Ylajali 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Ou bien plus de réussite? En partant du point A, on arrive après des années de travail au point L sans jamais connaître un echec. Serait-on arrivé au point O si un échec nous aurait appris quelques leçons? Ou alors au point I, parce que l'échec nous aurait estompé notre confiance? (l'ordre des points est bien sûr: A - O - L - I) Citer Link to post Share on other sites
P|uToN 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Ou bien plus de réussite? En partant du point A, on arrive après des années de travail au point L sans jamais connaître un echec. Serait-on arrivé au point O si un échec nous aurait appris quelques leçons? Ou alors au point I, parce que l'échec nous aurait estompé notre confiance? (l'ordre des points est bien sûr: A - O - L - I) si tu ne mets pas ces points sur la même droite, ça peut être alors juste Citer Link to post Share on other sites
Ylajali 10 Posted February 4, 2010 Author Partager Posted February 4, 2010 si tu ne mets pas ces points sur la même droite, ça peut être alors juste Désolée mais je ne comprends pas ce que tu veux dire P|uton. Citer Link to post Share on other sites
P|uToN 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Désolée mais je ne comprends pas ce que tu veux dire P|uton. dans tes questionnement tu vois les chose comme ça A------------------O------------------L-----------------I--------------------------> moi je les vois pas sur une même droite, ni je peux leur appliquer dessus une relation d'ordre (je parle des points). Citer Link to post Share on other sites
Ylajali 10 Posted February 4, 2010 Author Partager Posted February 4, 2010 dans tes questionnement tu vois les chose comme ça A------------------O------------------L-----------------I--------------------------> moi je les vois pas sur une même droite, ni je peux leur appliquer dessus une relation d'ordre (je parle des points). Et si on mettait les choses autrement, sans qu'il n'y ait ni points ni ordre. Crois-tu qu'un petit échec de temps en temps peut être bénéfique? Citer Link to post Share on other sites
Guest Balance Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Ou bien plus de réussite? En partant du point A, on arrive après des années de travail au point L sans jamais connaître un echec. Serait-on arrivé au point O si un échec nous aurait appris quelques leçons? Ou alors au point I, parce que l'échec nous aurait estompé notre confiance? (l'ordre des points est bien sûr: A - O - L - I) j'ai tjrs cru en le pouvoir boostant de l'echec , certe parfois cruel et trés dure mais il nous aide a prendre du recul , a aprendre des leçons et a changer de direction puisque elle n'etait pas la bonne et donc pour moi echec veut dire une nouvelle chance Citer Link to post Share on other sites
kabylfree 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Et si on mettait les choses autrement, sans qu'il n'y ait ni points ni ordre. Crois-tu qu'un petit échec de temps en temps peut être bénéfique? bonjour toi, d'apres moi,tout depond de la personnalité de la personne...pour ma part dés que je reçois un coup,je veux dire dés que j'ai un échec dans ma vie,je baisse les bras pendant klk temps,je me dis "c'est bon,laisse tomber" mais j'ai toujours apres j'ai le déclic et je me remis a travaillé le truc qui m'a fais échoué...c'est difficile mais d'apres moi on a jamais tous dans la vie,on echoue tjr dans quelque chose mais ces échecs ne peuvent que étre bénifique Citer Link to post Share on other sites
P|uToN 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Et si on mettait les choses autrement, sans qu'il n'y ait ni points ni ordre. Crois-tu qu'un petit échec de temps en temps peut être bénéfique? l'échec n'est pas absolu. l'échec c'est de ne pas réaliser ses objectifs, dans chaque entreprise(pas une société :D), l'être humain se doit de fixer des objectifs, qu'il va essayer d'atteindre plus ou moins, et c'est objectifs ne peuvent englober tous les aspects positifs du travail; en d'autres termes, quand on fait un bilan pour juger de la réussite ou échec, on prend jamais tous les paramètres en compte. je m'explique par un exemple pour faire mieux comprendre mon idée. on donne à une personne travaillant comme commerciale des objectifs à atteindre, pour ses employeurs, le seul paramètre qui compte c'est le chiffre d'affaire qu'elle va réussir à faire. cette personne va travailler un trimestre ou un semestre. et ne réalisera pas son objectif. donc, elle a échoué selon ses employeurs. l'échec là est très relatif. même si cette personne n'a pas pu atteindre ces objectif, même si elle pourra perdre son travail, perdre de l'argent etc etc, elle a réussit sur d'autres plans, comme agrandir son cercle de connaissances, combler quelques lacunes qu'elle avait, réajuster son image de soi à quelque chose de plus réel; etc etc. c'est pour cette raison, que je te dis, je ne peux imaginer ces points là sur une seule droite. donc, on ne peut réellement ordonner ces points. quand a tes questions sur l'effet de l'échec, est il un moteur ou un gouffre, là je te réponds que ça dépend des natures des uns et des autres. ça dépend de la culture. Il y a des gens qui sont complètement terrassés par l'échec, et d'autres, qui ne sont même pas affectés, il y a ceux qui savent analyser les causes qui les ont menés à l"échec, et tirent les bons enseignements et ainsi, arrivent à transformer leur échec en une réussite, et d'autres, qui ne savent pas faire cette auto critique ou la font d'une manière fausse, et d'autres qui ne la font même pas. Puis, il y a aussi la force de l'échec et les effets des ondes de choc sur la vie de la personne. car rater une fois son BAC ou rater une année à l'université, même s'il est perçu comme un grand échec, n'a rien à voir avec un type qui par exemple, perd l'œuvre de sa vie, comme une boite qu'il a construite pendant 25 ou 40 ans. et que cette perte entrainera une banqueroute qui mettra en péril même sa vie de famille. et ce à un âge avancé. donc pour juger si ça peut être bénéfique comme expérience ou pas, je dirai, tout dépend de l'échec, et tout dépend de la personne qu'elle l'a vécu et comment elle l'a vécu. Plutoniquement. Citer Link to post Share on other sites
Darius 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Non. Citer Link to post Share on other sites
Ylajali 10 Posted February 4, 2010 Author Partager Posted February 4, 2010 Bonjour Balance et Kabylfree, je vous remercie pour vos réponses. Je suis d'accord avec vous l'échec est après tout une chance de faire mieux. Quand on se définie comme gagnant, quand on en est fier et quand on est prêt à tout pour ne pas maculer cette conviction qu'on ne va pas échouer. Ca peut motiver aussi. Pour ma part, il y a des domaines où j'ai échoué, ça devient 'normal', ça devient 'pas grave', on est tombé une fois, on sait ce que c'est, on est prêt à tomber une deuxième fois, et je ne me rappelle pas avoir fait particulièrement mieux après. Alors qu'ailleurs, là où où je n'ai pas encore connu l'échec, je me donne à fond parce que je ne suis pas prête à échouer, parce que je veux à chaque fois me prouver que je n'échoue pas en ça. Citer Link to post Share on other sites
Guest Balance Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Bonjour Balance et Kabylfree, je vous remercie pour vos réponses. Je suis d'accord avec vous l'échec est après tout une chance de faire mieux. Quand on se définie comme gagnant, quand on en est fier et quand on est prêt à tout pour ne pas maculer cette conviction qu'on ne va pas échouer. Ca peut motiver aussi. Pour ma part, il y a des domaines où j'ai échoué, ça devient 'normal', ça devient 'pas grave', on est tombé une fois, on sait ce que c'est, on est prêt à tomber une deuxième fois, et je ne me rappelle pas avoir fait particulièrement mieux après. Alors qu'ailleurs, là où où je n'ai pas encore connu l'échec, je me donne à fond parce que je ne suis pas prête à échouer, parce que je veux à chaque fois me prouver que je n'échoue pas en ça. T'imagines une vie sans echecs ? sans défis et sans obstacles ??? elle serait d'une monotonie a ne pas supporter les echecs sont pour nous comme un carburant pour nous pousser a aller de l'avant et nous aider a mieux s'apprecier soi meme Qui parmis nous n'a pas connu l'echec ? personnellement j'en ai eu et plusieurs fois , certe ça m'arrive de craquer , c'est trés humain mais j'essaie a chaque fois tant bien que mal de positiver , de prendre surtout du recul pour voir plus clair et d'essayer de changer ce que je peux plus tards tu te rendreras compte que ce sont tes echecs du passé qui font de toi cette personne aujourdhui plus determinèe et plus forte Citer Link to post Share on other sites
hurlevent 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 On tire souvent de meilleures leçons d'un échec que d'une réussite. Chez les ados, le taux de suicide est plus élevé chez les élèves performants que chez les autres. Ca vient du fait qu,ils n'ont à peu près jamais été confronté à l'échec et que lorsqu'il en rencontre un, ils ne sont pas outillés pour y faire face. Dans le milieu du travail, un échec n'est pas la fin d'un rêve mais doit être source de questionnement. Avons-nous atteint notre point de compétence? C'est la première question à se poser. Faut considérer qu'il y a des métiers et professions ou l'échec fait partie du travail. Un avocat par exemple ne gagnera pas toutes ses causes Un médecin ne guérira pas toutes les maladies. L'échec peut servir à faire rebondir une personne. La pousser à se perfectionner, à ne pas refaire les mêmes erreurs. Citer Link to post Share on other sites
Ylajali 10 Posted February 4, 2010 Author Partager Posted February 4, 2010 l'échec n'est pas absolu. l'échec c'est de ne pas réaliser ses objectifs, dans chaque entreprise(pas une société :D), l'être humain se doit de fixer des objectifs, qu'il va essayer d'atteindre plus ou moins, et c'est objectifs ne peuvent englober tous les aspects positifs du travail; en d'autres termes, quand on fait un bilan pour juger de la réussite ou échec, on prend jamais tous les paramètres en compte. je m'explique par un exemple pour faire mieux comprendre mon idée. on donne à une personne travaillant comme commerciale des objectifs à atteindre, pour ses employeurs, le seul paramètre qui compte c'est le chiffre d'affaire qu'elle va réussir à faire. cette personne va travailler un trimestre ou un semestre. et ne réalisera pas son objectif. donc, elle a échoué selon ses employeurs. l'échec là est très relatif. même si cette personne n'a pas pu atteindre ces objectif, même si elle pourra perdre son travail, perdre de l'argent etc etc, elle a réussit sur d'autres plans, comme agrandir son cercle de connaissances, combler quelques lacunes qu'elle avait, réajuster son image de soi à quelque chose de plus réel; etc etc. c'est pour cette raison, que je te dis, je ne peux imaginer ces points là sur une seule droite. donc, on ne peut réellement ordonner ces points. quand a tes questions sur l'effet de l'échec, est il un moteur ou un gouffre, là je te réponds que ça dépend des natures des uns et des autres. ça dépend de la culture. Il y a des gens qui sont complètement terrassés par l'échec, et d'autres, qui ne sont même pas affectés, il y a ceux qui savent analyser les causes qui les ont menés à l"échec, et tirent les bons enseignements et ainsi, arrivent à transformer leur échec en une réussite, et d'autres, qui ne savent pas faire cette auto critique ou la font d'une manière fausse, et d'autres qui ne la font même pas. Puis, il y a aussi la force de l'échec et les effets des ondes de choc sur la vie de la personne. car rater une fois son BAC ou rater une année à l'université, même s'il est perçu comme un grand échec, n'a rien à voir avec un type qui par exemple, perd l'œuvre de sa vie, comme une boite qu'il a construite pendant 25 ou 40 ans. et que cette perte entrainera une banqueroute qui mettra en péril même sa vie de famille. et ce à un âge avancé. donc pour juger si ça peut être bénéfique comme expérience ou pas, je dirai, tout dépend de l'échec, et tout dépend de la personne qu'elle l'a vécu et comment elle l'a vécu. Plutoniquement. Je te remercie pour ta réponse. Tu as tout dit Pluton. L'effet de l'échec dépend entièrement de la nature et des conditions de la personne qui le reçoit. Citer Link to post Share on other sites
Ylajali 10 Posted February 4, 2010 Author Partager Posted February 4, 2010 T'imagines une vie sans echecs ? sans défis et sans obstacles ??? elle serait d'une monotonie a ne pas supporter les echecs sont pour nous comme un carburant pour nous pousser a aller de l'avant et nous aider a mieux s'apprecier soi meme Qui parmis nous n'a pas connu l'echec ? personnellement j'en ai eu et plusieurs fois , certe ça m'arrive de craquer , c'est trés humain mais j'essaie a chaque fois tant bien que mal de positiver , de prendre surtout du recul pour voir plus clair et d'essayer de changer ce que je peux plus tards tu te rendreras compte que ce sont tes echecs du passé qui font de toi cette personne aujourdhui plus determinèe et plus forte C'est justement en pensant à ça que je me suis demandée si c'est vraiment une chance de ne pas échouer et si on a raison d'avoir peur de l'échec. Citer Link to post Share on other sites
Ylajali 10 Posted February 4, 2010 Author Partager Posted February 4, 2010 On tire souvent de meilleures leçons d'un échec que d'une réussite. Chez les ados, le taux de suicide est plus élevé chez les élèves performants que chez les autres. Ca vient du fait qu,ils n'ont à peu près jamais été confronté à l'échec et que lorsqu'il en rencontre un, ils ne sont pas outillés pour y faire face. Dans le milieu du travail, un échec n'est pas la fin d'un rêve mais doit être source de questionnement. Avons-nous atteint notre point de compétence? C'est la première question à se poser. Faut considérer qu'il y a des métiers et professions ou l'échec fait partie du travail. Un avocat par exemple ne gagnera pas toutes ses causes Un médecin ne guérira pas toutes les maladies. L'échec peut servir à faire rebondir une personne. La pousser à se perfectionner, à ne pas refaire les mêmes erreurs. Bonjour Hurlevent. Je te remercie pour ta réponse. C'est un excellent exemple des cas où l'échec devient non-envisageable. Le choc est rude quand ça tourne mal. Citer Link to post Share on other sites
Jasmine77 10 Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Il y a énormément de choses qui ont été écrites sur le sujet. Tout d'abord on n'est pas tous égaux. Quelqu'un qui a une estime de soi très forte réagira mieux à l'échec. Il aura tendance à attribuer aux autres les raisons de son échec (au contraire, quand il réussit il pense qu'il ne doit qu'à lui-même) ; du coup il ne se remet pas beaucoup en question mais maintient sa confiance en lui. Et l'échec ne l'affecte pas. Au contraire quelqu'un qui souffre d'un manque d'estime de soi, l'échec le fera douter de plus en plus en lui-même, déjà qu'il manque de confiance en lui. Sinon, en psychologie il y a ce qui s'appelle la "névrose d'échec", c'est une tendance qu'ont certaines personnes d'accumuler les échecs alors qu'ils ont normalement toutes les facultés pour les éviter. En général, ces personnes recréent souvent les mêmes scénarios; les déboires sentimentaux répétés entrent dans ce cadre. Ex : une femme qui divorce car elle se fait battre par son mari, manque de pot, elle retombe encore sur un mec violent. Je pense qu'il doit y avoir un fond de masochisme chez ces gens-là. Parfois il s'agit aussi d'une forme de résistance à la pression extérieure. On échoue parfois dans des tâches qu'on nous impose de faire et qu'inconscienciemment on ne veut pas faire. Donc oui, quand on accumule les échecs parfois il convient de s'interroger sur soi, sur ses motivations. Comment en est-on arrivé, etc. Ne jamais oublier que c'est notre insconscient qui nous guide. Surtout, ne pas entrer dans la superstition (le mauvais oeil), c'est débile et ça déresponsabilise. La bonne nouvelle c'est que le succès attire aussi le succès, puisque la réussite nous rend plus optimiste, plus sûr de nous, nous pousse à agir, et à devenir plus entreprenant. Citer Link to post Share on other sites
Guest hermione Posted February 4, 2010 Partager Posted February 4, 2010 Et si on mettait les choses autrement, sans qu'il n'y ait ni points ni ordre. Crois-tu qu'un petit échec de temps en temps peut être bénéfique? ca dépend des personnes j'ai toujours refusé les échecs (ce que je considère comme un échec) en fait c'est un des truc qui me fais le plus peur mais je sais que j'ai tout faux, car a trop éviter ca, a vouloir être tellement parfait en tombe en plein dedans...et on fait que des bêtises et surtout on apprend jamais donc je sais pas j'espere changer...j'ai eu des echecs mais je crois que je les oublie ou alors je les enlèves de ma tête....c'est pas normal Citer Link to post Share on other sites
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