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Ou est tu mon ami bloum tu nous manque

 

bonjour bloum

 

tien je t'offre un sujet que j'estime est bien plus noble que tous ce qu'on peu raconte ici et la

 

 

c'est mon amie kifaya qui m'en a inspiré

c'est une personne que j'estime beaucoup car elle fait du menage sur les question algerienne sur certain forum

et voila ce que je lui est posé comme sujet a nous proposé

mais ou ton avis m'interrese beaucoup

 

tous ce qui est rapporté est vrais mon ami

 

voici le message dans son entier

 

Kifaya Y-A Elfah-la

 

--------------------------------------------------------------------------------

 

bonjour kifaya

il y a un sujet que tous n'on jamais soulevé les algerien c'est les 7 années dans leur totalité de fait

 

je vien de sortir de ce meme debat ou avec ma famillle on dit les gens de chez nous parle pas des evenements ou parle peu des evenemnt

 

et moi je sait qu'il y a eut des depassement de la part de la france qu'en parler peut gener car les fait gene

comme se rapelle la douleur car chacun est touché par un lien familier

 

dans le douard ou je m'y trouver on etait tous plus ou moins de la meme famille

 

et donc se rappler etait douloureux

 

ceux de la france je les connais car on me les a raconté car je suis venu en france ver les annés 57 et donc on etait a 15 ans de la guerre et on m'a mem montre les traitre ou eux vivait la tete baissé mais oin avait comme en algerie declaré une certaine concorde civile

mais des egorgé et de s pendu aux aharbres qu'on m'a explique et laissé la pendant des mois pour temoigné et voir la vengence des braves contre les traitre

 

on m'a dit on tu certain et on les disposaiet sur les capot des voiture et on faisait les tours de la, ville ect...

 

bon c'est si afreux ce souvenir

 

mais voila quand nous fera tu un sujet?

la moi je t'en ai donné ma verssion

il doit y en avoir d'autre plus simple comme plus penible

 

PS: je suis un enfant des bombardement et de mitraillage e en algerie en directe et j'ai meme ete prisonnier avec tois mort sur le tas et une tante qui garde encore 6 balles dans le jambe dans la main et une lui abalfré le visage de gauche adroite ou on voit encore les traces

 

wa ect... ect..

 

et a moi enfant des militaire revenu en perme m'on raconté ce qu'il faiisait la bas

ou dans mon douard ils me disait qu'ils iont ouvert des ventre de femme pour une cigarette de paris pour savoir ce qu'il y a avait dans ce ventre

 

on m'a raconte dans un village attaque par les FEL qu'il disait soutenu par l'aviation et les tir de canon a l'aide d'avion par signalisationn d e fume en l'air

on l'appellais cela l]ichara[/b] en arabe

 

on a ete encore vainqueur en auuyant des perte on est monté au village et la le militaire me dit on atrouvé encore des survivants on les a finis et il me disait un enfant etait encore vivant et pleurait et etait en train de tourné sur le ventre de sa mere et il chercehait la chaleur de sa mere et son seint il chercheait de la securite de sa mere tout cour car du bruit des armes il y en eut

l'un de nous me dit il avança le bout de son fusil vers l'enfant ou l'enfant se mit a teter et se calmer par acout et la il pressa sur la detente

et il me dit on naous avait apprit comment balafré l'algerien comme ça ppour le plaisir et cela ne gierira jamais c'est deprendre un sucre et le serre entre ses doigts en laisant depassé un morceau et donné un coup et tiré son poing pour que le visage soit blessé

 

j'en ai fini j'espere que ce temoignage servira

 

bonne année

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Chapitre six : Qu'en pensé du penseur qui pense finalement

 

 

je veux aller la ou mon esprit fut choqué par le sujet que je vais faire part

ou je trouve que:

et je dis

Qu'en pensé du penseur qui pense finalement

etait ce d'avoir oublier l'identité lorsqu'on est colonisé?

je trouve cela bestiale comme conception de sujet et d'ecriture

comme si ce rappelle etait nescessaire pour nous en rappellé

c'est pour nous embobinetr et nous emmené ou exactement

 

 

De mes nouvelles ? Tu me demandes de mes nouvelles ? Comme c'est aimable à toi, pmat. Je ne sais pas comment te dire. Je vais à peu près bien, merci. À peu près parce que je suis fâché contre toi. Si, si, c'est vrai. Pas juste fâché, un peu fucké, pas mal mêlé par ton sujet. Toujours est-il que lorsque j'expliquais ton chapitre cinq, je te voyais comme un adulte encore adolescent, 23 ou 24 ans, un peu boutonneux, tenant le livre saint d'une main et le clavier de l'autre et s'autorisant à purifier nos âmes. Or, hier soir, m'en viens au forum clopin clopant, rien ne pressait avec le sentiment d'avoir toute la vie devant moi et deux chapitre à shooter, j'ouvre pmat, je veux dire j'ouvre le forum, et qu'est-ce que je lis ? 1957, la guerre d'Algérie, les bombes, les balles qui sifflaient au dessus des têtes... Hey, pmat, dis-moi pas que t'es un ancien Moudjahid ? P-utain de m-erde, si c'est le cas, je suis vraiment un sale c-o-n. En parlant de c-o-n, hier et encore ce soir, je lisais tes échanges avec d'autres forumistes, j'ai observé des choses intéressantes à ton sujet, j'ai observé que tu maîtrises très bien le mécanisme de la conceptualisation comme une perdrix, j'ai compris que t'es capable de mener quelqu'un par le bout de son nez, j'ai compris que nos échanges se déroulaient dans un diner de cons, j'ai commpris aussi que j'étais ton c-o-n... Anyway, je vais terminer ce que j'ai entamé, pour le principe, mais tu ne me reprendras plus jamais. Et je suis fâché contre toi pmat, fâché, mais fâché. C'est fini nos échanges, malgré que j'aime bien te lire. Outre ta mélodie qui est propre à toi, j’apprécie ta complicité avec les autres éléments du cyberespace. C'est vrai, j'aime ça te lire pour me divertir, bien sûr, même que je fais cinq ou six visites éclairs au forum, chaque jour, rien que pour voir ce que chante pmat.

 

Et Alors ! ce chapitre six à la c-o-n, on le commence oui ou m-erde ? Bon.

 

 

Je ne suis pas un maître penseur. Je ne saurais vous dire si pmat est le centre de la pensée dégourdie. Si cela se trouve, cela est pure élucubration. Quand pmat se dégourdit les neurones, il nous donne l'impression de marcher à côté de ses souliers. Vous, moi, et tous ses lecteurs, on pense qu'il est dans le champ, alors qu'il laboure des champs. Et quand il prend une marche dans un champ, il dit qu'il met un pied devant l'autre. Et nous, on pense qu'il s'enfarge dans ses pas ! Or, c'est même pas vrai, pmat ne s'enfarge jamais, pmat veut montrer tout simplement que pour marcher, il faut bien mettre un pied devant l'autre, sinon on bougera pas. Bref, des choses comme ça... Mettons que vous avez une opinion franche sur un sujet en particulier. Mettons que vous êtes contre l'avortement, ou contre la peine de mort, non, excusez, mauvais exemples, pmat est contre tout ce qui est contre, tout blocage, on l'a vu au chapitre cinq. Voyons ça autrement, je reprends, mettons que vous êtes pour la réconciliation nationale, pour le grand pardon aux terroristes assassins, pas de peine de mort donc, pmat vous dira rien, il est pas pour ceçi et surtout pas contre cela, mais il vous assènera une réflexion du genre : On supprime la peine de mort, mais les assassins continuent de l'appliquer à leurs concitoyens... Voilà donc ce que c'est pmat : une machine à décerveler, un Casanova des temps modernes, mais pas dans le sens du Casanova qui laissait courrir ses doigts pour chatouiller ces dames, ses mains sous leurs robes, oh non, pmat laisse courir ses mots pour chatouiller nos esprits. Lisez pas pmat comme vous lisez un journaliste, grand Dieu, non ! Ces cons prennent position au gré du vent, et comme chacun sait, ce sont les pires quand il s'agit d'écrire et de penser... Anyway, c'est juste un mien de conseil, lisez pmat comme vous voulez, ça ne me regarde même pas. Mais moi, je lis pmat en recto-verso, et vice-verça, et je peux vous dire que de tous les oiseaux, la perdrix est indiscutablement celui que je connais le mieux, et que si je savais de la pensée dégourdie à pmat ce que je sais des perdrix, j'inventerais sûrement un jour le pantalon à pédales pour se promener dans les champs sans se bouger les pieds... Je vous ai déjà raconté pour les perdrix qui font semblant d'être blessées. Ou peut-être pas. Eh bien, quand un danger menace ses petits, madame la perdrix fait semblant d'être blessée pour attirer toute l'attention sur elle. Elle s'éloigne en tirant de l'aile. Vous vous approchez, elle vous attend, juste comme vous vous penchez, elle repart à cloche-pied. Quand elle juge qu'elle vous a entraîné assez loin de son nid et de ses petits, elle s'envole. Ce n'est pas une légende, j'ai vécu la chose plusieurs fois.

 

De quoi on parlait déjà ? J'ai oublié, j'étais aux toilettes, et à mon retour, j'ai perdu le fil, ah oui, c'est ça, les perdrix... Mais avant de se pousser plus loin, une petite parenthèse, dans le même sujet, mais pas vraiment : Je viens de retrouver mon journal, j'ai fouillé le bureau de fond en comble cet après-midi. Mais ou est-ce que j'ai pu laisser ce p-utain de journal ? Anyway, je viens de le retrouver dans les toilettes d'en haut, et voyez, je lisais, assis sur le bol de toilette, un article sur des rats. Je vous ai déjà raconté pour les rats musqués, mais non, voyons ! Je viens de lire ça. Or donc, il dit, l'article pas pmat, il dit : " La vétérinaire insère une puce électronique sous la peau du rat musqué, puce qui lie l'animal à son dossier médical, on évite ainsi de le vacciner deux fois ". C'était dans mon journal d'aujourd'hui, c'est un article qui traite de la vaccination des rats musqués du mont Royal contre la rage. Sur le bol de toilette, j'ai failli perdre mon souffle, rire, mais rire. Je me suis souvenu du jour où j'ai croisé un rat sur ce même mont royal, précisément, il pleuvait une fine pluie d'été, le genre de pluie qui fout la m-erde, et il y avait ce rat dodu en embuscade derrière un tronc d'arbre désséché, jonché sur le sol ( l'arbre, pas le rat ), j'ai hurlé comme un dératé, j'ai une peur bleue des rats, je vous raconterai une autre fois, mais là, ce rat-là bougeait pas, il me regardait sans broncher, il avait un parapluie, portait un chapeau et des lunettes fumées, il bougeait pas, j'ai mis un pied devant l'autre et me suis poussé comme un tgv. C'est en lisant cet article-là que j'ai réalisé le malentendu, ce rat-là n'était pas en embuscade, il avait rendez-vous avec son vétérinaire, et m'a probablement pris pour son vétérinaire... Je n'ai rien contre la vaccination des rats, n'empêche que j'ai sursauté sur le bol de toilette. J'imaginais un immigré chinois, ou un Roumain des Carpates orientales ou un Algérien de Sidi-Bel-Abbes nouvellement arrivé au Canada, lisant le même article : une puce électronique ? Un dossier médical pour un rat ? Sont complètement fous... Je crois aussi qu'ils le sont. Fous, les Canadiens. C'est mon opinion d'Algérien, comme celle du Chinois, probablement. Mais comme je m'en fous des opininions, la mienne comme celle du roumain, j'ai tiré la chasse des chiottes, me suis lavé les mains. En revenant à mon bureau, pour écrire ces mots, je pensais à pmat : Mais qu'est-ce que pmat penserai d'une connerie pareille, je veux dire vacciner des rats ? Je ne suis pas pmat, je ne suis que le reflet de pmat, je pourrai me casser le cou à répondre à sa place, comme l'autre jour, une perdrix s'est jetée dans la fenêtre de mon salon. Un monsieur perdrix, en fait. Il faut être querelleur comme le sont les mâles pour s'attaquer à son propre reflet, ou peut-être pas, peut-être que c'est son reflet qui à foncé dans la perdrix. En tous cas, il n'a pas cassé la fenêtre, il s'est seulement cassé le cou. Je suis sorti pour le ramasser, sûr de sa mort, et ne voilà-t-il pas une perdrix bien vivante, décharnée, probablement sa fiancée, elle pillait autour. Je m'approche. La fiancée se sauve loin sur la pelouse. Je m'approche à la toucher, la perdrix ne bouge pas, je le tourne pour voir, c'est là que j'ai constaté que c'est un monsieur perdrix. Je le pousse encore de la pointe du pied : il ne faisait pas semblant d'être mort, il l'était. Je m'éloigne. Je me retourne. La fiancée était revenue et houspillait son mari : allez chèri, debout, arrête de faire le c-o-n, il est parti le bipède... J'observais la scène de loin, puis, rentré dans mon salon, j'étais comme effrayé, mais pas tout à fait, je me demandais si c'est ainsi que la partie s'achève ? Avec madame la mort, cette faucheuse. Et si ça m'arrivait à moi. Et si madame la mort m'ouvrait ses bras, Mon dieu, pitié, pas avant de connaître les bras de ma future légétime que je ne connais pas encore, et puis, c'était même pas la mort qui m'angoissais, mais l'idée de laisser derrière moi autant de choses en suspens : le tas de livres que j'ai pas lu, le tas de chaussettes et de caleçons sur le plancher et toute cette vaisselle sale dans l'évier, la voiture que j'ai pas fini de payer, sans oublier la facture d'éléctricité et la note du téléphone et internet impayées, et puis, je l'ai dit, ma future femme dont j'ignore tout sauf deux détails, belle et forcément algérienne... P-utain faut que je sorte de cette parenthèse qui n'en finit plus.

 

C'est quoi le sujet ? Ah, pis je vais laisser tomber. Bonne nuit.

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bonjour BLOUM

 

je t'ai decu a ce que je vois parce que FLN j'aurais aimer l'etre mais en quoi cela peut etre genant et de se raconte reflete une image ou une autre image qu'on decele dan la personne qu'on croi etre et hop on a l'impression qu'on a ete trahit par elle

 

et tu sait que juste avant hier j'ai eut ma dose par une forumiste amie qui est sur un autre forum qui est venu me lire et ma reproché d'etre hypocrite qu'elle m'a lancé ou dans l'autre forum

ou elle a emeuté tout le monde pour me montre du doigt et me punir comme etant un traiytre a leur forum alors qu'il est aussi le mien

alors que je les considerais amis et certaina meme freres et soeurs et du fond du coeur

mais elle disait

 

je me prenait pour une chose mais qu'en realité je ne suis que ce qu'elle a voulu me montre avec ses mots a elle et le sens de la mise en scene

 

 

 

donc c'est ma semaine et c'est mon salaire

mais sache que je prend comme un compliment les terme que tu dis

tu m'a decu PMAT

 

car la il ya un pincé d'amitié

 

car a mon avis seule les gens pour qui on a un sentiment on dit ces choses la

 

par contre serais tu dans ton jour de doute car tu patoge dans ce message est ce que c'est les examents de quelques chose?

 

les terme que tu emploi sont les moments ou les mauvais moment ou ton esprit de meme que ton cerveau ne se plait pas avec les sujet et ou les passages des sujet que tu lit

comme soit on aime un tel passage et pas un tel

 

ce sont les moment ou l'on ne maitrise plus

 

comme avoir recu une mauvaise nouvelle

 

 

 

ce qui est bien c'est que tu vis tous cela et tu leur donne un esprit de vie et de sentiment en relation directe

comme ces film ou l'assasin veut montre a au journaliste ou au policiere qu'il suit de pres ce qu'il onts

et que cela foir et qu'apres il est mecontent

car il veut leurs montre sa capacité a etre et pouvoir faire et dire

 

 

cela dit l'adrenaline monte

 

 

belle entrainement bloum

 

 

 

 

mais tu vois bloum

 

il y a toi, les autre et il y a moi dans et avec nos difference nos plus et nos moins et les forums

qui me decouvrent petit a petit tre sincerement et tu ne connais pas tous et tu risque d'etre soit encore etonné ou plus decus ou soit demendeur

 

 

 

il y a ma conception de voir les chose

 

mais il ya du d'ou je vien et le comment je me suis construit que je deballe volontier

 

 

peut etre pas avec tout le monde comme nous tous

 

et c'est les sujet et les debat qui nous rendent nous changent suivant les sujet

et il est vrais que je m'interesse a tous que peut etre je trahis mon image

 

bon c'est a mon tour de te dire ou,j'en suis ou deja et puis j'arrete la

bonne journée

 

merci pour ces mots

pS:: je ne te traiterais jamais de sale *** et tu en est tres loin de l'etre

par contre si tu a ete faché contre moi

 

sache que ce n'est pas le livre que je tien d'une main mais ma vie que je raconte car elle m'a appris et me dit tout en me l'apprennat et elle continu a m'apprenddre

 

et qnand il sagit du livre je suis generalement seule et je ne le raconte pas ici

et quand j'ai le livre

le livre c'est pour l'ecouté le tres haut et me blotire dans sa bonté les moment de ma peure et du besoin de sa presence et de lui j'en ai besoin et de lui je suis tres demandeur et il le sait et moi aussi

 

sache que des gens aussi on peut en avoir besoin comme toi lorsque je te demande et reclame de tes nouvelle il ya en soi une grande soif aussi et donc comme toi tu n'a pas ecrit de livre comme le sien et bien un message de nouvelle que nous les homme on s'envoi ou on se dit pour nous soucier des uns et des autres

 

Et il se peut que ça soit moi qui soit decu

 

PS;2 j'ai aimer la conception de la perdrix et qui joue elle fait la morte et joue a la mort pour eviter bien de desagrement

cela m'a fait pensé a l'arbre qui se penche au vent pour ne pas cassé

 

est ce une remarque d'acusation ou de qualité

 

sache qu'ici ou ailleur on est pourchass' comme dans tout echange et ce meme avec son enfants car on guette en toi ta faiblesse

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tout ceci est assez ridicule et vous rend désagréable à la lecture !

 

bonjour ana

 

je te remerci pour ta franchise

pardon pour le desagreable et je te l'accorde

mais, c'est un rapport de force que l'on doit surmenter moi et mon ami bloum

 

 

par contre sache que lui et moi on que de l'attendresse tres amicale en ralité mais pârce que moi et lui on se conprend enfin moi je le pense et le concois

mais moi j'ai besoin d'aller plus loin pour le savoir

tu le vois je n'ai aucune anemosité enn teb parlant mais c'est de la coler maitrisé que noua avons mais ne concerne que nous et dont vous etes convié a la lire a uy pârticipe vous y etiez attendu et pas d'aujourdhui

 

bloum donc nous le confirmera

 

il y un echange soutenu mais il a son besan d'amour et d'amitié ou pour moi en tout les cas le semblant??????

 

on est en train de nous jaugé et c'est ça aussi un commencemnt d'amitié

 

plus justement on est en train de faire connaissance Bloum et moi

 

il y a des terme qu'il n'aime pas des comportement qu'il n'aime pas il ne le cache pas mais que je capte et je repond sans detour c'est pour lui montre ma personnalité

et ma comprehenssion sincere et pas tordu

merci d'avoir contribue

 

sache que bloum ne fait que toucher mes 37 cotés ou je dois lui confirmé ou le desavoué

c'est ce qui te parais etre desgreable

ou il, en annalyse que 7 chapitres et la peut etre le huitieme 364

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pardon ....

mais j'ai rien compris !!!

 

nous attendrons l'année de la comprehenssion

desolé

serais tu de ceux qui comprennent vite lorsqu'on leur a expliqué pendant longtemps?

et il y en a beaucoup

sur les forums

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je ne comprends que les choses clairement dites ...

desolé ana

alors

je suis obligé de faire des excuse aupres de bloum

pour lui dire que cela est au dessu de ma volonté

 

et que nous devon des excuse a ana par contre on contrinu notre travail

sans nous soucié de gentilles critiques d'ana

 

oui nous on sous entend et on parle en maana et en parabole

langage binaire et pas toujour catholique ni mususlman mais on fait le parler du faut pour faire sortir la verité et ect...

 

est ce ton univers?

je ne te le souhaite pas car tres bien pour les vieux et les intellos mais pour les jeunes c'est barbans comme vous dites

 

ps: ana ne le prend pas mal merci

moi et BLOUM

on est dans notre monde

 

 

bien a toi

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Pmat, bonjour,

 

tu te trompes de personne, je ne suis pas ANA, mais Anaïs, ...............

 

C'est ANA, qui te pose une question, pas moi !!! ;)

milles excuse anais

 

merci pour avoir fait le detour

bien a toi

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Guest anais
milles excuse anais

 

merci pour avoir fait le detour

bien a toi

 

 

Pmat,

 

Tu parles de jeunes !!!!

Je ne me situe pas parmi les jeunes, mais plutôt les vieux !!!!

Qu'est ce qui te fait croire que Bloum, n'est pas jeune, enfin disons, autour de la trentaine ?

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Pmat,

 

Tu parles de jeunes !!!!

Je ne me situe pas parmi les jeunes, mais plutôt les vieux !!!!

Qu'est ce qui te fait croire que Bloum, n'est pas jeune, enfin disons, autour de la trentaine ?

 

les detours qu'il prend et que je crois apercevoir sentir et comprendre

chose qui n'est pas donné a tout le monde mais c'est vrais que des donts peuvent etre le fait de tous

 

ou alors ce ne serais pas toi bloum?

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Guest anais
les detours qu'il prend et que je crois apercevoir sentir et comprendre

chose qui n'ets pas donné atout le monde mias c'ets vrais que des donc peuvent etre le fait de tous

 

ou alors ce ne serais pas toi bloum?

 

 

Non, je ne suis pas bloum !!!!

 

Admin pourra te le confirmer.

 

Je n'ai pas ses talents de narrateur et conteur, moi, loin s'en faut !!!! :D

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Non, je ne suis pas bloum !!!!

 

Admin pourra te le confirmer.

 

Je n'ai pas ses talents de narrateur et conteur, moi, loin s'en faut !!!! :D

 

donc tu le confirme que bloum est une plume unique dans son genre?

 

en ne renian pas que bien d'autre ici sont sublime

et reflechit lorsqu'il dit les 7 chapitre c'est recherché comme termes et themes

 

et donc il m'honore tout en me mettant dans un tambour de machine a laver

et il met en route

 

cordialement

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Guest anais

QUOTE=pmat]

]donc tu le confirme que bloum est une plume unique dans son genre?

 

 

Pour être une plume unique en son genre !!!!

 

Oui, il l(est, mais je ne parle pas obligatoirement des sept chapitres, non.

 

Je parle en général... Car Boum, je l'ai connu sous d'autres cieux avant celui ci... et je sais aussi, que ses écrits, lui ont valu, d'être sur un siège éjectable !!! ;)

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QUOTE=pmat]

]donc tu le confirme que bloum est une plume unique dans son genre?

 

 

Pour être une plume unique en son genre !!!!

 

Oui, il l(est, mais je ne parle pas obligatoirement des sept chapitres, non.

 

Je parle en général... Car Boum, je l'ai connu sous d'autres cieux avant celui ci... et je sais aussi, que ses écrits, lui ont valu, d'être sur un siège éjectable !!! ;)

 

que je comprend

et j'ai senti le chatouillement de ces mots

 

et ici heureuesement qu'il y a des ami

si au moins on le connais

 

non il vous tombent dessus comme un vautour mais s'excuse avant d'aller plus loint mais il ne se gene pas il fonce sans attendre l'abrobation

 

mais une foi en face il es pire

mais c'es un dont et un savoir faire

 

domage pour la vulgarité

 

mais c'en est pas une combien des meilleur ecrivain americant rabache les meme mots que lui c'est un peu comme le savant qui pendant son travail rabache

et ou comme le generale qui disait quest ce que ce machin quand onlui a parler de la creationde l'O.N.U

 

c'es unpeu aussi tournesole le professeur dans TINTIN

wa ect..

 

moi il ne m'agresse pas il est plutot ...........

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Chapitre sept : Ca signifie quoi l’amour pour vous ?

 

C'est un topic ouvert par Quoique, intitulé " Ca signifie quoi l’amour pour vous ? ". Notre ami pmat nous livre sa vision de l'amour, que voici :

 

l'amour comme est decrit par les hommes

n'existe pas

ce n'est qu'un tissus de monsonge

c'est les envie du soucieux et du vicellars pardon pour le manque de gants

par contre aimer l'autre oui cela demande de faire un effort et ne pas hair

mais de supporter et d'eter tollerant

par contre le reste c'est amon avis de l'interre cra deux etre qui s'attire attende la mem chose de l'un enver l'autre donc

 

 

C'est assez complexe ce que nous pond pmat. Eh oui, c'est du pmat tout craché, mon vieux. D'ailleurs, c'est pour cette raison que l'Absent, un membre du forum assez présent, lui rend hommage pour mille et une raisons. Et c'est encore le topic de l'Absent qui m'a inspiré... So, j'ai pensé à quelques unes de mes notes assemblées sous le même thème : L'amour. Oui oui pmat, l'amour, ce fourre-tout qui fait que deux personnes aussi dissemblables qu'un chat et un chien se mettent à s'aimer jusque vivre ensemble. Et même si j'ai pas d'opinion là-dessus, il reste que j'ai grandi avec l’idée que l’amour ça ne sert à rien quand on en a, et que ça fait mal quand on n’en a pas.

 

Je connais une fille, pmat, une fille qui n'a vraiment rien à foutre de la Saint-Valentin. C'est quand même pour elle la première histoire d'amour du chapitre 7. Chacune de ces histoires peut faire l'objet d'une chronique. Une à une : c'est bien, toutes en une : c'est encore mieux. Forcément, le chapitre 7 ne ressemble en rien aux autres. Mettons que le chapitre 7 est une galerie de portraits. Ils se suivent, ne se ressemblent pas, sauf pour un truc : L'amour.

 

 

Or donc, parlons d'AMOUR :

 

 

MERCI POUR LES FLEURS, 2006 - Elle s'appelle Ginette, masseuse thérapeutique, la quarantaine, jolie mais pas trop, sillone l'amérique du nord en accompagnant des équipes de natation, bref, je vous résume une discussion avec Ginette, amie de l'un de mes collègues : J'étais séparée depuis peu. C'était la Saint-Valentin et je devais laisser ma fille chez son père. En allant la reconduire je m'étais engueulée avec lui, mon ex-mari. J'avais levé le ton. J'ai claqué la porte en lui disant que j'allais m'absenter sans savoir quand j'allais retourner. Dans le taxi qui me conduisait à l'aéroport je me sentais petite et nulle comme une savonnette de motel bon marché dans son papier mouillé.

 

Je partais pour Atlanta avec une équipe technique, des soignants, des masseurs et tout ça. un de mes confrères qui venait de se séparer aussi était accompagné de sa femme. Cramponnés l'un à l'autre, ils n'arrêtaient pas de s'embrasser. Je remarquais un gros bouquet de fleurs sur la valise de mon confrère. Au moment de se laisser, ils se chamaillèrent amoureusement à propos du bouquet. Elle voulait absolument qu'il le prenne, elle joignait les mains pour le supplier, j'assistais à la scène de loin. Dans l'avion, le confrère me confirma qu'il s'était réconcilié avec sa femme à l'occasion de la Saint-Valentin. Le bouquet reposait sur ses genoux. Il le déposa sur les miens pour aller aux toilettes.

 

Nous sommes arrivés à l'aéroport d'Atlanta vers deux heures du matin. Une jeune femme attendait dans le hall. Je la vis s'élancer et se jeter dans les bras de mon confrère. Deux ou trois techniciens se sont mis à siffler. Quand je suis passée à côté du couple j'ai entendu la fille qui disait merci pour tes fleurs.

 

 

 

LA BONNE CHAIRE, 2006 - C'était le nom d'un restaurant dans une petite banlieue de Montréal, Bonne Chaire, j'y petit-déjeunais souvent. Leur café était de fort mauvais goût, mais il y avait cette serveuse rousse avec pleines de picottes partout, et une de ces poitrines, mon vieux. Anyway, ce matin-là, un couple dans la quarantaine. Je déjeunais à la table voisine. Ils ne se parlaient pas. Mastiquaient leurs toasts dans un silence arctique. Quand la serveuse s'est arrêtée à leur table - is everything OK ? - hop, ils se sont animés comme des figurines de boîte à musique quand on ouvre le couvercle. Délicieux, merci. Quelle belle journée. Ils parlaient tous les deux en même temps. Excuse-moi chérie, je t'ai coupée. Mais non, je t'en prie. Je disais donc que nous sommes venus de Virginie pour voir votre belle ville... La serveuse s'est éloignée. Le couvercle est retombé. Le couple s'est éteint, mais complétement. Plus tard, la serveuse est revenue. More coffee ? Le couple a ressuscité. Ils se sont remis à caqueter, à se prendre à témoins, à se sourire.

 

Ils sont partis. Je les ai vus passer en voiture devant la grande baie vitrée. Tout droits sur leur siège, deux pingouins sur un bout de banquise. Dieu, mon seigneur, Faites que je ne sois jamais un couple-pingouin comme celui-là. Qui ne sentait plus rien. Ni le vent, ni la pluie. Un couple plogué sur les serveuses. J'ai pas été un couple, pas encore. Des fois le matin quand j'y repense, je regarde vers le ciel : Dieu, je t'aime. Et si toi tu m'aimes, fais pas de moi un couple pingouin.

 

 

 

LA MOMAZELLE, 1998 - L'été 1998, pendant la Coupe du monde, j'étais dans un hôtel, en banlieue de Paris, où séjournaient de jeunes Africains. Il y avait, pour renseigner les clients à la réception, une madone frêle et blonde dont Amadou ou Mamadou ( me souviens plus ) est tombé amoureux au premier regard.

 

Si vous plit momazelle, pour le mitro ?

 

Elle répondait sans le regarder : " Deuxième à droite en sortant ".

 

Morci momazelle.

 

Je me suis lié avec Mamadou à la cafétéria. Il est venu quelques fois frapper à ma porte. Il s'asseyait sur le lit. " Et puis, comment va l'aimée ? Toujours aussi distante ? " Il levait les yeux au plafond. C'est lui qui l'avait baptisée " l'aimée " en m'expliquant que notre religion accordait quatre épouses à l'Homme, une pour être sa mère, une autre pour servir d'hôtesse et accomplir les tâches ménagères, une autre pour être sa maîtresse, et une quatrième enfin : l'aimée. Quand j'ai demandé à Mamadou quelle différence il y avait entre les deux dernières, il m'a répondu que cela ne se comparaît même pas. La maîtresse était un jouet. L'autre une reine.

 

Je me suis permis de rapporter à la jeune fille de la réception que si elle le voulait, elle pourrait être reine à Bamako lol. Elle a eu la gentillesse de sourire.

 

À sa visite suivante Mamadou m'a avoué qu'il était allé aux putes. Et ben tu vois, lui ai-je dit, c'est exactement ça l'avantage du visa de tourisme sur notre religion. Le visa ne te donne droit à aucune des quatre épouses de la religion, mais te permet toutes les putes que tu voudras.

 

 

 

LE TEMPS GELÉ, 1998 - Elle avait déjà passé une nuit chez Madjid avant le verglas de l'hiver 1998.

 

Il savait qu'elle avait un mari et un enfant, quelque part, à 1h30 de route. Le verglas l'a surprise alors qu'elle sortait du travail et s'en allait chez elle. Elle a retéléphoné à Madjid. Ils ont passé une autre nuit. Au matin, l'électricité a manqué. Elle a regardé l'horloge arrêtée, elle a dit que puisque le temps n'existait plus, elle avait le droit. Une autre nuit.

 

Le deuxième matin, elle s'est ennuyée de son fils. Madjid a eu besoin d'un marteau pour casser la glace sur sa voiture. Elle est partie.

 

Après le verglas il y a eu le printemps, puis l'été, Madjid l'a revue quelquefois. Puis plus du tout.

 

Quand l'hiver dernier est revenu, Madjid m'a dit que pour qu'elle revienne aussi, il serait bien prêt à inventer la formule pour foutre du verglas partout.

 

 

 

DANS LE NOIR, ELLE L'A VU, 1998 - Precioza, montréalaise d'origine italienne, était mariée depuis trois ans avec un gars. Tu sais un gars comme il y en a toujours, un gars à sa maman. Ramasse rien. Range rien. Lave rien. Fume comme une cheminée. Precioza avait bien essayé de le discipliner : ton T-shirt sale mets-le donc dans le panier à linge sale. Pis tu pourrais vider tes cendriers de temps en temps.

 

Il disait ouais ouais.

 

Au verglas, Patricia et son mari ont été hébergés dans une maison où il y avait déjà beaucoup de monde. Pensez-vous qu'il a fait un effort pour ramasser ses traîneries ? Qu'il est allé fumer dehors ? Qu'il a aidé pour le feu, la bouffe, le ménage ? Rien. Pas ça ! Il a même arrêté de se laver et de se raser parce qu'il trouvait trop compliqué de faire chauffer de l'eau.

 

Je me suis demandé ce que je foutais avec ce gars-là, raconte Precioza. C'est drôle, trois ans sans rien voir. Et là, tout à coup, dans le noir, je l'ai vu. On a divorcé.

 

 

 

Une petite exception, vous permettez ? Oui ! All right... D'emblée, ça n'a pas rapport. Pourtant si. Enfin, voyez ça comme vous voulez.

L'AMOUR D'UNE MÈRE, 1994 - Justement. Ma mère Allah yarhamha. Elle était dans sa petite ville en Algérie. Moi j'étais ici, en Amérique. Je toussais. Elle m'entendait. Elle m'appelait : t'es malade ? Non, je tousse un peu. Va voir le médecin, c'est pas normal de tousser à ton âge. Un mois plus tard : T'es allé voir le médecin ? Oui, j'ai rien. Rien t'es sur ? Je te jure. C'est pas normal à ton âge.

 

 

Bon ben, c'est tout. J'ai bien d'autres notes, mais j'ai vraiment faim, et je vais me trouver une belle terrasse avec de la bonne bouffe sur la rue St-Denis... Ah oui, j'allais oublier le rétrovieur : Caution, ANA, objects in this mirror may be closer than they appear. Je laisses en anglais parce que je trouve la traduction ridicule.

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Chapitre sept : Ca signifie quoi l’amour pour vous ?

 

C'est un topic ouvert par Quoique, intitulé " Ca signifie quoi l’amour pour vous ? ". Notre ami pmat nous livre sa vision de l'amour, que voici :

 

l'amour comme est decrit par les hommes

n'existe pas

ce n'est qu'un tissus de monsonge

c'est les envie du soucieux et du vicellars pardon pour le manque de gants

par contre aimer l'autre oui cela demande de faire un effort et ne pas hair

mais de supporter et d'eter tollerant

par contre le reste c'est amon avis de l'interre cra deux etre qui s'attire attende la mem chose de l'un enver l'autre donc

 

 

C'est assez complexe ce que nous pond pmat. Eh oui, c'est du pmat tout craché, mon vieux. D'ailleurs, c'est pour cette raison que l'Absent, un membre du forum assez présent, lui rend hommage pour mille et une raisons. Et c'est encore le topic de l'Absent qui m'a inspiré... So, j'ai pensé à quelques unes de mes notes assemblées sous le même thème : L'amour. Oui oui pmat, l'amour, ce fourre-tout qui fait que deux personnes aussi dissemblables qu'un chat et un chien se mettent à s'aimer jusque vivre ensemble. Et même si j'ai pas d'opinion là-dessus, il reste que j'ai grandi avec l’idée que l’amour ça ne sert à rien quand on en a, et que ça fait mal quand on n’en a pas.

 

Je connais une fille, pmat, une fille qui n'a vraiment rien à foutre de la Saint-Valentin. C'est quand même pour elle la première histoire d'amour du chapitre 7. Chacune de ces histoires peut faire l'objet d'une chronique. Une à une : c'est bien, toutes en une : c'est encore mieux. Forcément, le chapitre 7 ne ressemble en rien aux autres. Mettons que le chapitre 7 est une galerie de portraits. Ils se suivent, ne se ressemblent pas, sauf pour un truc : L'amour.

 

 

Or donc, parlons d'AMOUR :

 

 

MERCI POUR LES FLEURS, 2006 - Elle s'appelle Ginette, masseuse thérapeutique, la quarantaine, jolie mais pas trop, sillone l'amérique du nord en accompagnant des équipes de natation, bref, je vous résume une discussion avec Ginette, amie de l'un de mes collègues : J'étais séparée depuis peu. C'était la Saint-Valentin et je devais laisser ma fille chez son père. En allant la reconduire je m'étais engueulée avec lui, mon ex-mari. J'avais levé le ton. J'ai claqué la porte en lui disant que j'allais m'absenter sans savoir quand j'allais retourner. Dans le taxi qui me conduisait à l'aéroport je me sentais petite et nulle comme une savonnette de motel bon marché dans son papier mouillé.

 

Je partais pour Atlanta avec une équipe technique, des soignants, des masseurs et tout ça. un de mes confrères qui venait de se séparer aussi était accompagné de sa femme. Cramponnés l'un à l'autre, ils n'arrêtaient pas de s'embrasser. Je remarquais un gros bouquet de fleurs sur la valise de mon confrère. Au moment de se laisser, ils se chamaillèrent amoureusement à propos du bouquet. Elle voulait absolument qu'il le prenne, elle joignait les mains pour le supplier, j'assistais à la scène de loin. Dans l'avion, le confrère me confirma qu'il s'était réconcilié avec sa femme à l'occasion de la Saint-Valentin. Le bouquet reposait sur ses genoux. Il le déposa sur les miens pour aller aux toilettes.

 

Nous sommes arrivés à l'aéroport d'Atlanta vers deux heures du matin. Une jeune femme attendait dans le hall. Je la vis s'élancer et se jeter dans les bras de mon confrère. Deux ou trois techniciens se sont mis à siffler. Quand je suis passée à côté du couple j'ai entendu la fille qui disait merci pour tes fleurs.

 

 

 

LA BONNE CHAIRE, 2006 - C'était le nom d'un restaurant dans une petite banlieue de Montréal, Bonne Chaire, j'y petit-déjeunais souvent. Leur café était de fort mauvais goût, mais il y avait cette serveuse rousse avec pleines de picottes partout, et une de ces poitrines, mon vieux. Anyway, ce matin-là, un couple dans la quarantaine. Je déjeunais à la table voisine. Ils ne se parlaient pas. Mastiquaient leurs toasts dans un silence arctique. Quand la serveuse s'est arrêtée à leur table - is everything OK ? - hop, ils se sont animés comme des figurines de boîte à musique quand on ouvre le couvercle. Délicieux, merci. Quelle belle journée. Ils parlaient tous les deux en même temps. Excuse-moi chérie, je t'ai coupée. Mais non, je t'en prie. Je disais donc que nous sommes venus de Virginie pour voir votre belle ville... La serveuse s'est éloignée. Le couvercle est retombé. Le couple s'est éteint, mais complétement. Plus tard, la serveuse est revenue. More coffee ? Le couple a ressuscité. Ils se sont remis à caqueter, à se prendre à témoins, à se sourire.

 

Ils sont partis. Je les ai vus passer en voiture devant la grande baie vitrée. Tout droits sur leur siège, deux pingouins sur un bout de banquise. Dieu, mon seigneur, Faites que je ne sois jamais un couple-pingouin comme celui-là. Qui ne sentait plus rien. Ni le vent, ni la pluie. Un couple plogué sur les serveuses. J'ai pas été un couple, pas encore. Des fois le matin quand j'y repense, je regarde vers le ciel : Dieu, je t'aime. Et si toi tu m'aimes, fais pas de moi un couple pingouin.

 

 

 

LA MOMAZELLE, 1998 - L'été 1998, pendant la Coupe du monde, j'étais dans un hôtel, en banlieue de Paris, où séjournaient de jeunes Africains. Il y avait, pour renseigner les clients à la réception, une madone frêle et blonde dont Amadou ou Mamadou ( me souviens plus ) est tombé amoureux au premier regard.

 

Si vous plit momazelle, pour le mitro ?

 

Elle répondait sans le regarder : " Deuxième à droite en sortant ".

 

Morci momazelle.

 

Je me suis lié avec Mamadou à la cafétéria. Il est venu quelques fois frapper à ma porte. Il s'asseyait sur le lit. " Et puis, comment va l'aimée ? Toujours aussi distante ? " Il levait les yeux au plafond. C'est lui qui l'avait baptisée " l'aimée " en m'expliquant que notre religion accordait quatre épouses à l'Homme, une pour être sa mère, une autre pour servir d'hôtesse et accomplir les tâches ménagères, une autre pour être sa maîtresse, et une quatrième enfin : l'aimée. Quand j'ai demandé à Mamadou quelle différence il y avait entre les deux dernières, il m'a répondu que cela ne se comparaît même pas. La maîtresse était un jouet. L'autre une reine.

 

Je me suis permis de rapporter à la jeune fille de la réception que si elle le voulait, elle pourrait être reine à Bamako lol. Elle a eu la gentillesse de sourire.

 

À sa visite suivante Mamadou m'a avoué qu'il était allé aux putes. Et ben tu vois, lui ai-je dit, c'est exactement ça l'avantage du visa de tourisme sur notre religion. Le visa ne te donne droit à aucune des quatre épouses de la religion, mais te permet toutes les putes que tu voudras.

 

 

 

LE TEMPS GELÉ, 1998 - Elle avait déjà passé une nuit chez Madjid avant le verglas de l'hiver 1998.

 

Il savait qu'elle avait un mari et un enfant, quelque part, à 1h30 de route. Le verglas l'a surprise alors qu'elle sortait du travail et s'en allait chez elle. Elle a retéléphoné à Madjid. Ils ont passé une autre nuit. Au matin, l'électricité a manqué. Elle a regardé l'horloge arrêtée, elle a dit que puisque le temps n'existait plus, elle avait le droit. Une autre nuit.

 

Le deuxième matin, elle s'est ennuyée de son fils. Madjid a eu besoin d'un marteau pour casser la glace sur sa voiture. Elle est partie.

 

Après le verglas il y a eu le printemps, puis l'été, Madjid l'a revue quelquefois. Puis plus du tout.

 

Quand l'hiver dernier est revenu, Madjid m'a dit que pour qu'elle revienne aussi, il serait bien prêt à inventer la formule pour foutre du verglas partout.

 

 

 

DANS LE NOIR, ELLE L'A VU, 1998 - Precioza, montréalaise d'origine italienne, était mariée depuis trois ans avec un gars. Tu sais un gars comme il y en a toujours, un gars à sa maman. Ramasse rien. Range rien. Lave rien. Fume comme une cheminée. Precioza avait bien essayé de le discipliner : ton T-shirt sale mets-le donc dans le panier à linge sale. Pis tu pourrais vider tes cendriers de temps en temps.

 

Il disait ouais ouais.

 

Au verglas, Patricia et son mari ont été hébergés dans une maison où il y avait déjà beaucoup de monde. Pensez-vous qu'il a fait un effort pour ramasser ses traîneries ? Qu'il est allé fumer dehors ? Qu'il a aidé pour le feu, la bouffe, le ménage ? Rien. Pas ça ! Il a même arrêté de se laver et de se raser parce qu'il trouvait trop compliqué de faire chauffer de l'eau.

 

Je me suis demandé ce que je foutais avec ce gars-là, raconte Precioza. C'est drôle, trois ans sans rien voir. Et là, tout à coup, dans le noir, je l'ai vu. On a divorcé.

 

 

 

Une petite exception, vous permettez ? Oui ! All right... D'emblée, ça n'a pas rapport. Pourtant si. Enfin, voyez ça comme vous voulez.

L'AMOUR D'UNE MÈRE, 1994 - Justement. Ma mère Allah yarhamha. Elle était dans sa petite ville en Algérie. Moi j'étais ici, en Amérique. Je toussais. Elle m'entendait. Elle m'appelait : t'es malade ? Non, je tousse un peu. Va voir le médecin, c'est pas normal de tousser à ton âge. Un mois plus tard : T'es allé voir le médecin ? Oui, j'ai rien. Rien t'es sur ? Je te jure. C'est pas normal à ton âge.

 

 

Bon ben, c'est tout. J'ai bien d'autres notes, mais j'ai vraiment faim, et je vais me trouver une belle terrasse avec de la bonne bouffe sur la rue St-Denis... Ah oui, j'allais oublier le rétrovieur : Caution, ANA, objects in this mirror may be closer than they appear. Je laisses en anglais parce que je trouve la traduction ridicule.

 

bloum bonsoir

tout ton detour tu as eut un grand amour

 

allah arham alwaldine

 

allah arhamha wa ywassaa aliçha

amine y a rane alalamine

 

que dieu te protege dans tes voyage et qu'un reussite te recompense pour te delier et te donnet les moyens de venir reprendre de l'oxxigene algerien

et de tout la famille

 

 

 

bonne nuit bloum et merci pour les sept chapitres

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Chapitre sept : Ca signifie quoi l’amour pour vous ?

 

C'est un topic ouvert par Quoique, intitulé " Ca signifie quoi l’amour pour vous ? ". Notre ami pmat nous livre sa vision de l'amour, que voici :

 

l'amour comme est decrit par les hommes

n'existe pas

ce n'est qu'un tissus de monsonge

c'est les envie du soucieux et du vicellars pardon pour le manque de gants

par contre aimer l'autre oui cela demande de faire un effort et ne pas hair

mais de supporter et d'eter tollerant

par contre le reste c'est amon avis de l'interre cra deux etre qui s'attire attende la mem chose de l'un enver l'autre donc

 

 

C'est assez complexe ce que nous pond pmat. Eh oui, c'est du pmat tout craché, mon vieux. D'ailleurs, c'est pour cette raison que l'Absent, un membre du forum assez présent, lui rend hommage pour mille et une raisons. Et c'est encore le topic de l'Absent qui m'a inspiré... So, j'ai pensé à quelques unes de mes notes assemblées sous le même thème : L'amour. Oui oui pmat, l'amour, ce fourre-tout qui fait que deux personnes aussi dissemblables qu'un chat et un chien se mettent à s'aimer jusque vivre ensemble. Et même si j'ai pas d'opinion là-dessus, il reste que j'ai grandi avec l’idée que l’amour ça ne sert à rien quand on en a, et que ça fait mal quand on n’en a pas.

 

Je connais une fille, pmat, une fille qui n'a vraiment rien à foutre de la Saint-Valentin. C'est quand même pour elle la première histoire d'amour du chapitre 7. Chacune de ces histoires peut faire l'objet d'une chronique. Une à une : c'est bien, toutes en une : c'est encore mieux. Forcément, le chapitre 7 ne ressemble en rien aux autres. Mettons que le chapitre 7 est une galerie de portraits. Ils se suivent, ne se ressemblent pas, sauf pour un truc : L'amour.

 

 

Or donc, parlons d'AMOUR :

 

 

MERCI POUR LES FLEURS, 2006 - Elle s'appelle Ginette, masseuse thérapeutique, la quarantaine, jolie mais pas trop, sillone l'amérique du nord en accompagnant des équipes de natation, bref, je vous résume une discussion avec Ginette, amie de l'un de mes collègues : J'étais séparée depuis peu. C'était la Saint-Valentin et je devais laisser ma fille chez son père. En allant la reconduire je m'étais engueulée avec lui, mon ex-mari. J'avais levé le ton. J'ai claqué la porte en lui disant que j'allais m'absenter sans savoir quand j'allais retourner. Dans le taxi qui me conduisait à l'aéroport je me sentais petite et nulle comme une savonnette de motel bon marché dans son papier mouillé.

 

Je partais pour Atlanta avec une équipe technique, des soignants, des masseurs et tout ça. un de mes confrères qui venait de se séparer aussi était accompagné de sa femme. Cramponnés l'un à l'autre, ils n'arrêtaient pas de s'embrasser. Je remarquais un gros bouquet de fleurs sur la valise de mon confrère. Au moment de se laisser, ils se chamaillèrent amoureusement à propos du bouquet. Elle voulait absolument qu'il le prenne, elle joignait les mains pour le supplier, j'assistais à la scène de loin. Dans l'avion, le confrère me confirma qu'il s'était réconcilié avec sa femme à l'occasion de la Saint-Valentin. Le bouquet reposait sur ses genoux. Il le déposa sur les miens pour aller aux toilettes.

 

Nous sommes arrivés à l'aéroport d'Atlanta vers deux heures du matin. Une jeune femme attendait dans le hall. Je la vis s'élancer et se jeter dans les bras de mon confrère. Deux ou trois techniciens se sont mis à siffler. Quand je suis passée à côté du couple j'ai entendu la fille qui disait merci pour tes fleurs.

 

 

 

LA BONNE CHAIRE, 2006 - C'était le nom d'un restaurant dans une petite banlieue de Montréal, Bonne Chaire, j'y petit-déjeunais souvent. Leur café était de fort mauvais goût, mais il y avait cette serveuse rousse avec pleines de picottes partout, et une de ces poitrines, mon vieux. Anyway, ce matin-là, un couple dans la quarantaine. Je déjeunais à la table voisine. Ils ne se parlaient pas. Mastiquaient leurs toasts dans un silence arctique. Quand la serveuse s'est arrêtée à leur table - is everything OK ? - hop, ils se sont animés comme des figurines de boîte à musique quand on ouvre le couvercle. Délicieux, merci. Quelle belle journée. Ils parlaient tous les deux en même temps. Excuse-moi chérie, je t'ai coupée. Mais non, je t'en prie. Je disais donc que nous sommes venus de Virginie pour voir votre belle ville... La serveuse s'est éloignée. Le couvercle est retombé. Le couple s'est éteint, mais complétement. Plus tard, la serveuse est revenue. More coffee ? Le couple a ressuscité. Ils se sont remis à caqueter, à se prendre à témoins, à se sourire.

 

Ils sont partis. Je les ai vus passer en voiture devant la grande baie vitrée. Tout droits sur leur siège, deux pingouins sur un bout de banquise. Dieu, mon seigneur, Faites que je ne sois jamais un couple-pingouin comme celui-là. Qui ne sentait plus rien. Ni le vent, ni la pluie. Un couple plogué sur les serveuses. J'ai pas été un couple, pas encore. Des fois le matin quand j'y repense, je regarde vers le ciel : Dieu, je t'aime. Et si toi tu m'aimes, fais pas de moi un couple pingouin.

 

 

 

LA MOMAZELLE, 1998 - L'été 1998, pendant la Coupe du monde, j'étais dans un hôtel, en banlieue de Paris, où séjournaient de jeunes Africains. Il y avait, pour renseigner les clients à la réception, une madone frêle et blonde dont Amadou ou Mamadou ( me souviens plus ) est tombé amoureux au premier regard.

 

Si vous plit momazelle, pour le mitro ?

 

Elle répondait sans le regarder : " Deuxième à droite en sortant ".

 

Morci momazelle.

 

Je me suis lié avec Mamadou à la cafétéria. Il est venu quelques fois frapper à ma porte. Il s'asseyait sur le lit. " Et puis, comment va l'aimée ? Toujours aussi distante ? " Il levait les yeux au plafond. C'est lui qui l'avait baptisée " l'aimée " en m'expliquant que notre religion accordait quatre épouses à l'Homme, une pour être sa mère, une autre pour servir d'hôtesse et accomplir les tâches ménagères, une autre pour être sa maîtresse, et une quatrième enfin : l'aimée. Quand j'ai demandé à Mamadou quelle différence il y avait entre les deux dernières, il m'a répondu que cela ne se comparaît même pas. La maîtresse était un jouet. L'autre une reine.

 

Je me suis permis de rapporter à la jeune fille de la réception que si elle le voulait, elle pourrait être reine à Bamako lol. Elle a eu la gentillesse de sourire.

 

À sa visite suivante Mamadou m'a avoué qu'il était allé aux putes. Et ben tu vois, lui ai-je dit, c'est exactement ça l'avantage du visa de tourisme sur notre religion. Le visa ne te donne droit à aucune des quatre épouses de la religion, mais te permet toutes les putes que tu voudras.

 

 

 

LE TEMPS GELÉ, 1998 - Elle avait déjà passé une nuit chez Madjid avant le verglas de l'hiver 1998.

 

Il savait qu'elle avait un mari et un enfant, quelque part, à 1h30 de route. Le verglas l'a surprise alors qu'elle sortait du travail et s'en allait chez elle. Elle a retéléphoné à Madjid. Ils ont passé une autre nuit. Au matin, l'électricité a manqué. Elle a regardé l'horloge arrêtée, elle a dit que puisque le temps n'existait plus, elle avait le droit. Une autre nuit.

 

Le deuxième matin, elle s'est ennuyée de son fils. Madjid a eu besoin d'un marteau pour casser la glace sur sa voiture. Elle est partie.

 

Après le verglas il y a eu le printemps, puis l'été, Madjid l'a revue quelquefois. Puis plus du tout.

 

Quand l'hiver dernier est revenu, Madjid m'a dit que pour qu'elle revienne aussi, il serait bien prêt à inventer la formule pour foutre du verglas partout.

 

 

 

DANS LE NOIR, ELLE L'A VU, 1998 - Precioza, montréalaise d'origine italienne, était mariée depuis trois ans avec un gars. Tu sais un gars comme il y en a toujours, un gars à sa maman. Ramasse rien. Range rien. Lave rien. Fume comme une cheminée. Precioza avait bien essayé de le discipliner : ton T-shirt sale mets-le donc dans le panier à linge sale. Pis tu pourrais vider tes cendriers de temps en temps.

 

Il disait ouais ouais.

 

Au verglas, Patricia et son mari ont été hébergés dans une maison où il y avait déjà beaucoup de monde. Pensez-vous qu'il a fait un effort pour ramasser ses traîneries ? Qu'il est allé fumer dehors ? Qu'il a aidé pour le feu, la bouffe, le ménage ? Rien. Pas ça ! Il a même arrêté de se laver et de se raser parce qu'il trouvait trop compliqué de faire chauffer de l'eau.

 

Je me suis demandé ce que je foutais avec ce gars-là, raconte Precioza. C'est drôle, trois ans sans rien voir. Et là, tout à coup, dans le noir, je l'ai vu. On a divorcé.

 

 

 

Une petite exception, vous permettez ? Oui ! All right... D'emblée, ça n'a pas rapport. Pourtant si. Enfin, voyez ça comme vous voulez.

L'AMOUR D'UNE MÈRE, 1994 - Justement. Ma mère Allah yarhamha. Elle était dans sa petite ville en Algérie. Moi j'étais ici, en Amérique. Je toussais. Elle m'entendait. Elle m'appelait : t'es malade ? Non, je tousse un peu. Va voir le médecin, c'est pas normal de tousser à ton âge. Un mois plus tard : T'es allé voir le médecin ? Oui, j'ai rien. Rien t'es sur ? Je te jure. C'est pas normal à ton âge.

 

 

Bon ben, c'est tout. J'ai bien d'autres notes, mais j'ai vraiment faim, et je vais me trouver une belle terrasse avec de la bonne bouffe sur la rue St-Denis... Ah oui, j'allais oublier le rétrovieur : Caution, ANA, objects in this mirror may be closer than they appear. Je laisses en anglais parce que je trouve la traduction ridicule.

 

bloum bonsoir

tout ton detour tu as eut un grand amour

 

allah arham alwaldine

 

allah arhamha wa ywassaa aliçha

amine y a rane alalamine

 

que dieu te protege dans tes voyage et qu'un reussite te recompense pour te delier et te donnet les moyens de venir reprendre de l'oxxigene algerien

et de tout la famille

 

 

 

bonne nuit bloum et merci pour les sept chapitres

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