Jump to content

Les US seraient derrière le tremblement de terre en Haïti...


Recommended Posts

Si certaines théories du complot peuvent paraitre plausibles et respectables ;) (11 septembre par exemple) d'autres sont carrément ridicules :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

Pourquoi les USA s'amuseraient à "provoquer un séisme" dans un pays pauvre , sans ressources ,s ans importance stratégique particulière????

Franchement y croire :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr::mdr: :mdr:

 

Surtout que prendre le risque de déstabiliser les plaques tectoniques en Haïti pourrait provoquer une fissure du côté de la côte Atlantique américaine.

Link to post
Share on other sites
Surtout que prendre le risque de déstabiliser les plaques tectoniques en Haïti pourrait provoquer une fissure du côté de la côte Atlantique américaine.

 

Tout à fait ;) ;) , Mais allez expliquer celà au pauvre quidam Algérien , lisant Echourouk ou El Nahar :mdr: :mdr:, dans un café ;) ;)

Link to post
Share on other sites

Michel Chossudovsky, 25 janvier 2010, Un scénario de secours aux sinistrés avait été envisagé pour Haïti au quartier général de l’US Southern Command (SOUTHCOM), basé à Miami, un jour avant le tremblement de terre

 

Les simulations de préparation à un désastre étaient celles d’un ouragan frappant Haïti. Elles se sont tenues le 11 janvier (Bob Brewin, Defense launches online system to coordinate Haïti relief efforts (15/1/10) — GovExec.com, le texte complet de l’article se trouve dans l’Annexe).

 

L’Agence des systèmes d’information de la Défense (DISA, Defense Information Systems Agency), sous la juridiction du Département de la Défense (Department of Defense, DoD), a mis au point ces scénarios pour le compte de SOUTHCOM.

 

Connue comme une « Agence d’Appui Tactique », la DISA est mandatée pour mettre à la disposition de l’armée états-unienne des systèmes informatiques, de télécommunication et des services logistiques. (Voir le site de la DISA : Defense Information Systems Agency).

 

La veille du tremblement de terre, lundi [11 janvier 2010], Jean Demay, directeur technique de la DISA pour le Projet de Coopération et de Partage d’Informations Transnationales de l’agence, se trouvait au quartier général de l’US Southern Command à Miami, afin de tester le système avec un scénario comportant un plan de sauvetage d’Haïti, après le passage d’un ouragan. (Bob Brewin, op cit, soulignement ajouté par l’auteur).

 

intox,hasard,coincidence ou...quoi encore?

Link to post
Share on other sites
hiroshima et nagasaki ont aussi servi de banc d'essai à la bombe A...c'est çà l'amérique...inhumaine mais pas ...surhumaine!

 

Rien à avoir !

Il faut voir les conséquences d'un évènement pour "deviner" ses causes :mdr: et ses "commanditaires occultes" .

Là personne n'a interêt à ce que ce pays pauvre , sans ressources et sans diaspora à l'etranger influente subisse cette catastrophe qui amènera un déluge d'immigés clandestins dans certainspays et notamment les USA.

Pour les simulations, tous les pays développés font ça (contrairement à nous) pour "maitriser" au mieux pareils évènements.

Nous , Allah Ghaleb :mdr: :mdr: , on ne comprend pas ce genre de choses ;) ;)

Link to post
Share on other sites
hiroshima et nagasaki ont aussi servi de banc d'essai à la bombe A...c'est çà l'amérique...inhumaine mais pas ...surhumaine!

 

ça c'etait la guerre et c'était effectivement barbare et sauvage.

les bombardements sionistes sur Gaza aussi.

Mais ça n'a absoluement rien à voir :chut: :chut:

Mais je ne vais pas accuser Israel d'être derrière le séisme de Boumerdès :chut: :chut: :chut:

Soyons sérieux :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

Link to post
Share on other sites
le japon était en réddition donc la bombe A c'était un test

pas boumerdes par contre le mini-tsunami de mostaganem...là on se pose des questions!

 

Sans commentaire , j'ai du mal à suivre ,pas assez d'intelligence peut-être :mdr: :mdr: :mdr:

Link to post
Share on other sites

Le débarquement des marines américains en Haïti, cette île ravagée, il y a presque une semaine part le plus fort séisme des deux siècles derniers, n’est pas allé sans provoquer une levée de bouclier chez les présidents latino-américains.

 

Entre autres, le Président nicaraguayen, Daniel Ortega a exprimé sa vive inquiétude envers cette présence militaire US en Haïti. Il accuse en effet les Etats-Unis de prétexter le séisme pour occuper le pays. Il s’est notamment dit préoccupé du contrôle de l’aéroport par les forces américaines. « Il semble, indique-t-il, que ses nombreuses bases militaires dans la région ne lui suffisant pas, Washington cherche de nouveaux chantiers pour faire dresser de nouvelles bases. » Pour Daniel Ortega, ce déploiement n'est qu'illogique, puisqu'un pays broyé par un tremblement de terre n'a besoin que d'aides humanitaires et pas d’effectifs militaires. Même son de cloche chez le Président vénézuélien, Hugo Chavez, selon qui ce tremblement de terre a été du pain béni pour Washington afin d'occuper Haïti. « Pourquoi, s’est-il adressé aux autorités américaines, avez-vous envoyé 3.000 soldats en Haïti ? Est-ce que vous êtes en guerre ? » Chavez et Ortega ont demandé le retrait des forces US de Haïti. De même, le ministre brésilien de la Défense, Nelson Jobim a averti que les opérations de secours à Haïti sont en train de se transformer en opérations unilatérales américaines. Tout cela a conduit le Président haïtien, René Préval d’appeler tous les pays au calme et les donateurs à s'occuper plutôt du développement du pays le plus pauvre des Amériques. Entre temps, l’aide tarde à y venir en raison des problèmes logistiques qui empêchent une grande partie des secours d'accéder aux victimes qui survivent dans des camps de fortune. A cela s'ajoutent des problèmes de sécurité liés aux pillages. Un avion commercial qatari, transportant des équipes médicales et de secours, s’est vu confronté à des problèmes pour décharger ses convois en Haïti. Ils ont demandé l’aide des forces américaines, présent à l’aéroport, qui ont refusé de les aider prétendant être occupées à régler d’autres affaires. Il semble ainsi que les tergiversations américaines constituent la plus importante raison du retard dans l’acheminement des aides aux sinistrés. Déjà, la France et le Brésil ont critiqué l’attitude des forces US qui n’ont pas permis l’atterrissage de leurs avions d’aides humanitaires. Le problème vient de ce que contrairement à des organisations civiles et des autres groupes de secours, se trouvant maintenant en Haïti, le cadre des prérogatives de l’armée américaine n’a pas été correctement déterminé. La présence des forces US et la militarisation des opérations humanitaires, ont en effet porté préjudice aux efforts censés reconstruire les institutions gouvernementales ruinées ainsi qu’aux activités de secours et médicales. Entre temps, le point qui mérite réflexion, c’est que les deux présidents américain et haïtien n’ont rien échangé, lors de leurs contacts téléphoniques, quant à un déploiement des marines américains sur le sol haïtien. La décision américaine s’avère donc unilatérale. Les Etats-Unis semblent vouloir profiter de l’absence d’un gouvernement puissant en Haïti et du séisme pour justifier l’envoi de leurs forces militaires qui se sont chargées de facto, des responsabilités qui reviennent dûment au gouvernement haïtien.

 

des commentaires sur l'humanitaire plus que suspect d'un pays qui n'hésite pas à qualifier la mort de citoyens civils sans défense de "dommages collatèraux"

Link to post
Share on other sites

Si personne ne remet en cause ces conditions, certains médecins s'interrogent sur le temps de réflexion pris avant la décision de l'amputation. Et pointent des médecins américains.

 

Des amputations ont-elles été réalisées trop vite?

Oui, assure un médecin des Pompiers de Paris au Monde. "Une équipe de médecins texans, déjà repartie, a causé des ravages et fait de la médecine de guerre", dénonce-t-il.

 

Or, à la différence d'une guerre, ces patients peuvent être suivis...

 

"L'amputation est un geste de sauvetage et de dernier recours, quand un membre est broyé ou quand menace la septicémie. Mais les Américains l'ont rendue presque systématique, sans prendre le temps d'imaginer une autre solution, fiers de cet abattage leur permettant de se prévaloir de chiffres impressionnants de patients", continue-t-il.

 

Certaines amputations sont-elles devenues une solution de facilité?

Un autre médecin raconte, toujours au Monde, une conversation avec un chirurgien américain: "Il me disait: 'A quoi bon? Ce pays est trop pauvre. Il n'y aura pas de suivi médical sérieux de vos patients. C'est tellement plus simple de les amputer. C'est propre, définitif'"

 

Quel avenir pour ces amputés?

"Il s'agit maintenant de travailler avec Handicap International, pour que les mutilés puissent bénéficier de prothèses", explique Roberto Baccari, au Nouvelobs.com.

 

d'autres commentaires et pour faire "américain": no comment!

Link to post
Share on other sites

Mais vous etes des psychopathes, le tremblement de terre a haiti

c'est les americains comme le tsunami c'est digne d'un film

de S Spilberg

avec des rumeurs pareils on peut aller loin

 

c'est le mouvements des plaques tectoniques

la derives des continents

souvent c'est l'onde de choc d'un autre tremblement

de terre

maroc decembre 2009

Link to post
Share on other sites
Mais vous etes des psychopathes, le tremblement de terre a haiti

c'est les americains comme le tsunami c'est digne d'un film

de S Spilberg

avec des rumeurs pareils on peut aller loin

 

c'est le mouvements des plaques tectoniques

la derives des continents

souvent c'est l'onde de choc d'un autre tremblement

de terre

maroc decembre 2009

 

et le systeme pamir c'est de la science fiction aussi??

Link to post
Share on other sites
Mais vous etes des psychopathes, le tremblement de terre a haiti

c'est les americains comme le tsunami c'est digne d'un film

de S Spilberg

avec des rumeurs pareils on peut aller loin

 

c'est le mouvements des plaques tectoniques

la derives des continents

souvent c'est l'onde de choc d'un autre tremblement

de terre

maroc decembre 2009

 

h.a.a.r.p.

Link to post
Share on other sites

Je ne suis pas au fait des avancees technologiques,mais je crois qu'on est encore assez loin de pouvoir developper une arme "sismique", ou alors quelqu'un a du se tromper en lisant "simiesque" :mdr:

 

Bref, je ne vois pas tres bien l'interet qu'auraient les USA de tester ou d'utiliser une telle arme sur le pays le plus pauvre de l'hemisphere occidental.

Qu'y a-r-il a gagne la-dedans, si ce n'est d'augmenter la motivation de ces pauvres Haitiens a vouloir quitter leur pays coute que coute et a vouloir penetrer le sol americain. Or, en 2010, le taux de chomage aux USA est d'environ 10% et la baisse des salaires est en consequence. Donc, le motif economique n'est pas tres credible.

 

Envahir Haiti? Y etablir de nouvelles bases militaires? Mais contre qui?

Cuba n'est evidemment pas loin mais Obama a une attitude plutot conciliatrice envers ce vieil ennemi des yankees. Contre Chavez et le Venezuela? Il y a des endroits plus propices pour faire cela, et puis Chavez ne constitute pas a la verite une menace a qui que ce soit.

Alors, pourquoi?

 

A moins que nous suivions les elucubrations conspirationnistes du reseau Voltaire, qui, d'ailleurs, se plante a chaque fois, mais enfin c'est son pain quotidien.

 

Non, je crois que Chavez, si il a vraiment dit cela, demenage du ciboulot. Ca arrive chez tout le monde, alors pourquoi pas chez Chavez? :mdr:

Link to post
Share on other sites
le japon était en réddition donc la bombe A c'était un test

pas boumerdes par contre le mini-tsunami de mostaganem...là on se pose des questions!

 

j'y etais a mosta c'est des connerie de rumeurs oui la veille il y a eu des secouses mais le lendemain il y a eu un grand nombre de noyers dans des plage non garder danc les gens ont parler d'un tsunami mes enfaite les 12 morts etaient tous dans des plages differentes

 

( source les gardes cotes et la securite civil ) j'ai parler avec eux

Link to post
Share on other sites
  • 2 weeks later...
Hey sont fort ces amerloques!!!!!!

 

L'imbécillité du paranoiaque est en l'occurrence un dilemme!!!!!!!!!

 

Ca c'est une rumeur. Un imbécile lance une stupidité et d'autres la continuent.:o:o:o

 

La, il faut dire qu'entre le 1er imbécile et " les autres ", il y'a celle qui a tout lu et qui a tout ... mal compris...:04:

 

Heureusement que l'imbécilité n'est pas irréversible... il suffit juste de ne pas le vouloir... :o ;)

Link to post
Share on other sites
  • 2 weeks later...

l'arme sismique existe bel et bien toute personne qui lit les revues militaires ou un peu de presse alternative,(comme le lien affiché ci-dessus du reseau voltaire),le sait,aujourd'hui les questions qu'on peut se poser sur haiti sont les suivante:

-pourquoi les USA sont intervenus massivement et militairement?

-pourquoi ont ils pris le controle des aeroports en premier en laissant la population crever?

-pourquoi la nouriture et l'aide arrivent au compte goutte dans les bouches des rescapés alors qu'elle restenet bloquées par des milliers de tonnes aux aeroports?

-pourquoi l'armée US n'a toujours pas quitté l'ile ou n'a pas diminué de son nombre?

-pourquoi Israel qui enterre des enfants des leur maisons a gazza a tout fait pour paraitre en premiere ligne des bon samaritains cette fois?

 

c'est bien beau de regarder TF1 et de lire le monde et dire qu'on connait tout de tout mais pour repondre a de tels sujets il faut un minimum de culture et un maximum d'impartialité.

Link to post
Share on other sites

pour ceux qui nie l'évidence,quand vous vous réveilleré il sera trop tard..

 

la publication sur notre site d’un article évoquant la possible origine artificielle du tremblement de terre à Haïti requiert quelques précisions. Oui, l’arme sismique existe et les Etats-Unis, entre autres, la possèdent. Oui, les forces états-uniennes étaient pré-positionnées pour se déployer sur l’île. C’est insuffisant pour conclure, mais cela mérite réflexion.

Thierry Meyssan

Mardi 26 Janvier 2010

 

 

En publiant « Les Etats-Unis ont-ils provoqué le tremblement de terre à Haïti ? », notre objectif était de relayer une question qui agite les milieux militaires et médiatiques dans plusieurs pays, mais était ignorée dans d’autres [1]. Cela ne vaut pas prise de position. Simplement, fidèles à notre méthode, même si elle est souvent mal comprise, nous considérons qu’on ne peut comprendre les relations internationales qu’en étudiant ce que pensent les dirigeants de la planète. Le conformisme ambiant conduit à ce que lorsque nous rendons compte des débats à Washington, personne ne s’en offusque, mais quand nous relayons les débats des pays non-alignés, nous assistons à une levée de boucliers en Europe. Tout se passe comme si les Européens jugent a priori que seules les problématiques « occidentales » sont pertinentes et que les autres sont déraisonnables.

Un de nos collaborateurs a tenté de retracer l’origine de l’imputation selon laquelle le tremblement de terre à Haïti pourrait être artificiel. Il s’est inquiété qu’il puisse s’agir d’une pure intoxication introduite par un certain David Booth (alias Sorcha Faal) qui se serait propagée dans des milieux gouvernementaux dans le monde. En définitive, nous ne savons pas avec certitude qui est la source initiale, mais nous savons que cette question est débattue au plus niveau dans plusieurs Etats en Amérique latine, en Europe orientale et en Asie.

En tant que responsable de publication du Réseau Voltaire, j’ai fait le choix de rechercher et de traduire la dépêche de ViveTV, qui avait été éditée sous forme de communiqué sur le site web du ministère de l’Information du Venezuela, et de la publier avec le sujet vidéo de Russia Today, en les assortissant d’un remarque préliminaire : « Etrangement, la télévision vénézuélienne source ses imputations en désignant l’armée russe, tandis que la télévision russe source les mêmes imputations en désignant le président Chavez. »

Si ces éléments ont été repris avec fidélité par de nombreux journaux, notamment au Proche-Orient, ils ont été déformés par la presse atlantiste en s’appuyant sur l’article de Sorcha Faal. Celui-ci a extrait des passages du texte de ViveTV, et les a placés entre guillemets dans la bouche du président Chavez. Ce qui était une hypothèse de travail devenait alors une position gouvernementale. Certains de ces journaux sont allés plus loin encore en inventant de toutes pièces le contexte dans lequel le président vénézuélien se serait exprimé, de manière à conclure que le le président et son auditoire sont atteints de délire anti-américain aigu, et que le Réseau Voltaire participe de la même pathologie.

Ne nous laissons pas intimider par cette manipulation et approfondissons cette hypothèse.

 

Que savons nous de l’arme sismique aujourd’hui ?

Durant la Seconde Guerre mondiale des chercheurs néo-zélandais ont tenté d’élaborer une machine à provoquer des tsunamis qui puisse être utilisée contre le Japon. Les travaux furent dirigés par l’Australien Thomas Leech de l’université d’Auckland, sous le nom de code « Projet Seal ». Plusieurs expériences à petite échelle furent réalisées, en 1944-1945, à Whangaparaoa. Elles furent couronnées de succès.

Les Etats-Unis considéraient ce programme comme aussi prometteur que le « projet Manhattan » de fabrication d’une bombe atomique. Ils désignèrent le docteur Karl T. Compton pour faire la liaison entre les deux unités de recherche. Compton était le président du MIT. Il avait déjà recruté de nombreux savants pour l’effort de guerre et il était l’une des huit personnes chargées de conseiller de président Truman sur l’usage de la bombe atomique. Il pensait que celle-ci pouvait fournir l’énergie nécessaire à l’équipe de Leech pour provoquer de plus vastes tsunamis.

Les travaux de Thomas Leech furent poursuivis durant la Guerre froide. En 1947, George VI éleva le savant à la dignité de Chevalier de l’Empire britannique pour le récompenser d’avoir élaboré une arme nouvelle. Le Projet Seal étant toujours un secret militaire, il ne fut pas révélé à l’époque qu’il était honoré pour la bombe à tsunami. Par la suite, les services US se sont appliqués à faire croire que ces recherches n’avaient jamais existé et que tout cela n’était qu’un leurre pour impressionner les Soviétiques. Cependant, l’authenticité des essais de Leech a été établie, en 1999, lorsque une partie de la documentation a été déclassifiée par le ministère néo-zélandais des Affaires étrangères. Officiellement les études ont repris aujourd’hui à l’université de Waikato. [2]

On ignore si les recherches anglo-saxonnes ont été poursuivies durant les années 60, mais elles ont repris par la force des choses lorsqu’il fut décidé de procéder à l’abandon des tests nucléaires dans l’atmosphère au profit de tests sous-marins. Les Etats-Unis craignaient de provoquer involontairement des tremblements de terre et des tsunamis. Ils voulaient donc savoir le faire volontairement.

Officiellement, à la fin de la guerre du Vietnam, les Etats-Unis et l’Union soviétique ont renoncé aux guerres environnementales (tremblements de terre, tsunamis, bouleversement de l’équilibre écologique d’une région, modifications des conditions atmosphériques -nuages, précipitations, cyclones et tornades-, modification des conditions climatiques, des courants océaniques, de l’état de la couche d’ozone ou de l’ionosphère) en signant la « Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles » (1976).

Toutefois, à partir de 1975, l’URSS a ouvert de nouvelles recherches de Magnétohydrodynamique (MHD). Il s’agissait d’étudier la croute terrestre et de prévoir les séismes. Les Soviétiques étudièrent la possibilité de provoquer de petits séismes pour en éviter un grand. Ces recherches furent bientôt militarisées. Elles aboutirent à la construction de Pamir, la machine à tremblement de terre.

Lors du démantèlement de l’URSS, des responsables de ce programme décidèrent par appât du gain de passer aux Etats-Unis, mais leur recherche étant inachevée le Pentagone refusa de payer. En 1995, alors que la Russie était gouvernée par Boris Eltsine et l’oligarque Viktor Tchernomyrdine, l’US Air Force recruta les chercheurs et leur laboratoire à Nijni Novgorod. Ils y construisirent une machine beaucoup plus puissante, Pamir 3, qui fut testée avec succès. Le Pentagone achèta alors les hommes et le matériel et les transporta aux USA, où ils furent intégrés au programme HAARP.

 

Extrait d’un documentaire de National Geographic (2005) De possibles usages de l’arme sismique ont été évoqués au cours des dernières années, notamment en Algérie et en Turquie. Toutefois, le cas le plus discuté est celui du séisme du Sichuan (Chine), le 12 mai 2008. Durant les 30 minutes précédant le tremblement de terre, les habitants de la région ont observé d’inhabituelles couleurs dans le ciel. Si certains voient dans ces événements des signes du Ciel retirant sa confiance au Parti communistes, d’autres les interprètent de manière plus rationnelle. L’énergie utilisée pour provoquer le séisme aurait également provoqué des perturbations de l’ionosphère. Dans les mois qui suivent, le web et les médias chinois diffusent et discutent cette hypothèse aujourd’hui considérée comme certaine par l’opinion publique chinoise.

 

Retour à Haïti

Rien ne distingue un séisme provoqué d’un séisme naturel, cependant on ne sait provoquer que des séismes superficiels, comme celui d’Haïti.

Ce qui suscite le trouble, c’est que la réaction des Etats-Unis. Alors que les médias atlantistes se contentent de relayer la polémique sur les violations de la souveraineté haïtienne, les médias latinos-américains s’interrogent sur la rapidité du déploiement des GI’s : dès le premier jour, plus de 10 000 soldats et contractants sont arrivés à Haïti. Cet exploit logistique s’explique simplement. Ces hommes étaient déjà pré-positionnés dans le cadre d’un entraînement militaire. Sous l’autorité du commandant en second du SouthCom, le général P. K. Keen, ils participaient à la simulation d’une opération humanitaire, à Haïti, après un ouragan. Keen et son équipe étaient arrivés quelques jours auparavant. Au moment précis du tremblement de terre, ils se trouvaient tous à l’abri, à l’ambassade US qui est construite selon les normes anti-sismiques, à l’exception de deux hommes qui se trouvaient à l’hôtel Montana et qui auraient été blessés.

Le général Keen a donné de nombreuses interviews à la presse états-unienne, qui a multiplié les reportages et émissions à propos des opérations de secours. Il a souvent fait mention de sa présence à Port-au-Prince durant le séisme, mais jamais des motifs de cette présence.

Parmi les objectifs de l’exercice militaire figurait le test d’un nouveau logiciel permettant de coordonner les efforts humanitaires des ONG et des armées. Dans les minutes qui ont suivi la catastrophe, ce logiciel a été mis en ligne et 280 ONG s’y sont inscrites.

Il est légitime de se demander si ces coïncidences sont ou non l’effet du hasard.

 

 

www.alterinfo.net

pour tout ceux qui en on marre d'etre desinformer de se qui se passe actuellement dans le monde,visiter se site et faite le connaitre autour de vous,sa changera peu etre le cours des choses.en cas de guerre se n'est pas les dirigeants qui conspirent qui mourront mais nous le peuple alors avant de nier l'évidence prenez au moin le temps d'y réflechir et surtout de réflechir au conséquence de notre insoussiense envers tout ses fait annonciateur d'une prochaine guerre mondiale ou du moin impliquant beaucoup de pays dans le monde.

Link to post
Share on other sites
  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

Rien ne distingue un séisme provoqué d’un séisme naturel, cependant on ne sait provoquer que des séismes superficiels, comme celui d’Haïti.

 

Ce qui suscite le trouble, c’est que la réaction des Etats-Unis. Alors que les médias atlantistes se contentent de relayer la polémique sur les violations de la souveraineté haïtienne, les médias latinos-américains s’interrogent sur la rapidité du déploiement des GI’s : dès le premier jour, plus de 10 000 soldats et contractants sont arrivés à Haïti. Cet exploit logistique s’explique simplement. Ces hommes étaient déjà pré-positionnés dans le cadre d’un entraînement militaire. Sous l’autorité du commandant en second du SouthCom, le général P. K. Keen, ils participaient à la simulation d’une opération humanitaire, à Haïti, après un ouragan. Keen et son équipe étaient arrivés quelques jours auparavant. Au moment précis du tremblement de terre, ils se trouvaient tous à l’abri, à l’ambassade US qui est construite selon les normes anti-sismiques, à l’exception de deux hommes qui se trouvaient à l’hôtel Montana et qui auraient été blessés.

 

Le général Keen a donné de nombreuses interviews à la presse états-unienne, qui a multiplié les reportages et émissions à propos des opérations de secours. Il a souvent fait mention de sa présence à Port-au-Prince durant le séisme, mais jamais des motifs de cette présence.

 

Parmi les objectifs de l’exercice militaire figurait le test d’un nouveau logiciel permettant de coordonner les efforts humanitaires des ONG et des armées. Dans les minutes qui ont suivi la catastrophe, ce logiciel a été mis en ligne et 280 ONG s’y sont inscrites.

 

Il est légitime de se demander si ces coïncidences sont ou non l’effet du hasard.

Thierry Meyssan

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...