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Mr R (enfin ceux qui sont derrière) tête de pont du sionisme ?


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Aprés les bizarres manip's "footballistiques" ,les "vérités journalistiques" d'el chourouk, les attaques "spontanées" des centres Djezzy ne voit-on pas ces derniers jours dans les "places stratégiques" d'Alger des jeunes avec de drôles de bonnêts auxquels "on" :crazy: a "rajouté" des tresses à la "rabin" :eek: ???

Celà est-il innocent?

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manip's footballistiques ??

vérités journalistiques" d'el chourouk????

des jeunes avec de drôles de bonnêts???????????????

de quoi est-il sujet au juste? :crazy:

 

si je me trompe pas

c'est les fruits de ce nouveau confli entre el watan et el chourouk

une nouvelle compagn contre el chourouk est lancée (en langue française cette fois ci et à l'algérienne)

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si je me trompe pas

c'est les fruits de ce nouveau confli entre el watan et el chourouk

une nouvelle compagn contre el chourouk est lancée (en langue française cette fois ci et à l'algérienne)

 

Au risque de te décevoir :( , je ne roule ni pour "El Watan" , ni pour un quelconque "baron" ;) et je n'ai aucun interêt matériel et/ou personnel à défendre (des gens qui disent la vérité il y en a même s'ils ne sont pas légion :cool:).

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Au risque de te décevoir :( , je ne roule ni pour "El Watan" , ni pour un quelconque "baron" ;) et je n'ai aucun interêt matériel et/ou personnel à défendre (des gens qui disent la vérité il y en a même s'ils ne sont pas légion :cool:).

 

Mais enfin qui est M. R. ?

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Mohamed Raouraoua :est un homme plein de ressources.

Il est à la tête de l'ANEP quand elle est la grande pourvoyeuse d'argent pour les nouvelles fortunes de la presse.

Il est à la tête de la Fédération algérienne de football quand les jeunes ont le choix entre le stade et le maquis.

Il préside l'année de l'Algérie en France quand les grands amis que sont devenus Abdelaziz Bouteflika et Jacques Chirac s'échangent des visites chaleureuses.

Il réussit même à se faire candidat à un vague et curieux poste de conseiller politique à la Fédération internationale de football (FIFA).

 

L'homme est partout.

 

Il est tellement présent qu'il réussit à être dans les bureaux de Rafik Abdelmoumène Khalifa, le jour où se décide la désignation du président de la FAF.

 

Car à en croire un des accusés de l'affaire Khalifa, l'élection de Mohamed Raouraoua à la tête de la Fédération s'est faite bien avant le passage devant les urnes.

 

Certes, toute l'Algérie savait qu'on n'atterrit pas dans un poste aussi sensible sur le simple mérite.

 

Mais on pensait que la décision se faisait ailleurs, dans des cercles plus huppés, chez des gens dignement drapés dans leur burnous de gérants de la République, ou chez ces fameux décideurs de l'ombre qui font et défont le pays.

 

Hélas, il n'en est rien.

Elle s'est faite dans le bureau de l'homme qui a détourné les plus grosses sommes de l'histoire de l'Algérie !

 

L'affaire Khalifa a confirmé, jusqu'à l'absurde, cette incroyable déliquescence des institutions et des moeurs.

 

Si incroyable qu'avec l'accord exceptionnel de la direction du Quotidien d'Oran,

je vais utiliser la première personne du singulier dans cet article:

j'ai honte de lire les comptes rendus de presse concernant l'affaire Khalifa,

j'ai honte de parler de cette affaire,

j'ai honte de penser que des gens qui ont été les ministres de mon pays, qui dirigent des grandes entreprises de mon pays, en soient arrivés à ce degré de bassesse pour aller quémander des billets d'avion et de l'argent de poche auprès d'une bande de malfaiteurs qui transféraient leur butin vers l'étranger, par millions d'euros dans de vulgaires sacs-poubelles, enfin, qui utilisaient l'argent du peuple pour acheter la complicité de hauts responsables en vue de détrousser le peuple.

 

L'ampleur du vol réalisé par le groupe Khalifa n'a d'égale que la variété des complicités et la diversité des réseaux de prédation que le milliardaire déchu a réussi à mettre en place.

Du notaire au directeur général d'entreprise, du ministre au responsable du contrôle, peu de professions ont été épargnées.

Sans oublier ceux qui ont fait l'apologie de Abdelmoumène Khalifa par toutes sortes de publication, articles de presse, livres ou films.

 

Mais plus que tout, cette affaire a d'abord révélé la déchéance morale et institutionnelle du pays.

 

Des milliards de dinars circulaient dans une illégalité totale sans qu'une conscience ne se rebelle, sans qu'un clignotant institutionnel ou légal ne s'allume, sans qu'un responsable politique en poste ne s'alarme.

Des ministres et des hauts responsables sont traînés en justice sans que l'un d'eux ose un geste minimal, pour montrer un brin de pudeur, en démissionnant.

 

Cela rappelle le commentaire de Abdou Benziane, qui s'étonnait, il y a bientôt vingt ans, qu'aucun haut responsable n'ait démissionné au lendemain des évènements d'octobre 1988.

 

Non, ils ne démissionnent pas.

 

Ils se justifient, s'accrochent à leurs postes, et ils ont la ferme intention de rester en place.

 

Pourquoi le feraient-ils ?

Il faut du cran, de la pudeur, de la morale et de la dignité pour le faire.

 

Des valeurs inconnues dans ce monde-là.

 

Si inconnues qu'un ancien moudjahid, au crépuscule de sa vie, a commencé à se poser des questions.

«Nous avons exécuté des Algériens parce qu'ils avaient refusé de payer 40 douros d'ichtirak»

 

pendant la guerre de libération, dit-il.

 

«J'ai toujours assumé, mais aujourd'hui, pour la première fois de ma vie, je me pose des questions sur le sens de mon action»,

 

dit-il.

 

Là se trouvent les plus grands dégâts de l'affaire Khalifa.

 

On peut, certes, trouver des explications dans un système politique absurde qui fabrique des monstres et leur offre fortune et pouvoir.

On peut étudier des mécanismes de corruption qui génèrent des fortunes miraculeuses.

 

On peut évoquer les dégâts d'une décennie de violence, et toutes les destructions sociales qu'elle provoque.

 

On peut même douter de l'honnêteté du procès, en insistant sur l'absence des principaux acteurs de l'affaire Khalifa et de leurs protecteurs réels ou supposés. On peut même dire qu'après tout, Mohamed Raouraoua était puissant avant Khalifa, qu'il l'est resté pendant l'essor de Khalifa et qu'il demeurera un homme en vue après Khalifa.

 

Mais tout ceci ne peut dissiper ce sentiment de colère et de honte face à un comportement qui mène, au bout du compte, à douter de soi.

 

A douter de ce qui fait une vie, un pays, à douter de valeurs qui donnent un sens à l'histoire.

 

Une honte mêlée de désespoir

 

aussi, lorsqu'on voit que les mécanismes qui ont généré Khalifa sont toujours en place, prêts à reproduire les mêmes scandales, les mêmes drames, les mêmes révoltes et les mêmes destructions.

 

Car le plus dur est dans ce dernier constat: après Khalifa, l'Algérie est toujours gérée comme avant l'affaire Khalifa.

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IL PARLE DE RAOURAOUA ?

JE PENSE !

 

Pas Raouraoura :cool:

J'ai précisé parceque des "choses ridicules" ont été dites à son propos .

Toutefois ce bonhomme est quand même une pierre maitresse de la "mascarade" mais malgré son "rang" ce n'est qu'un exécutant de bas-étage (avec tous mes respects):p

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Mohamed Raouraoua : L'entregent au service des rentiers !

 

Fonctionnaire à l'origine à l'ex-ministère de l'information, gravissant les échelons jusqu'à être sous-directeur puis directeur, il sera appelé à jouer un rôle-clé dans l'organisation du 1er festival panafricain d'Alger.

Directeur du centre culturel et d'information (CCI, ancêtre de l'ONCI), il avait en charge l'activité culturelle et surtout cinématographique.

Dans les années 1980, Mohamed Raouraoua dirigea la télévision nationale et assura la direction de l'ANEP, avant de se retirer et embrasser une carrière dans le secteur privé.

Il fera valoir, plusieurs années après, ses compétences dans le domaine culturel lorsqu'il est désigné commissaire de l'Année de l'Algérie en France

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Mohamed Raouraoua :est un homme plein de ressources.

Il est à la tête de l'ANEP quand elle est la grande pourvoyeuse d'argent pour les nouvelles fortunes de la presse.

Il est à la tête de la Fédération algérienne de football quand les jeunes ont le choix entre le stade et le maquis.

Il préside l'année de l'Algérie en France quand les grands amis que sont devenus Abdelaziz Bouteflika et Jacques Chirac s'échangent des visites chaleureuses.

Il réussit même à se faire candidat à un vague et curieux poste de conseiller politique à la Fédération internationale de football (FIFA).

 

L'homme est partout.

 

Il est tellement présent qu'il réussit à être dans les bureaux de Rafik Abdelmoumène Khalifa, le jour où se décide la désignation du président de la FAF.

 

Car à en croire un des accusés de l'affaire Khalifa, l'élection de Mohamed Raouraoua à la tête de la Fédération s'est faite bien avant le passage devant les urnes.

 

Certes, toute l'Algérie savait qu'on n'atterrit pas dans un poste aussi sensible sur le simple mérite.

 

Mais on pensait que la décision se faisait ailleurs, dans des cercles plus huppés, chez des gens dignement drapés dans leur burnous de gérants de la République, ou chez ces fameux décideurs de l'ombre qui font et défont le pays.

 

Hélas, il n'en est rien.

Elle s'est faite dans le bureau de l'homme qui a détourné les plus grosses sommes de l'histoire de l'Algérie !

 

L'affaire Khalifa a confirmé, jusqu'à l'absurde, cette incroyable déliquescence des institutions et des moeurs.

 

Si incroyable qu'avec l'accord exceptionnel de la direction du Quotidien d'Oran,

je vais utiliser la première personne du singulier dans cet article:

j'ai honte de lire les comptes rendus de presse concernant l'affaire Khalifa,

j'ai honte de parler de cette affaire,

j'ai honte de penser que des gens qui ont été les ministres de mon pays, qui dirigent des grandes entreprises de mon pays, en soient arrivés à ce degré de bassesse pour aller quémander des billets d'avion et de l'argent de poche auprès d'une bande de malfaiteurs qui transféraient leur butin vers l'étranger, par millions d'euros dans de vulgaires sacs-poubelles, enfin, qui utilisaient l'argent du peuple pour acheter la complicité de hauts responsables en vue de détrousser le peuple.

 

L'ampleur du vol réalisé par le groupe Khalifa n'a d'égale que la variété des complicités et la diversité des réseaux de prédation que le milliardaire déchu a réussi à mettre en place.

Du notaire au directeur général d'entreprise, du ministre au responsable du contrôle, peu de professions ont été épargnées.

Sans oublier ceux qui ont fait l'apologie de Abdelmoumène Khalifa par toutes sortes de publication, articles de presse, livres ou films.

 

Mais plus que tout, cette affaire a d'abord révélé la déchéance morale et institutionnelle du pays.

 

Des milliards de dinars circulaient dans une illégalité totale sans qu'une conscience ne se rebelle, sans qu'un clignotant institutionnel ou légal ne s'allume, sans qu'un responsable politique en poste ne s'alarme.

Des ministres et des hauts responsables sont traînés en justice sans que l'un d'eux ose un geste minimal, pour montrer un brin de pudeur, en démissionnant.

 

Cela rappelle le commentaire de Abdou Benziane, qui s'étonnait, il y a bientôt vingt ans, qu'aucun haut responsable n'ait démissionné au lendemain des évènements d'octobre 1988.

 

Non, ils ne démissionnent pas.

 

Ils se justifient, s'accrochent à leurs postes, et ils ont la ferme intention de rester en place.

 

Pourquoi le feraient-ils ?

Il faut du cran, de la pudeur, de la morale et de la dignité pour le faire.

 

Des valeurs inconnues dans ce monde-là.

 

Si inconnues qu'un ancien moudjahid, au crépuscule de sa vie, a commencé à se poser des questions.

 

 

pendant la guerre de libération, dit-il.

 

 

 

dit-il.

 

Là se trouvent les plus grands dégâts de l'affaire Khalifa.

 

On peut, certes, trouver des explications dans un système politique absurde qui fabrique des monstres et leur offre fortune et pouvoir.

On peut étudier des mécanismes de corruption qui génèrent des fortunes miraculeuses.

 

On peut évoquer les dégâts d'une décennie de violence, et toutes les destructions sociales qu'elle provoque.

 

On peut même douter de l'honnêteté du procès, en insistant sur l'absence des principaux acteurs de l'affaire Khalifa et de leurs protecteurs réels ou supposés. On peut même dire qu'après tout, Mohamed Raouraoua était puissant avant Khalifa, qu'il l'est resté pendant l'essor de Khalifa et qu'il demeurera un homme en vue après Khalifa.

 

Mais tout ceci ne peut dissiper ce sentiment de colère et de honte face à un comportement qui mène, au bout du compte, à douter de soi.

 

A douter de ce qui fait une vie, un pays, à douter de valeurs qui donnent un sens à l'histoire.

 

Une honte mêlée de désespoir

 

aussi, lorsqu'on voit que les mécanismes qui ont généré Khalifa sont toujours en place, prêts à reproduire les mêmes scandales, les mêmes drames, les mêmes révoltes et les mêmes destructions.

 

Car le plus dur est dans ce dernier constat: après Khalifa, l'Algérie est toujours gérée comme avant l'affaire Khalifa.

 

Raouraoua est l'image type de l'opportuniste :mdr: qui retourne toujours sa veste du bon côté (Ses ex amis Usmistes en savent quelquechose :crazy:) et qui a quand même bien "gagné" sa vie par le biais de "l'import-export" (au nom de son fils et en associaition avec un "ex-bonnet "):eek:

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Mohamed Raouraoua : L'entregent au service des rentiers !

 

Fonctionnaire à l'origine à l'ex-ministère de l'information, gravissant les échelons jusqu'à être sous-directeur puis directeur, il sera appelé à jouer un rôle-clé dans l'organisation du 1er festival panafricain d'Alger.

Directeur du centre culturel et d'information (CCI, ancêtre de l'ONCI), il avait en charge l'activité culturelle et surtout cinématographique.

Dans les années 1980, Mohamed Raouraoua dirigea la télévision nationale et assura la direction de l'ANEP, avant de se retirer et embrasser une carrière dans le secteur privé.

Il fera valoir, plusieurs années après, ses compétences dans le domaine culturel lorsqu'il est désigné commissaire de l'Année de l'Algérie en France

 

 

Il y a compétences et compétences :mdr: mais c'est sur que pour réussir en Algérie , il en faut des .......compétences :confused:

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Pas Raouraoura :cool:

J'ai précisé parceque des "choses ridicules" ont été dites à son propos .

Toutefois ce bonhomme est quand même une pierre maitresse de la "mascarade" mais malgré son "rang"

ce n'est qu'un exécutant de bas-étage (avec tous mes respects):p

c'est peut etre son sosie :mdr:

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Les "crétineries" egyptiennes mises de coté , il faut bien se rendre à l'évidence qu'un état capable d'organiser un pont aérien pour des centaines de délinquants , les utiliser pour terroriser les supporters d'un autres pays sur le sol d'un pays tiers et les rapatrier sans laisser de traces , ne peut être qu'un état mafieux , possédant un drapeau , une armée et surtout un peuple qu'il mène à la baguette .

 

Tout le reste ( Raouraoua , Khalifa et Cie) c'est des détails qui n'interressent que les puristes . ;)

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Mais c'est pas celui-là

 

c'est peut etre son sosie :mdr:

 

 

Ce n'est pas lui !

Raouraoua il "brasse" des centaines de milliers d'Euros (des millions au maximum) , Le Mr.R (enfin ceux qui sont derrière) pèse des "milliards d'Euros" :eek:

 

Grade est la différence cher ami :mdr:

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Les "crétineries" egyptiennes mises de coté , il faut bien se rendre à l'évidence qu'un état capable d'organiser un pont aérien pour des centaines de délinquants , les utiliser pour terroriser les supporters d'un autres pays sur le sol d'un pays tiers et les rapatrier sans laisser de traces , ne peut être qu'un état mafieux , possédant un drapeau , une armée et surtout un peuple qu'il mène à la baguette .

 

Tout le reste ( Raouraoua , Khalifa et Cie) c'est des détails qui n'interressent que les puristes . ;)

 

 

Même moi je n'osais pas utiliser le mot "maffieux" ;)

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Aprés les bizarres manip's "footballistiques" ,les "vérités journalistiques" d'el chourouk, les attaques "spontanées" des centres Djezzy ne voit-on pas ces derniers jours dans les "places stratégiques" d'Alger des jeunes avec de drôles de bonnêts auxquels "on" :crazy: a "rajouté" des tresses à la "rabin" :eek: ???

Celà est-il innocent?

 

Je crois que j'ai compris de qui il s'agissait. Il y a certes de gros bonnets derrière lui, mais djezzy aussi n'a pas accédé au marché algérien par enchantement.

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Même moi je n'osais pas utiliser le mot "maffieux" ;)

 

Le problème , c'est que ça fait la fierté de larges couches du peuple !

Nous sommes le seul peuple de la planète à glorifier et à mettre à jour avec delectation les hauts faits d'armes d'une régence de pirates , dont nous avons gardé la manie de la petite rapine au lieu des grandes conquêtes et des petites gloires de l'abordage par traitrise au lieu des grands desseins clairs et déclaré qui font les nations modernes .

Heureux sont Benboulaid , Didouche , Ben M'hidi , Abbane et tous les "véridiques" que Dieu a préservé de cette ignominie que nous vivons !

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Ce n'est pas lui !

Raouraoua il "brasse" des centaines de milliers d'Euros (des millions au maximum) , Le Mr.R (enfin ceux qui sont derrière) pèse des "milliards d'Euros" :eek:

 

Grade est la différence cher ami :mdr:

OK

SURTOUT SON ORIGINE YOUPINE

enfin je dirais c'est de la rétention et non dénonciation de maffieux coupablesde ta part !

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OK

SURTOUT SON ORIGINE YOUPINE

enfin je dirais c'est de la rétention et non dénonciation de maffieux coupablesde ta part !

 

Si c'est pour sortir ce genre d'insulte,autant quitter ce forum et laisser place aux gens plus tolerants.

S'etre battu pour l'Algerie,OK!! c'est bien mais ça ne donne pas tout les droits.

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OK

SURTOUT SON ORIGINE YOUPINE

enfin je dirais c'est de la rétention et non dénonciation de maffieux coupablesde ta part !

 

Pas du tout , j'ai bien précisé que ce n'était pas lui parcequ'on lui prête des origines juives (ce qui n'est ni une honte ni un privilège).

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