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Dépressive, aidez moi à voir plus clair !


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Tout d'abord bonjour tout le monde,

Voilà aujourd'hui je me retrouve seule et je n'ai personne à qui parler, j'aimerai bien avancer mais sans une aide ou un point de vue extérieur je sens que je n'y arriverai pas!

 

Voilà je suis une jeune fille de 20ans et je souffre de dépression depuis l'âge de 13ans, je n'ai jamais consulté et j'ai toujours fais comme si de rien n'était jusqu'à l'âge de 17ans où je ne pouvais plus faire semblant ou sourire à tout va, mon état dépressif ne se résumant pas qu'à la tristesse, j'ai pensé longuement au suicide, j'ai failli passer à l'acte plusieurs fois mais à la dernière minute je m'accordais un sursis "j'y pense toujours d'ailleurs mais j'essaye de me contrôler"

 

Pour vous éclairer un peu sur mon caractère, je suis une fille réservée, qui n'a pas à se plaindre physiquement "ma dépression n'est pas due à un complexe", je suis étudiante en 3ème année à l'université, sans amis car je suis peu sociable, j'ai du mal à aller vers les autres, je ne fais pas beaucoup confiance aux gens, j'ai un QI bien supérieur à la moyenne "chose que je n'aime pas dire mais ici ça pourra peut être aider" d'ailleurs ça me cause problème car j'ai du mal à m'entendre avec les personnes qui ne sont pas dotés de logique et étant une personne franche et nerveuse ça ne tarde pas à éclater

 

Comme c'est dit plus haut ma vie est bien rangée j'ai des parents qui m'aiment, un petit frère à rendre dingue le genre humain mais présent! mais tout ça apparemment ne me suffit pas. J'ai été élevé de façon un peu bourgeoise, il ne faut pas exprimer ses sentiments sur tous les toits, faire toujours comme si tout allait bien, faire très attention à rester polie et à garder les bonnes manières, bisous et les câlins n'étaient pas vraiment au programme, ce qui fait que j'ai énormément de mal à montrer mes sentiments aujourd'hui, J'ai été imprégnée de cette éducation jusqu'à l'âge de 5ans ou j'ai rencontré le monde éxtérieur "âge de ma scolarité" et je ne parlais que le français "sauf que je ne vie pas en France", ce qui fait que j'ai été un peu écarté du reste de la classe, j'avoue en passant que mes chers camarades n'avaient que faire de la politesse et des bonnes manières... du coup six ans de galère se suivirent!

 

Au collège et au lycée ça s'est passé un peu mieux mais les idées qui tourmentaient "pensées de suicide" ne m'ont pas permis de m'épanouir ni d'aller de l'avant (du côté social)

Aujourd'hui j'ai beaucoup lu en ce qui concerne la dépression mais un jour je suis tombée sur un article qui traitait de la bipolarité et j'avoue que les similitudes entre mon état et les symptômes m'ont perturbé, je m'explique:

 

-Il m'arrive de passer par plusieurs humeurs dans la journée, la semaine ou la quinzaine de jours, je passe de la fille super excitée à la dépressive en quelques heures ou alors je vis une semaine noire et puis deux jours bien, je tiens à préciser que les moments où je me sens bien ne durent jamais longtemps.

 

-Je souffre aussi de TOC,pour résumer c'est un peu Monk "mais à un degrés moindre ^^"

 

-Ce point plus précisément celui auquel je suis face et auquel je ne sais vraiment pas quoi faire car je suis arrivée à sortir de ma dépression grâce à un peu d'objectivité et de lucidité un moment je me sentais bien j'ai repris goût à la vie mais c'est ce problème qui me replonge et dont je n'arrive pas à m'en sortir.

Alors voilà j'ai la sérieuse conviction de croire que je suis pauvre même si je ne le suis pas "je vais dans une école privée, je suis véhiculée, je m'habille avec des vêtements aux prix limite incandescents", mais il n'en ai rien je me mets alors à en vouloir à mes parents, le leur faire savoir, les faire culpabiliser d'avoir eu deux enfants alors qu'ils n'en avaient pas les moyens, d'ailleurs ça cause le désarroi de ma maman, mon père étant souvent absent il ne se sent pas concerné plus que ça, j'ai beau essayer de me convaincre du contraire "du moment que c'est le cas" mais c'est impossible d'ailleurs rien qu'à cause de ça je repense au suicide

 

J'ai lu que c'était un des symptômes de la bipolarité alors je me suis dis que si c'est ça, ça m'expliquerai peut être pourquoi je n'arrive pas à passer outre,

Je m'adresse à vous car j'ai séché mes larmes cela fait deux ou trois heures et que là je me dis que c'est vraiment pas raisonnable et qu'il y a quelque chose qui ne va pas, mais je sais que ce moment de remise en question ne va pas durer et que dans pas longtemps je vais me remettre à me lamenter sur mon sort

 

Excusez moi je sens que mon texte n'est vraiment pas structuré mais malheureusement je suis incapable de relire et de corriger.

 

Pour finir, je sais que je vais peut être choquer plus d'un mais j'ai le sentiment de n'aimer personne sur cette terre même pas ma famille, même les personnes extérieurs "amis" je m'entends et je les aimes bien quelque temps mais je m'en lasse très vite"au bout d'un mois ou deux"

Tout ça sans parler des remises en question quotidiennes et le fait de se demander le sens de la vie à cause du quel j'ai senti avoir failli perdre la raison plus d'une fois!

 

Voilà je me suis exprimée de façon anarchique mais je souhaite vraiment avoir des réponses même si elles sont dure! Je me suis habituée à y faire face

Excusez moi je n'ai pas trouvé où placer mon sujet alors je me suis dis "santé, pourquoi pas!"

 

Merci!

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Un conseil, il faut consulter un spécialiste, sur le forum, tu trouvera des personnes qui t'écouterons, avec qui tu peux t'eclater aussi, essaye de passer quelque temp par ici, fais des connaissences, des amis tu te sentir mieu...mais avant tous il faut voir un spécialiste pour t'aider à surmenter ta depression, il ne faut pas oublier que la dépession méme si c'est une maladie abstraite elle reste relativement grave qui conduit souvent le dépressif vers le suicide

 

Et en parlant de suicide...t'a écris que souvent tu aller passer à l'acte mais qu'au final tu ne l'a pas fais, je dis souvent que le suicide c'est une preuve de lacheté mais d'y renoncer c'est une preuce de grand courage, cela veux dire forcement que tu veix t'en sortire et que tu cherche une main tendue...inchalah tu la trouvera et tu trouvera ta paix interieure et dis toi que si tu passe à l'acte, tu passera à coté de pleins de belle chose et quoi de beau qu'une vie ma chérie :) si t'a besoin de quoi que se soit n'hésite pas :)

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Tout d'abord bonjour tout le monde,

Voilà aujourd'hui je me retrouve seule et je n'ai personne à qui parler, j'aimerai bien avancer mais sans une aide ou un point de vue extérieur je sens que je n'y arriverai pas!

 

Voilà je suis une jeune fille de 20ans et je souffre de dépression depuis l'âge de 13ans, je n'ai jamais consulté et j'ai toujours fais comme si de rien n'était jusqu'à l'âge de 17ans où je ne pouvais plus faire semblant ou sourire à tout va, mon état dépressif ne se résumant pas qu'à la tristesse, j'ai pensé longuement au suicide, j'ai failli passer à l'acte plusieurs fois mais à la dernière minute je m'accordais un sursis "j'y pense toujours d'ailleurs mais j'essaye de me contrôler"

 

Pour vous éclairer un peu sur mon caractère, je suis une fille réservée, qui n'a pas à se plaindre physiquement "ma dépression n'est pas due à un complexe", je suis étudiante en 3ème année à l'université, sans amis car je suis peu sociable, j'ai du mal à aller vers les autres, je ne fais pas beaucoup confiance aux gens, j'ai un QI bien supérieur à la moyenne "chose que je n'aime pas dire mais ici ça pourra peut être aider" d'ailleurs ça me cause problème car j'ai du mal à m'entendre avec les personnes qui ne sont pas dotés de logique et étant une personne franche et nerveuse ça ne tarde pas à éclater

 

Comme c'est dit plus haut ma vie est bien rangée j'ai des parents qui m'aiment, un petit frère à rendre dingue le genre humain mais présent! mais tout ça apparemment ne me suffit pas. J'ai été élevé de façon un peu bourgeoise, il ne faut pas exprimer ses sentiments sur tous les toits, faire toujours comme si tout allait bien, faire très attention à rester polie et à garder les bonnes manières, bisous et les câlins n'étaient pas vraiment au programme, ce qui fait que j'ai énormément de mal à montrer mes sentiments aujourd'hui, J'ai été imprégnée de cette éducation jusqu'à l'âge de 5ans ou j'ai rencontré le monde éxtérieur "âge de ma scolarité" et je ne parlais que le français "sauf que je ne vie pas en France", ce qui fait que j'ai été un peu écarté du reste de la classe, j'avoue en passant que mes chers camarades n'avaient que faire de la politesse et des bonnes manières... du coup six ans de galère se suivirent!

 

Au collège et au lycée ça s'est passé un peu mieux mais les idées qui tourmentaient "pensées de suicide" ne m'ont pas permis de m'épanouir ni d'aller de l'avant (du côté social)

Aujourd'hui j'ai beaucoup lu en ce qui concerne la dépression mais un jour je suis tombée sur un article qui traitait de la bipolarité et j'avoue que les similitudes entre mon état et les symptômes m'ont perturbé, je m'explique:

 

-Il m'arrive de passer par plusieurs humeurs dans la journée, la semaine ou la quinzaine de jours, je passe de la fille super excitée à la dépressive en quelques heures ou alors je vis une semaine noire et puis deux jours bien, je tiens à préciser que les moments où je me sens bien ne durent jamais longtemps.

 

-Je souffre aussi de TOC,pour résumer c'est un peu Monk "mais à un degrés moindre ^^"

 

-Ce point plus précisément celui auquel je suis face et auquel je ne sais vraiment pas quoi faire car je suis arrivée à sortir de ma dépression grâce à un peu d'objectivité et de lucidité un moment je me sentais bien j'ai repris goût à la vie mais c'est ce problème qui me replonge et dont je n'arrive pas à m'en sortir.

Alors voilà j'ai la sérieuse conviction de croire que je suis pauvre même si je ne le suis pas "je vais dans une école privée, je suis véhiculée, je m'habille avec des vêtements aux prix limite incandescents", mais il n'en ai rien je me mets alors à en vouloir à mes parents, le leur faire savoir, les faire culpabiliser d'avoir eu deux filles alors qu'ils n'en avaient pas les moyens, d'ailleurs ça cause le désarroi de ma maman, mon père étant souvent absent il ne se sent pas concerné plus que ça, j'ai beau essayer de me convaincre du contraire "du moment que c'est le cas" mais c'est impossible d'ailleurs rien qu'à cause de ça je repense au suicide

 

J'ai lu que c'était un des symptômes de la bipolarité alors je me suis dis que si c'est ça, ça m'expliquerai peut être pourquoi je n'arrive pas à passer outre,

Je m'adresse à vous car j'ai séché mes larmes cela fait deux ou trois heures et que là je me dis que c'est vraiment pas raisonnable et qu'il y a quelque chose qui ne va pas, mais je sais que ce moment de remise en question ne va pas durer et que dans pas longtemps je vais me remettre à me lamenter sur mon sort

 

Excusez moi je sens que mon texte n'est vraiment pas structuré mais malheureusement je suis incapable de relire et de corriger.

 

Pour finir, je sais que je vais peut être choquer plus d'un mais j'ai le sentiment de n'aimer personne sur cette terre même pas ma famille, même les personnes extérieurs "amis" je m'entends et je les aimes bien quelque temps mais je m'en lasse très vite"au bout d'un mois ou deux"

Tout ça sans parler des remises en question quotidiennes et le fait de se demander le sens de la vie à cause du quel j'ai senti avoir failli perdre la raison plus d'une fois!

 

Voilà je me suis exprimée de façon anarchique mais je souhaite vraiment avoir des réponses même si elles sont dure! Je me suis habituée à y faire face

Excusez moi je n'ai pas trouvé où placer mon sujet alors je me suis dis "santé, pourquoi pas!"

 

Merci!

 

un tout petit conseil:je ne parlais que le français "sauf que je ne vie pas en France"

essaye de changer çà en devenant plus "algerienne"et arrete de penser à tes différences en pensant plus à tes ressemblances avec les autres...:D

une règle: on ne peut pas changer son passé mais on peut controler son présent alors dis-toi que tu es comme les autres et tu es comme les autres car des cas comme le tien sont typiquement algériens donc tu n'es pas une anomalie

allez: sois algérienne et sans complexe!

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Merci Shadow je crois effectivement que je vais sauter le pas, mais j'aurai bien aimé avoir les idées un peu plus claires afin de pouvoir les exposer :)

 

@Djallalnamri: Je suis Algérienne et fière de l'être, là ne réside pas le problème, j'aurai peut être dû changer ce passage du texte car je l'avais posté sur un forum français, mais après je me suis rendue compte que ce n'est pas la même mentalité et que ce n'est pas les personnes que je côtoie tous les jours alors j'ai posté ça ici!

Et puis si je parle de mes différences c'est que c'est justement à cause de ça que je suis marginalisée!

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Je souffre aussi de TOC,pour résumer c'est un peu Monk "mais à un degrés moindre ^^"

Salem

Tu l'as dis toi même "à un degrés moindre" :)ne fais pas trop de fixation sur ton comportement, c'est probablement pas si grave comme tu le dis...Je suis du même avis que shadow, le mieux c'est de consulter et c'est justement en franchissant ce pas que tu y verras plus claire.Tu es jeune, tu as la force de t'en sortir puisque tu en as la volonté incha'Allah :)

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Je pense que t'as fait une grosse grosse crise d'adolescence, et que maintenant tu en émerges.

 

Bienvenue dans le monde des adultes :40:.

 

Je te conseille de surveiller ta bipolarité, elle est peut-être dûe aux variations hormonales. L'humeur change parfois à l'approche des menstruations.

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ton message m a touchée et j ai tres envie de te donner le conseil de consulter, voir un psy ! je t assure que ca fait beaucoup de bien, ca aide à retrouver une certaine paix avec soi meme et depasser certaines souffrances qui consciement ou inconsciement nous pourrissent la vie avec des angoisses, des TOC etc ! j espere vraiment que tu suivras mon conseil, crois moi ca t aidera !

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j'ai une cousine qui avait les memes symptomes elle etait completement perdu pendant des annèes maintenant elle est suivie par un psy qui la diagnostquè bipolaire elle suit son traitement elle a retrouvè la joie de vivre et elle mene sa vie le plus normalement du monde , alors il faut avoir du courage et va voir un psy et tu seras vite fixèe , mais surtout ne tarde pas surtout avec les ideès suicidaire et puis le fait que tu te sente tres mal dans tapeau ; une fois pour toute decide de faire un terme a tes souffrance ;courage et on est toujours la pour t'ecouter car tu n'es pas seule ne pense jamais que tu es seule

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Bonsoir lamoii (ce n'est qu'un pseudo hein ?), et bienvenue. Difficile de ne pas réagir à ton message, qui a sonné à mes oreilles (ou mes yeux, oui) comme un appel à l'aide. La dépression, il se peut que j'y sois tombé, si ça peut t'aider. Et ça craint, évidemment. Aujourd'hui, mon moi profond est loin de péter la forme, mais j'ai acquis une stabilité dont tu as certainement besoin. Et d'un but dans la vie, aussi. D'espoir(s).

 

Tu as me semble-t-il pas mal de cartes en main pour écrire une belle suite à ton histoire, encore faut-il te débarrasser de tes vieux démons, ou bien, si le meurtre ne te tente pas trop, les changer en de vaillants alliés. Tu as eu raison de faire ressortir tes peurs et de les coucher sur plusieurs forums. Puisque, tu l'as vu, on ne sait rester insensible à tant de souffrance apparente.

 

Et pour le rejet de la masse, j'aurai bien envie de te rejoindre. Mais il faut bien se dire que les exceptions dissimulées n'en deviennent que plus précieuses une fois qu'on les a trouvées. Au sujet des TOC, là aussi je peux témoigner de mon expérience. Même si aujourd'hui, certains réapparaissent lors de mauvaises passes, je peux dire que c'est une affaire résolue, grâce à ce fabuleux atout qu'est la volonté. Essaie un coup "pour voir".

 

Voilà, ça fait déjà beaucoup. En espérant que ça ait provoqué la disparition de quelques sombres pensées, même provisoirement.

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déjà t'étaler un peu te feras le plus grand bien tu reconnais que tu est dépressive et peut être bipolaire ...

Nous vivons tous des moments d'euphorie ou de dépression, en fonction des aléas de la vie.la ( bipolarité) cyclothymique ,Un traitement médicamenteux adapté permet à terme une stabilisation de la dépréssion

je pense que tu fais plutot une crise d'identité et que tu te cherches consulte car tu sors de l 'adolescence passage délicat et tu rentre dans la vie d'adulte et chez certains (nes) ce passage est délicat .

la depression il te faut en parler et évacuer ce stress

tiens nous au courant et je te souhaite de voir le bout du tunnel mais je sens que tu va te battre

les comportementalistes ,aussi sont tres bien et aide a relativiser,et permet de proposer, d'une part, un modèle psychobiologique du psychisme et des comportements humains, et, d'autre part, des réflexions concernant des problématiques médicales, éducatives et sociales.

ca a aidait ma meilleure amie qui est passé par des moments douleureux

maghrébinement morjia(tiens nous au courant )

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Je tiens à remercier tous ceux qui ont pris la peine de me répondre :)

 

Pour réagir un peu à ce qui a été dit, certes je me bats je ne me suis jamais laissée aller trop longtemps mais la récidive est si rapide que ça en fait un combat permanent, pour la crise d'adolescence ce n'est pas ça du tout, je suis assez clairvoyante pour comprendre qu'il ne s'agit pas de ça, je l'ai vécu mais comme tout un chacun et étant une personne sage je n'en ai pas fais des tonnes! Là c'est autre chose d'ailleurs c'est ce qui me tourmente en fait je ne contrôle pas mon comportement je résiste, mais il y a comme une force qui reprend le dessus et qui me tire vers le bas, ma maman me dit que toute cette déprime est justement due au fait que je ne fasse rien la plupart du temps et que je sois toujours plongée dans mes pensées! Elle n'a pas vraiment tort mais c'est lié au fait que je ne m'entende pas bien avec tout le monde; un point sur lequel elle n'arrive pas à se résoudre elle qui est un peu Mme tout le monde!!

Lamoii n'est pas qu'un pseudo, il fut aussi mon prénom un certain temps "où tout allait encore pour le mieux^^"

 

Voilà je vous remercie encore et je vous souhaite une bonne nuit à tous :)

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Je pense que t'as fait une grosse grosse crise d'adolescence, et que maintenant tu en émerges.

 

Bienvenue dans le monde des adultes :40:.

 

Je te conseille de surveiller ta bipolarité, elle est peut-être dûe aux variations hormonales. L'humeur change parfois à l'approche des menstruations.

 

bonjour ,

tout a fait d'accord avec toi, je pense que toutes ses idées vont disparaitre au fur et a mesure et avec le temps et essayer d'aller de l'avant .

tu n'a besoin ni de psy ni de rien du tout, essaye de faire du sport et faire des amis et accepter les personnes comme elles le sont avec leur defauts (personne n'est parfait, même pas vous).

bon courage pour la suite.

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Bonjour tout le monde

 

Bonjour

comme l'ont dit la plupart d'entre vous, difficile de ne pas réagir à votre message.

 

je vais juste vous donenr quelques idées qui peuvent etre bonne tout comme elles peuvent etre mauvaises, chacun s'impregne de sa propre expérience :

 

1. Un des ntervenat a cité le vide et c'est tres important, il faut essayer de s'activer, remplir son temps, avec des trucs interessants, etudes, sports, autres loisirs.

 

2. Vous avez dit:"je n'aime personne, je pense que c'est votre etat qui vous fait hair vous meme et par la vous haissez les autres, bien sur c'est juste une projection dans votre esprit, au fond vous pouvez etre la plus bonne et la plus aimante des personnes. Donc aimez vous déja.

 

3. un Autre a evoiqué le fait de con,sulter un psy, je dirais oui, pourquoi pas, un psychologue surtout c'est tres utile, je vous previens contre une chose n'allez pas chez un psychiatre qui vous bombarderais avec des traitements sauf en cas de necessité bien sur. Je veux dire tant que la psychologie peut faire quelque chose, evitez la psychiatrie.

 

4. Un dernier point important: on a tous eu des lectures un peu partout dans les bouquins de psycholigie mais evitez de poser des diagnostic vous meme, vous dites bipolarite c'est peut etre pas le cas, alors evitez de vous mettre dans la peau d'un patient déja diagnostiqué, parce qu'à la longue vous feriez une fixation.

 

5. Puisque vous etes Algérienne, j'espèere que vous etes Musulmane, la religion peut vous aider beaucoup, essayer de vous en rapprocher

 

Voia j'espèere que vous serez guerrie

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Je tiens à remercier tous ceux qui ont pris la peine de me répondre :)

 

Bonsoir Lamoii,

 

Je ne te cache pas, qu'il m'est difficile de laisser un avis concernant les problèmes persos (je ne suis pas abilitée à le faire...) mais quelques petites choses m'ont intriguée.

 

Avoir quelques symptômes de la bipolarité ne veut pas dire que tu le sois, un psy ( digne de ce nom ) ne t'apportera jamais ce diagnostic en 2 ou 3 séances et encore moins en fonction du post que tu as laissé. Il est bon parfois d'avoir recourt à une tiers personne (neutre) que l'entourage ne connait pas.

La différence entre un psychologue et un psychiatre : le second a fait médecine, il a donc la possibilité de prescrire des médicaments. Maintenant, rien ne t'oblige à en prendre, tu peux préciser lors de ta première séance, que tu n'en souhaites pas. En revanche, consulter un psychiatre-psychanalyste pourrait peut-être te permettre d'y voir un peu plus clair, concernant tes réactions et ton fonctionnement.

 

En lisant ton post, je me suis posée quelques questions :

Quel age à ton petit frère ? Quels relations entretiens-tu avec lui ? Quels sont les réactions de tes parents vis à vis de lui, de toi ? Comment as-tu vécu sa naissance, son arrivée dans la famille ?

 

Peut-être que cela n'a rien à voir avec ton état actuel ou passé (c'est une des raisons pour lesquelles, il me semble toujours difficile d'intervenir, lorsqu'un souci perso est énnoncé...), ce sont juste des questionnements, donc à toi de voir.

 

Le fait que tu t'interroges est déjà très positif.

 

Bonne soirée

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Guest Balance
Tout d'abord bonjour tout le monde,

Voilà aujourd'hui je me retrouve seule et je n'ai personne à qui parler, j'aimerai bien avancer mais sans une aide ou un point de vue extérieur je sens que je n'y arriverai pas!

 

Voilà je suis une jeune fille de 20ans et je souffre de dépression depuis l'âge de 13ans, je n'ai jamais consulté et j'ai toujours fais comme si de rien n'était jusqu'à l'âge de 17ans où je ne pouvais plus faire semblant ou sourire à tout va, mon état dépressif ne se résumant pas qu'à la tristesse, j'ai pensé longuement au suicide, j'ai failli passer à l'acte plusieurs fois mais à la dernière minute je m'accordais un sursis "j'y pense toujours d'ailleurs mais j'essaye de me contrôler"

 

Pour vous éclairer un peu sur mon caractère, je suis une fille réservée, qui n'a pas à se plaindre physiquement "ma dépression n'est pas due à un complexe", je suis étudiante en 3ème année à l'université, sans amis car je suis peu sociable, j'ai du mal à aller vers les autres, je ne fais pas beaucoup confiance aux gens, j'ai un QI bien supérieur à la moyenne "chose que je n'aime pas dire mais ici ça pourra peut être aider" d'ailleurs ça me cause problème car j'ai du mal à m'entendre avec les personnes qui ne sont pas dotés de logique et étant une personne franche et nerveuse ça ne tarde pas à éclater

 

Comme c'est dit plus haut ma vie est bien rangée j'ai des parents qui m'aiment, un petit frère à rendre dingue le genre humain mais présent! mais tout ça apparemment ne me suffit pas. J'ai été élevé de façon un peu bourgeoise, il ne faut pas exprimer ses sentiments sur tous les toits, faire toujours comme si tout allait bien, faire très attention à rester polie et à garder les bonnes manières, bisous et les câlins n'étaient pas vraiment au programme, ce qui fait que j'ai énormément de mal à montrer mes sentiments aujourd'hui, J'ai été imprégnée de cette éducation jusqu'à l'âge de 5ans ou j'ai rencontré le monde éxtérieur "âge de ma scolarité" et je ne parlais que le français "sauf que je ne vie pas en France", ce qui fait que j'ai été un peu écarté du reste de la classe, j'avoue en passant que mes chers camarades n'avaient que faire de la politesse et des bonnes manières... du coup six ans de galère se suivirent!

 

Au collège et au lycée ça s'est passé un peu mieux mais les idées qui tourmentaient "pensées de suicide" ne m'ont pas permis de m'épanouir ni d'aller de l'avant (du côté social)

Aujourd'hui j'ai beaucoup lu en ce qui concerne la dépression mais un jour je suis tombée sur un article qui traitait de la bipolarité et j'avoue que les similitudes entre mon état et les symptômes m'ont perturbé, je m'explique:

 

-Il m'arrive de passer par plusieurs humeurs dans la journée, la semaine ou la quinzaine de jours, je passe de la fille super excitée à la dépressive en quelques heures ou alors je vis une semaine noire et puis deux jours bien, je tiens à préciser que les moments où je me sens bien ne durent jamais longtemps.

 

-Je souffre aussi de TOC,pour résumer c'est un peu Monk "mais à un degrés moindre ^^"

 

-Ce point plus précisément celui auquel je suis face et auquel je ne sais vraiment pas quoi faire car je suis arrivée à sortir de ma dépression grâce à un peu d'objectivité et de lucidité un moment je me sentais bien j'ai repris goût à la vie mais c'est ce problème qui me replonge et dont je n'arrive pas à m'en sortir.

Alors voilà j'ai la sérieuse conviction de croire que je suis pauvre même si je ne le suis pas "je vais dans une école privée, je suis véhiculée, je m'habille avec des vêtements aux prix limite incandescents", mais il n'en ai rien je me mets alors à en vouloir à mes parents, le leur faire savoir, les faire culpabiliser d'avoir eu deux enfants alors qu'ils n'en avaient pas les moyens, d'ailleurs ça cause le désarroi de ma maman, mon père étant souvent absent il ne se sent pas concerné plus que ça, j'ai beau essayer de me convaincre du contraire "du moment que c'est le cas" mais c'est impossible d'ailleurs rien qu'à cause de ça je repense au suicide

 

J'ai lu que c'était un des symptômes de la bipolarité alors je me suis dis que si c'est ça, ça m'expliquerai peut être pourquoi je n'arrive pas à passer outre,

Je m'adresse à vous car j'ai séché mes larmes cela fait deux ou trois heures et que là je me dis que c'est vraiment pas raisonnable et qu'il y a quelque chose qui ne va pas, mais je sais que ce moment de remise en question ne va pas durer et que dans pas longtemps je vais me remettre à me lamenter sur mon sort

 

Excusez moi je sens que mon texte n'est vraiment pas structuré mais malheureusement je suis incapable de relire et de corriger.

 

Pour finir, je sais que je vais peut être choquer plus d'un mais j'ai le sentiment de n'aimer personne sur cette terre même pas ma famille, même les personnes extérieurs "amis" je m'entends et je les aimes bien quelque temps mais je m'en lasse très vite"au bout d'un mois ou deux"

Tout ça sans parler des remises en question quotidiennes et le fait de se demander le sens de la vie à cause du quel j'ai senti avoir failli perdre la raison plus d'une fois!

 

Voilà je me suis exprimée de façon anarchique mais je souhaite vraiment avoir des réponses même si elles sont dure! Je me suis habituée à y faire face

Excusez moi je n'ai pas trouvé où placer mon sujet alors je me suis dis "santé, pourquoi pas!"

 

Merci!

 

 

Fais-toi aider par un thérapeute , tu verras comment lui saura analyser ton cas et retrouver l'origine de ta depression

Nous malgrés toute notre bonne volonté , on ne saura pas t'aider convenablement , mais tu pourras compter sur nous pour t'encourager et te soutenir :)

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Bonsoir,

 

Je sais qu'il se peut très bien que je ne sois pas bipolaire, par contre ce qui me dérange au plus haut point et qui ne semble gêner personne^^ c'est ce sentiment de personne infortunée, j'ai beau me remettre en question, remettre les idées claires dans ma caboche je n'arrive pas à m'en débarrasser! "je ne sais pas si vous trouvez ça normal ou si vous passez outre".

Sinon les changements d'humeur depuis le temps j'ai appris à gérer, les TOC ce n'est pas méchant du moment que ça ne touche que mes affaires personnelles, le point noir reste ce sentiment de pauvreté qui me vient subitement et qui me donne envie de tout abandonner.

Mon petit frère et moi c'est le jour et la nuit "pr le caractère", il est plus jeune que moi de trois ans, je n'ai pas été mise à l'écart lors de sa venue au monde j'ai toujours été la plus gâtée "même si lui non plus il n'a pas à se plaindre^^" il pique sa crise d'adolescence dont on ne voit pas le bout mais je le laisse dans son délire, il a ses amis, il sort, il s'amuse, on est pas vraiment complice, on s'entend bien mais ça s'arrête là.

 

Mon emploi du temps est bien rempli je prépare deux licences alors je vous laisse imaginer!! Et pour le sport j'ai fais du tennis, de la natation, du basket...et j'en passe mais j'abandonne toujours au bout d'un an!

 

Une fois quelqu'un m'a dit que tout ça est dû au fait que je sois égocentrique à l'extrême, j'avoue l'être un peu mais pas à ce point :/

 

.. La photo de profil d'Enygma résume un peu la situation^^, alors que tout va pour le mieux, qu'il y a des gens qui auraient raison d'être malheureux et qui ne le sont pas, moi je le suis!

 

Je vous remercie encore, et excusez mes sottises^^

Bonne nuit :)

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Guest Didine RAYAN

lamoii

 

 

 

 

Concentration, Surmenage, Asthénie, Dépression, Confusion, et au bout du parcours une Idée fixe du suicide, voilà, en quelques mots, un tout petit et humble résumé de ton état actuel. (C’est l’avis de Didine) -

 

Mais, je présume que tu ne vas au fond du problème. Tu nous caches un petit quelque chose que tu ne désires, inconsciemment ou pas (divulguer à tout venant et c’est ton droit le plus absolu).

 

C’est ce petit quelque chose – de refoulé, peut-être- et caché quelque part dans ton subconscient- qui a fait de toi ce que tu es actuellement ! Une libre esclave effrontée d’une misérable idée obsessionnelle qui empeste ta vie 7jours sur 7, qui traduit à lui seul ce changement brusque et brutale d’une attitude à une autre –

 

(Jalousie, complexe de culpabilité, carence affective, frustration, un post trauma juvenile?) Ellahou Alem. C’est ton psy qui le saura au fil de ses séances. Essaies d’être communicative avec lui. Sinon, restes avec nous, on fait une thérapie du groupe, tu n’en seras qu’étonnée du résultat

Bye:confused:

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Bonsoir.

 

Bonsoir Lamoii,

 

Je rejoins Didine, "la pauvreté" dont tu fais état n'est probablement pas financière. C'est la raison pour laquelle, je te proposais de réfléchir sur les relations parents-enfants, frères et soeurs. C'est peut-être une "carence", pauvreté affective. Tu penses peut-être que des parents ne peuvent apporter autant de preuves d'amour aux deux enfants. Que si ton frère n'était pas présent tu aurais eu davantage d'affection ( calins etc..). Peut-être que l'absence de ton père est mal vécu, si vous n'étiez pas deux, il travaillerait moins et serait plus présent. Peut-être que l'absence de ton père (force) disparaît avec lui, d'ou l'envie tout abandonner...cela peut-être tout et n'importe quoi, donc pour ma part, impossible de te répondre...

 

Tu écris souvent sur l'abandon :

 

Les loisirs : qu'est ce qui te fait réellement abandonner?

Pour quelles raisons as tu choisi de faire deux licences?

Une recherche de la perfection? pour quelles raisons? t'apporter une excuse qui dirait: j'ai un meilleur niveau que les autres, ils ne me comprennent pas, donc je m'en éloigne...Pour quelles raisons te font-ils peur?

Les toc, même choses...

L'euphorie puis la déprime : crois-tu que le bonheur, les plaisirs ne peuvent durer?

Le suicide est aussi un abandon de la vie, tu y penses oui, mais tu sais aussi que cela peut-être sans retour, ou le hadicap ad vitam aeternam. As-tu réellement envie de cet abandon?

De quoi as tu bénéficié (auquel tu tenais) à un moment donné dans ta vie, et que l'on t'a retiré ? ou parce que tu as grandi, tu ne peux plus en profiter?

Qu'est ce qui te fait peur?

Toutes les réponses que tu apporteras seront probablement dictées par le conscient...

Lorsque tu dis te lasser des gens parce qu'ils n'ont pas ta logique, ton niveau, c'est la réponse que donne le conscient, c'est pour cela que nous t'invitons à consulter, pour que tu puisses découvrir les vrais raisons de tes agissements, de tes réactions. Pour cela, il te faut te plonger dans les méandres de Mr le pénible inconscient. Un spécialiste pourra réellement t'aider, ce sera long, comme toute analyse, mais au fil des semaines, tu apprécieras les avancées. Et si tu souhaites réellement évoluer positivement, tu n'abandonneras probablement pas.

Pour ma part, je ne peux rien faire de plus que tenter de te faire comprendre l'interêt d'une analyse. Il faut aussi prendre le temps de choisir un bon spécialiste (ils ne se valent pas tous...).

 

J'espère que cela pourra t'aider.

Bonne nuit

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Bonjour,

 

Merci beaucoup Didine et Enygma j'avoue que vos interventions m'ont permis de lever le voile sur quelques points, aux quels je me demande comment ai-je fais pour ne pas y penser plus tôt!!

 

J'ai saisi! Effectivement je souffre de l'absence de mon paternel bien sûr ça je le savais déjà, mais ce que je viens de comprendre c'est que le fait que je ne sois pas sociable est certainement dû au fait que j'ai vécu la plupart de mon temps avec ma maman et mon petit frère "je tiens à signaler au passage qu'ils ont le même caractère et qu'ils s'entendent à merveille et que moi j'ai le même caractère que mon père avec lequel je m'entend très bien aussi mais que je ne vois qu'à raison de 10..20min/jr" je ne dis pas que ma maman m'a délaissé au profit de mon frère, pas du tout; mais étant toujours minoritaire lorsqu'on prend part à des sujets de discutions je finis toujours par céder de lassitude ..."bien sûr ce fameux mot qui revient à chaque fois!" ..car nos points de vue sont trop divergents !

 

Maintenant je ne sais pas si c'est à cause de ça que je me lasse vite des choses et que je n'arrive pas à m'entendre avec les personnes qui ne raisonnent pas comme moi "en l'occurrence les personnes qui raisonnent comme ma maman et mon frangin", mais c'est probablement ça!

 

Je sens que je ne vous remercierai jamais assez de m'avoir détourné la tête du sentiment de "pauvreté" que moi je croyais financière alors que... c'était mon plus gros problème, mais maintenant que j'ai compris que ce n'est pas forcément ça, bien évidemment je l'accepte tout à fait! Au moins là c'est clair :)

 

Ma phobie des gens..ça aussi résolu "enfin peut être^^"! Si mon raisonnement est bon ma maman m'a inculqué sa peur comme vous le savez tous durant la période du terrorisme les années 90', sécurité oblige il m'était interdit de parler à qui que ce soit, de faire très attention, d'être accompagnée et raccompagnée pour chaque déplacement même pour aller au primaire qui se trouve à 100m^^

 

Pour l'abandon des loisirs que je pratiquais j'avais cette aversion de dénigrer toute remarque désobligeante, dieu merci aujourd'hui j'ai bien changé!

 

Le fait de préparer deux licences n'est ni dû à la recherche d'une quelconque perfection, ni d'être de meilleur niveau que les autres... là je sais que vous allez vous marrez mais je me suis tout simplement lassée de la première, alors je me suis dis qu'en préparant une deuxième en parallèle peut être ça passera mieux :09:

 

Si vous remarquez que je divague totalement ou que je manque d'objectivité n'hésitez pas à me le dire, de plus que ça fait un peu plus de 24h que je n'ai pas dormis^^

 

Je vous souhaite une bonne journée :D

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Bonjour.

 

Bonsoir Lamoii,

 

Le souci est qu'il faut comprendre que certaines complications sont dûes à des facteurs inconscients difficiles à maîtriser par la compréhension et la bonne volonté. Donc ce n'est pas aussi simple. Tu es probablement soulagée ponctuellement, car le conscient t'a apporté quelques réponses qui semblent te satisfaire, donc profite de ce regain d'énergie pour entamer une démarche plus approfondie. J'espère donc sincèrement que tu consulteras un spécialiste qui te permettra réellement d'aller mieux et durablement. Cela ne peut être que positif.

 

Bonne nuit.

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Bonsoir :)

 

Oui je sais bien que c'est momentané et que ça ne règle rien mais déjà c'est une ou deux réponses qui me soulagent beaucoup, pour le spécialiste j'attend que le week end passe et je prendrai contact n'challah :)

 

Je vous souhaite une bonne nuit également !

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Bonsoir :)

 

Oui je sais bien que c'est momentané et que ça ne règle rien mais déjà c'est une ou deux réponses qui me soulagent beaucoup, pour le spécialiste j'attend que le week end passe et je prendrai contact n'challah :)

 

Je vous souhaite une bonne nuit également !

 

Je te remercie de me rassurer, j'avais un peu peur que tu te contentes de ces réponses...je suis aussi soulagée.

 

Merci :)

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faut de décider à mettre fin à ta souffrance, faut avoir énormément de force et volonté, on vit la même chose avec un membre de ma famille et crois moi, ça nous fait de peine de le voir cloitré dans son monde, on aimerai tant l'aider à s'en sortir, aussi, soit sure que même si tu as l'impression de n'aimer personne, les autres t'aiment beaucoup et pensent très fort à toi

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