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Ali Tounsi victime d’un attentat


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* L’assassin présumé, Ouldtach Chaib âgé de 64, retraité de l’armée nationale et chargé, récemment de l’unité héliportée de la DGSN, aurait demandé une entrevue avec sa victime en marge d’une réunion programmée. Apres des échanges verbaux qui auraient mal tournés, et craignant des poursuites à son encontre, l’énergumène aurait sorti son arme tirant cinq balles atteignant sa victime à la tête. L'auteur de cet acte qui se serait donné ensuite la mort serait un parent et officier supérieur de la police et proche collaborateur du colonel Ali Tounsi. Le patron de la DGSN a passé un peu plus de douze ans à la tête de la Direction générale de la sûreté nationale.

* Ali Tounsi aurait succombé à ses blessures, selon la même source.

* La capitale Alger est bloquée, après cet attentat. Des barrages de police et même, dit-on, de l’armée, encadrent la ville. Aucune information n’a encore filtré sur les circonstances de cet assassinat.

 

http://www.echoroukonline.com/fra/index.php?news=5886

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Guest anincognito

Sur Al Jazeera, un officier ex-membre des renseignements a confié que Tounsi était un corrompu, que l'heure est grave en Algérie, que Bouteflika et Toufik étaient pleinement responsables de la chute que connait actuellement l'Algérie, que le frère de Bouteflika, Said fait l'objet d'enquêtes le suspectant d'être impliqué dans des malversations,

 

Enfin, selon cette même personne, l'assassin de Tounsi lui a dit, juste avant de l'assassiner: "Je ne permettrai pas d'être commandé par un harki".

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Ali Tounsi serait impliqué dans une affaire de corruption

l’ex-inspecteur général de la sûreté nationale, Mohand Saidani, sort de sa réserve en laissant entendre que le colonel Tounsi Ali serait impliqué dans une affaire de corruption

 

Cité dans l’affaire de l’ancien directeur de la cité universitaire de Dergana, à Alger, et ex-coordinateur de la région est d’Alger, Belkacem Brahimi (jugé et condamné à une peine de prison pour une affaire de corruption), l’ex-inspecteur général de la sûreté nationale, Mohand Saidani, sort de sa réserve et parle de « complot ourdi » contre sa personne et de « règlement de comptes ».

 

Il assure qu’il mettra à la disposition de l’opinion publique « les vrais dessous » de cette affaire en temps opportun, c’est-à-dire lorsque la justice ouvrira le dossier. M. Saidani tient d’abord à revenir sur les circonstances de cette affaire, qui a commencé en 2004, lorsque Belkacem Brahimi a déposé plainte contre l’ex-chef de la sûreté de wilaya d’Alger, M. Sebbouh. Mon prédécesseur avait ouvert le dossier et à l’époque j’étais coordinateur au niveau du secrétariat général de la Sûreté nationale. Après le décès de l’inspecteur général, j’ai été nommé à son poste pour assurer l’intérim et, à ce titre, j’ai poursuivi l’enquête qu’il avait ouverte. Les investigations menées durant près de six mois m’ont permis de constituer un dossier bien ficelé sur cette affaire sans aucune pression, intimidation ou toute influence quelconque sur les personnes entendues, que ce soit les policiers ou les civils, sur procès-verbaux réglementaires, lequel dossier a été transmis à la justice », dit-il. Néanmoins, ajoute-t-il : « En mai 2006, j’ai été relevé de mon poste et mis en congé payé, jusqu’en février 2007, où on m’a mis à la retraite alors que je n’avais pas encore atteint l’âge de départ. » Quelque temps plus tard, le nouvel inspecteur général convoque Saidani à son bureau pour l’interroger sur une attestation de dépôt de plainte contre le transporteur des étudiants, Mahieddine Tahkout, remise par la DGSN à Belkacem Brahimi. « Je lui ai dit que ce document a été établi par moi- même et remis au directeur général qui l’a signé. J’ai attesté que le paraphe qui y était apposé était bel et bien du directeur général, Ali Tounsi. Il s’agit d’un document banal que tout citoyen est en droit d’obtenir lorsqu’il dépose plainte auprès des services de police. J’aurais pu le signer si j’avais la qualité d’officier de la police judiciaire. Mais, en pratique, je l’envoie pour signature à travers le service d’ordre, et il revient au même service pour les cachets avant qu’il ne me sois transmis pour être remis au demandeur, en gardant bien sûr une copie pour les archives », explique Saidani. Ce dernier s’interroge sur les motivations qui ont poussé à l’ouverture d’un tel dossier, deux ans après l’enquête qu’il a menée sur l’affaire de Tahkout et de Brahimi. En fait, précise-t-il, cette affaire concerne le paiement de factures d’un montant avoisinant les 400 millions de dinars, relatives au transport des étudiants durant la période qui a suivi le séisme de 2003 et qui a paralysé l’université de Dergana, vu les dégâts qu’elle a subis. L’ancien directeur avait refusé d’honorer ces factures, mais celles-ci ont été quand même payées.

 

 

 

« Le cachet n’était pas à sa place »

 

 

Ce qui a poussé Brahimi à saisir les services de police pour l’ouverture d’une enquête. « J’ai effectivement trouvé que les factures honorées n’étaient pas les originales qui, elles, comportaient la mention ‘’refusé’’ de Brahimi, l’ex-directeur. J’ai transmis toutes les conclusions à la justice. Qu’est-ce qui s’est passé ? Je ne sais pas, tout comme je ne sais pas comment Brahimi a été arrêté par la suite dans une affaire de corruption. J’ai été surpris de recevoir une convocation de la police judiciaire près la sûreté de wilaya d’Alger, où de nombreuses questions sur ce document m’ont été posées. On m’a appris que Mahieddine Tahkout avait déposé plainte contre moi et que cette attestation de dépôt de plainte était fausse », déclare M. Saidani. « Cependant après, j’ai su que l’expertise menée par la police scientifique a confirmé que la signature est celle du directeur général, Ali Tounsi, mais que le cachet n’était pas à sa place. » « Je suis formel. Il s’agit d’un vrai document que le directeur général a bel et bien signé. A partir du moment que l’on veut confectionner un dossier pour salir ma carrière de 29 ans au service de la police, je ne me laisserai pas faire et je dévoilerai à la justice les desseins inavoués de ceux qui veulent jouer avec le feu. »

 

 

« Ma place est propre »

 

M. Saidani ne manque pas de rappeler avoir saisi le premier responsable de la DGSN, Ali Tounsi, par un courrier transmis le 20 novembre 2007 pour lui faire part de ses craintes de voir cette affaire se transformer en règlement de comptes et d’attirer son attention sur la volonté de certains de nuire à la réputation des cadres de l’institution policière. « Je n’ai eu aucune réponse, mais je sais que j’ai laissé derrière moi une place très propre, que même Ali Tounsi n’a pas manqué de louer dans des écrits que je garde sur moi. Je tiens juste à faire savoir à tout le monde que mon implication dans une pseudo affaire de faux est une machination de ceux-là mêmes que j’ai dévoilés lors de mon enquête sur l’affaire de Tahkout avec Brahimi », conclut l’ex-inspecteur général de la Sûreté nationale. A signaler que l’ancien secrétaire général a également été suspendu de son poste à cause de l’affaire de ce document, et a été entendu par la police judiciaire dans le même cadre.

 

Salima Tlemçani - (El Watan)

10 février 2008

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mais pourquoi le tuez !!!!

 

ca na aucun sens !!!

 

il etait partant tout etait deja en place !!!

 

ou alors c'etait juste un exemple !!!

 

genre on ne touche pas a la maison mére !!!

 

la liste noire francaise avec cette affaire + les affaires de corruption !!!!!

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Sur Al Jazeera, un officier ex-membre des renseignements a confié que Tounsi était un corrompu, que l'heure est grave en Algérie, que Bouteflika et Toufik étaient pleinement responsables de la chute que connait actuellement l'Algérie, que le frère de Bouteflika, Said fait l'objet d'enquêtes le suspectant d'être impliqué dans des malversations,

 

Enfin, selon cette même personne, l'assassin de Tounsi lui a dit, juste avant de l'assassiner: "Je ne permettrai pas d'être commandé par un harki".

 

donc ce mec là était present pendant la fusillade

il s'appele comment ce ex-officier ?

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Des officiers de la police dénoncent publiquement leur patron, Ali Tounsi auprès du Président de la République.

A quand le réveil des officiers de l'ANP ?

A travers une lettre adressée au Président Bouteflika et rendue publique par le quotidien El Watan dans son édition du 23 février 2003, une cinquantaine d'officiers de la police nationale ont brisé avec courage et bravoure le silence qui pèse sur nos institutions tenues en mains par des traîtres et des prédateurs qui n'ont aucun soucis de l'intérêt national. Le colonel Tounsi Ali radié pour homosexualité des rangs des effectifs de l'armée algérienne en 1983 et rappelé par l'équipe des décideurs maffieux en 1995 pour mettre la police algérienne sous leur emprise directe, fait partie de cette espèce de truands qui règnent sur l'Algérie.

 

Celui qui s'attaque lâchement à une mère de famille et à ses enfants pour l'empêcher de quitter le territoire national en guise de répression des prises de position politiques de son époux, est aujourd'hui dénoncé par des patriotes qui ne peuvent plus garder le silence sur ses méfaits. Même si cette dénonciation n'a pas eu d'écho dans les autres journaux algériens -encore une fois silencieux sur un événement qui aurait fait la une des journaux sous d'autres cieux- elle sonne le glas pour l'un des maillons forts de la mafia qui gouverne notre pays.

 

Homme de main du général Tewfik, le patron de la police a usé et abusé du pouvoir pour se servir et servir ses parrains. Il faisait de la discipline qui caractérise pareille institution pour dompter les hommes et les instrumentaliser pour parvenir à ses fins. Il ne pouvait penser que des hommes libres qui mettent l'intérêt de l'Algérie au-dessus de toutes les considérations finissent par vaincre la peur et crier haut et fort leur colère.

 

Les méfaits de ce truand sont connus depuis bien longtemps. Etalés en long et en large dans " La Mafia des Généraux " cela ne semble guère inquiéter le pantin des généraux qui passe plus de temps à l'étranger que dans son propre pays. Le jour de la parution de " La Mafia des Généraux " je lui avais adressé une lettre par laquelle je lui demandais l'ouverture d'une information judiciaire sur les maffieux incriminés dans mon livre tout en lui exprimant ma disponibilité à renter en Algérie pour les affronter devant la justice algérienne. N'étant pas souverain dans ses décisions, ce quart de président est resté muet comme une carpe. Je m'interroge, aujourd'hui, comme la majorité des Algériens, quelle suite réservera-t-il à cette lettre que vient de lui adresser la cinquantaine d'officiers de la police ? Continuera-t-il à se murer dans le silence et mépriser toute voix qui s'élève contre l'ordre établi de la mafia jusqu'à ce que le vent du changement l'emporte lui et ses parrains ?

 

Quoiqu'il en soit, ces officiers ont le mérite de braver la mafia. Avant eux, Omar Saada, officier de la protection civile, a dénoncé lui aussi dans un livre intitulé " La déchéance administrative : le drame d'un officier ". A quand le réveil des officiers de l'Armée Algérienne ? N'est-il pas temps de rompre avec ce lourd silence qui s'explique par les obligations de la discipline mais qui n'a plus de raison d'être tant qu'on ne peut plus obéir aux ordre venus d'un commandement issus de l'armée coloniale et qui porte en lui les germes de la trahison. Ce qui signifie que l'obéissance à ces maffieux est une trahison envers le peuple et la patrie.

 

Officiers, sous officiers et soldats de l'Armée Nationale Populaire rompez le silence, désobéissez aux traîtres et mettez le Président de la République devant ses responsabilités. Interpellez le dans un cadre organisé par une lettre ouverte comme l'ont fait vos frères de la police. L(histoire retiendra votre acte et votre courage sera reconnu par tout un peuple.

 

Le 24 février 2003

Hichem Aboud

 

 

ci-dessous l'article du quotidien El Watan

 

Des policiers se plaignent de Ali Tounsi au président Bouteflika /

Des officiers accusent

 

Une cinquantaine d'officiers de police ont transmis dimanche dernier une lettre de cinq pages au président de la République dans laquelle ils dressent un tableau noir de la situation qui prévaut au niveau de la sûreté nationale marquée par "la détérioration des conditions socioprofessionnelles des policiers, des dépassements, l'injustice et les abus".

 

Ils accusent leur directeur général, Ali Tounsi, et son secrétaire général d'être "derrière" cette situation et demandent au président de la République de prendre "des mesures rigoureuses" contre "ces responsables, car il y va de l'avenir du pays, de ses enfants et de l'institution policière". Contacté à plusieurs reprises, il nous a été impossible d'arracher l'avis du directeur général de la sûreté nationale, M. Ali Tounsi, au sujet de cette lettre. Son secrétaire nous a renvoyé hier vers le directeur de la communication, lequel a été destinataire du contenu de la lettre. Pendant toute la journée d'hier, aucune réponse à nos sollicitations ne nous a été donnée. La DGSN a préféré s'enfermer dans un mutisme total plutôt que de répondre aux graves accusations portées à son encontre dans cette lettre de cinq pages, à travers laquelle des policiers ont lancé un véritable cri d'alarme. Ils interpellent le président en lui promettant de révéler, "preuve à l'appui, de graves scandales" pour peu que "des garanties de sécurité" leur sont données.

Nous, cadres de différents grades et services de la sûreté nationale, après maintes attentes, venons par la présente recourir à votre personne (...) Le moment est venu pour mettre un terme aux excès et abus auxquels font face certains membres de la sûreté nationale (...)", "corps qui souffre lui-même d'insécurité depuis la nomination à sa tête de Ali Tounsi et de son secrétaire général Mahmoud Amokrane..." Pour les signataires, le corps de la sûreté nationale est en "décomposition", "il est pourri et est devenu un empire ou une entreprise privée". Pour étayer leurs propos, les signataires citent l'affaire de "la dame à la Polo rouge" et pour laquelle cinq cadres de la police en ont fait les frais et celle des deux policiers "séquestrés au niveau de la caserne d'El Hamiz après avoir été brutalisés par la brigade spéciale, envoyée par le directeur général pour les appréhender et user de violence à leur encontre pour avoir accompli leur mission en dressant un PV pour stationnement interdit à sa fille (du DGSN, ndlr)". Les cadres de la sûreté nationale révèlent en outre que leur directeur général "est le premier à transgresser les lois et à ruiner l'économie" de leur institution "en faisant bénéficier ses proches d'avantages que ces mêmes lois ne permettent pas". Ils citent le cas, par exemple, des équipements de transmission "dont bénéficiait la dame à la Polo rouge" sans parler des voitures de services qu'utilisent des personnes étrangères à ce corps de la sécurité, alors que l'institution manque cruellement de moyens qui lui permettraient d'accomplir sa mission dans de bonnes conditions. Les signataires portent à la connaissance du président de la République qu'ils détiennent des dossiers "graves, voire compromettants et sensibles qui touchent à la gestion des finances de la Direction générale de la sûreté nationale". Mais, tiennent-ils à préciser, "nous les dévoilerons en temps opportun lorsque nous aurons reçu des garanties de la part de vos services". Ils lui rappellent que le DGSN était, lors de la campagne électorale présidentielle d'avril 1999, "hostile" à sa candidature. "Pour preuve, il a apporté son soutien à celle de Youcef Khatib, et aurait fait nommer son frère comme directeur de campagne de celui-ci. Il est allé jusqu'à contacter plusieurs hauts responsables dans le but de vous barrer la route et vous évincer de la Présidence. Tout se passait en coulisses avec l'appui et le soutien de ses proches et alliés, parmi eux Mahmoud Amokrane, chef de sûreté de wilaya de Boumerdès, qui occupe actuellement le poste de secrétaire général de la DGSN." Les signataires déclarent au chef de l'Etat que sa responsabilité consiste en "la protection et la préservation de ce corps des mains dangereuses qui font mine d'être au service de la loi et de servir la sûreté, alors qu'ils ne font que servir leurs propres intérêts...". Ils s'interrogent dans cette lettre sur les véritables raisons qui poussent de nombreux policiers à se suicider, sur le sort réservé aux cadres démis de leur fonction "à cause de leur aptitude professionnelle, leur rectitude et leur intégrité" et sur le devenir de la sûreté nationale "si les responsables actuels persistent à rester à sa tête". Les policiers contestataires estiment que la mesure, jugée "grave", liée au port de la tenue réglementaire par l'ensemble des éléments de la sûreté, "transgresse le droit commun et le code de la Fonction publique, voire même les lois constitutionnelles. Ce qui a envenimé la situation au sein de la police et suscité une polémique et un mécontentement au sein des agents de la sûreté nationale..." Ils se demandent d'ailleurs si cette mesure ne s'apparente pas à une entreprise destinée à faire changer les missions et rôles de la police, et dans ce cas précis, ils se demandent quelles en seraient les répercussions (...)". Ils expliquent que leur institution est composée de 110 000 hommes, dont 10 000 en tenue réglementaire et le reste en civile. "Pour chacun de ces 100 000 hommes, il faut 4 tenues réglementaires ; 2 pour l'hiver et 2 autres pour l'été. Ce qui nous donne 400 000 nouvelles tenues par an. N'est-ce pas là un gâchis pour l'économie de ce corps et une malversation en vue de détourner des fonds..." Ils affirment enfin que la situation ne fait qu'"empirer, et il est temps", ajoutent-ils, "d'arrêter l'hémorragie..." Par ailleurs, il convient de signaler que les signataires sont en train de préparer un mémorandum d'une centaine de pages qu'ils comptent rendre public dans les tout prochains jours. Leur réaction intervient au moment où les policiers des 48 sûretés de wilayas à travers le pays ont été destinataires d'une déclaration pour la création d'un syndicat national de la police, une organisation qui semble faire sérieusement son chemin...

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ah oui tewfik, le virus de l'algérie, lui quand il mourra les algériens devront faire 40jours non pas de deuil mais de fete.

pourquoi ? qu'est-ce qu'il t'a fait au juste ?

 

@ perso j'ai un membre de ma famille qui est à ce jour handicapé par la faute d'un "policier" envoyé par un certain clan du Pouvoir massacrer du kabyle, le 14 juin 2001, ( tu t'en souviens ? ) !

il n'avait que 16 ans, ce jeune !

@donc au moins, moi et quelques Algériens avons nos raisons de detester "un certain clan du Pouvoir en Algérie" !

@ quant à Tounsi, c'était un des Républicains qui combatîrent les "terroristes" courageusement, et rien que pour ça je lui rend Hommage ,....c'est déjà ça ! ALLAH yarhmou ! kan Rajel comme l'est toujours Tewfiq et Ouyahia !:canadian:

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Monsieur Ouattache chef de la police héliportée ami de Monsieur Tounssi s'est présenté au bureau de celui-ci pour connaitre les raisons de sa reléve qui dure depuis quelques jours. .....

une autre version dit : il s'est présenté à lui pour qu'il le couvre ou intervienne pour lui , car il a été impliqué dans une grande affaire de trafic de pièces détachées ,...ce que le regretté Tounsi avait refusé en lui disant qu'il était déjà viré du corps, et que la Justice poursuivra un retraîté, pas un policier en activité,...ce qui a fait sortir l'Assassin de ses gonds en tirant sur celui qui était son meilleur "ami" ou proche collaborateurs !

 

d'autres pensent que l'assassinat rentre dans la vague de la lutte anti-corruption,..Ali Tounsi avait des dossiers noirs, alors,........:detective:

dire qu'il a été tué la veille d'un vendredi et la veille de la fête la plus chère aux Musulmans ! un vrai Moujahed ,donc?...ou plutôt un Chahid !

 

mais, si l'ENTV faisait son vrai boulot en informant le peuple de ce qui se passe réellement dans notre cher pays, tous ces sénariis tomberaient à l'eau,....mais bon !

 

Bonne Fête du Mawlid à tous et à toutes !

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Je n'ai aucune peine pour lui ... ni pour Belkheir ni Smail Lamari ... ni .. ni ... ils sont nombreux. Je ne prie pas Dieu pour leur pardonner ... bien au contraire, je leur souhaite le pire des châtiments si ils ont contribué au malheur de l'algérie.

 

Par contre ... j'ai une pensée et je compatis avec leurs familles.

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aux gens se montrent peinés à la perte d'un de ceux qui ont fait le malheur de l'Algérie.

 

le mort quel qu'il soit sera entre les mains de Dieu, et sera jugé de ses actions ! c'est pour cela, que le musulman doit dire du bien du mort ou se taire !

quant à ceux qui ont fait le malheur de l'Algérie, Dieu Seul les connait !

si tu affirmes que quelqu'un a fait du mal à ton pays et que tu te tais, tu ne le dénonces pas,...c'est que tu es complice :Lighten: ,...tu le sais cela ou non ?

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