Les sept chapitres.

bloum · July 4, 2007

Mettons ça clair au départ. Certains, ici, dans ce forum, pensent que pmat se déculotte le cerveau à longueur de journée pour rien . Vous avez tout faux. Et moi aussi. Je me suis toujours demandé pourquoi pmat me remue tant. J'ai cherché une réponse, hélas, sans succés. Jusqu'à ma rencontre, ce matin, avec un mille-pattes. Ce mille-pattes qui avait mille pattes et une seule tête. Ça m'a sauté aux yeux : On lui voit pas la tête parce qu'on est subjugué par le nombre de ses pattes. So, je me suis penché sur le cas du mille-topics, je veux dire de pmat. Et en épluchant ses dernières oeuvres, je suis arrivé à la conclusion que pmat n'est pas du tout un type qui écrit comme ça, le jour, en fumant des tonnes de joints. Non. Il écrit tout le temps. Il écrit, il écrit, il écrit, et, quand il reste du temps, il vit un peu, si peu. C'est tout le contraire de ce que je pensais. Au centre de sa vie il n'y a pas la vie, il y a l'écriture... Et basta l'introduction.

Ce qui m'emmène à une critique littéraire de la dernière partie de l'oeuvre de pmat, que j'ai intitulé : Les sept chapitres. Pourquoi - Les sept chapitres - ? Ben, rien de compliqué. Ce sont les derniers topics à pmat qui tapissent la première page du forum.

Chapitre un : l'Homme subit ou cherche a s'identifier

Oui l'homme soit il subit soit il s'identifit

Et souvent il milite

En croyant avoir ete trompé aussi

Et donc il acuse aussi

Et une foie qu'il commence il ne s"arrete plus d'acusé

Je ne suis pas sociologue. Je ne saurais vous dire si c'est de la grande sociologie. Si cela se trouve, cela est pure poésie. Là, dans ce poème-là, pmat nous parle de la révolte de l'homme algérien et de sa moitié qui pointent du doigt le libéralisme et accusent le capitalisme, le FMI et la BM du fait que, par exemple, le processus de l'autosuffisance alimentaire s'annonce très lent. Voyez-vous, ce que nous dit pmat c'est que notre Ingénieur-Agronome est pris les culottes baissées. Cet ingénieur-là, pensait qu'il allait travailler dans des bureaux d'État et superviser la germination de la patate à partir de son bureau de la direction ta3 ezira3a. Oh que non ! Surprise ! le libéralisme est venu lui rappeler que c'était, justement-là, le grand échec du socialisme algérien, la plus grosse épine dans le c-u-l de l'économie algérienne. Ni Lénine, ni Staline et encore moins Houari Boumediène (Allah yarhamou) qui a imposé la collectivisation des terres agricoles, n'avaient soupçonné cela : la patate est un légume sans prétention, elle se nourrit d'eau claire beaucoup plus que de révolutions agraires. Si la patate de chez nous, reste chère, c'est parcequ'elle se fait rare. Et elle se fait rare, parce que notre Ingénieur-Agronome, ne voit pas ce qu'il irait foutre dans une ferme privée, où il aura à travailler très fort et même aller aux champs ! Grand Dieu ! Lui qui n'a jamais fait pousser la patate que sur du papier dans les laboratoires de patates de nos universitès... Ainsi parla pmat.

Chapitre deux : Trop de zaama zaama

hier encore tous comme aujourdhui

hier encore tous comme aujourdhui trop de zaama zaama

on fait paraitre

sans pour cela etre

car pour vivre oui il faut paraitre et en croyant etre

Je ne suis pas philosophe. Je ne saurais vous dire si c'est de la grande philosophie. Si cela se trouve, cela est d'ordre existentiel : être ou ne pas être. là, dans ce chapitre-là, pmat nous renvoie au coeur de l'insécurité noyante de nos grandes villes, de notre métropole par exemple, Alger la blanche. Être ou ne pas être, vivre zaama zaama ou survivre avec cet obsessionnel sentiment d'insécurité sans rapport avec la relative quiétude de nos grandes villes. Je ne doute pas que le terrorisme est long à exterminer - la réconciliation invite aux lenteurs - mais on est encore sur une autre planète que Chicago, New York et même Mexico... Me souviens, un soir, dans les allées sombres d'un joli parc d'Alger, trois petites vieilles profitaient du coucher du soleil pour mémérer, leur sacoches négligemment posées entre elles sur le banc. Je me suis dit : Dieu que les vampires de Central Park à New-York en perdraient leurs dents ! Mais revenons à la pensée de pmat qui mérite qu'on creuse davantage. Il nous dit, et je le cite : on fait paraître sans pour cela être... Pensez-y, c'est assez profond. Il nous dit, lui, pmat, il nous dit que les Algériens qui émergent tout juste d'une société super-policée, ont échangé leur peur du gendarme contre celle des terroristes, comme si l'énorme place qu'occupait la première devait, question d'équilibre, être absolument comblée par une autre peur, exactement de la même taille ! Qui est derrière ce coup ? pmat n'en dit pas plus. Mais il nous dit encore, que la ligne droite que nos gouverneurs semblent tracer, zaama zaama pour avancer vers un futur radieux, et qu'on fait paraître toute droite, cette ligne en fait, vire tout le temps, on arrête pas de virer dans ses virages qui n'en finissent plus. On fait paraître une ligne droite, On avance zaama zaama, mais on revient toujours au point de départ ! On avance, vrai, mais on retrouve toujours notre point de départ ! comment est-ce possible ? Si j'ai bien saisi, la pensée de pmat nous renvoie à une figure géométrique courbe et fermée. Est-ce un cercle ? est-ce une éllipse ? Faut voir avec pmat. Je n'extrapolerai pas à sa place...

Chapitre trois : Que pensé de la desertion d'un president, appelé cela se mettre en securité

pour la politique qui dis nous avons des valeurs

et qui demande des finances et des budjets

et encore des finacements et des budjets pour mené a bien les projets de sa politique

on appele cela au frais de la princesse

Je ne suis pas politologue. Je ne saurais... À suivre.

ps:

El mouaallaf : pmat

El-Moulahane : pmat

El-moughani : bloum

pmat · July 4, 2007

je ne suis qu'un parmis tans d'autre

et sans art ni profession a la base ret encore moins de don

mais je connais le gout du poivre

je connais aissi le gout de l'amer et l'amertume

comme tous ceux qui ont ete deçu

et aussi les joies de la vie

je sais aussi ce qu'est la faim et la soif

je sait ce qui est un droit et ce qui est juste

je sait ce qui est bien et ce qui est mal

je reconnaitrai un ami d'un ennemi

je sait regler une affaire entre deux personne

je peu mettre mon affire entrre les main de plus competent que moi

je sait une chose pourtant

que l'on sait jamais assez

je sais par exemple que toi bloum tu as un savoir faire

mais de quelle coté de la barriere tu est.

on le sait a cause des mots que tu dis

et on d'accord ou pas d'accord avec l'avis de l'autre lorsqu'on est en lien avec la partie attaquer

et donc la aussi de qu'elle coté de la barriere tu est?

on le sera en te lisant là encore

sous condition

si tu n'est pas sous influance d'une autorité

je vais m'arreté là cher ami bloum

car ces jour trop de chose a gerre et moins de moyens de maitrise

sache que ta maniere d'ecrire

non elle n'est pas de la foutais

c'est meme de la tres grande qualité

et si tu te lance en ecriture tu fera un tabac

oui moi je reflechir et j'ecris pour ne pas oublier

j'ai commencé par des notes et puis par des grandes pages ret de plus en plus

mais cela tout est de moi

il est vrais que je suis demonstratif

vous l'ete on vous acuse d'etre trop long

vous ete concic

on vous le reproche car il maqnques des element pour completer et avoir la comprehension ect..

et ton discour est la dans cette psychanalise

est ce pour acusé? les manque

ou les trop

ou la pluralité des sujets?

comme pour le sous entendre par le mille pates

oui je m'interesse a tous

tiu n'a pas tord

et peut etre que je deroute en m'interessant a tout

une chose a te dire

je suis tres honoré pour ton interet a ma personne

et en ce ca

je t'offre mon amitiés sincere

tres cordialement

pmat · July 4, 2007

je ne suis qu'un parmis tans d'autre

bonjour Bloum

je ne suis qu'un parmis tans d'autre dans ce monde

sans art ni profession a la base et encore moins de don

mais je connais le gout du poivre ,le gout de la brulure par la braise

etre seule au monde et livre a soi meme

je connais aissi le gout de l'amer et l'amertume

comme tous ceux qui ont ete deçu

et aussi les joies de la vie

je sais aussi ce qu'est la faim et la soif

je sait ce qui est un droit et ce qui est juste

je sait ce qui est bien et ce qui est mal

je reconnaitrai un ami d'un ennemi

je sait regler une affaire entre deux personne

je peu mettre mon affire entrre les main de plus competent que moi

je sait une chose pourtant

que l'on sait jamais assez

je sais par exemple que toi bloum tu as un savoir faire

mais de quelle coté de la barriere tu est.

on le sait a cause des mots que tu dis

et on d'accord ou pas d'accord avec l'avis de l'autre lorsqu'on est en lien avec la partie attaquer

et donc la aussi de qu'elle coté de la barriere tu est?

on le sera en te lisant là encore

sous condition

si tu n'est pas sous influance d'une autorité

je vais m'arreté là cher ami bloum

car ces jour trop de chose a gerre et moins de moyens de maitrise

sache que ta maniere d'ecrire

non elle n'est pas de la foutais

c'est meme de la tres grande qualité

et si tu te lance en ecriture tu fera un tabac

oui moi je reflechir et j'ecris pour ne pas oublier

j'ai commencé par des notes et puis par des grandes pages ret de plus en plus

mais cela tout est de moi

il est vrais que je suis demonstratif

vous l'ete on vous acuse d'etre trop long

vous ete concic

on vous le reproche car il maqnques des element pour completer et avoir la comprehension ect..

et ton discour est la dans cette psychanalise

est ce pour acusé? les manque

ou les trop

ou la pluralité des sujets?

comme pour le sous entendre par le mille pates

oui je m'interesse a tous

tiu n'a pas tord

et peut etre que je deroute en m'interessant a tout

une chose a te dire

je suis tres honoré pour ton interet a ma personne

et en ce ca

je t'offre mon amitiés sincere

tres cordialement

pmat · July 4, 2007

je ne suis qu'un parmis tans d'autre

bonjour Bloum

je ne suis qu'un parmis tans d'autre dans ce monde

sans art ni profession a la base et encore moins de don

mais je connais le gout du poivre ,le gout de la brulure par la braise

etre seule au monde et livre a soi meme

je connais aissi le gout de l'amer et l'amertume

comme tous ceux qui ont ete deçu

et aussi les joies de la vie

je sais aussi ce qu'est la faim et la soif

je sait ce qui est un droit et ce qui est juste

je sait ce qui est bien et ce qui est mal

je reconnaitrai un ami d'un ennemi

je sait regler une affaire entre deux personne

je peu mettre mon affire entrre les main de plus competent que moi

je sait une chose pourtant

que l'on sait jamais assez

je sais par exemple que toi bloum tu as un savoir faire

mais de quelle coté de la barriere tu est.

on le sait a cause des mots que tu dis

et on d'accord ou pas d'accord avec l'avis de l'autre lorsqu'on est en lien avec la partie attaquer

et donc la aussi de qu'elle coté de la barriere tu est?

on le sera en te lisant là encore

sous condition

si tu n'est pas sous influance d'une autorité

je vais m'arreté là cher ami bloum

car ces jour trop de chose a gerre et moins de moyens de maitrise

sache que ta maniere d'ecrire

non elle n'est pas de la foutais

c'est meme de la tres grande qualité

et si tu te lance en ecriture tu fera un tabac

oui moi je reflechir et j'ecris pour ne pas oublier

j'ai commencé par des notes et puis par des grandes pages ret de plus en plus

mais cela tout est de moi

il est vrais que je suis demonstratif

vous l'ete on vous acuse d'etre trop long

vous ete concic

on vous le reproche car il maqnques des element pour completer et avoir la comprehension ect..

et ton discour est la dans cette psychanalise

est ce pour acusé? les manque

ou les trop

ou la pluralité des sujets?

comme pour le sous entendre par le mille pates

oui je m'interesse a tous

tiu n'a pas tord

et peut etre que je deroute en m'interessant a tout

une chose a te dire

je suis tres honoré pour ton interet a ma personne

et en ce ca

je t'offre mon amitiés sincere

tres cordialement

PS: tu as une ecriture tres anglaise , elle s'interroge explique se faufille se met dans la peau de l'autre et ressort pour continuer a montre du doigt ce qu'elle pense qu'elle a a le faire

pas loin de Henry Miller

que je n'ai lu de lui que le capricorn

par contre me concernant

tu aurait du te rendre comptes

contrairement a toi qui fait de la gymnastique comme on dit avec les mots et j'avoue que tu sais bien le faire

et bien moi

c'est avec les sujet que je jongle et fait de la gymnastique

pmat · July 4, 2007

La Pieuve

Bloum

tu aurait put appelet le sujet la pieuve

comme tu la sous entendu le mille pattes

pour apres l'avoir appelé

Les sept chapitres

sherazade en a fait mille et un

pourquoi

c'est la traduction de la morale

tu te raconte tu vis

tu te tait tu meures

pmat · July 4, 2007

au fait ami bloum

tu as dis

Je ne suis pas politologue. Je ne saurais... À suivre.

ps:

El mouaallaf : pmat

El-Moulahane : pmat

El-moughani : bloum

peut on dire qu'on se complete? finalement

alors on le sort le disque?

do do do mi do

re mi do

sol sol la re re do

bon je vais aller faire dodo

car

do re mi

la si do

pmat · July 4, 2007

Il faut que tu respires

boonjour Bloum

je desire te dire une chose

ou l'auteur a oublier de parler de bien des choses

comme par exemple

les mots et et les parole ne sont des armes

que pour ceux qui veuillent seduire machin et machines

et c'ets pas saint

comme romeo qui a seduit Juliette

il n'ya aucun mal

c'est juste une image

les hommes saint n'on ont pas besoin

car tous les termes nos sont pas nescessaire pour vivre

car a preuve du contraire ce ne sont pas les intellectuelles ni les politique et encore moins les et le sphilosophe ideme pour les ideologue ou les pensseurs

qui joue la solidarité c'est encore les cotoyens de tout bords

l'entraide il suffit de demander et pas etre au bord de la route critiqué

il faut reytroussé ses manche et y aller que ce soit a el-harche ou a paris la douelur elle est dans le monde entier et la colere aussi

les mots, les mots ne sont pas tous les meme on ne dis pas de la meme consonance bonjour en ville comme a la campagne

la fidellité n'ets pas et n'a pas le emme sens en ville comme la campagne

ect ect.;

mais on devrais ecouté le conseille suivant qui est de

Mickey 3D

Il faut que tu respires

Approche-toi petit, écoute-moi gamin

Je vais te raconter l'histoire de l'être humain

Au début y'avait rien au début c'était bien

La nature avançait y'avait pas de chemin

Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers

Des coups de pied dans la gueule pour se faire respecter

Des routes à sens unique il s'est mis à tracer

Des fleches dans la plaine se sont multipliés

Et tous les événements se sont vus maitriser

En deux temps trois mouvements l'histoire était pliée

C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière

On a même commencé à polluer les déserts

Il faut que tu respires

Et ça c'est rien de le dire

Tu vas pas mourir de rire

Et c'est pas rien de le dire

D'ici quelques années on aura bouffé la feuille

Et tes petits enfants ils n'auront plus qu'un oeil

En plein milieu du front ils te demanderont

Pourquoi toi t'en as deux et tu passeras pour un ***

Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça

T'auras beau te defendre leur expliquer tout bas

C'est pas ma faute à moi c'est la faute aux anciens

Mais y'auraplus personne pour te laver les mains

Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais

Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés

Y'avait des animaux partout dans la forêt

Au début du printemps les oiseaux revenaient

Il faut que tu respires

Et ça c'est rien de le dire

Tu vas pas mourir de rire

Et c'est pas rien de le dire

Il faut que tu respires

C'est demain que tout empire

Tu vas pas mourir de rire

Et c'est pas rien de le dire

Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves

Quelque part assassin ici bien incapable

De regarder les arbres sans se sentir coupable

A moitié défroqué cent pour cent misérable

Alors voilà petit l'histoire de l'être humain

C'est pas joli joli et j'connais pas la fin

T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou

Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin

Il faut que tu respires

Et ça c'est rien de le dire

Tu vas pas mourir de rire

Et c'est pas rien de le dire

Il faut que tu respires

C'est demain que tout empire

Tu vas pas mourir de rire

Et ça c'est rien de le dire

Il faut que tu respires

pas mal !!!!!!! Bloium!

au fait comment on fait un feu

pmat · July 4, 2007

au fait aussi

que poura tu nous dire la dessus

car moi c'est mon premier soucis car je vis ici et cela m'interpelle *pas toi??

Des « jeunes d’origine difficile » aux « candidats issus de la diversité »

Ou : comment faire silence, mine de rien, et une fois de plus, sur la question du racisme et des discriminations

Bref : parler de « diversité » permet à notre classe politique de se dédouaner à bon compte, en affichant sa bonne volonté anti-raciste tout en occultant sa propre responsabilité dans la situation de discrimination systémique qui est à l’origine du problème ! Car enfin, s’il est nécessaire de nommer, pour la promouvoir, une fraction particulière de la population française, c’est que cette population se trouve de fait exclue de la représentation politique.

Lire l'article...

c'est la le lien

Des « jeunes d’origine difficile » aux « candidats issus de la diversité » (Oumma.com : L’Islam en toute liberté)

pmat · July 4, 2007

tres cher bloum

sache que je te connais et je sait qui tu est

comme beaucoup d'algerien

qui connaisent leur histoire mais toi tu nous la recite en derision pour nous fdire tout bas ce que nous diosn tout haut

n'est pas peur soit toi meme et debattont cat tu as tout juste la dans ce que tu as ecrit là

sur un de mes chapitre

sauf que sur le sujet moi je traitait la mauvaise gouvernance des pays ocidenteaux et leur abus de pouvoir comme l'etat americain qui agrese l'irak

et donc jacusait les chef d'etat engenrale et notement ceux des pays du nord

et je faisait l'avocat des pays du sud

mais toi tu a introduit une histoire de tmber la chemise et retrousser ses manche alors qu'il etait plus question de chercheur et grateurs de papier

j'ai aprecié et j'adhere car moi aussi je la connais mon histoire qui est la notre a tous

est ce a cause de cela

Oui l'homme soit il subit soit il s'identifit

Et souvent il milite

En croyant avoir ete trompé aussi

Et donc il acuse aussi

Et une foie qu'il commence il ne s"arrete plus d'acusé

car les algeriens ont ete longtemp des benevole comme on disait et des militants

cela t'a rappelé torate aziraya

ce n'etait pas mon but mais aussi je dirasi alors

Chapitre un : l'Homme subit ou cherche a s'identifier

Oui l'homme soit il subit soit il s'identifit

Et souvent il milite

En croyant avoir ete trompé aussi

Et donc il acuse aussi

Et une foie qu'il commence il ne s"arrete plus d'acusé

Je ne suis pas sociologue. Je ne saurais vous dire si c'est de la grande sociologie. Si cela se trouve, cela est pure poésie. Là, dans ce poème-là, pmat nous parle de la révolte de l'homme algérien et de sa moitié qui pointent du doigt le libéralisme et accusent le capitalisme, le FMI et la BM du fait que, par exemple, le processus de l'autosuffisance alimentaire s'annonce très lent. Voyez-vous, ce que nous dit pmat c'est que notre Ingénieur-Agronome est pris les culottes baissées. Cet ingénieur-là, pensait qu'il allait travailler dans des bureaux d'État et superviser la germination de la patate à partir de son bureau de la direction ta3 ezira3a. Oh que non ! Surprise ! le libéralisme est venu lui rappeler que c'était, justement-là, le grand échec du socialisme algérien, la plus grosse épine dans le c-u-l de l'économie algérienne. Ni Lénine, ni Staline et encore moins Houari Boumediène (Allah yarhamou) qui a imposé la collectivisation des terres agricoles, n'avaient soupçonné cela : la patate est un légume sans prétention, elle se nourrit d'eau claire beaucoup plus que de révolutions agraires. Si la patate de chez nous, reste chère, c'est parcequ'elle se fait rare. Et elle se fait rare, parce que notre Ingénieur-Agronome, ne voit pas ce qu'il irait foutre dans une ferme privée, où il aura à travailler très fort et même aller aux champs ! Grand Dieu ! Lui qui n'a jamais fait pousser la patate que sur du papier dans les laboratoires de patates de nos universitès... Ainsi parla pmat.

pmat · July 4, 2007

on est pas tous bloum

comme

Au pays des aveugles

Le visage contre le mur

Je n'entends plus de murmures

Prend le masque de mes yeux

Je tends l'oreille vers les cieux

Il n'y a personne ici

Où la confusion est née

Le vieillard est couronné

Rien n'alourdit mon esprit

Laisse ma main montrer la vie

Car j'apporte quelque chose

L'étoile de la peur m'étrangle

Et m'entraîne sous la terre

Jusqu'au pays des aveugles

Dans le feu je brûle entier

Malgré mon besoin de vie

Prisonnier de mon esprit

Le visage contre le mur

Ecrasé par la torture

Une larme silencieuse

Quand la vie est en veilleuse

Ne plus rien changer du tout

L'étoile de la peur m'étrangle

Et m'entraîne sous la terre

Jusqu'au pays des aveugles

Dans le feu je brûle entier

Malgré mon besoin de vie

Prisonnier de mon esprit

Le visage contre le mur

La poussière sur mes chaussures

Mon testament est fini

Je n'ai rien à faire ici

La réalité s'éveille

Le visage contre le mur

Quand profonde est la blessure

Quand pas une feuille ne bouge

Quand le poignard devient rouge

Il faut tourner cette page

Le visage contre le mur

Jusqu'au pays des aveugles

Jusqu'au pays des aveugles ...

car il y a pas bien longtemps mon ami bloum

les algeriens etait comme

Ceux que l'amour a blessés

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants du front

Ils ont la peur aux yeux

Ils ont la ride au front

Comme des jeunes vieux

Ils marchent le dos courbé

Ils font un peu pitié

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a blessés

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants de loin

Qui ont offert leur vie

A qui ont ne rend rien

Ils crient pour avoir l'air

J'ai fait l'amour, moi, monsieur

Comme s'ils en étaient fiers

Comme s'ils étaient heureux

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a blessés

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants chez soi

Ils trouvent leur feu éteint

On ne les attend pas

Devant les cendres froides

Comme des chiens, sans pleurer

Ils lèchent leurs blessures

Ils soignent leur passé

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a blessés

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants d'amour

Ils jurent c'est la dernière

A jamais, pour toujours

Il faut ranger les armes

Il faut sécher les larmes

Ils veulent mourir en paix

Et qu'on leur fiche la paix

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a tués

A tuer

ou aujourdhui dire de nous

qu'on a

Cheveux longs et idées courtes

Si monsieur Kennedy

Aujourd'hui revenait

Ou si monsieur Gandhy

Soudain ressuscitait

Ils seraient étonnés

Quand on leur apprendrait

Que pour changer le monde

Il suffit de changer

Da-da-da-da-dam

Et surtout, avant tout

D'avoir les cheveux longs

Crier dans un micro

Je veux la liberté

Assis sur son derrière

Avec les bras croisés

Nos pères et nos grands-pères

N'y avaient pas pensé

Sinon combien de larmes

Et de sang évités

Da-da-da-da-dam

Mais bien sûr leurs cheveux

N'étaient pas assez longs

Écrire sur son blouson

La guerre doit s'arrêter

Assis sur son derrière

Avec les bras croisés

Les bonzes du Vietnam

N'y ont jamais pensé

Tout ce qu'ils ont trouvé

C'est partir en fumée

Da-da-da-da-dam

Mais bien sûr leurs cheveux

Ne sont pas assez longs

Crier c'est une honte

Des hommes meurent de faim

Assis sur son derrière

Avec les bras croisés

Est-ce la solution

Est-ce le bon moyen

En tout cas les hindous

Devront s'en contenter

Da-da-da-da-dam

Avant de trouver mieux

Leurs cheveux seront longs

Si les mots suffisaient

Pour tout réaliser

Tout en restant assis

Avec les bras croisés

Je sais que dans une cage

Je serai enfermé

Mais c'est une autre histoire

Que de m'y faire entrer

Da-da-da-da-dam

Car il ne suffit pas

D'avoir les cheveux longs

Fait-on pousser du blé

En faisant des discours

Faut-il un uniforme

Pour détester la guerre

Faut-il pour être un homme

Ne plus chanter l'amour

Faut-il mendier sont pain

Et ne plus être fier

Da-da-da-da-dam

Faut-il pour être libre

Avoir les cheveux longs, longs, longs

Da-da-da-da-dam

Da-da-da-da-dam...

pmat · July 4, 2007

Et finalement tu avais tout faut puisque il ya sept chapitre plus 10 autres avec celui la

pour te dire

qu'il faut etre avec les autre et militer mais ne pas se taire la ou il faut et pas ds crispar bribes et la ou il ne fait pas

car faire comme cela ce n'est pas rendre service a personne et meme pas a soi meme

dons il faut tonber la chemise, la mouiller et retroussé ses manche et se mettre tous au travail

alors on y va?

bloum · July 5, 2007

Chapitre trois : Que pensé de la desertion d'un president, appelé cela se mettre en securité

pour la politique qui dis nous avons des valeurs

et qui demande des finances et des budjets

et encore des finacements et des budjets pour mené a bien les projets de sa politique

on appele cela au frais de la princesse

Je ne suis pas politologue. Je ne saurais vous dire si c'est de la grande politique. Si cela se trouve, cela est un truc machiavélique. Deux choses, nous dit pmat, deux choses : La première : c'était une bêtise d'y aller. La seconde : ce serait une bêtise peut-être plus dramatique encore de se retirer maintenant. Voilà la substance même de la pensée de pmat, dans le prélude de son chapitre trois... Commene ça ? Aller où ? Et se retirer de quoi, au juste ? Quessé ça ?... Ben, ici, pmat nous renvoie à la tragédie de l'Irak. Il nous parle de la chose. Non, excusez, il nous parle de deux choses, je l'ai dit, La première : c'était une bêtise d'y aller. À peu près tout le monde l'admet aujourd'hui, sauf le crétin Bush et ses amis. La seconde : ce serait une bêtise peut-être plus dramatique encore de se retirer maintenant.

pmat ne le dit pas pour les Américains, qui n'ont pas du tout l'intention de se retirer, pmat le dit pour les autres qui voudraient les voir rentrer chez eux et se mêler de leurs affaires. --- pour la politique qui dis nous avons des valeurs --- nous précise pmat, cela veut dire : Hey, vous les américains, si vos valeurs sont la paix et la démocratie, ben, instaurez-les donc dans cet bourbier que vous avez créee...

Plus loin, pmat ajoute à son terrible prélude du chapitre trois : --- et qui demande des finances et des budjets et encore des finacements et des budjets pour mené a bien les projets de sa politique --- Mais oui, mon vieux ! Ça prend des milliards et des milliards de dollars pour réparer l'irréparable. pmat nous dit qu'il faut des soldats pour faire la guerre, précisément-là où il y'a une guerre... Et c'est la guerre en ce moment en Irak. C'est même plusieurs guerres, nous dit pmat. La plus importante, la plus vicieuse : la guerre des sunnites contre les chiites, qui n'est pas une guerre religieuse comme on pourrait le croire, mais une guerre de pouvoir entres les anciens maîtres sunnites et les nouveaux maîtres chiites, pressentis et protégés par les Américains... Puis une guerre religieuse, le djihad, menée, elle, par les salafistes... Et encore la guerre tous azimuts que mène ce qui reste de l'armée de Saddam... Et enfin, moins connue, la plus méchante peut-être, la guerre que tous ceux que je viens de citer sont prêts à faire aux Kurdes qu'ils haïssent plus ou moins... Or donc, nous avons au moins trois guerres en ce moment en Irak. Il ne sert plus à rien, même si c'est mille fois vrai, de répéter que les Américains, enfin l'administration Bush en sont mille fois responsables. Ils ont menti, ils ont triché, ils ont tout fait contre l'avis des Nations unies, il n'y a pas une connerie qu'ils n'ont pas commise. Il appartiendra aux américains de demander des comptes à leur président. N'empêche, noud dit pmat, n'empêche que là, tout de suite, les Américains sont les seuls à avoir l'autorité, la puissance et surtout les budgets nécessaires, pour tirer ce pays du bourbier dans lequel ils se sont acharnés à le plonger. Pas depuis 4 ans. Depuis 16 ans. Depuis le déclenchement de l'opération Tempête du désert par Bush père, le 17 janvier 1991... Enfin, pmat termine son prélude : ---on appele cela au frais de la princesse--- Bon, c'est clair, net et préçis : La reconstruction de l'Irak, zaama zaama financée par les Américains, sera financée par les revenus du pétrole de l'Irak. C'est bien ça pmat, aux frais de la princesse, on t'as bien compris...

Chapitre quatre : Deux chose vous cours apres

oui je disat

Deux choses vous cours apres

ce qui vous persecutent et ceux qui vous aime

et une troisieme votre chance

qu'est ce qui vous suit?

pas votre ombre?

si?

des interets? et peut etre pas les votres

vous etes un interet

Je ne suis pas psychologue. Je ne saurais vous dire... À suivre.

ps: Bonjour mon ami pmat. Y'a tellement à lire que j'ai pas pu développer le 4ème chapitre lol, mais j'ai fini par faire le tour de toute la matière. C'est vrai, tu peux me compter parmi tes fans. Je pense qu'on va faire un bon bout : Les mille et un chapitres :D . Bonne journée.

pmat · July 5, 2007

sache mon ami blom

que je ne t'ai pas oublier par contre ce que j'avais preparé comme reponse est dans mon autre ordinateur qui abloqué et continu abloquer donc si le courier n'a pas ete effacé je t'en ferais part si non il me faudra e te faire un autre

qui sera surement pas aussi beaux que celui que j'ai fait deja ce matin mais que veut tu

c'est là le probleme du pc et de nos memoires

a plus tard des que mon pc se debloque

je t'ecris par mon portable

ou lui fait des sienne aussi car c'est un portable

une chose sache que tu ma rendu sans voix par ta reponse que j'ai lu ce matin

amitie sincere

bien a toi

au cas ou tu n'aurais pas vu

là

http://www.forum-algerie.com/discussion-generale/2954-paix-et-amitie-toi-bloum-lami-du-forum-enfin.html

pmat · July 5, 2007

Enfin je vien de recupere le message que je t'avais preparer depuis ce matin

Comme tu peux le voir monami bloum

Enfin je vien de recupere le message que je t'avais preparer depuis ce matin

ou WORD a put le sauvegardé malgré le bloquage

Et donc voici ma reponse

Bonjour ami bloum

Tu m’as encore donné du fils à retordre sur le comment te répondre

Car tes mots ont déjà fait leur effet

Je suis très touché de l’honneur que tu me fais

Et suis être honoré de faire ta connaissance finalement

Et laisse moi te dire que suite à la lecture de nos amis frère et soeurs du forum

Sur le sujet de camembert

Que tu es une plume

Et oblige de le constater par les seules messages qu’on peut lire on a déjà la preuve

Et que moi aussi je me ferai le plaisir d’être a mon tour un de tes fans de tes écrit et désire et souhaite ardemment que tu nous envahissent de la richesse que tu détiens cachés en écriture ici

Afin de faire meilleur connaissance en débattant entre nous

Car lorsque tu dis

C'est vrai, tu peux me compter parmi tes fans. Je pense qu'on va faire un bon bout

Du fond du cœur également pour moi

Et ce sera avec le plus grand plaisir

Très cordialement

Bonne journée a toi aussi

Ps*: attention au débat a humour risque de ne pas être compris

PS:2 au cas ou tu n'aurais pas vu

là

Paix Et Amitie A Toi Bloum L'ami Du Forum Enfin

bloum · July 6, 2007

Chapitre quatre : Deux chose vous cours apres

oui je disat

Deux choses vous cours apres

ce qui vous persecutent et ceux qui vous aime

et une troisieme votre chance

qu'est ce qui vous suit?

pas votre ombre?

si?

des interets? et peut etre pas les votres

vous etes un interet

Je ne suis pas psychologue. Je ne saurais vous dire si c'est de la grande psychologie. Si cela se trouve, cela est pure subtilité. dans ce chapitre, number four, pmat s'introduit en nous et nous divise en deux. Il dit que le monde se divise en deux catégories : Les gens qui s'aiment. Il veut dire qui se trouvent beaux et intelligents. Et les gens qui s'aiment moins. Si j'ai bien saisi, l'essence du quatrième chapitre vise les gens de la deuxième catégorie. Oublions les premiers, cette minorité esthético-narcissique à laquelle appartiennent les culturistes, les grandes stars du football sauf Zidane, les chanteuses d'opéra, les solidaires du forum, les danseurs de tango, quelques Émirs égarés et Boutef.

pmat, donc, pointe la deuxième catégorie. Lui, vous et moi appartenons à la seconde catégorie. Tu t'aimes plus ou moins. Tu te trouves pleins de défauts, impatient, anxieux, timide, trainard, précaire, name it. Et souvent, cela t'emmerde. D'être trainard, par exemple. Toujours attendre la dernière minute pour faire ce que tu as à faire, tu ne trouves pas que cela ajoute quoi que ce soit à ta personnalité. D'être si peu à l'aise en société, non plus. Et ce caractère combien épouvantable. Enfin bref, des choses comme ça. Et ça t'emmerde mon vieux, ça te trouble, te persécute pour employer le terme à pmat. Et tu te demandes si on pouvait faire retoucher le caractère aussi simplement qu'on fait retoucher un pantalon qui tombe mal. Je ne sais pas pour toi, mec, mais moi je dirais docteur, ne touchez à rien d'essentiel, mais pourriez-vous me mettre un petit peu de zip dans le cortex, un peu plus de volume dans les synapses, et me gonfler légèrement l'hypothalamus... Evidemment, si vous êtes une femme, vous vous foutez royalement de votre hypothalamus. Vos soucis sont ailleurs. Vous menez une guerre totale à tout ce qui persécute votre peau, votre apparence, ce point noir sur votre joue ou cet autre bouton au bout de votre nez , ces sourcils qui n'ont pas d'affaire à pousser là où il faut pas. Une guerre totale depuis votre adolescence jusqu'à la fin de votre célibat. Puis, voilà, vous vous mariez, madame. Vous avez deux beaux enfants, deux petits anges, madame. Puis, un jour... Ah ce jour là, un vendredi après-midi, à Alger, Oran ou Marseille, chez vous, vous écoutez de la musique en rangeant la vaisselle, et soudain, dans le petit miroir, vous remarquez ce point noir, juste-là, au centre de votre joue gauche, et ce bouton qui vous pend au bout du nez. Vos enfants jouent dans la cuisine. Votre mari est à votre droite à réparer une étagère avec un tournevis. Vous vous sentez superbement bien, et vous vous demandez comment un bonheur aussi ordinaire, presque bébête, peut vous donner autant de contentement malgré le bouton et le point noir ? Souriez, y a rien qui puisse vous atteindre, madame ! Vous êtes heureuse. D'avoir donné la vie à vos deux petits anges, et d'être au coeur de la vie de tout ce qui tourne autour de vous. Heureuse et chanceuse. D'avoir un mari dont le bonheur est de réparer un truc avec un tournevis et tout de suite après, vous prend dans ses bras, vous embrasse sur une joue, pis sur l'autre joue, se méprend sur le point noir et vous dit : Chèrie, t'as un petit grain de beauté, c'est cute, je viens de le remarquer, juste-là, au centre de ta joue... Ainsi parla pmat : Deux choses vous cours apres ce qui vous persecutent et ceux qui vous aime et une troisieme votre chance.

Encore, dans son quatrième chapitre, pmat, en plus de nous parler de la vie et de l'amour, il nous sort un truc, qui, à prime abord n'a pas rapport : L'intérêt... Pourtant, à bien chercher, il y a bien un lien. C'est comme s'il nous dit : Attention, At-ten-tion, y a bien sûr la vie, y a bien sûr l'amour, mais il y a aussi les charognes. Parce que, veut, veut pas, les charognes sont jamais loin du coeur de votre vie... Et voyez-vous, pmat me renvoie à une expérience que j'ai vécu, voilà quelques années. Un jour, j'étais à Jijel, au coeur de la compagne. Et il y avait mon oncle, un fermier, qui m'avait chargé de surveiller une vache allongée de tout son corps sur du foin, il m'a dit, mon oncle pas pmat, il m'a dit : Quand elle commence à allonger ses pattes, tu m'appelles, je suis pas très loin, c'est pour l'aider à mettre son bébé au monde. Fait que, c'est ça, je surveillais, surveillais, surveillais, mais elle allongeait pas ses pattes. Un moment donné, au lieu de m'ennuyer à la surveiller, j'ai commencé à l'interviewer. Évidemment, elle a répondu à aucune de mes questions. Elle regardait plutôt du côté de ces gros oiseaux qui se sont posés sur l'arbre mort. Ils étaient trois gros oiseaux, plantés-là, sur cet arbre désséché, immobiles, fossilisés dans leur plumes noires de croque-mort. Je les observais aussi, comme la vache. Quand mon oncle est revenu, je lui ai demandé pourquoi ces gros oiseaux demeuraient immobiles longtemps ? Ce sont des charognes qu'il m'a répondu, Ils attendent que la vache mette bas pour aller bouffer le placenta... Quelques heures, ça y est, un veau est né, couleur caramel, vacille sur ses pattes. Et déjà, sa mère le débarbouille à grands coups de langue, à chaque coup de langue, le veau se pousse d'un pas, deux pas... douze pas. Rendus assez loin, les charognes se laissaient tomber comme des pierres, ils se disputaient la sanie sanguinolente.

Le quatrième chapitre dans une image : la vie, l'amour et les charognes... Ainsi parla pmat.

Chapitre cinq : Quelques réflexions sur la création d'un Ministère

que se passe t il en france????

c'est un scandale

sauf que les pays et leurs etats sont souverains et ont ces droits

d'etre intolerent raciste et faisant bariere aux autre

par contre ce qui est desolent

cela n'est pas contre les americains , les anglais, les allemand, les italiens ect....

et c'est la que le bas blesse

ou cela est blessant et a de la conotation d'anti les autre malgré et derriere les mots

Je ne suis pas un ? Dur, dur à trouver lol. Anyway, je trouverai demain soir.

ps: Merci pour ton beau message, pmat, t'es gentil et plein d'humanité.

pmat · July 6, 2007

Chapitre quatre : Deux chose vous cours apres

oui je disat
Deux choses vous cours apres
ce qui vous persecutent et ceux qui vous aime
et une troisieme votre chance
qu'est ce qui vous suit?
pas votre ombre?
si?
des interets? et peut etre pas les votres
vous etes un interet

Je ne suis pas psychologue. Je ne saurais vous dire si c'est de la grande psychologie. Si cela se trouve, cela est pure subtilité. dans ce chapitre, number four, pmat s'introduit en nous et nous divise en deux. Il dit que le monde se divise en deux catégories : Les gens qui s'aiment. Il veut dire qui se trouvent beaux et intelligents. Et les gens qui s'aiment moins. Si j'ai bien saisi, l'essence du quatrième chapitre vise les gens de la deuxième catégorie. Oublions les premiers, cette minorité esthético-narcissique à laquelle appartiennent les culturistes, les grandes stars du football sauf Zidane, les chanteuses d'opéra, les solidaires du forum, les danseurs de tango, quelques Émirs égarés et Boutef.

pmat, donc, pointe la deuxième catégorie. Lui, vous et moi appartenons à la seconde catégorie. Tu t'aimes plus ou moins. Tu te trouves pleins de défauts, impatient, anxieux, timide, trainard, précaire, name it. Et souvent, cela t'emmerde. D'être trainard, par exemple. Toujours attendre la dernière minute pour faire ce que tu as à faire, tu ne trouves pas que cela ajoute quoi que ce soit à ta personnalité. D'être si peu à l'aise en société, non plus. Et ce caractère combien épouvantable. Enfin bref, des choses comme ça. Et ça t'emmerde mon vieux, ça te trouble, te persécute pour employer le terme à pmat. Et tu te demandes si on pouvait faire retoucher le caractère aussi simplement qu'on fait retoucher un pantalon qui tombe mal. Je ne sais pas pour toi, mec, mais moi je dirais docteur, ne touchez à rien d'essentiel, mais pourriez-vous me mettre un petit peu de zip dans le cortex, un peu plus de volume dans les synapses, et me gonfler légèrement l'hypothalamus... Evidemment, si vous êtes une femme, vous vous foutez royalement de votre hypothalamus. Vos soucis sont ailleurs. Vous menez une guerre totale à tout ce qui persécute votre peau, votre apparence, ce point noir sur votre joue ou cet autre bouton au bout de votre nez , ces sourcils qui n'ont pas d'affaire à pousser là où il faut pas. Une guerre totale depuis votre adolescence jusqu'à la fin de votre célibat. Puis, voilà, vous vous mariez, madame. Vous avez deux beaux enfants, deux petits anges, madame. Puis, un jour... Ah ce jour là, un vendredi après-midi, à Alger, Oran ou Marseille, chez vous, vous écoutez de la musique en rangeant la vaisselle, et soudain, dans le petit miroir, vous remarquez ce point noir, juste-là, au centre de votre joue gauche, et ce bouton qui vous pend au bout du nez. Vos enfants jouent dans la cuisine. Votre mari est à votre droite à réparer une étagère avec un tournevis. Vous vous sentez superbement bien, et vous vous demandez comment un bonheur aussi ordinaire, presque bébête, peut vous donner autant de contentement malgré le bouton et le point noir ? Souriez, y a rien qui puisse vous atteindre, madame ! Vous êtes heureuse. D'avoir donné la vie à vos deux petits anges, et d'être au coeur de la vie de tout ce qui tourne autour de vous. Heureuse et chanceuse. D'avoir un mari dont le bonheur est de réparer un truc avec un tournevis et tout de suite après, vous prend dans ses bras, vous embrasse sur une joue, pis sur l'autre joue, se méprend sur le point noir et vous dit : Chèrie, t'as un petit grain de beauté, c'est cute, je viens de le remarquer, juste-là, au centre de ta joue... Ainsi parla pmat : Deux choses vous cours apres ce qui vous persecutent et ceux qui vous aime et une troisieme votre chance.

Encore, dans son quatrième chapitre, pmat, en plus de nous parler de la vie et de l'amour, il nous sort un truc, qui, à prime abord n'a pas rapport : L'intérêt... Pourtant, à bien chercher, il y a bien un lien. C'est comme s'il nous dit : Attention, At-ten-tion, y a bien sûr la vie, y a bien sûr l'amour, mais il y a aussi les charognes. Parce que, veut, veut pas, les charognes sont jamais loin du coeur de votre vie... Et voyez-vous, pmat me renvoie à une expérience que j'ai vécu, voilà quelques années. Un jour, j'étais à Jijel, au coeur de la compagne. Et il y avait mon oncle, un fermier, qui m'avait chargé de surveiller une vache allongée de tout son corps sur du foin, il m'a dit, mon oncle pas pmat, il m'a dit : Quand elle commence à allonger ses pattes, tu m'appelles, je suis pas très loin, c'est pour l'aider à mettre son bébé au monde. Fait que, c'est ça, je surveillais, surveillais, surveillais, mais elle allongeait pas ses pattes. Un moment donné, au lieu de m'ennuyer à la surveiller, j'ai commencé à l'interviewer. Évidemment, elle a répondu à aucune de mes questions. Elle regardait plutôt du côté de ces gros oiseaux qui se sont posés sur l'arbre mort. Ils étaient trois gros oiseaux, plantés-là, sur cet arbre désséché, immobiles, fossilisés dans leur plumes noires de croque-mort. Je les observais aussi, comme la vache. Quand mon oncle est revenu, je lui ai demandé pourquoi ces gros oiseaux demeuraient immobiles longtemps ? Ce sont des charognes qu'il m'a répondu, Ils attendent que la vache mette bas pour aller bouffer le placenta... Quelques heures, ça y est, un veau est né, couleur caramel, vacille sur ses pattes. Et déjà, sa mère le débarbouille à grands coups de langue, à chaque coup de langue, le veau se pousse d'un pas, deux pas... douze pas. Rendus assez loin, les charognes se laissaient tomber comme des pierres, ils se disputaient la sanie sanguinolente.

Le quatrième chapitre dans une image : la vie, l'amour et les charognes... Ainsi parla pmat.

Chapitre cinq : Quelques réflexions sur la création d'un Ministère

que se passe t il en france????
c'est un scandale
sauf que les pays et leurs etats sont souverains et ont ces droits
d'etre intolerent raciste et faisant bariere aux autre
par contre ce qui est desolent
cela n'est pas contre les americains , les anglais, les allemand, les italiens ect....
et c'est la que le bas blesse
ou cela est blessant et a de la conotation d'anti les autre malgré et derriere les mots

Je ne suis pas un ? Dur, dur à trouver lol. Anyway, je trouverai demain soir.

ps: Merci pour ton beau message, pmat, t'es gentil et plein d'humanité.

bloum

mais de rien echange oblige et amitié aussi et agalement civilité

je trouve tres astucieux et avec art et professionalisme ta maniere de lecture de textes il ya certain journaliste sur cettaine TV qui presente des ecrivain et qui nous donnet leur sentiment sur ce qu'eux on deduisent suite a leurs propre lecture ce sont des as de la profession

mais je desure te poser une question mon ami bloum

un jour j'a relevé l'ecrit suivant d'un eminent profeseur medicale

qui disait plus complique que le langage du ciotoyen normale

mais par des termes scientifique comme sa profession le condamné a ce parlé et a ce langage

il disait

le sunconscient endesarois debite a des idées toute faites

et a ce cela on a des consomateur tout trouvé

je n'irait pas jusqu'a demontre les fait de la concurance de la propâgande qu'on disait on on suggereait aussi par ses superieurs

je dirai tout simplement le fait du marketing aussi

ou on devein et on est devenu des standar et des ben oui oui

alors qu'on sait que ce qui est sensé etre enseigne a droite n'est aps obligatoirement a enseigné a gauche ect..

et donc moi je dis je desire etre libre dans mon enseigenement et mon point de vue

je ne desire pas etre le copy coller ni le peroquet de toute cet ensemble de venduer de vent et pour faire de l'edhesion et etre a leurs services

j'ai dans ce cas la mes services et c'est amoi d'en faire par celon mes convictions personnelle

et donc oui j'ai mes point devue et mes douleurs et egalment mes cris qui ne se calmerons pas tant que les injustices ne seront pas retabli

mais j'ai toujour dit que la reaction est un mecanisme logique de la provocation

mais on jugera que la reaction et je suis en train de pouser du coté de l'O.N.U pour que cette notion soit prise en compte

un avis ?????

bien a toi

pmat · July 6, 2007