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Silvio Berlusconi frappé au visage à l'issue d'un meeting à Milan


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Silvio Berlusconi frappé au visage à l'issue d'un meeting à Milan

 

(CP) – il y a 1 heure

 

MILAN — Le président du conseil italien Silvio Berlusconi a été frappé au visage dimanche soir à la fin d'une réunion publique à Milan par un homme brandissant une statuette, selon la police qui précise avoir arrêté l'agresseur.

 

Blessé au visage, sous l'oeil gauche et près de la lèvre supérieure, le chef du gouvernement italien, âgé de 73 ans, a été conduit à l'hôpital où il a été placé en observation pour la nuit. Selon la police, l'agresseur, un homme de 42 ans, a été arrêté et immédiatement placé en garde à vue.

 

L'agression s'est produite vers 18h30, alors que Silvio Berlusconi venait de prononcer un discours devant des partisans de son parti du Peuple de la Liberté. "Il Cavaliere" s'est approché des militants, discutant avec eux et signant des autographes, quand un homme dans la foule l'a frappé.

 

Selon des responsables de la police milanaise, Silvio Berlusconi n'a pas perdu connaissance et n'a pas été grièvement blessé. L'agresseur présumé, précisent-ils, brandissait une statuette représentant le Duomo, la cathédrale de Milan. M. Berlusconi est tombé à terre après avoir été frappé.

 

La télévision publique a retransmis des images le montrant le visage en sang, tandis que des membres de son équipe l'aidaient à se relever.

 

Les gardes du corps de Silvio Berlusconi l'ont fait monter à l'arrière d'une voiture, mais le chef du gouvernement italien en est très vite ressorti, apparemment pour montrer qu'il n'était pas gravement blessé. Il est ensuite remonté dans la voiture, qui l'a conduit à l'hôpital San Raffaele de Milan où il devait y passer la nuit de samedi à dimanche en observation.

 

"Nous verrons ce que disent les médecins demain (lundi) matin", a déclaré à la chaîne de télévision Sky TG24 Paolo Bonauiti, porte-parole du président du Conseil.

 

Cette agression intervient alors que Silvio Berlusconi, est confronté à une situation politique difficile et divers scandales. Le 5 décembre, plusieurs dizaines de milliers de manifestants ont défilé dans les rues de Rome pour réclamer sa démission.

 

Les manifestants ont notamment reproché au président du Conseil de cultiver le conflit d'intérêts entre ses responsabilités politiques nationales et ses activités privées en tant que milliardaire des médias. Ils ont dénoncé des lois faites sur mesure pour qu'il puisse échapper à la justice.

 

Les médias que contrôle le président du Conseil, ont affirmé aussi ses détracteurs, influencent le vote des électeurs. D'autres entendaient exprimer leur indignation après les affaires de moeurs impliquant le chef du gouvernement.

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un de ses fans ???

vous etes serieux la ?

 

c'est vrai qu'il se prend pour une superstar mais de la a appelles ses partisans des fans..on lui rend bien service :confused:.

C'est un detraque apparemment qui a fait ca..

 

j'aime pas cet id.iot mais il m'a fait de la peine..c'est pas comme ca qu'on montre son opposition.

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Silvio Berlusconi frappé au visage à l'issue d'un meeting à Milan

 

(CP) – il y a 1 heure

 

MILAN — Le président du conseil italien Silvio Berlusconi a été frappé au visage dimanche soir à la fin d'une réunion publique à Milan par un homme brandissant une statuette, selon la police qui précise avoir arrêté l'agresseur.

 

Blessé au visage, sous l'oeil gauche et près de la lèvre supérieure, le chef du gouvernement italien, âgé de 73 ans, a été conduit à l'hôpital où il a été placé en observation pour la nuit. Selon la police, l'agresseur, un homme de 42 ans, a été arrêté et immédiatement placé en garde à vue.

 

L'agression s'est produite vers 18h30, alors que Silvio Berlusconi venait de prononcer un discours devant des partisans de son parti du Peuple de la Liberté. "Il Cavaliere" s'est approché des militants, discutant avec eux et signant des autographes, quand un homme dans la foule l'a frappé.

 

Selon des responsables de la police milanaise, Silvio Berlusconi n'a pas perdu connaissance et n'a pas été grièvement blessé. L'agresseur présumé, précisent-ils, brandissait une statuette représentant le Duomo, la cathédrale de Milan. M. Berlusconi est tombé à terre après avoir été frappé.

 

La télévision publique a retransmis des images le montrant le visage en sang, tandis que des membres de son équipe l'aidaient à se relever.

 

Les gardes du corps de Silvio Berlusconi l'ont fait monter à l'arrière d'une voiture, mais le chef du gouvernement italien en est très vite ressorti, apparemment pour montrer qu'il n'était pas gravement blessé. Il est ensuite remonté dans la voiture, qui l'a conduit à l'hôpital San Raffaele de Milan où il devait y passer la nuit de samedi à dimanche en observation.

 

"Nous verrons ce que disent les médecins demain (lundi) matin", a déclaré à la chaîne de télévision Sky TG24 Paolo Bonauiti, porte-parole du président du Conseil.

 

Cette agression intervient alors que Silvio Berlusconi, est confronté à une situation politique difficile et divers scandales. Le 5 décembre, plusieurs dizaines de milliers de manifestants ont défilé dans les rues de Rome pour réclamer sa démission.

 

Les manifestants ont notamment reproché au président du Conseil de cultiver le conflit d'intérêts entre ses responsabilités politiques nationales et ses activités privées en tant que milliardaire des médias. Ils ont dénoncé des lois faites sur mesure pour qu'il puisse échapper à la justice.

 

Les médias que contrôle le président du Conseil, ont affirmé aussi ses détracteurs, influencent le vote des électeurs. D'autres entendaient exprimer leur indignation après les affaires de moeurs impliquant le chef du gouvernement.

Avec un premier ministre comme ça les italiens n'ont vraiment pas le temps de s'ennuier...De quoi oublier la crise...

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Les conspirationnistes s'emparent de l'agression de Berlusconi

 

 

Libération.fr

 

 

 

Sur le Net, des vidéos laissent entendre que l'agression dont a été victime le président du Conseil italien il y a dix jours a été organisée pour le victimiser. Si la crédibilité des montages semble nulle, elle témoigne d'un climat très tendu dans la péninsule.

 

 

 

Neil Armstrong n'a jamais marché sur la Lune. Les attentats du 11 Septembre ont été fomentés par la CIA et l'administration Bush. Et Silvio Berlusconi n'a pas été agressé par Massimo Tartaglia le 13 décembre. Voici la dernière thèse complotiste qui circule depuis quelques jours en Italie. Elle s'appuie sur plusieurs vidéos diffusées anonymement sur Internet, qui ont été visionnées par des centaines de milliers de personnes.

 

Montage choc, musique dramatisante, sous-titres interrogateurs… La principale vidéo, titrée L'agression contre Berlusconi est-elle un montage ? propage la thèse d'un « 11-Septembre à l'italienne ». Si le procédé est connu, la réalisation est bien moins assurée que dans le film Loose Change.

 

Le court montage semble néanmoins produire son effet chez une partie de la population italienne. L'argumentaire est simple : plusieurs « indices » permettent de douter de la version dite officielle de l'agression de Berlusconi. Ainsi, la caméra s'écarterait opportunément au moment où Massimo Tartaglia attaque le président du Conseil, de sorte que l'on ne voit pas les coups portés au visage de ce dernier.

 

Berlusconi en hausse dans les sondages

 

Quelques minutes après l'agression, une photo montrerait un des gardes du corps dans la voiture du Cavaliere, manipulant un aérosol qui contiendrait du sang factice. Enfin, la coagulation que semblent montrer plusieurs photographies serait trop rapide pour être honnête.

 

Selon Eric Joszef, correspondant de Libération à Rome, la crédibilité de ces arguments est nulle. Mais l'objectif est ailleurs. « Il y a deux idées derrière ce montage, explique le journaliste. Laisser entendre que l'agression était organisée pour permettre à Berlusconi de faire oublier ses ennuis judiciaires. Et illustrer ainsi la dérive autoritaire du pouvoir. »

 

Pour les complotistes, la thèse de la stratégie de la victimisation fonctionne d'autant plus que la cote de Berlusconi vient de remonter de trois points (à 48%), après sept mois de descente constante, selon un sondage du quotidien de gauche La Republicca. Selon Eric Joszef, «c'est révélateur d'un climat anti-Berlusconi largement répandu» qui pousserait certains à accorder du crédit aux idées les plus douteuses.

Ambiance délétère

 

La presse, elle, garde ses distances avec ces allégations. Ainsi, le «Corriere della Sera» souligne le «ridicule de la situation», alors qu'Eve Mongin, blogueuse de Libération.fr en Italie, affirme que les «Italiens accordent l'importance qu'elle mérite à cette affaire, c'est-à-dire pas grand-chose». «Il y a une telle personnalisation du pouvoir que cela attise les haines comme les passions. Et l'agression contre Berlusconi a polarisé encore davantage les choses», confie-t-elle.

 

Dans la classe politique, on s'inquiète de la propagation de ces rumeurs par quelques blogueurs ou éditorialistes, et, plus globalement, de l'ambiance délétère dans la péninsule. Fabrizio Cicchitto, un responsable du Peuple de la liberté, le parti de Berlusconi, a ainsi fustigé certains médias et accusé l'opposant Antonio Di Pietro de «vouloir presque transformer la confrontation (politique) en une guerre civile».

 

Ce dernier, ex-juge anti-corruption, a répondu: «Nous ne faisons pas une opposition par haine envers Berlusconi mais par amour pour notre pays.» Pour Rosy Bindi, présidente du Parti démocrate, première formation d'opposition, la confrontation et le dialogue avec la majorité de centre-droit de Berlusconi «doivent avoir lieu au Parlement».

 

C'est dans ce contexte que le ministre de l'Intérieur, Roberto Maroni, a annoncé qu'il proposera jeudi en Conseil des ministres des mesures pour fermer les sites Internet «incitant à la violence» et limiter les contestations lors de manifestations publiques. Certains responsables politiques se sont d'ores et déjà dit préoccupés pour la liberté d'expression.

 

 

Les conspirationnistes s'emparent de l'agression de Berlusconi - Libération

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