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Je suis un éradicateur !


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bonjour

addellah vous passe le bonjour

c'est un bonjour d'eradicateur !

sobriquet : que nous collent tous les gens qui tiennent la canne par le milieu dans la tragédie de l'Algérie moderne contre les islamistes politiques .

c'est cette apostrophe ?

dans un des topics de ce forum qui m'a poussé à m'inscrire chez vous pour débattre avec ceux qui l'utilisent comme une insulte contre tous les vaillants patriotes algériens .

patriotiquement votre !

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bonjour

addellah vous passe le bonjour

c'est un bonjour d'eradicateur !

sobriquet : que nous collent tous les gens qui tiennent la canne par le milieu dans la tragédie de l'Algérie moderne contre les islamistes politiques .

c'est cette apostrophe ?

dans un des topics de ce forum qui m'a poussé à m'inscrire chez vous pour débattre avec ceux qui l'utilisent comme une insulte contre tous les vaillants patriotes algériens .

patriotiquement votre !

 

:p:p:p:p:p

Tu crois vraiment en cette histoire de conflit entre Algérie modene et Islamistes ??

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bonjour !

depuis la date de mon post ci dessus qui fut la véritable raison de mon inscription dans votre honorable forum !

pour répondre à un amalgame sur éradicateurs et radicaux extrémistes ; j'ai remarqué l'absence de débatteurs sur la question .

j'ignore la cause :

soit c'est ma spontanéité qui braque

soit que le sujet fut replacé

Alors ! une dernière fois je relance le sujet pour présenter les patriotes supposés et taxés injustement "éradicateurs "d'Algérie .

 

Avec ! en esprit la mémoire de mes frères patriotes tombés sous le sabre des charlatans islamistes avec leur soutien : les supposés "conservateurs " .

En premier rang :

le frère dirigeant syndicaliste abdelhak benhamouda : assassiné froidement devant sa centrale à bout portant .

passe_comme_ca_droit&art3&2008-12-13img1.jpg

 

 

 

IL était 13 h 30. Abdelhak Benhamouda sortait de la Maison du peuple, le siège de l’UGTA, la centrale syndicale.

Au moment où il s’apprêtait à monter dans son véhicule, il a été assassiné de plusieurs balles.

D’après un journaliste, présent sur les lieux, quatre hommes, âgés entre vingt et vingt-cinq ans, armés d’armes de poing et d’une kalachnikov, ont ouvert le feu dans sa direction.

Le leader syndical, qui était armé, a réussi à dégainer et à ouvrir le feu en direction de ses agresseurs blessant l’un d’entre eux. Benhamouda a été touché de plusieurs balles au visage et au thorax et, dit-on, à la base de la nuque.

Son garde du corps et chauffeur, Omar, qui avait riposté, a été touché et achevé par l’un des tueurs.

M. Bouderbala, gardien du siège, a également été tué lors de la fusillade, au moment où, armé, il a tenté de porter secours au leader syndical.

 

Pendant qu’il agonisait dans les bras d’un de ses compagnons, Benhamouda aurait prononcé cette phrase :

« Kamel, mon frère, ils nous ont trahis ».

Les syndicalistes présents, ses compagnons, étaient sous le choc, arrivant difficilement à contenir leur émotion.

Il faudra s’attendre à un arrêt de travail national, ce mercredi, jour de ses obsèques, et peut-être à une grande réaction populaire.

 

Les tueurs se sont enfuis vers le centre du quartier de Belcourt en emmenant avec eux leur compagnon blessé lors de la fusillade, protégeant leur fuite en tirant des coups de feu.

 

Abdelhak Benhamouda avait déjà été victime d’une tentative d’assassinat en 1993 au moment où il quittait son domicile, cité Garady, à Kouba, dans la banlieue d’Alger.

Blessé par des éclats de pare-brise au visage, il s’en était sorti grâce à son chauffeur qui avait démarré au moment où les tueurs s’apprêtaient à ouvrir le feu.

Une année plus tard, son frère et son oncle étaient assassinés à Constantine dans l’est algérien, ville dont il est originaire.

 

Une stature et une popularité

 

Depuis, hormis son chauffeur qui lui servait de garde du corps, Abdelhak Benhamouda avait refusé une protection rapprochée.

Et devant le siège de l’UGTA, hormis les jours où se tenaient des assemblées générales de syndicalistes, l’endroit n’était pas particulièrement surveillé.

Seules les voitures appartenant aux syndicalistes qui venaient en visite ou se rendaient à une réunion étaient autorisées à stationner.

De plus, cette esplanade était un lieu public où il y avait du monde à toutes les heures de la journée.

Il était donc facile à des tueurs déterminés d’atteindre le leader syndical pour peu qu’ils aient une connaissance parfaite de ses habitudes.

 

Le président Zeroual a réagi en déclarant :

« En perdant ce vaillant homme, tenace militant syndical, l’Algérie en général et les travailleurs en particulier perdent un des hommes les plus sincères envers leur patrie. »

 

En assassinant Benhamouda, le plus populaire dirigeant syndical que l’Algérie ait eu, les commanditaires de ce crime ont frappé un grand coup.

Dans un récent entretien au journal « le Matin », Benhamouda déclarait qu’il allait quitter le syndicalisme pour fonder un parti.

 

« Notre mouvement sera celui du renouveau et du changement, indiquait le dirigeant syndical.

Dans la ligne des sociaux-démocrates, un mouvement qui défende l’ordre républicain, les libertés individuelles et collectives »,

et qui proposera une « alternative économique, sociale et politique »

.

 

Ce parti que s’apprêtait à lancer Benhamouda avait la caution, dit-on, du président Zeroual.

Ce dernier, dans la perspective des prochaines élections législatives, avait besoin d’un parti politique qui morde sur cette partie de l’électorat déçu à la fois par le libéralisme économique et par les divisions des forces démocrates et en mesure de contrer l’islamisme dit modéré.

Et pour réussir un tel pari politique, seul un homme à la stature de Benhamouda pouvait le faire.

Une stature et une popularité demeurée pratiquement intacte.

 

Article paru le 29 janvier 1997 dans l'humanité .

Hassane Zerrouki

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Bonjour Abd-Allah

Peut être que ton sujet n'est pas à la bonne place , c'est politique et d'un autre côté je crois que les gens ont en marre de parler toujours des mêmes problèmes qui n'ont pas de solutions et ne se basent que sur les paroles de rancunes et de haine ..dumoins c'est mon point de vue personnel .Bonne continuation

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Bonjour Abd-Allah

Peut être que ton sujet n'est pas à la bonne place , c'est politique et d'un autre côté je crois que les gens ont en marre de parler toujours des mêmes problèmes qui n'ont pas de solutions et ne se basent que sur les paroles de rancunes et de haine ..dumoins c'est mon point de vue personnel .Bonne continuation

 

bonjour ghazal !

merci d'y répondre !

juste une question ?

Sommes nous devenus amnésiques ?

Pourtant ! c'étaient de glorieux républicains et de valeureux algériens !

ce n'est de la haine ou de la rancune !

mais un devoir de mémoire et de vérité quand des gens suffisants les assimilent avec des radicaux extrémistes avec mépris .

 

Que la paix et l'amour règnent dans notre patrie !

mais il faut appeler un chat : un chat .

 

ET la liste des patriotes assassinés par les traitres à la religion et a la patrie est longue .

 

Voici une liste exhaustive des plus en vue à l'époque contre la "doula islamia "des charlatans et leurs soutiens "conservateurs" .

 

Toutes les autres personnalités liquidées l'une après l'autre.

On peut citer

Mohamed Boudiaf,

Kasdi Merbah,

Aboubakr Belkaïd

Mohamed Hardi

le général Fodhil Saïdi,

Youcef Fathallah,

Djilali Lyabès,

Tahar Djaout,

Mohamed Boukhobza,

Ahmed Hambli,

Djillali Belkenchir,

Saïd Mekbel,

le colonel Redouane Sari,

le colonel Salah,

le général à la retraite Habib Khelil

le général Mohamed Boutighane,

le chanteur Matoub Lounès

etc etc etc plus d'une centaine de milliers de patriotes sincères .

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un autre patriote "éradicateur"

 

Djilali Liabès

 

un autre patriote "éradicateur"

liabes.gif

 

Ce post est à la mémoire d'une des personnalités intellectuelles du pays ( chercheurs et universitaires, notamment des sociologues de renom ) ayant payé de leur vie le prix de leur engagement .

 

Parce que sa vie a été consacrée à la réflexion et à la recherche,

 

Feu le professeur Djillali LIABES est né en 1948 à Sidi Bel Abbés.

Il a poursuivi ses études primaires et secondaires dans sa ville natale notamment au lycée Azza Abdelkader (ex lycée El Djala) où il a obtenu son baccalauréat en 1967 en série Lettres.

Ses études supérieures à l'université d'Alger lui ont permis d'obtenir une licence en philosophie et en sciences sociales, il a obtenu son doctorat 3ème cycle et un doctorat d'état en littérature et sciences humaines.

 

Il a été désigné Ministre des Universités en 1991, puis ministre des universités et de la recherche scientifique en 1992. il a occupé par ailleurs le poste de ministre de l'éducation nationale par intérim de juin 1992 à octobre 1992.

Nommé en octobre 1992 Directeur de l'Institut des Hautes Etudes Stratégiques Globales, il a présenté un rapport d'analyse sur les Perspectives de Développement de la Société algérienne.

 

Entre autres activités, il a présenté une conférence intitulée :

Les pays du Tiers Monde et la Nouvelle Organisation Mondiale.

 

Ses productions littéraires sont nombreuses.

 

Djillali LIABES fut assassiné à bout portant devant son immeuble le 16 mars 1993 à Kouba (Alger).

 

 

Il nous avait parlé d'un rêve prémonitoire dans lequel il voyait l'Algérie à feu et à sang, il se voyait ministre, ensuite assassiné.

" Mon enterrement sera comme celui de Boumediène mais en plus petit. Si ce dont j'ai rêvé devait m'arriver, il faut que je termine tout ce que j'ai entrepris

Ceci est le témoignage d'une ancienne collègue de Djillali Liabès à l'époque où il travaillait au Centre de recherches et d'études appliquées en développement (Cread) .

nous avait-il dit.

Une vie qu'il consacra au bien-être du pays et au service de la science, avant son assassinat devant son modeste domicile à Kouba, en 1993.

 

Ses travaux se sont intéressés, entre autres, à la fin des années 1960, à l'aspect économique, précisément au secteur privé et aux entreprises publiques pour diriger, ensuite, et pendant quelques années, plusieurs études au niveau du Cread.

 

Avant son dernier poste en qualité de directeur général de l'Institut national des études stratégiques et globales (INESG), il fut ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

B] Sa présence dans le « pouvoir » n'était autre qu'un prolongement de ses convictions personnelles et non point un quelconque intérêt pour la responsabilité, comme le témoignait si bien la modestie qui le caractérisait[/b]

 

Liabès était l'un des rares à allier une fonction officielle avec une autre pédagogique, en ce sens qu'il continuait ses travaux de recherche.

 

Et c'est à ce titre qu'il fut président de la commission nationale 2005, installée en 1992 par les pouvoirs publics pour réfléchir sur le devenir du pays à cette échéance.

 

comme témoignera une autre collègue du Cread,

 

« L'assassinat des intellectuels a réduit l'espace d'expression nécessaire à la vie et à la survie de la nation »,

 

a déclaré Amine khan un jour .

« Liabès a parlé de sujets qui peuvent paraître banals dans d'autres pays mais qui posent problème en Algérie.

Décortiquer les caractéristiques du système politique, la relation du politique avec l'économique »

raconte Nacer Djabi, sociologue.

Ce dernier insiste sur l'homme de terrain que fut Liabès qui ne se contentait pas d'idées stériles.

 

Ses amis etaient des chercheurs, des scientifiques, des universitaires, des hommes politiques ;

parmi elles:

 

Ahmed Benbitour

Daho Djerbal

M. Kadri

Ali El Kenz,

Tahar Kaci,

Rachid Sidi Boumediène

Fatma Oussedik .

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Djilali Lyabès

 

un autre patriote "éradicateur"

 

 

 

Feu le professeur Djillali LIABES est né en 1948 à Sidi Bel Abbés. Il a poursuivi ses études primaires et secondaires dans sa ville natale notamment au lycée Azza Abdelkader (ex lycée El Djala) où il a obtenu son baccalauréat en 1967 en série Lettres. Ses études supérieures à l'université d'Alger lui ont permis d'obtenir une licence en philosophie et en sciences sociales, il a obtenu son doctorat 3ème cycle et un doctorat d'état en littérature et sciences humaines.

 

Il a été désigné Ministre des Universités en 1991, puis ministre des universités et de la recherche scientifique en 1992. il a occupé par ailleurs le poste de ministre de l'éducation nationale par intérim de juin 1992 à octobre 1992. Nommé en octobre 1992 Directeur de l'Institut des Hautes Etudes Stratégiques Globales, il a présenté un rapport d'analyse sur les Perspectives de Développement de la Société algérienne.

 

Entre autres activités, il a présenté une conférence intitulée :

Les pays du Tiers Monde et la Nouvelle Organisation Mondiale.

 

Ses productions littéraires sont nombreuses.

 

Djillali LIABES fut assassiné à bout portant devant son immeuble le 16 mars 1993 à Kouba (Alger).

 

 

Je tiens à vous raconter ce que nous avait dit un jour Liabès.

 

Il nous avait parlé d'un rêve prémonitoire dans lequel il voyait l'Algérie à feu et à sang, il se voyait ministre, ensuite assassiné.

 

nous avait-il dit.

Ceci est le témoignage d'une ancienne collègue de Djillali Liabès à l'époque où il travaillait au Centre de recherches et d'études appliquées en développement (Cread).

Elle a tenu hier à le partager avec l'assistance présente aux deux journées d'étude organisées à la Bibliothèque nationale du Hamma pour commémorer le dixième anniversaire de son assassinat afin de « montrer dans quel esprit il se trouvait » les dernières années de sa vie.

 

Une vie qu'il consacra au bien-être du pays et au service de la science, avant son assassinat devant son modeste domicile à Kouba, en 1993.

Ses travaux se sont intéressés, entre autres, à la fin des années 1960, à l'aspect économique, précisément au secteur privé et aux entreprises publiques pour diriger, ensuite, et pendant quelques années, plusieurs études au niveau du Cread.

Avant son dernier poste en qualité de directeur général de l'Institut national des études stratégiques et globales (INESG), il fut ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Mais, comme témoignera une autre collègue du Cread, Liabès était l'un des rares à allier une fonction officielle avec une autre pédagogique, en ce sens qu'il continuait ses travaux de recherche.

 

Sa présence dans le « pouvoir » n'était autre qu'un prolongement de ses convictions personnelles et non point un quelconque intérêt pour la responsabilité, comme le témoignait si bien la modestie qui le caractérisait.

 

Et c'est à ce titre qu'il fut président de la commission nationale 2005, installée en 1992 par les pouvoirs publics pour réfléchir sur le devenir du pays à cette échéance.

 

L'idée d'organiser cet hommage, premier du genre, à la mémoire d'une des personnalités intellectuelles du pays ayant payé de leur vie le prix de leur engagement est venue d'un collectif de chercheurs et d'universitaires, notamment des sociologues, ayant connu le personnage et apprécié à sa juste valeur ce que représente aujourd'hui le riche patrimoine scientifique légué.

 

Parce que sa vie a été consacrée à la réflexion et à la recherche,

l'hommage qui a été rendu à Djillali Liabès allait plus dans le sens d'interventions thématiques et scientifiques que la simple évocation classique des mérites et des qualités du personnage.

 

Ainsi, pour Amine Khan, expert à la Banque mondiale, ayant bien connu le défunt, c'est là l'occasion d'aborder la position des intellectuels algériens dans la crise depuis la guerre de Libération jusqu'à l'après- Octobre 1988.

 

a-t-il entre autres déclaré.

 

raconte Nacer Djabi, sociologue.

Ce dernier insiste sur l'homme de terrain que fut Liabès qui ne se contentait pas d'idées stériles.

 

Notons enfin la présence à cette rencontre de plusieurs personnalités, dont l'ex-Chef de gouvernement Ahmed Benbitour, des sociologues, tels Daho Djerbal et M. Kadri, l'économiste Ali El Kenz,

Ses amis etaient des chercheurs, des scientifiques, des universitaires, des hommes politiques

les amis et collègues de Liabès,

à savoir Ali El Kenz,

Tahar Kaci,

Rachid Sidi Boumediène et

Fatma Oussedik ont apporté des témoignages vivants et émouvants sur le vécu et sur la manière dont a été assassiné Liabès..

 

 

 

Votre méssage est reçu 5/5 par les gens de ma

génération(dont moi même) qui approchons la

cinquantaine.Ces cadres qui étaient pris entre

le marteau et l'enclume.Chasse aux sorcières

du pouvoir et massacres aveugles des Térroristes-

Islamo-Baathistes.La génération d'aujourd'hui

ne comprend votre méssage mon Ami.

Si non,vous aurez droit à une salve de critiques.....

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Votre méssage est reçu 5/5 par les gens de ma

génération(dont moi même) qui approchons la

cinquantaine.Ces cadres qui étaient pris entre

le marteau et l'enclume.Chasse aux sorcières

du pouvoir et massacres aveugles des Térroristes-

Islamo-Baathistes.La génération d'aujourd'hui

ne comprend votre méssage mon Ami.

Si non,vous aurez droit à une salve de critiques.....

Bonjour monsieur !

merci de me lire !

vous avez peut être raison ?

Mais ! notre devoir de vérité l'exige de remettre les pendules à l'heure ; surtout pour ceux qui veulent l'escamoter par des mensonges ou des anathemes genre ERADICATEURS laics athés FRANC MACON etc .

Notre jeunesse sans repères , détournée par le pouvoir d'argent et l'imposture de son vrai combat , a besoin de notre génération comme fut celle de novembre 54 pour nous .

Que dieu protège la patrie et notre jeunesse .

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Bonjour monsieur !

merci de me lire !

vous avez peut être raison ?

Mais ! notre devoir de vérité l'exige de remettre les pendules à l'heure ; surtout pour ceux qui veulent l'escamoter par des mensonges ou des anathemes genre ERADICATEURS laics athés FRANC MACON etc .

Notre jeunesse sans repères , détournée par le pouvoir d'argent et l'imposture de son vrai combat , a besoin de notre génération comme fut celle de novembre 54 pour nous .

Que dieu protège la patrie et notre jeunesse .

 

 

 

J'ai quitté le pays à cause de ça Monsieur.

Lisez mes méssages et vous vérrez par

vous même.

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oui éradiquons la vermine salafiste! aux armes Marcel!:mdr:

 

 

 

Cela fait longtemps que j'ai mis les Armes Bas,

et Contre leur cruauté,je n'entreprends plus

le même combat.

Je préfère les contrées lointaines mon gars,

aux querelles stériles d'un pays gangréné

de haut en bas.

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Cela fait longtemps que j'ai mis les Armes Bas,

et Contre leur cruauté,je n'entreprends plus

le même combat.

Je préfère les contrées lointaines mon gars,

aux querelles stériles d'un pays gangréné

de haut en bas.

 

Bravo Marcel! tiens moi aussi je reviens a Toulouse la semaine prochaine

j'en ai ma claque d'Alger ....trop mortelle l'ambiance

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J'ai quitté le pays à cause de ça Monsieur.

Lisez mes méssages et vous vérrez par

vous même.

Dommage monsieur ! nous avons perdu un bras armé ou un tète pensante d'éveil patriotique en vous ?

Car moi et mes frères patriotes ont a continué le combat içi même

par la plume et le klach importé du soudan enlevé aux charlatans par nos propres soins et formé les heroiques GLD dans l'absence totale de l'armée et son appendice pouvoir politique du club Med .

Et la république RADP traficotée à la va vite par l'imposture de l'armée des frontières par le programme de tripoli (barnamej trabless) fut sauvée !

Mais beaucoup reste à concrétiser .

nous espérons vivre pour assister aux etats majors de la VRAIE fondation de la république algerienne , avant de rejoindre allah .

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Bravo Marcel! tiens moi aussi je reviens a Toulouse la semaine prochaine

j'en ai ma claque d'Alger ....trop mortelle l'ambiance

 

 

 

 

Oh!Oh! tu déconnes ou quoi?

T'es vraiment en Algérie?

Ce n'est pas vrai,je te crois pas.

Moi je vais souvent à Arcachon

j'ai des Amis labas.

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oui éradiquons la vermine salafiste! aux armes Marcel!:mdr:

bonjour monsieur et cher compatriote !

vous voulez dire ;

wahabiste !

car il faut les appeler par leur vraie définition et ne rien laisser au hasard des fausses interprétations erronées comme celle qui m'a interpellée.

Car salafistes est un fourre tout!!!

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Cela fait longtemps que j'ai mis les Armes Bas,

et Contre leur cruauté,je n'entreprends plus

le même combat.

Je préfère les contrées lointaines mon gars,

aux querelles stériles d'un pays gangréné

de haut en bas.

tu parles du pouvoir et ses clientèles ????

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bonjour monsieur et cher compatriote !

vous voulez dire ;

wahabiste !

car il faut les appeler par leur vraie définition et ne rien laisser au hasard des fausses interprétations erronées comme celle qui m'a interpellée.

Car salafistes est un fourre tout!!!

 

 

 

Pardon cher Abdéllah.

C'est vrai.

Excusez-nous la pollution

(Arslane et moi) avec un

échange loin de votre sujet.

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Bravo Marcel! tiens moi aussi je reviens a Toulouse la semaine prochaine

j'en ai ma claque d'Alger ....trop mortelle l'ambiance

Je n'ai jamais mis les pieds en france ( j'ai vadrouillé par contre dans d'autres pays d'Europe et du moyen orient et voisins même d'Afrique et je ne quitterais jamais ma patrie dans la détresse ! même si je crève avec mon peuple .

Et ce n'est pas une allusion négative !

car chacun a ses problèmes et ses circonstances et sa vie privée.

Seulement il ne faut pas céder dans l'oubli des terres lointaines !

la patrie a tjr besoin de ses enfants ici et ailleurs .

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Pardon cher Abdéllah.

C'est vrai.

Excusez-nous la pollution

(Arslane et moi) avec un

échange loin de votre sujet.

pas de pb !

déjà votre presence içi me complimente et en est un honneur pour moi.

On n'est pas à ce point ? trop coincé !

vous êtes les bienvenu chez moi !

comme tous les algériens non parasites et non hypocrites ?

la presence de vrais patriotes est tjr chaleureuse et réconfortante par les temps médiocres que nous subissons .

Allah ghaleb ! ya taleb

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Je n'ai jamais mis les pieds en france ( j'ai vadouillé par contre dans d'autres pays d'Europe et du moyen orient et voisins même d'Afrique et je ne quitterais jamais ma patrie dans la détresse ! même si je crève avec mon peuple .

 

 

 

C'est une question de choix.

Moi ici,je respire la liberté

et juste en face de Ghazaouet.

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C'est une question de choix.

Moi ici,je respire la liberté

et juste en face de Ghazaouet.

je comprends et j'ai réédité mon post 4 ou 5 secondes avant votre réponse

voir ci dessus !!!

une AUTRE pollution volontaire:mdr: :

j'ai été plusieurs fois dans le pays andaloux et meme en pays basque et catalan .
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Ce post est à la mémoire d'une des personnalités intellectuelles du pays ( chercheurs et universitaires, notamment des sociologues de renom ) ayant payé de leur vie le prix de leur engagement .

 

 

Merci beaucoup pour ce topic passionnant. Je ne participerai pas car je n'ai pas encore assez de culture en la matière, par contre je serai une fidèle lectrice.

J'espère que le silence ne te découragera pas.

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Merci beaucoup pour ce topic passionnant. Je ne participerai pas car je n'ai pas encore assez de culture en la matière, par contre je serai une fidèle lectrice.

J'espère que le silence ne te découragera pas.

 

bonjour chére yildis !

merci pour tes compliments .

Mais en réalité !

c'est pas très recherché ?

ce n'est que de fragments d'histoire récente d'un peuple qui fut meurtri dans sa chair et son intelligence et que les médias locales et internationales ont travestie ou mis dans les tiroirs de l'oubli avec mépris pour permettre à des pseudos colombes "conservatrices " pour le besoin de la cause d'imposture criminelle .

non aucuns choses en ce monde ne me feras oublier le sacrifice de mes frères patriotes tombés dans le champs de l'honneur et du devoir .

allah yarham houm jami3an

alors continuons dans l'égrenage du chapelet des "supposés éradicateurs "

 

aujourd'hui c'est Said Mekbel !

 

Said Mekbel

MekbelSaid2.jpg

 

Au delà de l´hommage à la mémoire de l´homme et du journaliste, évident pour l´esprit libre, il s´agit également de préserver le patrimoine journalistique mais littéraire et culturel.

 

Biographie :

Saïd Mekbel est un journaliste algérien (né le 30 mars 1940 à Béjaïa en Kabylie, assassiné le 3 décembre 1994 à Alger), ses études l´ont conduit en France pour se terminer à l´indépendance de l´Algérie.

Il reprendra des études d´ingénieur en physique à l´âge de 29 ans à l´ENITA, et poursuivra par une thèse de docteur - ingénieur en mécanique des fluides.

C´est peut - être ce parcours atypique qui lui a permis d´être aussi constant dans l´écriture.

Ce sont Tchékov, Jules Renard, Escarpit, Maupassant et bien d´autres qui l´ont inspiré pour aller vers les nouvelles et les billets.

Billetiste au quotidien Alger Républicain de 1962 à 1965 puis en 1991, avant de rejoindre le quotidien Le Matin, dont il sera également le directeur de la publication.

Ses billets, connus sous le nom de M'smar Dj'ha, le rendront célèbre.

Ne pas le confondre avec notre hadj mesmar :

"conservateurs et reconciliateur "

Ces billets célèbres (Mesmar J´ha) apportaient chaque matin une note d´humeur insatiable aux milliers d´algériens accompagnés d´un café serré et d´une cigarette « Afras ».

Raconter en quelques lignes un fait divers, une situation était pour lui un défi, défi qui lui coûtera la vie.

Les menaces de mort dont il fait l'objet seront exécutées en 1994 dans un restaurant en face du siège de son journal .

 

son assassinat :

 

Saïd a été assassiné le 3 décembre 1994 dans un petit restaurant situé non loin du journal Le Matin .

IL était midi, samedi, quand Saïd Mekbel, directeur de la publication du « Matin » et billettiste de ce quotidien, a été assassiné à bout portant par des terroristes.

Saïd Mekbel était attablé en compagnie d´une jeune collègue dans une pizzeria se situant à moins de 30 mètres des locaux du journal « le Matin ».

Il n´a pas vu arriver les deux tueurs qui ont tiré deux balles. L´une l´a touché en pleine tête.

 

Transporté à l´hôpital, Saïd Mekbel a plongé dans un profond coma.

Il a succombé à ses blessures.

Ce fut un choc terrible pour nous tous .

 

Saïd Mekbel, c´était El Ghoul (l´ogre) dans « Alger républicain », jusqu´en 1965, date à partir de laquelle ce quotidien fut interdit.

 

Puis ce fut de nouveau El Ghoul lorsqu´« Alger républicain » est reparu en 1990.

Et, à partir de 1991, est devenu Mesmar J´ha (le clou de J´ha) dans le quotidien « le Matin », qu´il contribua à lancer avec une jeune équipe de journalistes issue d´« Alger républicain ».

 

Comme la plupart des journalistes du « Matin », Saïd Mekbel a été un militant actif de l´ex-PAGS. C´était un billettiste de talent, à l´humour corrosif, au verbe moqueur...

 

A travers ses billets satiriques, il épinglait toute la classe politique, y compris le président Zéroual et les généraux de l´armée.

Et le petit peuple, à travers le personnage de « l´ami Boussaid », prenait sa revanche sur les grands de ce pays.

 

Mesmar J´ha était un empêcheur de tourner en rond. Il détenait le record de la presse algérienne en matière de citations à comparaître : quinze citations et plusieurs condamnations, dont quelques-unes émanant des militaires ou du FLN.

 

Un billet prémonitoire L´assassinat de Saïd Mekbel a fait la « une » des médias algériens, toutes tendances confondues.

 

DERNIER BILLET DE SAID MEKBEL :

 

CE VOLEUR

 

Ce voleur qui, clans la nuit, rase les murs pour rentrer chez lui, c’est lui.

Ce père qui recommande à ses enfants de ne-pas dire dehors le méchant métier qu’il fait, c’est lui.

Ce mauvais citoyen qui traîne au palais de justice, attendant de passer devant les juges, c’est lui.

Cet individu, pris dans une rafle de quartier et qu’un coup de crosse propulse au fond du camion, c’est lui.

C’est lui qui, le matin, quitte sa maison sans être sûr d’arriver à son travail et lui qui quitte, le soir, son travail sans être sûr d’arriver à sa maison.

Ce vagabond qui ne sait plus chez qui passer la nuit, c’est lui. C’est lui qu’on menace dans les secrets d’un cabinet officiel, le témoin qui doit ravaler ce qu’il sait, ce citoyen nu et désemparé...

 

Cet homme qui fait le vœu de ne pas mourir égorgé, c’est lui. C’est lui qui ne sait rien faire de ses mains, rien d’autres que ses petits écrits.

Lui qui espère contre tout parce que, n’est-ce pas, les roses poussent bien sur les tas de fumier.

Lui qui est tout cela et qui est seulement journaliste.

 

je suis très ému de savoir que said mekbel est oublié!

Mais il est toujours vivant dans le cœur des patriotes algériens.

Ce fut un grand "artiste"qui jouait avec les mots tout en dénonçant les injustices de la mafia qui nous gouverne;

il n’a jamais cédé au prix même de sa vie,voilà un homme qui est mort pour avoir crié sa soif de la justice et l’amour profond d’un peuple trahi par des êtres assoiffés par l’argent et le pouvoir

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