Guest anincognito Posted December 11, 2009 Partager Posted December 11, 2009 Pour l'ennemi de l'Algérie, déclaré, Arrêté le 23 février 1957 par les parachutistes, il refusa de parler sous la torture avant d'être pendu extrajudiciairement par le général Aussaresses dans la nuit du 3 au 4 mars 1957. Ses dernières paroles avant de mourir: "Vous parlez de la France de Dunkerque à Tamanrasset, je vous prédis l'Algérie de Tamanrasset à Dunkerque" Pour l'ennemi de l'Algérie, non déclaré, il a dit: « Je préfère mourir avant l’indépendance pour ne pas assister à vos déchirements pour le pouvoir ! » Citer Link to post Share on other sites
moqbil 10 Posted December 11, 2009 Partager Posted December 11, 2009 le général aussaresses avoue le meurtre de LARBI BEN MHIDI: L’ancien barbouze a fait cette révélation en publiant son second livre sur la guerre d’Algérie Je n’ai pas tout dit. A une question posée par l’animateur de l’émission pour savoir s’il était vraiment derrière l’assassinat du chef historique, il répondit clairement et sans faux-fuyants : «Je suis obligé de vous répondre. Et bien, ce sont les circonstances qui m’ont amené à ça !» S’il reconnaît officiellement avoir reçu les ordres de sa hiérarchie, en l’occurrence François Mitterrand, le ministre de la Justice de l’époque et par la suite président de la République française le général français a ajouté que ce dernier lui avait dit de «maquiller le meurtre en suicide». A titre de rappel, la France officielle a toujours refusé de reconnaître le meurtre de Larbi Ben M’hidi. Déjà, dans un ouvrage publié au début de mai 2001 et intitulé Services spéciaux, Algérie 1955-1957 (Editions Perrin), le général Paul Aussaresses, 83 ans, coordinateur des services du renseignement de l’armée à Alger en 1957 auprès du général Massu, revendique, sans remords, les tortures, les exécutions sommaires de «suspects», parfois maquillées en suicides, et le massacre de civils auxquels il a participé ou qu’il a ordonnés : «Tout ce que j’ai fait était conforme à la déontologie de tout militaire dans les conditions de guerre.» Selon lui, l’utilisation de la torture «était tolérée, sinon recommandée» par le pouvoir politique. Il affirme avoir agi avec l’aval des politiques, notamment le juge Jean Bérard qu’il qualifie d’»émissaire» du garde des Sceaux de l’époque, François Mitterrand. Il a indiqué que la torture, «pratiquée couramment par la police à Philippeville», au moment de son arrivée sur le territoire algérien, était systématique pendant la bataille d’Alger en 1957. Son commando torturait et tuait à Alger durant la nuit : «C’est efficace la torture, la majorité des gens craquent et parlent. Ensuite, la plupart du temps, on les achevait (…) Est-ce que ça m’a posé des problèmes de conscience ? Je dois dire que non.» Le martyr Larbi Ben M’hidi naquit en 1923 dans le douar El-Kouahi, aux environs d’Aïn M’lila. Cadet d’une famille composée de trois filles et deux garçons, il débuta ses études à l’école primaire française de son village natal. Larbi Ben M’hidi joua un rôle très important dans les préparatifs de la révolution armée et œuvra à convaincre tout le monde d’y participer. Il prononça une célèbre phrase : «Jetez la révolution dans la rue et elle sera prise en charge par le peuple.» Il était le premier chef de la zone V (Oran). Le martyr figure parmi ceux qui œuvrèrent avec sérieux à la tenue du congrès de la Soummam aux côtés d’Abane Ramdane, le 20 août 1956. Il a été ensuite désigné membre du Comité de coordination et d’exécution de la révolution algérienne (haut commandement de la révolution). Il dirigea la fameuse bataille d’Alger au début de l’année 1956 et à la fin de l’année 1957 jusqu’à son arrestation à la fin du mois de février 1957. Il mourut sous la torture au cours de la nuit du 3 au 4 mars 1957 dans les locaux de la police française, après avoir donné une leçon d’héroïsme et d’endurance à ses bourreaux. Citer Link to post Share on other sites
alhouria 10 Posted December 11, 2009 Partager Posted December 11, 2009 Gloire a nos martyrs ALLAH yarhame echouhadas Citer Link to post Share on other sites
Tamurth 10 Posted December 11, 2009 Partager Posted December 11, 2009 Gloire a nos martyrs ALLAH yarhame echouhadasEt honte a ceux qui les ont fait liquidé et qui les ont trahis genre Bouteflika, Boumediène et compagnie Citer Link to post Share on other sites
tassawrit 10 Posted December 11, 2009 Partager Posted December 11, 2009 et qui les ont trahis genre Bouteflika, Boumediène et compagnie la liste est longue y'a plein d'imposteurs ben bella, ex militaire français par exemple les autres c meme pas des moujahidine c'est des planqués :mdr: si ca se trouve ils preparaient le loubia aux moujahidine et apres ils se sont inventé un passé imaginaire :mdr: Citer Link to post Share on other sites
moqbil 10 Posted December 12, 2009 Partager Posted December 12, 2009 merci à dieu et aux martyrs que l'algerie vit sous le soleil de la libérté quant aux gens de faibles esprits, l'histoire seule de rendre compte!!!! Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted January 2, 2010 Partager Posted January 2, 2010 L’ancien barbouze a fait cette révélation en publiant son second livre sur la guerre d’Algérie Je n’ai pas tout dit. A une question posée par l’animateur de l’émission pour savoir s’il était vraiment derrière l’assassinat du chef historique, il répondit clairement et sans faux-fuyants : «Je suis obligé de vous répondre. Et bien, ce sont les circonstances qui m’ont amené à ça !» S’il reconnaît officiellement avoir reçu les ordres de sa hiérarchie, en l’occurrence François Mitterrand, le ministre de la Justice de l’époque et par la suite président de la République française le général français a ajouté que ce dernier lui avait dit de «maquiller le meurtre en suicide». A titre de rappel, la France officielle a toujours refusé de reconnaître le meurtre de Larbi Ben M’hidi. Déjà, dans un ouvrage publié au début de mai 2001 et intitulé Services spéciaux, Algérie 1955-1957 (Editions Perrin), le général Paul Aussaresses, 83 ans, coordinateur des services du renseignement de l’armée à Alger en 1957 auprès du général Massu, revendique, sans remords, les tortures, les exécutions sommaires de «suspects», parfois maquillées en suicides, et le massacre de civils auxquels il a participé ou qu’il a ordonnés : «Tout ce que j’ai fait était conforme à la déontologie de tout militaire dans les conditions de guerre.» Selon lui, l’utilisation de la torture «était tolérée, sinon recommandée» par le pouvoir politique. Il affirme avoir agi avec l’aval des politiques, notamment le juge Jean Bérard qu’il qualifie d’»émissaire» du garde des Sceaux de l’époque, François Mitterrand. Il a indiqué que la torture, «pratiquée couramment par la police à Philippeville», au moment de son arrivée sur le territoire algérien, était systématique pendant la bataille d’Alger en 1957. Son commando torturait et tuait à Alger durant la nuit : «C’est efficace la torture, la majorité des gens craquent et parlent. Ensuite, la plupart du temps, on les achevait (…) Est-ce que ça m’a posé des problèmes de conscience ? Je dois dire que non.» Le martyr Larbi Ben M’hidi naquit en 1923 dans le douar El-Kouahi, aux environs d’Aïn M’lila. Cadet d’une famille composée de trois filles et deux garçons, il débuta ses études à l’école primaire française de son village natal. Larbi Ben M’hidi joua un rôle très important dans les préparatifs de la révolution armée et œuvra à convaincre tout le monde d’y participer. Il prononça une célèbre phrase : «Jetez la révolution dans la rue et elle sera prise en charge par le peuple.» Il était le premier chef de la zone V (Oran). Le martyr figure parmi ceux qui œuvrèrent avec sérieux à la tenue du congrès de la Soummam aux côtés d’Abane Ramdane, le 20 août 1956. Il a été ensuite désigné membre du Comité de coordination et d’exécution de la révolution algérienne (haut commandement de la révolution). Il dirigea la fameuse bataille d’Alger au début de l’année 1956 et à la fin de l’année 1957 jusqu’à son arrestation à la fin du mois de février 1957. Il mourut sous la torture au cours de la nuit du 3 au 4 mars 1957 dans les locaux de la police française, après avoir donné une leçon d’héroïsme et d’endurance à ses bourreaux. heureux les martyrs qui n'ont rien vu, ils sont morts pour un ideal. Citer Link to post Share on other sites
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