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Un homme se leva pour accomplir l’office matinal à la mosquée.

 

 

Il s’habilla, fit ses ablutions et emprunta le chemin de la mosquée.

 

 

En cours de chemin, il tomba et ses habits se salirent.

 

 

Il se leva, se dépoussiéra et se dirigea vers sa maison.

 

 

Une fois à la maison, il se changea, fit ses ablutions et s’en retourna à la mosquée.

 

 

Sur son chemin, il tomba à nouveau et se salit, il se releva, se nettoya et se dirigea vers sa maison.

 

 

Une fois à la maison, il se changea une fois de plus, fit ses ablutions et s’en retourna à la mosquée.

 

 

Sur son chemin, il rencontra un homme tenant une lampe, il lui demanda son identité mais l’autre lui rétorqua : « j’ai vu que tu es tombé deux fois sur ton chemin vers la mosquée c’est pourquoi j’ai

apporté cette lampe pour t’éclairer le chemin ».

 

 

L’homme le remercia infiniment et tous deux se dirigèrent vers la mosquée.

 

 

Une fois à la mosquée, le premier demanda à l’homme à la lampe de venir prier avec lui dans la mosquée. Ce qu’il refusa.

 

 

L’homme le lui demanda encore deux fois mais la réponse était la même.

 

 

L’homme lui demanda pourquoi il ne voulait venir prier.

 

 

Il lui répondit «je suis Satan ».

 

 

L’homme fit choqué par cette réponse Satan lui expliqua :

 

 

Sur ton chemin vers la mosquée c’est moi qui te fis tomber.

 

 

Quand tu retournas à la maison pour te purifier et revenir à la mosquée, ALLAH te pardonna tous tes péchés.

 

 

Je te fis tomber une seconde fois et même cela ne te découragea pas de venir prier à la mosquée. Mais au contraire tu repris le chemin de la mosquée.

 

 

A cause de cela (ta détermination) ALLAH pardonna les habitants de la maisonnée.

 

 

J’eus peur qu’en te faisant tomber une fois de plus ALLAH ne pardonnât les villageois. Je fus convaincu qu’à coup sûr tu attendrais la mosquée.

 

 

Donc il ne faut pas laisser Satan bénéficier de ses actions.

Il ne faut pas abandonner une bonne action que vous avez l’intention d’accomplir car vous ne pouvez jamais mesurer la récompense attachée, en franchissant les obstacles dressés face à l’accomplissement de cette action.

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Guest GlamourDZ

 

Il ne faut pas abandonner une bonne action que vous avez l’intention d’accomplir car vous ne pouvez jamais mesurer la récompense attachée, en franchissant les obstacles dressés face à l’accomplissement de cette action.

 

très belle conclusion; mecri Halwa ;)

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QUI CHOISIS-TU?

 

Une femme arrosait son jardin quand elle vit trois viellards étrangers s'approcher de l'entrée de sa maison. Ils lui paraissaient venir de très loin.

 

_ Je ne vous connais pas, mais vous devez avoir faim

S'il vous plait rentrez chez moi pour manger un morceau.

_ Votre mari est-il à la maison?, lui demandent-ils.

_ Non, il n'y est pas, repondit-elle

_ Alors, nous ne pouvons rentrer, avouèrent-ils.

 

Quand arrive enfin le mari, la dame lui fait état de la situation. En regardant à l'exterieur, il aperçoit les trois vieillards toujours près de la maison.

_ Alors, qu'ils rentrent maintenant puisque je suis arrivé! dit le mari à son épouse.

La femme sortit pour inviter les vieillards de nouveau à sa table:

_ Nous ne pouvons pas entrer ensemble.

_ Mais pourquoi? leur demanda t-elle toute étonnée

L'un des trois s'avança donc pour lui expliquer en commençant par se désigner: " Je suis la Richesse" lui dit il; " Celui ci, c'est Bonheur, et celui-là c'est Amour" lui présenta ces deux autres compagnons de route.

_ Maintenant, retourne pour choisir avec ton mari lequel de nous trois devrait rentrer et dîner avec vous.

 

La femme rentre à la maison et rapporte à son mari ce que les vieux viennent de lui raconter. L'homme s'éclate de contentement et dit: "Que de chance avons-nous. Que vienne la Richesse, ainsi à jamais, nous aurons tout ce que nous voulons."

L'épouse, qui n'était pas de l'avis de son mari, rouspéta: "Et pourquoi pas le bonheur de préference?" dit elle.

Leur petite fille qui dans un coin écoutait la conversation de ses parents, arriva tout en courant: " Ne serait-il pas mieux d'inviter l'Amour? De cette façon, notre foyer serait toujours rempli d'Amour"

Les deux époux se regardèrent un instant: "Ecoutons ce que propose notre fille, dit le mari à sa femme. Va voir ces trois vieilards et invite l'Amour à se joindre à nous."

La femme sortit et demande: " Lequel d'entre vous est Amour? Qu'il vienne et dîne avec nous"

Amour s'avança en direction de la maison et ces deux autres compagnons se mirent à le suivre. Surprise, la femme demanda à Richesse et Bonheur: " Je n'ai invité que Amour. Pourquoi venez-vous aussi?"

 

Et, les trois vieillards reponfirent à l'unisson: "Si vous aviez invité Richesse ou Bonheur, les deux autres seraint restés l'attendre dehors. Mais vous avez invitez Amour...

 

 

 

 

s'il y a l'amour alors il y a aussi le bonheur la richesse..

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Guest GlamourDZ

Le sac de pommes de terre

 

Si vous pardonnez à quelqu'un ses péchés ceux-ci s'évanouissent sur le champ. Par contre si vous ne les pardonnez pas, qu'allez-vous en faire ?

 

Un professeur d'Institut qui devait enseigner sur le thème du pardon, demanda à chacun de ses étudiants d'apporter un sac de pommes de terre lors du prochain cours.

 

Il leur demanda ensuite d'inscrire sur une pomme de terre le nom de chaque personne à laquelle ils refusaient de pardonner, et à côté, la date. Puis ils devaient porter sur leur dos, partout où ils iraient, pendant le mois suivant, le sac de pommes de terre. Ce fardeau leur parut vite insupportable.

 

Ils se rendirent alors compte du poids spirituel de rancoeur qu'ils portaient tous en eux. Ils comprirent aussi le degré d'énergie qu?ils gaspillaient en portant leur fardeau et le danger qu'ils couraient de laisser ce fardeau au mauvais endroit. Puis, à mesure que les pommes de terre commençaient à pourrir, chaque étudiant comprit qu'il devait se débarrasser du sac au plus vite.

 

Le pardon n'est pas seulement un don que vous faites aux autres, c'est aussi et surtout un cadeau que vous vous faites à vous-même, car en refusant de pardonner, un boulet s'attache à votre coeur et le bonheur et la bénédiction s'enfuient loin de vous. Qu'allez-vous donc faire du fardeau de péchés que vous refusez de pardonner ?

 

Aimeriez-vous vraiment qu'Allah vous pardonne avec le même enthousiasme que vous mettez à pardonner les péchés des autres ?

 

Si cette idée vous gêne un peu, alors agissez dès aujourd'hui, avant le coucher du soleil.

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Guest GlamourDZ

Histoire

 

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.

 

Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.

 

Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier

terriblement.

 

Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu..

 

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.Avec chaque pelleté de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.

 

Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter !

 

 

 

Conclusion :

 

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais. Ne jamais abandonner ! Secouez-vous et foncez ! Rappelez-vous les cinq règles simples pour être heureux :

 

Libérez votre coeur de la haine.

Libérez votre esprit des inquétudes.

Vivez simplement.

Donnez plus.

Attendez moins.

A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.

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Se cacher

 

 

Où se cacher ? Dans une salle de classe d’une école islamique, le professeur lance un défi à ses élèves :

 

 

 

 

 

"Qui d’entre vous est capable de trouver une cachette ?"

 

 

 

 

 

Les élèves, amusés, relèvent le défi en pensant à la simplicité de la tâche. Mais le professeur précise un point essentiel à cette épreuve :

 

 

 

 

 

"Il y a une condition : Cette cachette ne devra être découverte par personne."

 

 

 

 

Les élèves ne se laissent pas perturber pour autant et assurent qu’ils réussiront à trouver une cachette à l’abri de tout regard.

Quelque temps après, les élèves reviennent les uns après les autres, certifiant avoir bien trouvé une cachette...sauf un petit garçon qui arrive en pleurs.

Le professeur lui demande alors la raison de ces pleurs, et le petit garçon répond :

 

 

 

 

"Je n’ai pas pu relever le défi : S’il s’agit de trouver une cachette, j’en ai trouvé plusieurs, mais à chaque fois que je me souvenais de la condition à respecter, je me disais que cette cachette est impossible à découvrir, car je sais qu’il y a toujours une présence."

 

 

 

 

"Une présence ? Mais quelle présence ?" interroge le professeur

 

 

 

 

L’élève éclata en sanglots et dit : "Allah ! Comment faire pour me cacher d’Allah ? Lui qui voit tout et entend tout ! »

 

 

 

 

Le professeur lui demanda de sécher ses larmes et le félicita car c’est exactement ce qu’il attendait de ses élèves.

En effet cet enfant avait atteint ce qu’on appelle : "Le bel agir" (al-ihsan) qui consiste à adorer Allah comme si on Le voyait, car si on le voit pas, Allah, Lui nous voit. Cet enfant avait toujours à l’esprit le verset 7 de la sourate 58, Al-Moujâdala, La discussion :

 

 

 

 

 

« Ne vois-tu pas qu’Allah sait ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Pas de conversation secrète entre trois sans qu’Il ne soit leur quatrième, ni entre cinq sans qu’Il n’y ne soit leur sixième, ni moins ni plus que cela sans qu’Il ne soit avec eux, là où ils se trouvent. Ensuite, Il les informera, au Jour de la Résurrection, de ce qu’ils faisaient, car Allah est Omniscient>>.

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Se cacher

 

 

Où se cacher ? Dans une salle de classe d’une école islamique, le professeur lance un défi à ses élèves :

 

 

 

 

 

"Qui d’entre vous est capable de trouver une cachette ?"

 

 

 

 

 

Les élèves, amusés, relèvent le défi en pensant à la simplicité de la tâche. Mais le professeur précise un point essentiel à cette épreuve :

 

 

 

 

 

"Il y a une condition : Cette cachette ne devra être découverte par personne."

 

 

 

 

Les élèves ne se laissent pas perturber pour autant et assurent qu’ils réussiront à trouver une cachette à l’abri de tout regard.

Quelque temps après, les élèves reviennent les uns après les autres, certifiant avoir bien trouvé une cachette...sauf un petit garçon qui arrive en pleurs.

Le professeur lui demande alors la raison de ces pleurs, et le petit garçon répond :

 

 

 

 

"Je n’ai pas pu relever le défi : S’il s’agit de trouver une cachette, j’en ai trouvé plusieurs, mais à chaque fois que je me souvenais de la condition à respecter, je me disais que cette cachette est impossible à découvrir, car je sais qu’il y a toujours une présence."

 

 

 

 

"Une présence ? Mais quelle présence ?" interroge le professeur

 

 

 

 

L’élève éclata en sanglots et dit : "Allah ! Comment faire pour me cacher d’Allah ? Lui qui voit tout et entend tout ! »

 

 

 

 

Le professeur lui demanda de sécher ses larmes et le félicita car c’est exactement ce qu’il attendait de ses élèves.

En effet cet enfant avait atteint ce qu’on appelle : "Le bel agir" (al-ihsan) qui consiste à adorer Allah comme si on Le voyait, car si on le voit pas, Allah, Lui nous voit. Cet enfant avait toujours à l’esprit le verset 7 de la sourate 58, Al-Moujâdala, La discussion :

 

 

 

 

 

« Ne vois-tu pas qu’Allah sait ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Pas de conversation secrète entre trois sans qu’Il ne soit leur quatrième, ni entre cinq sans qu’Il n’y ne soit leur sixième, ni moins ni plus que cela sans qu’Il ne soit avec eux, là où ils se trouvent. Ensuite, Il les informera, au Jour de la Résurrection, de ce qu’ils faisaient, car Allah est Omniscient>>.

 

 

merci halwa ... tu as résumé "el ihssan" :)

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Les 4 femmes

 

Il était une fois un riche commerçant qui avait 4 femmes.

La 4ème femme, C'est celle qu'il aimait le plus. Il l'ornait avec de luxueuses robes et la traitait avec délicatesse. Il prenait grand soin d'elle et ne lui offrait que le meilleur.

 

La 3ème femme, elle aussi il l'aimait beaucoup Il était très fier d'elle et voulait toujours la mettre en valeur auprès de ses amis. Cependant, le commerçant craignait toujours le fait qu'elle puisse partir avec un autre homme.

 

Il aimait aussi sa 2ème femme. C'était une personne très prévenante, toujours patiente et elle était la confidente du commerçant. Chaque fois qu'il rencontrait des problèmes, il se tournait vers elle et elle l'aidait toujours à s'en sortir.

 

La 1ère femme était une partenaire très loyale, elle avait aussi bien contribuée à maintenir ses richesses qu'à prendre grand soin de sa maison. Pourtant, le commerçant ne l'aimait pas beaucoup alors qu'elle, l'aimait profondément. Il lui prêtait à peine attention.

 

Un jour, le commerçant tomba malade. Il avait le pressentiment qu'il allait mourir bientôt. Il pensa à sa luxueuse vie et se disait, "maintenant j'ai 4 femmes, mais quand je mourrais, je serai seul, quel solitaire je serai !"

 

Il demanda donc à sa 4ème femme : "Je t'aime le plus, je t'ai doté des plus fins habits et pris grand soin de toi. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre pour me tenir compagnie ?" - "Nulle part !" Répondit la 4ème femme. Et elle s'en alla sans un autre mot. La réponse coupa le coeur du commerçant comme un couteau tranchant.

 

Le triste commerçant demanda alors à sa 3ème femme : "Je t'ai beaucoup aimé toute ma vie. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre et me tenir compagnie?" - "Non !" Répondit la 3ème femme. "La vie est si belle ici ! Je me remarierais quand tu mourras !" Le coeur du commerçant se brisa.

 

Alors il demanda à sa 2ème femme : "Je me suis toujours tourné vers toi et tu m'as toujours aidé. Maintenant j'ai à nouveau besoin de ton aide. Quand je mourrais, est ce que tu me suivras et tu me tiendras compagnie?" - "Je suis désolée, je ne peux pas t'aider !" Répondit la 2ème femme. "Dans le meilleur des cas, je ne peux que t'accompagner vers la tombe" La réponse tomba comme du tonnerre et le commerçant fût dévasté.

 

Alors appela une voix : "J'irai avec toi, je te suivrai là où tu iras".

Le commerçant leva les yeux, ce fut sa 1ère femme. Elle était si maigre, comme si elle souffrait de malnutrition. Très touché, le commerçant disait : "J'aurais du prendre beaucoup mieux soin de toi pendant que je pouvais!" ...

 

Réellement "nous avons tous 4 femmes" dans notre vie !

La 4ème femme, c'est « notre corps », nous nous donnons tant de mal pour prendre soin de lui, il sera détruit quand nous mourrons.

 

Notre 3ème femme c'est nos biens et nos richesses. Quand nous mourrons, Ils iront à d'autres.

 

La 2ème femme, c'est notre famille et nos amis. Très proche de nous comme ils l'avaient été durant notre vie, le mieux qu'ils puissent pour nous c'est de nous accompagner à la tombe.

 

La 1ère femme, quelque chose que nous ne pouvons pas voir, c'est notre âme.

 

Souvent négligée, oubliée, dans notre quête de biens matériels et de plaisirs insatiables.

 

 

 

 

 

Parfumé, embellis par le bien et les bonnes actions, ou laide et nauséabonde par les péchés et mauvaises actions, c'est la seule qui nous suivra réellement là où nous irons.

C'est peut-être une bonne idée de l'éduquer, la cultiver et la fortifier maintenant, plutôt que d'attendre jusqu'à ce que nous soyons sur notre lit de mort pour le regretter. Non ?

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Un dialogue entre une fleur et une perle

Un jour, une fleur brillamment belle et odorante avec des couleurs attirantes rencontra une perle qui vivait loin dans les profondeurs de la mer et n’avait aucune de ces caractéristiques.

 

Toutes deux se sont présentées l’une envers l’autre

 

La fleur a dit : « Notre famille est large, les roses et les marguerites sont membres de la famille. Et il y a d’autres espèces qui sont variées et innombrables, chacune ayant une senteur et une apparence distinctive, etc.»

 

Soudainement, une teinte de chagrin apparue chez la fleur.

 

« Rien ne montre de la peine dans ton discours, donc pourquoi es tu désespérée ? » La perle demanda.

 

« Les êtres humains nous traitent sans prêter attention, ils nous traitent sans considération. Ils ne nous laissent pas pousser pour notre bien être mais pour obtenir du plaisir de notre parfum et notre belle apparence. Ils nous jettent dans la rue ou dans la poubelle après que nous soyons dépossédées de nos propriétés les plus précieuses, la brillance et le parfum ». La fleur soupira.

 

Puis la fleur dit à la perle : « Parle moi de ta vie ! Comment vis-tu ? Comment la sens-tu ? Es-tu enterrée dans les profondeurs de la mer? »

 

La perle répondit : « Malgré je n’ai aucune de tes couleurs distinctives et tes odeurs douces, les êtres humains pensent que je suis précieuse. Ils font l’impossible pour m’obtenir. Ils partent pour de longs voyages, plongent profondément dans la mer pour me chercher. Tu seras étonnée de s’avoir que plus je suis éloignée, plus je deviens belle et brillante. C’est ce qui augmente ma valeur. Je vis dans une coquille isolée dans les mers sombres. Quoi qu’il en soit, je suis heureuse et fière d’être dans une zone de sécurité loin des impudiques et des mains malicieuses et les êtres humains me considèrent toujours de grande valeur ».

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QUI CHOISIS-TU?

 

Une femme arrosait son jardin quand elle vit trois viellards étrangers s'approcher de l'entrée de sa maison. Ils lui paraissaient venir de très loin.

 

_ Je ne vous connais pas, mais vous devez avoir faim

S'il vous plait rentrez chez moi pour manger un morceau.

_ Votre mari est-il à la maison?, lui demandent-ils.

_ Non, il n'y est pas, repondit-elle

_ Alors, nous ne pouvons rentrer, avouèrent-ils.

 

Quand arrive enfin le mari, la dame lui fait état de la situation. En regardant à l'exterieur, il aperçoit les trois vieillards toujours près de la maison.

_ Alors, qu'ils rentrent maintenant puisque je suis arrivé! dit le mari à son épouse.

La femme sortit pour inviter les vieillards de nouveau à sa table:

_ Nous ne pouvons pas entrer ensemble.

_ Mais pourquoi? leur demanda t-elle toute étonnée

L'un des trois s'avança donc pour lui expliquer en commençant par se désigner: " Je suis la Richesse" lui dit il; " Celui ci, c'est Bonheur, et celui-là c'est Amour" lui présenta ces deux autres compagnons de route.

_ Maintenant, retourne pour choisir avec ton mari lequel de nous trois devrait rentrer et dîner avec vous.

 

La femme rentre à la maison et rapporte à son mari ce que les vieux viennent de lui raconter. L'homme s'éclate de contentement et dit: "Que de chance avons-nous. Que vienne la Richesse, ainsi à jamais, nous aurons tout ce que nous voulons."

L'épouse, qui n'était pas de l'avis de son mari, rouspéta: "Et pourquoi pas le bonheur de préference?" dit elle.

Leur petite fille qui dans un coin écoutait la conversation de ses parents, arriva tout en courant: " Ne serait-il pas mieux d'inviter l'Amour? De cette façon, notre foyer serait toujours rempli d'Amour"

Les deux époux se regardèrent un instant: "Ecoutons ce que propose notre fille, dit le mari à sa femme. Va voir ces trois vieilards et invite l'Amour à se joindre à nous."

La femme sortit et demande: " Lequel d'entre vous est Amour? Qu'il vienne et dîne avec nous"

Amour s'avança en direction de la maison et ces deux autres compagnons se mirent à le suivre. Surprise, la femme demanda à Richesse et Bonheur: " Je n'ai invité que Amour. Pourquoi venez-vous aussi?"

 

Et, les trois vieillards reponfirent à l'unisson: "Si vous aviez invité Richesse ou Bonheur, les deux autres seraint restés l'attendre dehors. Mais vous avez invitez Amour...

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Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

 

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

 

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits……. parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

 

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par la. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

 

Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

 

Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !

 

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

 

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. " Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. " commenta-t-elle.

 

 

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter

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Votre naufrage

 

 

Le seul survivant d'un naufrage s'est échoué seul sur une minuscule île

inhabité. il se mit à appeler Allah à l'aide avec ferveur, tout en scrutant

chaque jour l'horizon à la recherche des secours, sans aucun résultat.

Epuisé, il se finit par se résigner à construire une hutte avec les restes

de l'épave. Il réussit au moins à se mettre à l'abri des éléments.

 

Un jour, au bout de quelques mois de retour de la chasse, il arriva à sa hutte pour la voir en proie aux flammes, de large volute de fumée s'échappant vers le ciel. Le pire était arrivé : tout était perdu. Il était frappé de consternation et de colère.

 

"Allah, comment as-Tu pu me faire ça! " cria-t-il.

 

Le lendemain matin, toutefois, il fut réveillé par le bruit d'un navire

approchant la plage. Ils venaient à son secours.

 

"Comment avez-vous su que j'étais là?" s'étonna l'homme à la face des

secours.

 

"Nous avons aperçu vos signaux de fumée" dirent-ils.

 

 

Il est facile de se décourager quand les choses vont mal. Mais nous ne

devrions pas perdre espoir, car Allah travaille à la réalisation de nos

vies, même dans la douleur et la souffrance.

 

Souvenez vous que la prochaine fois que votre petite hutte brûle, cela

pourrait bien être les signaux de fumée qui vous amèneront le Grand Secours

d'Allah.

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