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Voila une révélation du détournement de cette "cagnotte" de 26 milliards de dollars que Boumediène avait fait épargner au cas où le pays venait à connaître des temps dificiles. En toute vraisemblance, ce détournement s'est déroulé en 1981.

 

______________________________

 

En janvier 1979 nous rêvâmes d’ouverture démocratique, mais un ami à vous choppe le rôle de parrain (que vous rêviez de jouer depuis longtemps). Votre ami (sic) se retrouvera, par les jeux lugubres du sérail, premier personnage du pays…il ajouta à la noirceur, que j’ai cité plus haut, la corruption, le détournement des biens publiques, le vol (n’est ce pas un de ces premier ministres qui reconnut le détournement de 26 milliards de dollars pendant son règne).

 

Source:

 

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bonsoir admin

 

Bonsoir Monsieur !

... je veux bien que vous me citiez un pays ou la fierté est exprimée par sondage !!!!!

 

Je veux bien que vous me citiez un pays où la fierté s'exprime en terme de "données" !!!

vous savez bien, vous et Mr belhouchet

 

Pourquoi vous me citez moi et M. Belhouchet explicitement ?

que tous les algeriens etaient fiers de l'algerie de boumediene ( sachez qu'en 1979 j'atais dans un pays latino americain et je vous assure que pas mal d'arabes irakiens se prenaient pour des algeriens ).

 

Normal, ceux dont vous parlez vivaient à l'époque de Boumedienne ... de la même manière ceux qui ont vecu l'air Boudiaf en soit plus fières, la même chose pour ceux qui ont vecu l'époque de l'Emir...

 

Mais bon il ne s'agit pas ici de faire de classement entre ces grandes personnalités de l'histoire algérienne ... Il est clair que la plupart des algériens soient fières de Boumedienne mais ceci ne fait pas de lui un saint ... on peut lui reprocher beaucoup de choses, en premier les assassinats politiques!

Remarque qu'à l'époque l'Algérie n'avait encore connu que deux présidents ... être premier d'une calsse qui contient deux êlèves ne fait pas de vous un génie :04:

J'ai des doutes sur ce que vous faites dire à Boudiaf ! Pourriez-vous nous citer vos sources SVP ?

 

Bonne journée :cool:

bonjour , là vous me decevez Monsieur

quand vs dites :j'ai des doutes sur ce que VOUS FAITES DIRE à BOUDIAF

donc j'invente d'apres vous ? et si c'est le cas pourquoi vous me demandez les sources ? mais bon pas grave ,je vous donne mes sources et sincerement vous m'etonnez puisque vous ne savez pas ça :

voila ma source :

Mohamed Abbas reprend certains de ses articles parus dans le quotidien Es Salem, dans lesquels il faisait alors part de ses doutes sur la manière avec laquelle l’enquête sur l’affaire a été menée et conclue.

Dans ses entretiens avec l’auteur, l’ancien président du HCE apporte des éclairages et des appréciations sur nombre de questions intéressant le champ politique national. Voici quelques morceaux choisis: sur la démocratie Boudiaf dira «La démocratie ne peut pas se concrétiser en Algérie avec le système actuel». Sur feu Boumediene «Notre point de vue sur le régime de Boumediene était basé sur des données erronées, nous pensions que c’était un régime dictatorial induisant une situation appelée à l’explosion à tout moment.

Cependant, la mort de Boumediene, la marée humaine qui l’accompagna à sa dernière demeure nous confirment qu’effectivement nous étions dans l’erreur dans nos calculs que ce soit avec le peuple ou avec le régime de Boumediene». Sur son parti le PRS (Parti de la Révolution socialiste) dont il gela les activités en 1980

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bonsoir admin

 

Bonsoir Monsieur !

... je veux bien que vous me citiez un pays ou la fierté est exprimée par sondage !!!!!

 

Je veux bien que vous me citiez un pays où la fierté s'exprime en terme de "données" !!!

vous savez bien, vous et Mr belhouchet

 

Pourquoi vous me citez moi et M. Belhouchet explicitement ?

que tous les algeriens etaient fiers de l'algerie de boumediene ( sachez qu'en 1979 j'atais dans un pays latino americain et je vous assure que pas mal d'arabes irakiens se prenaient pour des algeriens ).

 

Normal, ceux dont vous parlez vivaient à l'époque de Boumedienne ... de la même manière ceux qui ont vecu l'air Boudiaf en soit plus fières, la même chose pour ceux qui ont vecu l'époque de l'Emir...

 

Mais bon il ne s'agit pas ici de faire de classement entre ces grandes personnalités de l'histoire algérienne ... Il est clair que la plupart des algériens soient fières de Boumedienne mais ceci ne fait pas de lui un saint ... on peut lui reprocher beaucoup de choses, en premier les assassinats politiques!

Remarque qu'à l'époque l'Algérie n'avait encore connu que deux présidents ... être premier d'une calsse qui contient deux êlèves ne fait pas de vous un génie :04:

J'ai des doutes sur ce que vous faites dire à Boudiaf ! Pourriez-vous nous citer vos sources SVP ?

 

Bonne journée :cool:

bonjour Monsieur

pour ce qui est de notre fierté ,je persiste et je signe ,c'est bien grace à notre revolution et SI BOUMEDIENE ,ce n'est ni el amir abdelkader ni Boudiaf pour les raisons suivantes :

Qaund à BOUDIAF

Le »trésor » du FLN constitué par les cotisations des travailleurs émigrés , déposé en Suisse au nom de Khider était confisqués par des opposants au régime .Cet argent ,c’était le sang et la sueur de centaines de milliers de travailleurs émigrés qui, de gré ou de force, payaient les cotisations pour l’effort de guerre, parfois au détriment de leur famille nécessiteuses .Lorsque dans »Le Soir d’Algérie » du 21 Février 2001,madame Anissa Boumediène porta des accusations accablantes à l’égard d’anciens responsables dont Boudhiaf et Ait Ahmed aucun démenti n’infirma les déclarations de la veuve de l’ancien Président de la République. Ce qui constitue un avœu déconcertant. Voici entre autres ,un extrait révélateur « ..Mohamed Khider a généreusement subventionné le FFS, le PRS/CNDR et l’OCRA de 1964 pour les premiers et de 1966 pour les derniers. Ces mouvements ne connaîtront donc pas de graves difficultés de trésorerie qui affectent généralement, les Partis d’opposition. C’est donc ce financement qui leur a permis d’entretenir un corps de permanents jusqu’en 1968,de faire face à des dépenses onéreuses (locaux,matériel,déplacements,secrétaires..),d’assurer la publication de brochures luxueusement imprimées,du moins pour le PRS/CNDR .Les membre des directions de ces mouvements ont largement profité de la générosité de Khider. Mohamed Boudhiaf et ses amis se sont constitués une solide fortune au Maroc à l’abris des menaces de nationalisations «

si vous voulez la source et le montant et les numeros de compte je vous les communiquerai aussi..

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Quant à l'emir abdelkader

mais finit par se rendre en 1847. Abd El-Kader partira pour la France, ou il arrivera à Toulon et ensuite au Chateau de Pau, ou il passera quelques temps, il partira ensuite pour Amboise, ou l'émir est retenu quelques années. Ce ne sera qu'au retour de Napoléon III (Louis-Napoléon Bonaparte) qu'Abd El-Kader, sera libéré et deviendra d'ailleurs l'ami de Napoléon III, qui fut, rappelons le, le premier président de la République française, L'émir Abd El-Kader n'oubliera jamais le geste de Napoléon III, il fit le serment à ce dernier qu'il ne perturbera jamais plus les opérations françaises en Algérie, s'il le droit de repartir, lui était accordé. Il repartit donc d'abord, et s'installa à Damas en Syrie

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bonjour Monsieur

pour ce qui est de notre fierté ,je persiste et je signe ,c'est bien grace à notre revolution et SI BOUMEDIENE ,ce n'est ni el amir abdelkader ni Boudiaf pour les raisons suivantes :

Qaund à BOUDIAF

Le »trésor » du FLN constitué par les cotisations des travailleurs émigrés , déposé en Suisse au nom de Khider était confisqués par des opposants au régime .Cet argent ,c’était le sang et la sueur de centaines de milliers de travailleurs émigrés qui, de gré ou de force, payaient les cotisations pour l’effort de guerre, parfois au détriment de leur famille nécessiteuses .Lorsque dans »Le Soir d’Algérie » du 21 Février 2001,madame Anissa Boumediène porta des accusations accablantes à l’égard d’anciens responsables dont Boudhiaf et Ait Ahmed aucun démenti n’infirma les déclarations de la veuve de l’ancien Président de la République. Ce qui constitue un avœu déconcertant. Voici entre autres ,un extrait révélateur « ..Mohamed Khider a généreusement subventionné le FFS, le PRS/CNDR et l’OCRA de 1964 pour les premiers et de 1966 pour les derniers. Ces mouvements ne connaîtront donc pas de graves difficultés de trésorerie qui affectent généralement, les Partis d’opposition. C’est donc ce financement qui leur a permis d’entretenir un corps de permanents jusqu’en 1968,de faire face à des dépenses onéreuses (locaux,matériel,déplacements,secrétaires..),d’assurer la publication de brochures luxueusement imprimées,du moins pour le PRS/CNDR .Les membre des directions de ces mouvements ont largement profité de la générosité de Khider. Mohamed Boudhiaf et ses amis se sont constitués une solide fortune au Maroc à l’abris des menaces de nationalisations «

si vous voulez la source et le montant et les numeros de compte je vous les communiquerai aussi..

¨

 

Déconcertante déclaration! L'affaire du Trésor du FNL trouvera son épilogue en 1977-78 devant la plus haute jurdiction suisse. L'Algérie ne récupérera pas d'argent mais d'une banque (Khider sur recommandation du banquier Genoud avait placé l'agent en actions dans l'établissement bancaire), d'où on ne voit pas comment Khider décédé, Boudiaf exilé au Maroc aurait pu être privilégié du Trésor du FNL?

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bonsoir admin

 

Bonsoir Monsieur !

[Mais bon il ne s'agit pas ici de faire de classement entre ces grandes personnalités de l'histoire algérienne ... Il est clair que la plupart des algériens soient fières de Boumedienne mais ceci ne fait pas de lui un saint ... on peut lui reprocher beaucoup de choses, en premier les assassinats politiques!

je n'ai jamais dit que BOUMEDIENE etait un saint...mais L'HOMME etait nationaliste et surtout INTEGRE ,et c'est ça qui fait la difference non seulement entre lui et nos responsables de A à Z mais aussi entre lui et tous les derigeants du monde entier ,oui je dis bien le monde entier.

Pour les assassinats politiques je vous defie de me donner une seule petite preuve ...

je vous repose la question pourquoi n'a t'il pas tué amar mellal , tahar zbiri , ait ahmed , boudiaf , ben bella,mahsass , boumaiza ,Nehnah etc......

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bonjour sonia

si vs etes un ptit peu patiente lisez ce qui suit sur l'affaire du tresor du FLN l'intervieuw avec paul balta , ouiii je l'ai lu merci

pendant la guerre, le fln était le représentant du peuple algerien.son

executif, le gpra (gouvernenemtn provisoire de la republique

algerienne) a été crée le 19.09.1958.le bureau politique, veritable organe

directeur a vu le jour au mois de juin 1962, juste avant l'indépendance qui a

été proclamée le 05 juillet de la même année.l'assemblée constituante

mettra fin à son role de direction politique au mois de septembre

1963.il demeurera l'organe suprême du parti unique, le f.l.n. son secretaire

général mohamed khider, sera chargé des finances du parti qu'il gèrera

dès le 7 aout 1962.le trésor du fln (ou de l'algerie) a été déposé en

grande partie à l'arab bank (beyrout-liban) et ce au nom du

gpra.l'organisation de la fédération de france (fln-france) possédait de son coté

son trésor de moindre importance qui fut déposé sur un compte à genève

(suisse) par deux responsables, abdelkrim souissi et said bouaziz.c'est

sans encombre que les responsables financiers des deux organismes

(federation de france et gpra) procéderont aux versements.le 18 octobre

1962, mohamed khider (responsable des finances au sein du bureau politique

du fln) déposera ces fonds extérieurs du parti sur un compte qu'il

ouvrira en son...nom à la banque commerçiale arabe (bca) de genève au lieu

de placer cet argent au tresor.

 

la bca a été créee le 25.06.1958 par jamil mardam bey, premier ministre

du president de la république syrienne de l'époque, hashim el atassi

(lorsque le gouvernement était dirigé par le bloc national de 1936 à

1939).la syrie, sous la tutelle du haut commissaire français, ne recouvrira

son indépendance qu'en 1946. lorsque l'affaire du tresor du fln

éclatera, la bca avait changé de gérance.elle était dirigée par le fils du

fondateur, zoheir mardam bey. l'administrateur à la bca, le banquier

suisse françois genoud, a d'ailleurs été biographié par un écrivain

français, pierre pean, dans son livre "l'extremiste" publié par l'édition

"fayard" à paris en 1966 qui avait détaillé les connaissances parfaites de

celui-ci.

 

le 13.04.1963, lors de la conférence nationale des cadres du fln,

mohamed khider sera éjecté du secrétariat général du parti qu'il dirigeait,

par le président de la république, ahmed ben bella.il sera maintenu

toutefois au sein du bureau politique.manifestant son désir de garder sous

son controle les finances du parti, mohamed khider n'hésitera pas à

procéder le 26.04.1963 à un important retrait à alger.c'est ainsi qu'il

transfèrera de l'arab bank de beyrout (liban) deux millions de livres

sterling qu'il placera à la banque commerçiale arabe de genève en son nom

alors que la loi en vigueur ne lui donnait pas ce droit! plus grave,

mohamed khider ne possédait pas de compte personnel à l'arab bank de

beyrout.il serait important aussi de préçiser que le seul client de cette

derniere demeurait le bureau politique du fln.les sommes déposées auprès

des deux banques s'effectuaient au nom du gpra et du bureau

politique.mohamed khider était chargé de procéder aux opérations en qualité de

responsable financier et non à titre personnel.devant ces malversations,

le chèque fera l'objet d'un blocage..il a fallut attendre l'envoi d'un

télégramme le 08 mai 1963 de la bca de genève pour que celui-ci soit

validé.le télégramme adréssé par la bca à l'arab bank préçisera que le

montant sera crédité sur un compte au nom du bureau politique du fln et

que la revalidation de la signature de mohamed khider suivra à la fin du

même mois.la bca portera ces fonds au crédit d'un compte provisoire

ouvert au nom de mohamed khider (compte portant le n°41195). la banque

commerciale arabe procèdera le 05 juin 1963 sur un autre compte, toujours

au nom de mohamed khider (compte n°42108).ceci éveillera des doutes

bien entendu.

 

en effet, la cour de justice du canton de genève relèvera dans son

arrêt du 15.06.1963 que la bca a pris un engagement personnel qu'elle n'a

pas tenu lorsqu'elle déclarait que la somme serait créditée sur un

compte appartenant au bureau politique du fln.sans cette assurance, l'arab

bank n'aurait pas procédé au virement de la dite somme.la cour de

justice concluera que la bca et zoheir mardam bey avaient agit de concert

avec mohamed khider pour soustraire cette argent au fln ( transactions

effectuées le 9 mai 1963). deux mois plus tard, plus préçisément le 11

juillet de la même année donc, le president ben bella adréssa à l'arab

bank une correspondance l'informant que mohamed khider ne jouissait plus

de cette autorisation qui lui permettait de disposer des fonds du fln.le

13 decembre 1963, l'arab bank reçevra un nouvel envoi, non daté, signé

par ben bella, rétablissant mohamed khider dans ses fonctions

initiales.ce dernier pouvait à nouveau procéder aux opérations financières et

avait un pouvoir de décision sur les fonds entreposés à l'arab bank de

beyrout.

la presidence de la république confirmant la levée de l'interdiction

faite à mohamed khider(des incohérences qui seront d'ailleurs soulevées

par le président houari boumedienne peu de temps après le renversement

de ben bella le 19 juin 1965.).

 

le 03 mars 1964, mohamed khider ordonnera à la banque commerçiale de

genève de transformer son compte nominatif en un compte numerique (n°bp

510).il demandera également la conservation par ses soins (bca) de son

courrier, de ne pas l'adresser à alger ! il ira plus loin encore. il

enjoindra la bca de ne pas faire paraitre son nom pour les transactions

qu'il effectuera dorénavant puisqu'il possédait un numero

d'identification.refusant de mettre les fonds à la disposition du fln, il affirmera

qu'il s'expliquera lors de la tenue du congrés du parti qui était prévu

pour le mois d'avril 1964.

 

le congrès du fln s'ouvrira en effet le 16 avril 1964.le comité centra

désignera un nouveau bureau politique.mohamed khider n'en fera pas

partie.il sera remplçé au poste de responsable des finances par ait el

hocine.ait el hocine se déplacera le 12 juin 1964 à genève en vue de mener

des discutions avec l'administration de la bca, détenteur d'un ordre de

mission établi le 08 juin 1964 le chargeant de nouveau tresorier du

fln.il sera délégué pour prendre en charge les sommes entreporsées dans

cette banque par son prédécesseur mohamed khider.il lui sera d'autre part

loisible de geler tout avoir non conforme détenu par l'ancien

tresorier.mais c'était compter sans la réaction de mohamed khider et du patron

de la bca, zoheir mardam bey.

 

COLOR]

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dsl sonia c'est la suite

 

 

c'est ainsi que ce dernier accèdera à une demande formulée par son

"ami".les numeros de compte numeriques (bp 510) seront transformés en

comptes à vue. ceci permettra à mohamed khider de disposer de ces compte (et

ce dès le 18 juin 1964). la somme arrêtée au 31 mars 1964 s'élevait à

41.963.509 francs suisses.en contrepartie, l'ancien responsable

financier renoncait aux interets et ce à compter du 1er avril 1964. cette

malversation sera soulignée par la justice du canton canton de genève. un

arrêté datant du 15 juin 1964 stipulera que la bca a commis un préjudice

qui engage sa responsabilité envers la présidence de la république

algerienne.entre le 18 juin 1964 et le 1er juillet 1964, mohamed khider

procéda au retrait de 41.796.046,40 francs suisses, somme remise par le

banquier mardam bey.cette acte soulèvera le tollé.accusé de détournement

il déclarera à partir de l'étranger :" j'ai mis ces fonds en lieu sur à

l'étranger et à la disposition des opposants au fln dirigé par ben

bella".deux plaintes seront déposée par la présidence de la

 

république et par ait-el-hocine le 06 juillet 1964 pour "abus de

confiance".cette plainte sera bien évidement étendue à la bca.mohamed khider

sera condamné à mort par contumace pour un autre délit. il se serait

rendu coupable d'alliance avec un secessionniste du katanga (region de

l'ex.zaire), tchombé.ce dernier a été dénoncé par le pouvoir d'alger pour

ses liens avérés avec "l'impérialisme occidental".

le 03.11.1964, le juge d'instruction de genève introduire une demande

d'expertise afin de vérifier si la banque réellement finançé mohamed

khider (retraits effectués après le 18 juin 1964).on concluera que quatre

comptes numeriques, ouverts le 22 du même mois, avaient en effet permis

à la bca de faire face aux dits retraits.le banquier avaity refusé de

mettre à la disposition de l'expert engagé les dossiers relatifs à ces

comptes arguant le "secret bancaire".il sera poursuivi pour faux

témoignages, opposition aux actes de l'autorité et soustraction d'objets mis

sous main de l'autorité.le rapport final rendu le 30.12.1964 concluera

que la bca pouvait couvrir les retraits et ce jusqu'au

06.07.1964.l'affaire sera tout de même classée le 06.01.1967, c'est à dire après le

décès du conçerné (assassiné à madrid).le 14.02.1967, mardam bey

beneficiera de la même mesure.le 19 juin 1965 un coup d'état militaire dirigé par

houari boumedienne renversera ahmed ben bella.ce dernier sera mis aux

arrêts. l'affaire prendra une nouvelle tournure.le 10 juillet 1967

l'état algerien estera en justice la bca et son responsable mardam bey afin

qu'il rembourse la bagatelle estimée à la somme de 42.796.100 francs

suisses.il a fallu attendre le 15 juin 1973 pour que la cour du canton de

genève fasse cet arrêté judiciaire : "lorsque l'algerie a le 05 juillet

1962 proclamé son indépendance et en septembre 1963 édicté sa

constitution, les fonds du fln sont devenus propriété de l'état algerien, seule

à pouvoir en disposer juridiquement." ce compte-rendu spécifiait donc

que mohamed khider avait profité d'un bien qu'il savait détourné.il

était donc receleur !

 

lors de la réunion des cadres du fln qui s'était tenu le 06 mars 1966 à

alger, le président houari boumedienne avait évoqué cette affaire en

déclarant ceci : " ce que nous ne pouvons admettre, c'est que, sous le

couvert d'une divergence avec un autre leader, quelqu'un vole les biens

des militants, des travailleursq et du peuple et place sept milliards

dans les banques d'europe.notre position dans cette affaire est claire et

nette.nous avons essayé en vain de récupérer après le 19 juin 1965 ces

sommes.nous ne sommes pas prêt de pardonner le vol de ces biens et tôt

ou tard il sera du devoir de chaque militant de demander la

restitution."

employé aux contributions diverses avant le déclenchement de la lutte

armée, mohamed boudiaf (1) résidait dans un apprtement de bonne de

novembre 1962 à fevrier 1963.il vivait dans le dénuement total.il a eu à

connaitre comme ses semblables les affres de la prison (1956-1962).n'ayant

jamais travaillé il achètera une belle villa au maroc et

une...briqueterie. ceci lui voudra des critiques.dans son livre "l'opposition en

algerie depuis 1962", publié par les éditions "l'harmattan" en 1988 (livre

réédité par "rahma" en 1991), ramdane redjala(2) étalera son étonnement

devant la richesse de cet homme.

 

il affirmait (page 114) : " ces remarques n'ont pas suscité de

divergences à l'époque car pour la quasi-totalit" des militants, le parti ne

leur a jamais servi de tremplin.ce qui n'était pas le cas de mohamed

boudiaf et de son homme lige, rachid krim.le premier s'est constitué une

somme colossale au maroc à l'abri des menaces de nationalisation avec des

capitaux dont l'origine est pour le moins suspecte et sur laquelle

boudiaf ne s'est jamais expliqué franchement et publiquement.ce qui ne

l'empêchera pas de se maintenir à la tête d'un parti algérien". des

informations plus graves ont été également divulguées dans ce livre. dans les

pages 167 et 168 l'auteur poursuivra : " responsable du tresor de

guerre du fln évalué à 4,5 milliards d'anciens francs, a généreusement

subventionné le ffs d'ait-ahmed(3), le prs/cndr et l'ocra de 1964 à 1967

pour les deux premiers et de 1966 pour le dernier.ces mouvements ne

connaitront donc pas les graves difficultés de trésorerie qui affectent

généralement les partis d'opposition.c'est donc ce financement qui leur a

permis d'entretenir un corps de permanents jusqu'en 1968, de faire face à

des dépenses onéreuses (locaux, matériels, déplacements,

secrétaires...), d'assurer la publication de brochures luxueusement imprimées, du

moins pour le prs/cndr.les membres des directions de ces mouvements ont

aussi largement profité de la générosité de khider. mohamed boudiaf et

ses amis se sont constitué une solide fortune au maroc et il ne semble

pas que hocine ait-ahmed et les siens connaissent des fins de mois

difficiles." ces propos ont été confirmés par tarek khider fils de mohamed

khider qui publiait dans une lettre parue dans les colonnes de

l'hebomadaire "el-waqt" du 07 fevrier 1995, que son père avait mis à la

disposition des opposants au régime d'alger les fonds du fln.

 

un autre écrivain et pas des moindres, pierre péan pubiera à son tour

chez l'édition "fayard" en 1996 un livre intitulé "l'extrémiste". il y

fera des révélations troublantes sur le banquier suisse françois

 

guenoud (voir articles précédents), administrateur auprès de la banque

commerçiale arabe (bca)domiciliée à genève (suisse) ou furent

entreposés les biens du fln. il écrira (en page 317) :"à combien se montait ce

trésor? qu'est-il devenu? au départ il y avait selon françois guenoud

quarante deux millions (42000000) de francs suisses déposés à la bca.six

(6) sont allés à ait-ahmed, six (6) à boudiaf qui a prit la part de

moussa (4) sans rien lui dire (boudiaf ne lui a fait parvenir que

200000ff). celui-ci (moussa) dira à boudiaf "tu m'as trahi".selon le journal

français "le monde" (1965) boudiaf avait reçu 1,5 milliards de francs

français pour sa formation politique clandestine, le prs, c'est à dire

l'équivalent de 10 milliards de centimes (taux de change de l'année

2000).ait ahmed attaquera en diffamation les éditions "fayard" en 1996.le

jugement rendu le 12 mars 1997 par la première chambre du tribunal de

grande instance de paris déclarera la plainte irreçevable, "mal fondée en

sa demande,débouté et condamné aux dépens "( le quotidien algerien

francophone "le matin" reprendra le communiqué transmis par l'agence presse

service algerienne)ce déluge d'informations laissera la veuve de

mohamed boudiaf de marbre.celle-ci (fatiha boudiaf) n'a jamais déposé plainte

contre les auteurs de ces graves révélations.son silence serait

s'apparenterait plutôt à un aveu de taille.mohamed boudiaf aurait donc

contribué lui aussi à ce faramineux détournement des biens du pays pendant que

le peuple qui venait de recouvrer son indépendance vivait dans le

dénuement total, reçevant des aides des usa et de l'ex.urss.un peuple qui

manquait de nourriture et de médicaments

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BONJOUR je continue avec vous Monsieur;

Remarque qu'à l'époque l'Algérie n'avait encore connu que deux présidents ... être premier d'une calsse qui contient deux êlèves ne fait pas de vous un génie .

JE pense que kateb yacine est mieux placé que vous et moi et je pense aussi qu'il savait ce qu'il disait ..

A ma connaissance vous avez entendu parlé de FERHAT ABBAS et BENKHEDA ???

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Ci -dessous des extraits du premier round Algérie contre Mardan Bey en 1974, à noter que l'Algérie perdra ce round.

________________________________________

 

 

 

 

 

Chapeau100 II 200

 

 

31. Arrêt de la Ire Cour civile du

1er juillet 1974 dans la cause Banque

commerciale arabe SA et Mardam Bey contre République

algérienne démocratique et populaire

 

11.- Le 3 mars 1964, X. a donné à la défenderesse l'ordre

BGE 100 II 200 p. 218

de transformer son comptenominatif en un compte numérique no "BP 510". Par la suite, il ademandé à la banque de conserver toute la correspondance, révoquant ainsil'ordre précédemment donné de lui adresser son courrier à Alger. Le 15 juin1964, la défenderesse a accédé à la requête de X. de transformer ses comptes à terme en comptes à vue, moyennant la renonciation du titulaire aux intérêtsà partir du 1er avril 1964. Cette modification a permis à X. dedisposer des fonds dès le 18 juin 1964. La Cour de justice considère que, parcette dernière opération, la défenderesse "a incontestablement commis uneaute contractuelle qui engage sa responsabilité envers la Républiquealgérienne".

 

Ce point de vue est erroné. De telles modifications, convenues entre le

titulaire du compte et la banque, sont parfaitement licites et courantes.

Elles ne sauraient constituer une faute contractuelle de la banque ni une

faute délictuelle de ses organes, même si ceux-ci connaissaient le motif des

changements demandés par le titulaire du compte. Du moment que X. avait le

droit, dans ses rapports avec la banque, de disposer des fonds, que ceux-ci

n'avaient pas été judiciairement saisis et qu'aucune action en revendication

n'avait été introduite, rien ne s'opposait à ce que la banque donnât suite

aux instructions de son client (art. 479 al. 1 CO; RO 96 II 152 consid. 5).

Il est ainsi superflu de rechercher si le défendeur savait ou non, le 15 juin

1964, que X. était menacé d'un séquestre à la suite de l'intervention de

Z.

 

Considérant 12

12.- Il est constant que les quatre chèques au porteur de 100 000 $

chacun tirés le 1er juillet 1964 par la défenderesse sur l'Union

de Banques Suisses à Genève par le débit du compte de X. lui ont été

rapportés par celui-ci le 6 juillet vers 11 heures, après avoir été présentés

à l'encaissement le même matin à l'UBS, où l'on ignore pourquoi ils n'ont pas

été payés. A la demande de X., la défenderesse les a annulés et remplacés par deux nouveaux chèques de 200 000 $ chacun, qu'elle lui a remis avant midi.Ces chèques ont été encaissés à Paris, et les fonds virés sur une banque deNew York. La Cour de justice, considérant que le versement à X. de ces 400000 $ "peu avant ou peu après le séquestre civil du 6 juillet 1964 apparaît

également comme une opération insolite", a admis la responsabilité des

défendeurs à concurrence de ce montant.

BGE 100 II 200 p. 219

 

S'agissant de chèques tirés par la défenderesse sur une autre banque, au

profit de X., le paiement intervenait au moment de la remise des effets à ce

dernier, par le débit de son compte. Il importait donc de savoir si la remise

des deux nouveaux chèques de 200 000 $ a eu lieu, le 6 juillet 1964, avant ou

après 14 heures, moment où le séquestre civil a été notifié à la

défenderesse. La responsabilité de celle-ci ne serait engagée, au regard de

l'art. 479 CO, que s'il était établi qu'elle avait délivré après ce moment

les chèques litigieux. La preuve en incombait à la demanderesse, selon l'art.

8 CC. Or elle n'a pas été rapportée. La Cour de justice laisse expressément

la question ouverte. Elle viole dès lors le droit fédéral en admettant

néanmoins la responsabilité des défendeurs à cet égard.

 

Considérant 18

18.- L'action en responsabilité de la demanderesse s'avère ainsi mal

fondée tant contre la banque que contre son

BGE 100 II 200 p. 224

administrateur délégué, ce qui

entraîne l'annulation de l'arrêt déféré et le rejet de la demande.

 

Dispo

Par ces motifs, le Tribunal fédéral:

 

Admet les recours des défendeurs, annule l'arrêt de la Cour de justice du

canton de Genève du 15 juin 1973 et rejette la demande de la République

algérienne démocratique et populaire.

 

Source (le lien ne fonctionne pas):

 

Tribunaux fédéraux

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Il est possible de lire l'entier du jugement en procédant comme suit: sue le site c-dessous apparaîtra un rectangle blanc ou clignotera le trait du cursuieur. Il faut introduire cette référence:100 II 200

ouis cliquer sur chercher. Sur la liste de différends jzgement celui concernant l'Algérie est le 5eme depuis en haut. Cliquer à nouveau sur la référence: 100 II 200

 

Bonne lecture!

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Deuxième round:le 12 juillet 1978

 

Vous constaterez que la décisin du tribunal parle bien d'actions et de somme pécunaires:

 

5.- En l'espèce, on ne peut parler d'une déclaration claire,

ne donnant prise à aucun doute. Dans le procès BCA contre Genoud, où il n'était

pas question au premier chef de la propriété des actions litigieuses, mais qui

portait sur le point de savoir qui était autorisé à exercer, avec ces actions,

le droit de vote aux assemblées générales de la BCA, Zouheir Mardam Bey et la

BCA ont soutenu que Zouheir Mardam Bey était propriétaire des actions à titre

fiduciaire. Au vu de l'arrêt de la Ire Cour civile du Tribunal fédéral et des

citations de pièces faites par la recourante à l'appui de son argumentation, on ne sait pas qui est réellement propriétaire, respectivement qui Zouheir Mardam Bey et la BCA considèrent comme le réel propriétaire des actions. Ainsi, il n'y a pas de déclaration claire par laquelle les créanciers auraient eux-mêmes reconnu à un tiers la propriété des actions séquestrées. En l'état, on doit donc s'en tenir à l'ordonnance de séquestre: la question de savoir qui est le réel propriétaire des actions devra être élucidée dans la procédure de revendication, manifestement déjà ouverte.

 

Dans ces conditions, le recours apparaît dénué de fondement et doit être

rejeté dans la mesure où il est recevable.

 

(sous le lien ci-dessous, entrer la reférence: 104 III 55

dans le rectangle blan ou clignote le la barre du curseur. Puis cliquez sur chercher. L'affaire est au nO 2 depuis en haut).

 

Tribunaux fédéraux

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vous savez sonia , ce que je reproche aux algeriens et surtout à nos journalistes,c'est le manque d'analyse à partir de données ;

En general les algeriens ne lisent pas ,ne se documentent pas ,on a un probleme de communication ,il m'arrive souvent de discuter ,avec des gens instruits et sur pas mal de sujets , BOUMEDIENE, guerre irak -iran , les chiittes , rapprochement iranoamericain etc...et à chaque fois c'est un dialogue de sourds ,on vs ecoute pas et on vous dit n'importe quoi , quand vous leur dites ou avez vous lu ça ?? on vous reponds : d'apres moi c'est ceci , c'est cela ....

Generalement leur sources c'est les cafés et les salon coiffures..

c'est malheureux

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vous savez sonia , ce que je reproche aux algeriens et surtout à nos journalistes,c'est le manque d'analyse à partir de données ;

En general les algeriens ne lisent pas ,ne se documentent pas ,on a un probleme de communication ,il m'arrive souvent de discuter ,avec des gens instruits et sur pas mal de sujets , BOUMEDIENE, guerre irak -iran , les chiittes , rapprochement iranoamericain etc...et à chaque fois c'est un dialogue de sourds ,on vs ecoute pas et on vous dit n'importe quoi , quand vous leur dites ou avez vous lu ça ?? on vous reponds : d'apres moi c'est ceci , c'est cela ....

Generalement leur sources c'est les cafés et les salon coiffures..

c'est malheureux

 

 

Ah!..alors là mon ami, on risque bien de partir en vacances ensemble! Toute la presse maghrébine n'est que du cirque! Même Jeune Afrique ne tient pas la route.

 

Je crains qu'un tel amateurisme n'est pas totalement désintéressé. Laisser le gens dans l'ignorance est une vieille recette de surcroît quand les chaînes télévisées et de radios sont détenues par l'Etat,

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bonsoir sonia , merci pour les photos, ainsi c'est là que notre argent fut déposé et c'est là que les magouilles se sont déroulées!!!!!!!

 

A vec sa situation paradiasque, cette banque qui appartenait à l'algérie valait certainement une centaine de millions d'euros dont personne ne sait ce qu'ils sont advenus?

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chouiHORR,

 

Es-tu convaincu de mes explications envers l'affaire du FLN ou pas? Je méconnais cette affaire (car je n'ai que 24 ans) mais c'est lors d'un forum il y a de ça deux ans que cette affaire fut mise et à débat. Un forumiste nous alors poster tous les jugements suisses relatifs au Trésor au FLN, de sorte que je n'ai eu qu'à retrouver ce fameux forum afin de pouvoir mettre en exergue certains jugements. Ce n'est pas plus difficile que cela.

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