Les quatres temps de Harga - risque inestimé

[HADJ BOUOMRANE 10]

Tout algérien peut comparer un jeu de loto et le phénomène désagréable de harga. C’est vrai qu’on peut voir les mêmes gestes qui peuvent aboutir au paradis que cherche notre citoyen pour les deux cas, juste pour trouver sa place réelle et indépendante, soit dans son pays ou ailleurs mais parfois les conséquences parfois et dans la plus part des cas est funeste pour la harga.

Tout d’abord, s’il gagne au loto et qu’il renonce pour l’aventure de harga puisque avec beaucoup d’argent en Algérie libre, il a une place dominante pour mener une vie sereine et sans problème de l’avenir avec un petit réflexe d’investir son argent dans des projets intéressants et fiables. En court terme, en une fraction de seconde, il oublie tout ce qui s’est passé et déclare son axe à entamer et si on ne connaît pas cette personne, on le croit déjà naître avec cette nouvelle personnalité. Donc, le problème ne concerne pas la belle vie qu’on donne une image de son existence dans d’autres pays de la planète, notamment les pays qui nous font l’embargo, décrétant le visa pour regagner leurs territoires.

Aussi, il y a des gens qu’on parle d’échecs de la plus part des jeunes dans des projets initiés par l’ENSEJ et d’autres organismes pour lever le chômage mais aucune étude statistique ou analyse n’a été menée sur le terrain pour en savoir plus mais le plus dominant et réel qu’il y a des haragas qui ont bénéficié de ces projets avec financements et les ont abandonnés et ambitieux de quitter le territoire nationale coûte à coûte, échappés aux remboursements et ce qui suit, même à déclarer qu’ils ont été astreints à donner des pots de vin pour la réalisation de leurs projets déficitaires au démarrage, n’en reste bien sûr, les seuls projets qui ont réussi leur existence, initiés avec falsification des documents pour leur obtention puisque les personnes ou dites prête-noms sont épaulés à tous les niveaux . (A suivre)