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Mr R (enfin ceux qui sont derrière) tête de pont du sionisme ?


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Monsieur R,bien que ma mere ma kat'aatlouche essorra,a eté magnifique contre les momies.Il etait a l'usma?Soustara kriba.Je vais voir.Son accent n'est pas beldi,d'apres moi.

 

Il les a bien "entubés" les gars de l'USMA en 2004 :eek:

Ils s'en remettent toujours pas les pauvres :mdr:

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Si c'est pour sortir ce genre d'insulte,autant quitter ce forum et laisser place aux gens plus tolerants.

S'etre battu pour l'Algerie,OK!! c'est bien mais ça ne donne pas tout les droits.

 

Je n'ai pas ouvert ce topic pour insulter Raouraoua pour ses "origines" d'abord ce n'est même pas lui dont il s'agit :mdr:

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Je crois que j'ai compris de qui il s'agissait. Il y a certes de gros bonnets derrière lui, mais djezzy aussi n'a pas accédé au marché algérien par enchantement.

 

Djezzy (Sawiris) a bien graissé les pattes mais il faut reconnaitre que personne ne voulait mettre autant de fric pour une licence de téléphonie mobile (40 millions de dollars offerts seulement par Orange contre 700 millions par Sawiris).

Il faut aussi reconnaitre que tout "investisseur en Algérie" se doit d'arroser un peu partout (de haut en bas et de bas en haut) sinon il ne bossera jamais ;)

A bon entendeur!!

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Si c'est pour sortir ce genre d'insulte,autant quitter ce forum et laisser place aux gens plus tolerants.

S'etre battu pour l'Algerie,OK!! c'est bien mais ça ne donne pas tout les droits.

 

ce n'est pas des insultes ! juste nommer ces origines

mm les israéliens sont fiers de rétablir l'état "juif "au sens propre du terme

Un état juif au lieu et place de la Palestine multi confessionnelle

pas israélien

ni israélite

ni hébreu !.

alors si tu en est un ?

T'es le seul à se sentir insulté !

moi je n'ai rien à cirer , pauvre arabe bédouin que je suis !!!

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Djezzy (Sawiris) a bien graissé les pattes mais il faut reconnaitre que personne ne voulait mettre autant de fric pour une licence de téléphonie mobile (40 millions de dollars offerts seulement par Orange contre 700 millions par Sawiris).

Il faut aussi reconnaitre que tout "investisseur en Algérie" se doit d'arroser un peu partout (de haut en bas et de bas en haut) sinon il ne bossera jamais ;)

A bon entendeur!!

 

Mais c'est qui R? celui qui veut acheter Djezzy?

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Mohamed Raouraoua :est un homme plein de ressources.

Il est à la tête de l'ANEP quand elle est la grande pourvoyeuse d'argent pour les nouvelles fortunes de la presse.

Il est à la tête de la Fédération algérienne de football quand les jeunes ont le choix entre le stade et le maquis.

Il préside l'année de l'Algérie en France quand les grands amis que sont devenus Abdelaziz Bouteflika et Jacques Chirac s'échangent des visites chaleureuses.

Il réussit même à se faire candidat à un vague et curieux poste de conseiller politique à la Fédération internationale de football (FIFA).

 

L'homme est partout.

 

Il est tellement présent qu'il réussit à être dans les bureaux de Rafik Abdelmoumène Khalifa, le jour où se décide la désignation du président de la FAF.

 

Car à en croire un des accusés de l'affaire Khalifa, l'élection de Mohamed Raouraoua à la tête de la Fédération s'est faite bien avant le passage devant les urnes.

 

Certes, toute l'Algérie savait qu'on n'atterrit pas dans un poste aussi sensible sur le simple mérite.

 

Mais on pensait que la décision se faisait ailleurs, dans des cercles plus huppés, chez des gens dignement drapés dans leur burnous de gérants de la République, ou chez ces fameux décideurs de l'ombre qui font et défont le pays.

 

Hélas, il n'en est rien.

Elle s'est faite dans le bureau de l'homme qui a détourné les plus grosses sommes de l'histoire de l'Algérie !

 

L'affaire Khalifa a confirmé, jusqu'à l'absurde, cette incroyable déliquescence des institutions et des moeurs.

 

Si incroyable qu'avec l'accord exceptionnel de la direction du Quotidien d'Oran,

je vais utiliser la première personne du singulier dans cet article:

j'ai honte de lire les comptes rendus de presse concernant l'affaire Khalifa,

j'ai honte de parler de cette affaire,

j'ai honte de penser que des gens qui ont été les ministres de mon pays, qui dirigent des grandes entreprises de mon pays, en soient arrivés à ce degré de bassesse pour aller quémander des billets d'avion et de l'argent de poche auprès d'une bande de malfaiteurs qui transféraient leur butin vers l'étranger, par millions d'euros dans de vulgaires sacs-poubelles, enfin, qui utilisaient l'argent du peuple pour acheter la complicité de hauts responsables en vue de détrousser le peuple.

 

L'ampleur du vol réalisé par le groupe Khalifa n'a d'égale que la variété des complicités et la diversité des réseaux de prédation que le milliardaire déchu a réussi à mettre en place.

Du notaire au directeur général d'entreprise, du ministre au responsable du contrôle, peu de professions ont été épargnées.

Sans oublier ceux qui ont fait l'apologie de Abdelmoumène Khalifa par toutes sortes de publication, articles de presse, livres ou films.

 

Mais plus que tout, cette affaire a d'abord révélé la déchéance morale et institutionnelle du pays.

 

Des milliards de dinars circulaient dans une illégalité totale sans qu'une conscience ne se rebelle, sans qu'un clignotant institutionnel ou légal ne s'allume, sans qu'un responsable politique en poste ne s'alarme.

Des ministres et des hauts responsables sont traînés en justice sans que l'un d'eux ose un geste minimal, pour montrer un brin de pudeur, en démissionnant.

 

Cela rappelle le commentaire de Abdou Benziane, qui s'étonnait, il y a bientôt vingt ans, qu'aucun haut responsable n'ait démissionné au lendemain des évènements d'octobre 1988.

 

Non, ils ne démissionnent pas.

 

Ils se justifient, s'accrochent à leurs postes, et ils ont la ferme intention de rester en place.

 

Pourquoi le feraient-ils ?

Il faut du cran, de la pudeur, de la morale et de la dignité pour le faire.

 

Des valeurs inconnues dans ce monde-là.

 

Si inconnues qu'un ancien moudjahid, au crépuscule de sa vie, a commencé à se poser des questions.

 

pendant la guerre de libération, dit-il.

 

 

 

dit-il.

 

Là se trouvent les plus grands dégâts de l'affaire Khalifa.

 

On peut, certes, trouver des explications dans un système politique absurde qui fabrique des monstres et leur offre fortune et pouvoir.

On peut étudier des mécanismes de corruption qui génèrent des fortunes miraculeuses.

 

On peut évoquer les dégâts d'une décennie de violence, et toutes les destructions sociales qu'elle provoque.

 

On peut même douter de l'honnêteté du procès, en insistant sur l'absence des principaux acteurs de l'affaire Khalifa et de leurs protecteurs réels ou supposés. On peut même dire qu'après tout, Mohamed Raouraoua était puissant avant Khalifa, qu'il l'est resté pendant l'essor de Khalifa et qu'il demeurera un homme en vue après Khalifa.

 

Mais tout ceci ne peut dissiper ce sentiment de colère et de honte face à un comportement qui mène, au bout du compte, à douter de soi.

 

A douter de ce qui fait une vie, un pays, à douter de valeurs qui donnent un sens à l'histoire.

 

Une honte mêlée de désespoir

 

aussi, lorsqu'on voit que les mécanismes qui ont généré Khalifa sont toujours en place, prêts à reproduire les mêmes scandales, les mêmes drames, les mêmes révoltes et les mêmes destructions.

 

Car le plus dur est dans ce dernier constat: après Khalifa, l'Algérie est toujours gérée comme avant l'affaire Khalifa.

 

 

 

Un cabinet médical à Paris , une "exclusivité" d'importation de parfums en Algérie , quelques biens immobiliers Parisiens entre autres , Raouraoua a bien profité de Khalifa :crazy:

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Mohamed Raouraoua :est un homme plein de ressources.

Il est à la tête de l'ANEP quand elle est la grande pourvoyeuse d'argent pour les nouvelles fortunes de la presse.

Il est à la tête de la Fédération algérienne de football quand les jeunes ont le choix entre le stade et le maquis.

Il préside l'année de l'Algérie en France quand les grands amis que sont devenus Abdelaziz Bouteflika et Jacques Chirac s'échangent des visites chaleureuses.

Il réussit même à se faire candidat à un vague et curieux poste de conseiller politique à la Fédération internationale de football (FIFA).

 

L'homme est partout.

 

Il est tellement présent qu'il réussit à être dans les bureaux de Rafik Abdelmoumène Khalifa, le jour où se décide la désignation du président de la FAF.

 

Car à en croire un des accusés de l'affaire Khalifa, l'élection de Mohamed Raouraoua à la tête de la Fédération s'est faite bien avant le passage devant les urnes.

 

Certes, toute l'Algérie savait qu'on n'atterrit pas dans un poste aussi sensible sur le simple mérite.

 

Mais on pensait que la décision se faisait ailleurs, dans des cercles plus huppés, chez des gens dignement drapés dans leur burnous de gérants de la République, ou chez ces fameux décideurs de l'ombre qui font et défont le pays.

 

Hélas, il n'en est rien.

Elle s'est faite dans le bureau de l'homme qui a détourné les plus grosses sommes de l'histoire de l'Algérie !

 

L'affaire Khalifa a confirmé, jusqu'à l'absurde, cette incroyable déliquescence des institutions et des moeurs.

 

Si incroyable qu'avec l'accord exceptionnel de la direction du Quotidien d'Oran,

je vais utiliser la première personne du singulier dans cet article:

j'ai honte de lire les comptes rendus de presse concernant l'affaire Khalifa,

j'ai honte de parler de cette affaire,

j'ai honte de penser que des gens qui ont été les ministres de mon pays, qui dirigent des grandes entreprises de mon pays, en soient arrivés à ce degré de bassesse pour aller quémander des billets d'avion et de l'argent de poche auprès d'une bande de malfaiteurs qui transféraient leur butin vers l'étranger, par millions d'euros dans de vulgaires sacs-poubelles, enfin, qui utilisaient l'argent du peuple pour acheter la complicité de hauts responsables en vue de détrousser le peuple.

 

L'ampleur du vol réalisé par le groupe Khalifa n'a d'égale que la variété des complicités et la diversité des réseaux de prédation que le milliardaire déchu a réussi à mettre en place.

Du notaire au directeur général d'entreprise, du ministre au responsable du contrôle, peu de professions ont été épargnées.

Sans oublier ceux qui ont fait l'apologie de Abdelmoumène Khalifa par toutes sortes de publication, articles de presse, livres ou films.

 

Mais plus que tout, cette affaire a d'abord révélé la déchéance morale et institutionnelle du pays.

 

Des milliards de dinars circulaient dans une illégalité totale sans qu'une conscience ne se rebelle, sans qu'un clignotant institutionnel ou légal ne s'allume, sans qu'un responsable politique en poste ne s'alarme.

Des ministres et des hauts responsables sont traînés en justice sans que l'un d'eux ose un geste minimal, pour montrer un brin de pudeur, en démissionnant.

 

Cela rappelle le commentaire de Abdou Benziane, qui s'étonnait, il y a bientôt vingt ans, qu'aucun haut responsable n'ait démissionné au lendemain des évènements d'octobre 1988.

 

Non, ils ne démissionnent pas.

 

Ils se justifient, s'accrochent à leurs postes, et ils ont la ferme intention de rester en place.

 

Pourquoi le feraient-ils ?

Il faut du cran, de la pudeur, de la morale et de la dignité pour le faire.

 

Des valeurs inconnues dans ce monde-là.

 

Si inconnues qu'un ancien moudjahid, au crépuscule de sa vie, a commencé à se poser des questions.

 

pendant la guerre de libération, dit-il.

 

 

 

dit-il.

 

Là se trouvent les plus grands dégâts de l'affaire Khalifa.

 

On peut, certes, trouver des explications dans un système politique absurde qui fabrique des monstres et leur offre fortune et pouvoir.

On peut étudier des mécanismes de corruption qui génèrent des fortunes miraculeuses.

 

On peut évoquer les dégâts d'une décennie de violence, et toutes les destructions sociales qu'elle provoque.

 

On peut même douter de l'honnêteté du procès, en insistant sur l'absence des principaux acteurs de l'affaire Khalifa et de leurs protecteurs réels ou supposés. On peut même dire qu'après tout, Mohamed Raouraoua était puissant avant Khalifa, qu'il l'est resté pendant l'essor de Khalifa et qu'il demeurera un homme en vue après Khalifa.

 

Mais tout ceci ne peut dissiper ce sentiment de colère et de honte face à un comportement qui mène, au bout du compte, à douter de soi.

 

A douter de ce qui fait une vie, un pays, à douter de valeurs qui donnent un sens à l'histoire.

 

Une honte mêlée de désespoir

 

aussi, lorsqu'on voit que les mécanismes qui ont généré Khalifa sont toujours en place, prêts à reproduire les mêmes scandales, les mêmes drames, les mêmes révoltes et les mêmes destructions.

 

Car le plus dur est dans ce dernier constat: après Khalifa, l'Algérie est toujours gérée comme avant l'affaire Khalifa.

 

 

 

Un cabinet médical à Paris , une "exclusivité" d'importation de parfums en Algérie , quelques biens immobiliers Parisiens (au nom de sa "descendance" bien entendu entre autres , Raouraoua a bien profité de Khalifa :crazy:

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Mohamed Raouraoua :est un homme plein de ressources.

Il est à la tête de l'ANEP quand elle est la grande pourvoyeuse d'argent pour les nouvelles fortunes de la presse.

Il est à la tête de la Fédération algérienne de football quand les jeunes ont le choix entre le stade et le maquis.

Il préside l'année de l'Algérie en France quand les grands amis que sont devenus Abdelaziz Bouteflika et Jacques Chirac s'échangent des visites chaleureuses.

Il réussit même à se faire candidat à un vague et curieux poste de conseiller politique à la Fédération internationale de football (FIFA).

 

L'homme est partout.

 

Il est tellement présent qu'il réussit à être dans les bureaux de Rafik Abdelmoumène Khalifa, le jour où se décide la désignation du président de la FAF.

 

Car à en croire un des accusés de l'affaire Khalifa, l'élection de Mohamed Raouraoua à la tête de la Fédération s'est faite bien avant le passage devant les urnes.

 

Certes, toute l'Algérie savait qu'on n'atterrit pas dans un poste aussi sensible sur le simple mérite.

 

Mais on pensait que la décision se faisait ailleurs, dans des cercles plus huppés, chez des gens dignement drapés dans leur burnous de gérants de la République, ou chez ces fameux décideurs de l'ombre qui font et défont le pays.

 

Hélas, il n'en est rien.

Elle s'est faite dans le bureau de l'homme qui a détourné les plus grosses sommes de l'histoire de l'Algérie !

 

L'affaire Khalifa a confirmé, jusqu'à l'absurde, cette incroyable déliquescence des institutions et des moeurs.

 

Si incroyable qu'avec l'accord exceptionnel de la direction du Quotidien d'Oran,

je vais utiliser la première personne du singulier dans cet article:

j'ai honte de lire les comptes rendus de presse concernant l'affaire Khalifa,

j'ai honte de parler de cette affaire,

j'ai honte de penser que des gens qui ont été les ministres de mon pays, qui dirigent des grandes entreprises de mon pays, en soient arrivés à ce degré de bassesse pour aller quémander des billets d'avion et de l'argent de poche auprès d'une bande de malfaiteurs qui transféraient leur butin vers l'étranger, par millions d'euros dans de vulgaires sacs-poubelles, enfin, qui utilisaient l'argent du peuple pour acheter la complicité de hauts responsables en vue de détrousser le peuple.

 

L'ampleur du vol réalisé par le groupe Khalifa n'a d'égale que la variété des complicités et la diversité des réseaux de prédation que le milliardaire déchu a réussi à mettre en place.

Du notaire au directeur général d'entreprise, du ministre au responsable du contrôle, peu de professions ont été épargnées.

Sans oublier ceux qui ont fait l'apologie de Abdelmoumène Khalifa par toutes sortes de publication, articles de presse, livres ou films.

 

Mais plus que tout, cette affaire a d'abord révélé la déchéance morale et institutionnelle du pays.

 

Des milliards de dinars circulaient dans une illégalité totale sans qu'une conscience ne se rebelle, sans qu'un clignotant institutionnel ou légal ne s'allume, sans qu'un responsable politique en poste ne s'alarme.

Des ministres et des hauts responsables sont traînés en justice sans que l'un d'eux ose un geste minimal, pour montrer un brin de pudeur, en démissionnant.

 

Cela rappelle le commentaire de Abdou Benziane, qui s'étonnait, il y a bientôt vingt ans, qu'aucun haut responsable n'ait démissionné au lendemain des évènements d'octobre 1988.

 

Non, ils ne démissionnent pas.

 

Ils se justifient, s'accrochent à leurs postes, et ils ont la ferme intention de rester en place.

 

Pourquoi le feraient-ils ?

Il faut du cran, de la pudeur, de la morale et de la dignité pour le faire.

 

Des valeurs inconnues dans ce monde-là.

 

Si inconnues qu'un ancien moudjahid, au crépuscule de sa vie, a commencé à se poser des questions.

 

 

pendant la guerre de libération, dit-il.

 

 

 

dit-il.

 

Là se trouvent les plus grands dégâts de l'affaire Khalifa.

 

On peut, certes, trouver des explications dans un système politique absurde qui fabrique des monstres et leur offre fortune et pouvoir.

On peut étudier des mécanismes de corruption qui génèrent des fortunes miraculeuses.

 

On peut évoquer les dégâts d'une décennie de violence, et toutes les destructions sociales qu'elle provoque.

 

On peut même douter de l'honnêteté du procès, en insistant sur l'absence des principaux acteurs de l'affaire Khalifa et de leurs protecteurs réels ou supposés. On peut même dire qu'après tout, Mohamed Raouraoua était puissant avant Khalifa, qu'il l'est resté pendant l'essor de Khalifa et qu'il demeurera un homme en vue après Khalifa.

 

Mais tout ceci ne peut dissiper ce sentiment de colère et de honte face à un comportement qui mène, au bout du compte, à douter de soi.

 

A douter de ce qui fait une vie, un pays, à douter de valeurs qui donnent un sens à l'histoire.

 

Une honte mêlée de désespoir

 

aussi, lorsqu'on voit que les mécanismes qui ont généré Khalifa sont toujours en place, prêts à reproduire les mêmes scandales, les mêmes drames, les mêmes révoltes et les mêmes destructions.

 

Car le plus dur est dans ce dernier constat: après Khalifa, l'Algérie est toujours gérée comme avant l'affaire Khalifa.

 

 

 

Un cabinet médical à Paris , une "exclusivité" d'importation de parfums en Algérie , quelques biens immobiliers Parisiens (au nom de sa "descendance" bien entendu :mdr:) entre autres , Raouraoua a bien profité de Khalifa :crazy:

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Doka bdik anta ganitt?:pChenoui va!!!:mdr::mdr:

 

Pas du tout :crazy: alors là pas du tout !!

C'est juste pour démontrer toute l'étendue "opportunistique" de Raouraoua qui passe du supporter acharné du club (il se déplaçait même à l'intérieur du pays pour supporter l'USMA dans sa tendre jeunesse ) au comploteur contre cette même USMA (avec Hannachi et Serrar et un scenario machiavélique :eek:) Tout simplement parcequ'il est en relation d'affaires avec un sponsor (qui est maintenant tout proche de la prison:D) de la JSK et ami personnel de Hannachi!

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Tiens tiens !!!

 

Pourquoi parler de Raouraoua l'éxécutant :roflmao:et pas du vrai Mr R (et ceux qui sont derrière) :gossip:??

Y aurait-il volonté délibérée de détourner les débats et de ne mettre en avant que les lampistes ???? :eek::mdr: :mdr: :mdr:

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j'ai saisi un peu...

 

Pas du tout :crazy: alors là pas du tout !!

C'est juste pour démontrer toute l'étendue "opportunistique" de Raouraoua qui passe du supporter acharné du club (il se déplaçait même à l'intérieur du pays pour supporter l'USMA dans sa tendre jeunesse ) au comploteur contre cette même USMA (avec Hannachi et Serrar et un scenario machiavélique :eek:) Tout simplement parcequ'il est en relation d'affaires avec un sponsor (qui est maintenant tout proche de la prison:D) de la JSK et ami personnel de Hannachi!

Le foot?c'est pas mon truc...mais je reste USMISTE!!!:cool:
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ce n'est pas des insultes ! juste nommer ces origines

mm les israéliens sont fiers de rétablir l'état "juif "au sens propre du terme

Un état juif au lieu et place de la Palestine multi confessionnelle

pas israélien

ni israélite

ni hébreu !.

alors si tu en est un ?

T'es le seul à se sentir insulté !

moi je n'ai rien à cirer , pauvre arabe bédouin que je suis !!!

 

monsieur Lyes, j'ai cru comprendre que vous etes un "revolutionnaire" je vous pose la question : aussi respectable soit til votre combat, a quoi a t -il servit?

faut pas se leurrer, un etat juif ne peut etre que celui d'israeln un etat d'israel ne meut etre qu'israelite, et un israeliste ne peut etre qu'hebreux.

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kahla ou hamra d'el-okbi el-doka!!!:mdr:

 

Donc, si on recommence à parler foot dans ce topic, c'est qu'on ne saura jamais qui est M. R., par Raouraoua, pas Donald Rumsfield, pote de Bush jr...Dans ce cas c'est peut-être Ronaldo ou Rummenigge ou Rijkaard...

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Donc, si on recommence à parler foot dans ce topic, c'est qu'on ne saura jamais qui est M. R., par Raouraoua, pas Donald Rumsfield, pote de Bush jr...Dans ce cas c'est peut-être Ronaldo ou Rummenigge ou Rijkaard...

 

Monsieur R (enfin ceux qui sont derrière) est celui qui devait (et qui va ?:crazy: ) être le grand bénéficiare de la crise Algéro-Egyptienne :p

 

Voilà pour le dernier indice :mdr:

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Monsieur R (enfin ceux qui sont derrière) est celui qui devait (et qui va ?:crazy: ) être le grand bénéficiare de la crise Algéro-Egyptienne :p

 

Voilà pour le dernier indice :mdr:

surement le Rab....QUI VA ACHETER DJEZZY pour des sous par son ami Ouyaya !

 

hihihi

fin de la charade

wallah j'ai su avant la lecture de ce post ladoz mon ami .

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Aprés les bizarres manip's "footballistiques" ,les "vérités journalistiques" d'el chourouk, les attaques "spontanées" des centres Djezzy ne voit-on pas ces derniers jours dans les "places stratégiques" d'Alger des jeunes avec de drôles de bonnêts auxquels "on" :crazy: a "rajouté" des tresses à la "rabin" :eek: ???

Celà est-il innocent?

 

Maintenant qu'on est à peu près d'accord sur l'identité de M. R., la question était tête de pont du sionisme?

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Débat dévié , attention à la manip !!

 

ah que la judeo-berberie a la peau dure !!!!

mes excuses pour nos israélites des aurés !!!

 

 

Pourquoi emmener le débat vers des directions pareilles?

Certains , de par leur origine "ethnique" (ce que je réfute comme débat mais que toi tu balances) , devraient être exempts de tout reproche ou de toute critique ?

La victimisation .................:mdr::mdr::mdr::mdr:

On ne me la fait pas à moi cette histoire de Berbères et d'arabes :crazy::crazy:

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