Jump to content

N'OUBLIONS PAS NOS CHOUHIDS EN CE 1er NOVEMBRE 2009


Recommended Posts

quand à moi ?

J4EN AI FINI AVEC EUX

JE ME RETOURNE COMME SI TAYEB EL WATANI VERS LES VRAIS TANGOS TAPIS DANS L'ADMINISTRATION L'ARMEE ET LES PARTIS DE LA RECONCILIATION

Ton conseil tu pe le mettre ou je pense !

je n'ai rien à cirer !!! tt le monde connait tt le monde et toi en premier je viendrais un jour à djelfa et je le dirais en face ya chiatte

en attendant préparez vous au boummmmmmmmmmmm de la jeunesse qui vous éparpilleras à jamais !

hahahahahahahahahahaha

ya karfaaaaaaaaaaaa

 

D'abord s'il y a un boummmmm ça ne sera que ton rectum qui le produira !:mdr:

Quant à venir à "djelfa" tu trouveras certains restes de belounistes et des ex-harkis qui surement t'acceuilleront à bras ouverts!

Pour BOUDIAF allah yrahmou, bien qu'il fut parmi les 22 qui déclenchèrent la révolution un certain 1ér novembre 1954 et qu'il fut un grand nationaliste, il faut dire qu'il n'a pas tiré un seul coup de feu durant la guerre de libération et qu'il fut désigné par "un clan" pour occuper le poste de président. Il ne faut pas aussi omettre d'avouer que ce grand homme a fermé les yeux sur les agissements criminels de ses amis les marocains au sahara Occidental !

Donc , arrétez de nous casser les oreilles sur Ait Ahmed, Ben Bella, Boudiaf...Ils passèrent les sept années et demi de guerre dans des chateaux avec journaux et radio...et avec tout le confort d'un "hôtel 5 étoiles"...Alors que des Aùmirouche, des Si Haouès, des Zabana, des Taleb, des Didouche, des Benm'hidi, des Hassibas, des Zirout, etc...se faisaient masscrer dans les djebels.

Link to post
Share on other sites
  • Réponses 259
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Donc , arrétez de nous casser les oreilles sur Ait Ahmed, Ben Bella, Boudiaf..

 

 

Ils passèrent les sept années et demi de guerre dans des chateaux avec journaux et radio...et avec tout le confort d'un "hôtel 5 étoiles"...Alors que des Aùmirouche, des Si Haouès, des Zabana, des Taleb, des Didouche, des Benm'hidi, des Hassibas, des Zirout, etc...se faisaient masscrer dans les djebels.

 

et tu oublie le nabot leon qui a fait la campagne des bars de tanger de 1958

à 1962 .

Link to post
Share on other sites
et tu oublie le nabot leon qui a fait la campagne des bars de tanger de 1958

à 1962 .

 

Non ex-berbéros", Bouteflika était le plus jeune commandant de la Glorieuse ALN et ce grade il l'avait merité pour sa bravoure et son attachement à la guerre de libération nationale...Pendant que ton Ait Ahmed se paravanait dans son chateau en France, le Commandant Bouteflika était chargé de convoyer les armes et les munitions à travers les plus inhospitaliers et dangeureux déserts du monde...Cette reconnaissance de la part de la part des grands Dirigeants de la Guerre de Libération , lui a valu d'être ministre à 23 ans et d'être gardé par tous les Présidents qui se sont succédés.

 

Les énergumènes de ton genre qui ne l'aiment pas c'est parceque lui IL CONNAIT LA VRAIE HISTOIRE DE L'ALGERIE ET CONNAIT QUI SONT LES VRAIS MOUDJAHIDDINES QUI AVAIENT COMBATTU AVEC LUI !

Link to post
Share on other sites

 

Non ex-berbéros", Bouteflika était le plus jeune commandant de la Glorieuse ALN et ce grade il l'avait merité pour sa bravoure et son attachement à la guerre de libération nationale...

Pendant que ton Ait Ahmed se paravanait dans son chateau en France, le Commandant Bouteflika était chargé de convoyer les armes et les munitions à travers les plus inhospitaliers et dangeureux déserts du monde..

 

.Cette reconnaissance de la part de la part des grands Dirigeants de la Guerre de Libération , lui a valu d'être ministre à 23 ans et d'être gardé par tous les Présidents qui se sont succédés.

 

Les énergumènes de ton genre qui ne l'aiment pas c'est parceque lui IL CONNAIT LA VRAIE HISTOIRE DE L'ALGERIE ET CONNAIT QUI SONT LES VRAIS MOUDJAHIDDINES QUI AVAIENT COMBATTU AVEC LUI !

 

wawwwwwwww

encore une couleuvre à avaler les jeunes !!

plus c'est gros ; plus çà passe !!!

 

je te defie de me citer un desert

ne me dit pas que c'est celui de gobi ????

povre safaillliii

 

ton nabot leon a eu son grade pour ses entremises des cabarets à l'etat major !

alles cite moi un grand qui le reconnait

ne me cite pas benouada le faux chevalier qui a pleuré comme une fillette .

 

POUR TA GOUVERNE

AIT AHMED et ben bella FUrent MEMBREs DE L'ETAT MAJOR DE L'os avant que le hammam d'oujda reçoit les gars de ghardimaou ....

Link to post
Share on other sites

POUR TA GOUVERNE

AIT AHMED et ben bella FUrent MEMBREs DE L'ETAT MAJOR DE L'os avant que le hammam d'oujda reçoit les gars de ghardimaou ....

:mdr::jester::mdr:

Pourquoi ton Aït Ahmed a été chassé de l'OS ?

Quant à Ben Bella ce n'est qu'un ex sergent de l'armée française, dont le seul acte guerrier fut celui d'avoir eu une mission de faire un casse à la poste d'oran, mais...à la derniére minute il se dégonffla...:mdr:

Link to post
Share on other sites
:mdr::jester::mdr:

Pourquoi ton Aït Ahmed a été chassé de l'OS ?

Quant à Ben Bella ce n'est qu'un ex sergent de l'armée française, dont le seul acte guerrier fut celui d'avoir eu une mission de faire un casse à la poste d'oran, mais...à la derniére minute il se dégonffla...:mdr:

 

 

TU MENS IMPERTINEMENT !

pour quelle raison je ne sais pas ???

EN TT LES CAS

TON BOUHEF etaitjuste une petite frappe sous les jupes de sa mere à cette epoque .

TU OUBLIE LA CAMPAGNE D ITALIE POUR LE BEN BELLA ET BANDONG POUR AIT

T'ES UN REVISIONISTE a la solde de bouhef

efface efface il reste tjr qq chose

Link to post
Share on other sites

malgré que je ne le porte pas dans mon coeur

mais il faut dire la verté !!!

 

bb.gif

 

Si Ahmed

la biographie autorisée

 

- né le 5 juillet 1918 à Maghnia en Algérie près de la frontière algéro-marocaine.

- études secondaires à Tlemcen.

- adhère au Parti du Peuple Algérien (P.P.A.) vers 1937.

- campagnes militaires en France et en Italie lors de la seconde guerre mondiale. Était à Cassino, libération de Rome-Cassino-Sienne.

- responsable de l'Organisation Spéciale du P.P.A. en 1949.

- arrestation en 1950. Prison de Blida.

- évasion de la prison de Blida en 1952.

- l'un des dirigeants de la Révolution Algérienne de 1954 à 1962.

- arrestation avec cinq autres dirigeants lors d'un détournement d'avion le 22 octobre 1956.

- libéré le 19 mars 1962.

- Président du Conseil des ministres en 1962.

- Président de la République en 1963.

- arrestation lors du coup d'État militaire en juin 1965.

- mis en résidence surveillée à M'sila en 1979.

- libéré en 1981.

- Président de la Commission Islamique Internationale des Droits de l'Homme en 1981.

- milite en faveur de la reconnaissance des Droits des peuples Amérindiens auprès de diverses instances internationales.

- crée le Mouvement pour la Démocratie en Algérie (M.D.A.) en exil en 1982.

- rentre d'exil en Algérie en septembre 1990.

- opposant au régime militaire qui dirige l'Algérie.

- milite pour la levée des Embargos contre l'Irak, la Libye et Cuba.

- milite pour une solution de dialogue politique en Algérie. Signataire de la plate-forme politique de Rome (janvier 1995).

 

Ahmed Ben Bella est une des hautes figures du nationalisme arabe. Fils de paysans marocains ayant émigré près de la frontière algéro-marocaine de Oujda, cet homme connut un destin remarquable qui le fit se distinguer par deux fois durant la seconde guerre mondiale, puis sur le terrain nationaliste du Maghreb et enfin sur la scène politique du Tiers monde. Ayant connu les plus grands de ce monde ( Kennedy, Kroutchev, De Gaulle, Mao, Tito, Fidel Castro, Che Guevara, etc.), il fut l'ami de Nasser avec qui l'alliance scellée en 1956 permit la percée décisive du mouvement nationaliste algérien. Il fut également un des plus célèbres prisonniers politiques; à l'instar de Mandela, Ben Bella vécut en prison 23 années de sa vie, ce qui lui donna malgré tout une vision lucide et profonde de l'ordre mondial et des relations Nord-Sud.

 

Après la prison, Ben Bella connut l'exil, et n'eut de cesse de réfléchir:

 

mais celui qui se distingua à Monte Cassino, puis défia la France les armes à la main jusqu'à la libération de son pays après 132 années de colonialisme, ne se considère toutefois pas comme un théoricien, mais comme un homme d'action, qui, une fois engagé, est prêt à payer chèrement le prix de ses idées.

 

par Charles-Henri Favrod

Link to post
Share on other sites
TU MENS IMPERTINEMENT !

pour quelle raison je ne sais pas ???

EN TT LES CAS

TON BOUHEF etaitjuste une petite frappe sous les jupes de sa mere à cette epoque .

TU OUBLIE LA CAMPAGNE D ITALIE POUR LE BEN BELLA ET BANDONG POUR AIT

T'ES UN REVISIONISTE a la solde de bouhef

efface efface il reste tjr qq chose

 

Ces deux "historiques" de tes héros étaient faits pour servir la France occupée par les nazis !

Pourquoi n'avaient-ils pas reéditer de tels faits de guerre pour leur pays en faisant "LA CAMPAGNE DE MERS EL KEBBIR" pour Ben Bella et 3DJURDJURA " pour Ait Ahmed le suisse entretenue par une pension de président émanant du Trésor public du Peiple Algérien!:nopity::music_whistling::woot_jump:

Link to post
Share on other sites
ben bella , et les generaux sont des anciens de l'armée française voila ceux qui ont gouverné et ceux qui gouvernent encore l'Algérie

 

 

DES HARKIS

 

non tassawirt !!

avant on etait tous francais musulmans sous la colonisation bessif

et ce n'est qu'aprés avoir repondu à l'appel de novembre que ces gens ont se distingués en vrais nationalistes en combattant les roumis par les armes

les harkis sont ceux persisterent et resterent avec la france et certains ont quitté leur pâtrie pour s'exiler avec l'ennemi

 

donc il ne faut pas meler l'ivraie avec le bon grain

Link to post
Share on other sites

voiçi pour da hocine que je respecte et ne soutient pas pour son silence et son inertie contre les pouvoirs respectififs depuis l'independance

il aurait du les griller partout en les denoncanjt ou bien en continuant son combat armé contre ces dictatures

bokou de ses militants sont morts les armes a la main

j'ai combattu son maquis à boudjima un certain temps

dommage !!!

 

mais ce n'est pas une raison de falsifier son parcours !

 

ait-ahmed1.jpg

Ait Ahmed Hocine :un révolutionnaire , et homme respectable

 

 

Hocine Aït Ahmed est un homme politique algérien né le 20 août 1926 à Ain El Hamam en Kabylie.

 

Docteur en droit, il est l'un des principaux chefs du Front de libération nationale (FLN).

Aït Ahmed démissionne du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) et de tous les organismes du nouveau pouvoir la crise de l'été 1962.

 

En septembre 1963 il fonde le Front des forces socialistes (FFS) qui réclame le pluralisme politique face au verrouillage de la vie politique imposé par le système du Parti unique.

 

Arrêté et condamné à mort en 1964, il s'évade de la prison d'El Harrach en mai 1966. Exilé en Suisse, il rentre en Algérie après les émeutes de 1988 mais quitte de nouveau son pays après l'assassinat de Mohamed Boudiaf en 1992.

 

Il reviendra à plusieurs reprises en Algérie, notamment à l'occasion du 50e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération (1er novembre 1954).

À 16 ans, encore lycéen, il adhère au Parti du peuple algérien (PPA). Il devient, rapidement, le plus jeune membre du Comité central auquel il présente, en 1948, un rapport décisif sur les formes et la stratégie de la lutte armée pour l’indépendance.

 

lors du congrès clandestin du PPA tenu à Belcourt en 1947, il avait déjà préconisé la création d'une Organisation spéciale (OS) chargée de la formation des cadres militaires et de la mise en place d’un dispositif clandestin pour initier et développer la lutte armée.

 

Désigné par le Comité central du PPA au Bureau politique, il se voit confié la direction de l'OS, en remplacement de Mohamed Belouizad, atteint de tuberculose. Durant deux ans, il a mis en place - à l’échelle nationale - les structures pour la formation politiquue et militaire pour mener à bien la guerre de libération.

 

C’est dans ce contexte qu’il organise le hold-up de la poste d’Oran, qui permit, en mars 1949, de s’emparer d’une importante somme d’argent, sans effusion de sang.

L’aile ‘légaliste’ des instances dirigeantes du PPA-MTLD (Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques), exclut pour « berbérisme » Aït Ahmed et porte Ahmed Ben Bella à la tête de l’OS, dont il était le responsable en Oranie.

 

La découverte de l'OS par les services de renseignement français précipite la dissolution de l'OS.

Le 1er mai 1952 Aït Ahmed s'installe au Caire.

 

Recherché par les autorités françaises, il est désigné membre de la délégation du PPA-MTLD, en exil au Caire. Aït Ahmed insiste sur l'importance de la diplomatie pour donner une visibilité politique au plan international du mouvement e libération.

 

Il assiste à la première Conférence des partis socialistes asiatiques, réunie en janvier 1953 à Rangoon en Birmanie.

 

L’une des premières résolutions adoptée par cette organisation d'inspiration marxiste consiste à soutenir la lutte de libération du Maghreb.

La Conférence met en place un bureau anti-colonial dont le rôle, notamment, est de suivre les luttes anti-coloniales auprès de l'Organisation des Nations unies (ONU).

 

Aït Ahmed se rend au Pakistan, en Inde et en Indonésie pour créer des Comités de soutien à la cause de l'indépendance algérienne.

 

 

En avril 1955, il dirige la délégation algérienne à la Conférence de Bandung.

 

Les résolutions prises par cette Conférence en faveur du droit à l’autodétermination et à l’indépendance des trois pays du Maghreb ont été préparées par les trois partis nationalistes (Tunisie, Maroc, Algérie) qui ont su mener une action commune sur la base d’un ‘Mémorandum Maghrébin’.

En avril 1956, il ouvre et dirige le bureau de la délégation du FLN à New York.

 

En septembre 1955, le problème algérien est inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée générale de l'ONU.

 

Ce qui provoque le retrait retentissant de la délégation française, présidée par le Premier ministre Antoine Pinay.

 

En octobre 1956, Aït Ahmed est arrêté par les autorités française, en compagnie de Mohamed Boudiaf, Mohamed Khider, Ahmed Ben Bella et Mostefa Lacheref, dans l’avion qui les conduisait du Maroc à Tunis où devait se tenir une Conférence maghrébine de la Paix.

Tout au long de sa détention, Aït Ahmed communique avec les dirigeants du FLN-ALN

 

(Armée de Libération Nationale)

(voir “La guerre et l’après guerre”, éditions de Minuit, 1963, Paris).

Link to post
Share on other sites

suite !!parcours ait ahmed hocine

 

 

Dans la plus importante de ces communications, Aït Ahmed en appelle avec urgence à la création d’un Gouvernement provisoire en exil.

 

Il considère que cette initiative peut contribuer à résorber la crise interne suscitée par des responsables qui s’opposent au Congrès de la Soummam, (tenu en août 1956) et préparent un congrès antagoniste.

 

Membre du Conseil National de la Révolution algérienne (CNRA) et du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), Hocine Aït Ahmed, dès sa libération, en 1962, prend une position ferme contre la violence de l’Etat-major des frontières. Il met en garde les notables politiques contre un processus de crise qui risque de dégénérer en guerre civile .

Il dénonce le groupe de Tlemcen et le groupe Tizi-Ouzou. Il appelle les forces d’avant-gardes – femmes, syndicats, étudiants etc. –

 

pour faire barrage aux affrontements autodestructeurs. Les grandes manifestations populaires au cri de «Sbaa snin barakat!» (Sept ans cela suffit !) avaient pu interrompre momentanément ces violences.

 

Elu membre de l’Assemblée nationale constituante (ANC) -

sur une liste unique de candidats dont il dénonce le principe -, il accepte néanmoins d’y siéger pour un double objectif.

 

Premièrement s’efforcer d’initier à partir de cette institution une vie politique avec des débats publiques en y associant la société.

 

Deuxièmement veiller à ce que la commission chargée d’élaborer la constitution au sein de l’ANC termine son projet de constitution et le soumette aux débats libres et démocratiques des « élus » de la nation. Il fallait que l’ANC adopte la projet de constitution dans les délais légaux afin de le soumettre au corps électoral par voie référendaire.

 

Le FLN refusant la démocratisation, Ferhat Abbas, président de l'Assemblée Constituante baffouée, démissionne.

 

Plusieurs députés suivent son exemple dont Aït Ahmed qui fonde alors, en septembre 1963, le Front des forces socialistes (FFS).

La répression du FLN s’abat sur la Kabylie et présente le FFS comme un mouvement séparatiste.

Alors que des violences de l'armée contre la population civil se poursuivent, des maquis de résistance s'organisent. Les tentatives de consiliation du FFS échouent ne permettant pas d'éviter la poursuite des massacres et l'installation de la dictature. Arrêté en octobre 1964, Aït Ahmed est condamné à mort, puis gracié. Il est mis en prison à Lambèse.

Voulant écarter Houari Boumediene, le Président Ahmed Ben Bella prétend vouloir s’ouvrir à la société et entrer dans un processus de négociation avec le FFS. Suite à des négociations menées à l’étranger, le FLN (Parti unique) et le FFS parviennent à un accord, qui sera rendu public par la presse nationale le 16 juin 1965.

Trois jours plus tard (le 19 juin 1965), le coup d’Etat, perpétré par Houari Boumediene met fin aux espoirs de voir le pluralisme et la démocratie d'instaurer en Algérie.

Le 1er mai 1966, Aït Ahmed s’évade de la prison d’El Harrach, et se réfugie en Suisse. Il n'a de cesse de militer pour la promotion et la défense des droits de l’homme et pour l’unité du Maghreb.

Il obtient sa licence en droit à Lausanne en Suisse. Puis, il soutient une thèse de doctorat, à Nancy, en 1975, sur «Les droits de l’homme dans la Charte et la pratique de l’OUA».

À l’occasion du «Printemps berbère» (1980), il joue avec le FFS un rôle modérateur d'encadrement politique des militants afin d’empêcher l’irruption de la violence et inscrire la revendications linguistique et culturelle dans l’exigence du pluralisme politique au niveau national.

Le 16 décembre 1985 il lance avec Ahmed Ben Bella un appel au peuple algérien pour l’instauration de la démocratie et le respect des droits de l’homme est lancé depuis Londres. Les deux anciens du FLN font de la restitution au peuple algérien de son droit à l’autodétermination la pierre angulaire d’une «Alternative démocratique».

Les événements sanglants d’octobre 1988 et ses répercussions internationales pousse la dictature algérienne a un semblant d'ouverture.

Aït Ahmed rentre en Algérie en novembre 1989. Après plusieurs péripéties, le FFS est finalement reconnu.

À l’occasion de l’annulation du premier tour des élections législatives de 1991, Hocine Aït-Ahmed met en garde contre le danger de voir les armes prendre le pas sur les urnes. Son parti organise, le 2 janvier 1992, la plus grande manifestation que la capitale ait connu depuis l’indépendance, avec pour credo «Ni État policier, ni République intégriste».

En juin 1992, une semaine avant l’assassinat de Mohamed Boudiaf, Aït Ahmed propose une Conférence nationale destinée à promouvoir une sortie de crise sur le modèle sud-africain.

Après l’assassinat de Boudiaf, le climat de terreur et le verrouillage total de la vie publique s'aggravant, Aït Ahmed préfère s'exiler pour continuer à mener son combat.

En 1995, Aït Ahmed signe à Rome, avec les représentants de six autres formations et des personnalités politiques, une plate-forme pour la sortie de la crise et le retour à la paix.

Les signataires du “contrat national de Rome” s'entendent sur un contrat politique constitué d'un ensemble d’engagements dont les plus importants sont l’alternance au pouvoir, la liberté de culte, la primauté de la loi légitime sur tout autre loi issue d’assemblées non élues légitimement, l’égalité des citoyens sans distinction d’aucune sorte, l’accession au pouvoir par des moyens pacifiques, le rejet de la violence pour se maintenir au pouvoir ou pour y parvenir.

Le 2 février 1999, il est de nouveau en Algérie. Sa candidature à l’élection présidentielle est annoncée trois jours plus tard.

Après une campagne électorale menée à travers tout le pays, il décide, avec Six autres candidats, de se retirer de l'élection.

 

Ils dénoncent la fraude qui, selon eux, a déjà commencé.

Abdelaziz Bouteflika est élu avec une forte majorité.

 

Victime d’un infarctus, Aït Ahmed est transféré en Suisse à l’hôpital de Lausanne pour y être opéré.

 

Après sa convalescence, il a repris toutes ses activité au sein du FFS.

Aït Ahmed poursuit son combat politique pour contribuer à sortir l’Algérie de l'omerta' internationale dont est victime le peuple algérien.

 

Le FFS reste l'un des plus importants parti politique d'opposition.

Link to post
Share on other sites

Il reste l’épisode du maquis du FFS de

1963-65

 

 

que ses anciens compagnons de la guerre de Libération nationale hésitent à inscrire à la colonne de ses actes les plus lucides. L’historien Mohamed Harbi, au FLN à l’époque des faits, estime que l’action armée du FFS a accéléré l’arrivée de l’armée au pouvoir en juin 1965.

 

Pour Aït-Ahmed, l’armée était déjà au pouvoir, cachée derrière Ahmed Ben Bella.

 

L’armée qui s’accapare de l’intelligence politique de tout un pays : voilà le grand scandale d’époque qui révulse Aït-Ahmed.

Link to post
Share on other sites

Hocine AIT AHMED

 

arton1188-1a892.jpg

 

« Ne jamais désespérer de voir s’accomplir un idéal de justice et de liberté. »

 

« Déclaration d’ouverture et mots de remerciements de Hocine Aït-Ahmed lors de la journée d’études sur la guerre d’indépendance de l’Algérie, des années 1940 à juillet 1962, organisée par la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BIDC) de l’Université de Paris Ouest, le 20 mai 2009. »

 

Déclaration d’ouverture

 

Mesdames et messieurs, chers amis,

 

Parler de la révolution algérienne pour un homme de ma génération, c’est parler de ce que je considère comme un motif de fierté universelle.

 

Elle concerne, par-delà les nationalismes, tout individu ou groupe humain qui n’a pas désespéré de voir, comme dit la chanson, s’accomplir un idéal de justice et de liberté.

 

Mais en parler aujourd’hui, c’est aussi saisir ce que l’histoire a de terrible et de douloureux. Non seulement à cause du prix payé pour que cet idéal, en l’occurrence l’indépendance algérienne, s’accomplisse. Mais aussi parce qu’une fois qu’un premier pas a été accompli, l’on voit l’immensité de la tâche qui reste.

 

La longue marche vers la liberté, la justice et la démocratie n’a fait que commencer avec l’avènement de l’indépendance. Et cette longue marche n’a cessé d’être contrariée. Un coup d’Etat suivant l’autre, une régression annonçant l’autre. Le vingtième siècle, pour l’Algérie comme pour le reste du monde, aura été tout à la fois le siècle des souffrances innombrables, de la dignité retrouvée et des promesses non tenues.

 

Le siècle qui commence aura, pour les jeunes Algériens plus que pour d’autres jeunes du monde, commencé sous le signe de ces promesses non tenues. Leurs souffrances sont différentes des nôtres. (J’appartiens à une génération à qui nul n’a rien promis). Le cheminement de cette jeunesse est par conséquent différent du nôtre.

 

 

 

La génération de la guerre d’indépendance nationale leur a légué une des vérités essentielles de la vie : S’être battu une fois pour la liberté n’est pas une garantie d’infaillibilité.

 

Et sans rentrer dans les détails des usurpations nombreuses qui ont suivi la libération, même parmi ceux qui se sont sincèrement investis dans la lutte pour l’indépendance se sont manifestés les traits haïssables de l’autoritarisme.

 

Il n’est jamais utile de spéculer sur le passé ni de le réécrire à sa convenance.

 

Ce qui importe c’est de le connaître et d’en méditer les leçons. Il est d’autant plus utile de connaître son passé, qui nous vivons une époque bien curieuse.

 

D’un côté les colonialistes sont de retour et revendiquent sans vergogne " les bienfaits de la colonisation " ;

 

Et, face à eux. Des pouvoirs corrompus et illégitimes font dans la surenchère nationaliste tout en remettant au goût du jour les pires méthodes coloniales dans la conduite des affaires nationales.

 

Un dernier mot, peut-être, pour ce peuple algérien qui a tant donné à une révolution qui n’aurais pas été possible sans lui.

 

Une révolution qui s’est fourvoyée dès qu’elle s’est détournée de son peuple pour se focaliser sur le culte du pouvoir.

 

Je dédie mon témoignage à toutes celles et à tous ceux qui, aux quatre coins de l’Algérie et dans la diversité de leurs appartenances, sont restés fidèles à cette idée de liberté et de justice qui veut que les pouvoirs soient au service des peuples et non le contraires.

 

Je vous remercie

Link to post
Share on other sites

et enfin !!!!

 

DEMENTI DE HOCINE AIT AHMED

 

Le scoop - faux et pervers - de LIBERTE

 

Dans son édition du 09 juin 2005,

Liberté affirme que, lors de son récent passage à Genève Abdelaziz Bouteflika, s’est longuement entretenu avec Hocine Ait Ahmed.

 

 

Il s’agit d’un mensonge éhonté : le refus absolu de rencontres et des deals secrets est, depuis toujours, une constante de la politique du FFS et de son président. Ni l’un ni l’autre n’y dérogeront.

 

Reste à savoir pourquoi LIBERTE se livre à cette affabulation. Le FFS est contraint de remarquer qu’elle survient après l’assassinat de feu AZRARAK ALI, vice président de l’APC AOMAR.

 

L’annonce d’une rencontre avec Bouteflika - Si elle avait eu lieu, ce que nous le répétons, n’est absolument pas le cas - présente un avantage pour le pouvoir : détourner tout soupçon sur les commanditaires de cette exécution publique et sur la suite de leur stratégie de la terre brûlée.

 

Car comment croire que le responsable du FFS puisse s’entretenir avec le plus haut responsable du pouvoir si ce dernier était impliqué dans l’assassinat de l’un de ces cadres populaire les plus dynamique ?

 

La réalité est tout autre : depuis des mois, Bouteflika ne cache pas son intention de révoquer les élus du FFS en Kabylie, notre parti étant la seule structure politique qui résiste encore à une normalisation ressemblant fort à une pacification post-coloniale.

 

Cette volonté de se débarrasser des élus du FFS dans cette région vise aussi à détruire toute instance représentative capable de s’opposer au pillage et à la dilapidation du foncier public par les maffias locales.

 

Le scoop - faux et pervers - de LIBERTE trouve là sans doute sa véritable signification.

 

Hocine AIT AHMED

Link to post
Share on other sites
Qurel pitoyable niveau, si au moins il avait copié Karl Max..:mdr:

Politique de café de dachras et de douars...

Mais réveille toi bon sang, ce veillard centenaire n'a plus le sens des réalités...:mdr:

 

c'est ton niveau qui pitoyable

malgré son age

il y croit tjr en sa patrie

par contre toi et tes semblables vous faites dans zaimisme à la con des années 20 ....

 

LA PREUVE !!!

 

APPEL DE HOCINE AIT AHMED AU PEUPLE ALGÉRIEN

 

Les mascarades électorales étaient un héritage du système colonial : elles n’ont pas tardé à devenir l’un des piliers de l’orthodoxie sécuritaire chargée d’assurer la pérennité du pouvoir absolu de ceux qui ont usurpé vos droits pour mieux accaparer les immenses richesses de notre pays.

Cette tradition de falsification du suffrage universel sera à ce point enraciné et « modernisée » par la dictature qu’elle survivra même à la chute du Mur de Berlin.

Comme un défi aux promesses du XXI° siècle.

 

t'es completement hors cicuit le chiatt

l'algerie avance et vous vous reculez

fakou !!!

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...