je vous défie de me citer une affaire de pot de vin , ou d'un crime politique ou Hamrouche est mouillé, ce n'est pas pour le défendre mais juste pour établir une vérité.

 

pour les corrompus ils sont ni kabyles ni arabes car l'argent n'a ni de couleur ni d'odeur c juste de gros ventres affamés de pouvoir et d'argent.

concernant les projets titanesques sont confié à SNC Lavalin, Alstom, shlumberger , orascom et les chinois donc le reste ne partage que les miettes.

 

certes les arabes ne sont pas dupes ! mais aveugles murFrape

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Si Boumediene avait eu au moins la culture économique de Mouloud Hamrouche” !

 

Problématique de la société civile en Algérie

Quelques éléments théoriques et historiques

par Lahouari Addi

Professeur de sociologie à l’Institut d’Etudes de Lyon Professeur invité à UCLA, Californie, USA

 

 

 

Lahouari Addi tente, dans ce texte transmis à l’université d’été du CNES, d’aller avec brio au-delà des idées reçues. Pour lui, la crise algérienne n’est pas seulement une crise du système.

Elle est autrement plus vaste.

 

L’enseignant universitaire est devenu en quelques années un employé paupérisé, alors qu’ailleurs, aux USA, en Europe, au Japon, il est une autorité sociale.

 

En Algérie, c’est à peine un petit fonctionnaire luttant pour survivre dans une société où il n’est plus un modèle pour les jeunes, dans une société où l’échelle de valeurs a été bouleversée.

c’est un thème d’actualité et extrêmement opportun pour une réflexion globale sur la situation du pays, en considérant les transformations socio-historiques des cinquante dernières années et en pensant à l’avenir prévisible.

La réussite (ou l’échec) de notre pays à construire la modernité sera évaluée sur le critère d’élaboration de la société civile. Une telle affirmation, lourde de sens, nécessite une approche théorique qui mobilisera l’histoire, la sociologie, l’anthropologie, l’économie politique et la philosophie.

 

LA CRISE DE LA SOCIETE ALGERIENNE

 

Auparavant, je voudrais faire une remarque d’ordre méthodologique relative au ton critique que je vais utiliser par rapport à l’expérience algérienne.

 

La sociologie est une science critique et, à ce titre, sa vocation est de faire prendre conscience du caractère social des institutions et des représentations, surtout lorsqu’elles se cristallisent, s’ossifient et perdent leur vitalité et leur pertinence.

 

A cet effet, critiquer l’archaïsme de la société algérienne, ce n’est pas dénigrer les Algériens, mais plutôt attirer l’attention sur des schémas culturels hérités du passé et ne véhiculant plus l’humanisme qui était le leur à une époque où ils étaient en harmonie avec l’environnement.

Chacun de nous, pauvre ou riche, exprime un malaise, en ayant le sentiment que la « vie normale » se déroule ailleurs.

Cet ailleurs mythique, source de frustrations individuelles et collectives, est l’expression de notre incapacité à nous organiser pour profiter des vastes potentialités humaines et naturelles du pays.

L’Algérien vit un malaise profond, dont les causes sont objectives, renvoyant à la crise profonde et globale du lien social, perceptible dans la violence politique, et aussi dans les formes brutales des rapports entre individus dans la rue, dans l’entreprise, entre fonctionnaires et administrés, dans les familles, entre frères, entre frères et soeurs, bref une crise dont l’origine est à rechercher dans la formation des classes sociales et la naissance de l’individu par les valeurs morales, le sens de l’honneur, le nif, etc.

 

Aujourd’hui, l’échange monétaire, l’urbanisation et le salariat ont libéré les logiques de l’intérêt individuel.

 

Dès lors que les conditions de l’auto-subsistance ont été détruites, les individus se procurent la subsistance en dehors des espaces domestiques, dans un contexte de rareté de biens fournis essentiellement par le marché mondial.

 

Interface entre les familles algériennes et le marché international, l’Etat est pris d’assaut par les réseaux de corruption que favorise la structure néo-patrimoniale du régime dans laquelle des castes sont au-dessus des lois.

 

Détenir une position dans l’appareil de l’Etat, particulièrement dans l’armée, la douane ou le service des impôts, c’est s’assurer une place stratégique dans le mécanisme de l’économie de rente.

 

La corruption n’est pas propre à la culture algérienne; elle est une tendance naturelle dans les sociétés individualistes, que la modernité a neutralisée par l’autonomie de la justice et la liberté de la presse.

 

Dans l’économie rentière, ce qui est consommé par une famille est retiré à une autre, selon le modèle du jeu à somme nulle.

 

C’est ce qui explique la corruption à tous les niveaux de l’Etat et aussi la dureté des rapports dans la vie quotidienne marqués par la jalousie, avec ce sentiment que le voisin ou le collègue de travail a pris la part qui ne lui était pas due.

 

Dépendantes de l’Etat, à travers les prix des biens alimentaires importés, les couches sociales pauvres se mettent à rêver d’un Prince juste qui limitera les libertés pour donner équitablement à chacun sa part.

 

Après leur défaite politique, les islamistes ont compris que l’argent est aussi important que le pouvoir d’Etat.

Ils se sont lancés dans le commerce pour accumuler des richesses qui leur permettront à terme de s’imposer à l’Etat.En 1962, le régime avait fondé sa légitimité sur la promesse de réaliser l’idéal du mouvement national d’une société moderne et d’un Etat juste et humain.

 

Nationaliste et autoritaire, Boumédiène avait un projet destiné à l’échec.

Il rêvait d’une Algérie industrialisée avec des rapports d’autorité d’un autre âge.

 

 

 

 

Le projet de Boumédiène était une synthèse de traditionalisme utopique, de nationalisme exclusif, de discours socialiste et de naïveté anthropologique.

Boumédiène était un militant sincère, un meneur d’hommes, mais comme tous les dirigeants arabes, il n’avait aucune perspective historique.

 

S’il avait eu au moins la culture économique de Mouloud Hamrouche, l’Algérie ne serait pas dans la situation précaire où elle est aujourd’hui.

 

A sa mort, l’Armée n’avait plus de projet populaire et populiste, mais elle n’avait pas pour autant renoncé au contrôle de l’appareil d’Etat, tout en cherchant cette fois à éviter un Président charismatique.

 

Depuis la disparition de Boumédiène, la direction politique de l’Etat est sortie des institutions pour se loger dans des centres de pouvoir invisibles.

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juste "une petite" correction, M. Hamrouche étais chef de protocole mais pas garde du corps ! et pour votre information il est fils et frère de chahids, et je vous défie de me citer une affaire de pot de vin , ou d'un crime politique ou Hamrouche est mouillé, ce n'est pas pour le défendre mais juste pour établir une vérité.

 

pour les corrompus ils sont ni kabyles ni arabes car l'argent n'a ni de couleur ni d'odeur c juste de gros ventres affamés de pouvoir et d'argent.

concernant les projets titanesques sont confié à SNC Lavalin, Alstom, shlumberger , orascom et les chinois donc le reste ne partage que les miettes.

 

certes les arabes ne sont pas dupes ! mais aveugles murFrape

 

merci monsieur pour mouloud hamrouche et pour moi qui fut son humble subordonné .

 

Je VOUS rejont MONSIEUR pour dire que l’image populaire et simpliste de porteur de parapluie cache le vrai débat sur les réformes apportés en 21 mois(!!) par Hamrouche, l’homme qui pensait pouvoir réformer le système de l’intérieur, l’homme qui disait le dialogue avant tout, l’homme qui a démissionné lorsque l’armée est sortie de ses casernes sans l’ordre du président ! l’armée hors la loi.

Hamrouche est le seul politique à s’être réelement opposé à l’armée au nom de la démocratie.

 

 

Le plus grand réformateur de l’Algérie, le seul d’ailleurs a été Mouloud Hamrouche.

 

Liberté syndicale, liberté d’expression, liberté de culte, restitution des terres nationalisée, ouverture du marché, libéralisation de l’économie. Les plus grands chantiers ont été ouvert par Hamrouche. De plus, l’homme a prouvé qu’il était un véritable démocrate et un homme de responsabilité pendant la crise du FIS.

Il faut rendre a césar ce qui appartient a césar, et que la pensée ne s’arrête pas à un parapluie!

 

Cher MONSIEUR , si l’Algérie a été conduite par le porteur de parapluie,il nous aurait épargné à la limite de se “mouiller”éviter de se noyer et compter sur nous pour ne pas sombrer dans la tempête (on aurait appris la nage libre pour nous préparer aux vrais compétitions non pour échapper à la noyade (harragas).

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juste "une petite" correction, M. Hamrouche étais chef de protocole mais pas garde du corps ! et pour votre information il est fils et frère de chahids,

certes les arabes ne sont pas dupes ! mais aveugles murFrape

 

:mdr:Erreur, le chef de Protocole de Boumedienne était (le marhoum) ALLAHOUM Abdelmadjid ( l'officier saincyrien qui avait rejoint le maquis durant la guerre de libération avec son frère Mohamed Allah yarahmou qui était aussi saincyrien)...Les deux frères étaient des colonels de l'ANP, l'un était directeur de protocole du président et l'autre le patron de la brigade blindée.

 

A cet époque ton hamrouche n'était qu'un élément de la DSPP et que ALLAHOUM lui avait fait gravir les échelons pour devenir commandant.

 

Je n'ai rien contre lui, mais je dis qu'il peut être tout sauf un politicien ou un diplomate!

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:mdr:Erreur, le chef de Protocole de Boumedienne était (le marhoum) ALLAHOUM Abdelmadjid ( l'officier saincyrien qui avait rejoint le maquis durant la guerre de libération avec son frère Mohamed Allah yarahmou qui était aussi saincyrien)...Les deux frères étaient des colonels de l'ANP, l'un était directeur de protocole du président et l'autre le patron de la brigade blindée.

 

A cet époque ton hamrouche n'était qu'un élément de la DSPP et que ALLAHOUM lui avait fait gravir les échelons pour devenir commandant.

 

Je n'ai rien contre lui, mais je dis qu'il peut être tout sauf un politicien ou un diplomate!

 

le premier allahoum etait un brave patriote

mais le second colonel ne fut qu'un chef de caserne à sidi bel abbes et c'est un corrompu avec le cousin de boukharouba , l'ex wali siridi qui vivait DANS l'ombre de son frere .

A CETTE EPOQUE LA DSPP n'existait pas

et le lieutenant colonel Mouloud hamrouche et si abdelmadjid allah yarhamou emargeaient tous à la SM ET C'EST kASDDI MERBAH qui permis l'acsencion à ces militaires et patriotes .

EN TT LES CAS TOUS DETESTAIENT TON NABOT LEON

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le premier allahoum etait un brave patriote

mais le second colonel ne fut qu'un chef de caserne à sidi bel abbes et c'est un corrompu avec le cousin de boukharouba , l'ex wali siridi qui vivait DANS l'ombre de son frere .

A CETTE EPOQUE LA DSPP n'existait pas

et le lieutenant colonel Mouloud hamrouche et si abdelmadjid allah yarhamou emargeaient tous à la SM ET C'EST kASDDI MERBAH qui permis l'acsencion à ces militaires et patriotes .

EN TT LES CAS TOUS DETESTAIENT TON NABOT LEON

 

Non berbéros, KASDI Merbah était patron de la Sécurité Militaire et n'avait rien à voir avec le Colonel Si Abdelmadjid ALLAHOUM qui était le Chef de Protocole et l'ami de Boumedienne.

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Non berbéros, KASDI Merbah était patron de la Sécurité Militaire et n'avait rien à voir avec le Colonel Si Abdelmadjid ALLAHOUM qui était le Chef de Protocole et l'ami de Boumedienne.

 

Tout le monde est "berberos" il t'a traumatisé celui la on dirait :mdr:

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Tout le monde est "berberos" il t'a traumatisé celui la on dirait :mdr:

tkt tassawirt ! je ne fais que le remettre à sa vraie place de chakam

 

je ne dis pas bonjour à un lache !

et puis je suis jilla

pas berberos

que je sais que c'est un bon forumeur puisque il t'es resté à la gorge !

d'une !

et d'autre part :

voiçi pour lui !

 

Les peureux excellent dans la chitta !

 

Les peureux sont tous castrés.

Ils excellent dans la chkima .

Ils ne sont, que la main qui fait taire, qui coupe, qui déchire, qui torture et qui tue. Ils utilisent des commanditaires.

 

ils se cachent, ils n’affrontent pas à visage découvert ceux qui leur apportent la contradiction, ceux qui dévoilent leurs manigances et leurs incompétences, ceux qui s’opposent à leur hégémonie et leur oeuvre des destruction, ceux qui refusent la soumission et ceux qui défendent en risquant leurs vies pour leur dignité, leur liberté et celles de leur pays et de son peuple.

 

La lâcheté est le trait essentiel de leur caractère.

Ils aiment le pouvoir, ils l’obtiennent en utilisant des actes d’une lacheté inimaginable et une fois qu’ils sont sur le trône, au lieu de démontrer qu’ils y sont capables, ils passent leur temps à surveiller toute idée qui peut détruire leurs idées et à tuer tout homme qui dévoile leur vraie nature.

 

Une nature hideuse, haineuse, envieuse, perverse, voleuse, criminelle, orgueilleuse et violente.

 

La nature de leurs maitres qui nous gouvernent depuis si longtemps et qui nous racontent des histoires à dormir débout.

Ils n’ont plus rien à cacher.

Leur toile est visible à l’oeil nu.

Que voyons nous quand nous regardons le site qu’il gère d’une main de fer, de sang et vol: une Algérie déchirée, malheureuse, misérable, sans repères et sans dignité.

 

 

Ils ont entassé dans une fosse perdu notre histoire, nos artistes, nos écrivains, nos martyrs, nos journalistes et cadres les plus valeureux et les plus sincères, notre identité millénaire, la religion et les valeurs ancestrales d’une majorité d’Algérien, nos décors et nos sites les plus splendides, nos universités et nos hôpitaux qui formaient, jadis, des étudiants qui venaient de tout le continent Africain, notre armée qu’ils ont rendu une arme dirigé contre les meilleurs des enfants de notre pays ou vers les plus faibles les plus misérables et les plus innocents, les milliers d’Algériens et d’Algériennes assassinés ou disparus d’une façon barbare (décennie noire, octobre 88, assassinats pédagogiques, printemps 2001…), les livres qui éveillent les consciences…

 

Et, ils ont mis en valeur à coup de milliards de dollars: l’impunité pour les criminels notoires et dangereux, l’injustice de la justice, la prostitution, l’alcoolisme et la drogue, l’exil des forces vives, la harraga, la hogra, les slogans qui véhiculent la rumeur, les fausses promesses, le mensonge, la fraude et l’hypocrisie, la haine et la méfiance entre frères et soeurs, la corruption à grande échelle, le banditisme, la manipulation, la censure, le harcèlement, l’infiltration des partis politique qui veulent rester indépendants, l’ignorance, la misère, la servitude et le terrorisme qui justifie l’état d’urgence, le verrouillage de médias, la restriction des libertés politiques, syndicales, sociales et d’expression et le renforcement de l’état policier pour protéger les suceurs de nos richesses et les destructeurs de notre indépendance économique.

 

Leur capacité de nuisance est toujours intacte, ils peuvent sévir encore plus sévèrement qu’ils l’avaient fait, jusqu’à présent car le peuple Algérien n’est pas encore uni derrière des hommes et des femmes de toutes tendances qui décideront de mettre de côté leurs querelles infantiles et leurs divergences futiles pour mettre en place des actions de lutte et de combat dont l’objectif sera: L’Algérie avant tout.

 

Si cette union juste, sincère et au service de l’intérêt général naisse un jour, alors, la peur changera de camp.

 

La terreur grondera d’en bas et détruira celle qui descend d’en haut depuis si longtemps.

 

De toutes les façons, rien, n’arrêtera la justice populaire, ce n’est qu’une question de temps.

 

La vérité triomphera, un jour ou l’autre, même s’ils tueront tous les Algériens et toutes les Algériennes car la vérité est souveraine sur terre et dans l’au delà.

 

avec rancune .

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Tout le monde est "berberos" il t'a traumatisé celui la on dirait :mdr:

Non "berbéros" je ne suis pas berbère mais ALGERIEN ! Les berbères ont disparus depuis belle lurette ,il y a de cela plus de 2000 ans. Depuis ce ne furent que des étrangers qui avaient gouverné cette portion d'Afrique du Nord. Pour te dire donne moi un seul édifice ou monument construit par les anciens berbères ? un seul !

 

A part Cartage qui a connu une certaine période de "civilisation" avec Annibal puis plus rien !

 

Allez raconter vos sorniettes à ceux qui ne vous connaissent pas ; C'est grace à l'Islam que vous aviez eu une certaine notoirité !

 

Vous n'aviez jamais été indépendant ni eu un Etat? Massinissa, Djughurta, étaient ce qu'on appelle aujourd'hui des "CHAOUIS" et non des kabyles. Et un Kabyle ne peut être un Chaoui ou un Mozabite !

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Les insultes c'est la réponse des frustrés et des faibles dans tous les sens du mot...

moi en tant qu'ARABE je suis un seigneur et un conquérant respecté...La preuve est que je suis là....depuis des dizaines de siécles.

Chez nous les arabes d'algérie dont le gène n'a subit aucune modification, nous méprisons les pervers et les toutes les "actions contre-nature"...verils, courageux, beaux, gentilhommes, galants, éduqués, pieux, tolérants, polis, instruits...nos caravanes ne s'arrêtent point quans les chiens aboient !

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