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Said Sadi écrit à Belkhadem (SG du FLN)


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Monsieur Abdelaaziz Belkhadem, Ministre d’Etat

 

Vous nous avez invités à assister au congrès du FLN qui s’ouvre les 19 mars 2010. Vous n’ignorez pas l’importance que nous accordons aux repères, valeurs et symboles constitutifs de notre mémoire collective et dont le traitement polémique et tendancieux a occasionné à la Nation des dommages dont nous continuons à payer le prix le plus fort.

Le sigle « FLN » symbolise le cadre dans lequel se sont fondues les sensibilités patriotiques pour parvenir à l’objectif commun de l’indépendance nationale. Par respect envers tous ceux qui se sont mobilisés pour cette cause sacrée et par conviction politique nous ne pouvons, sans renier des principes que nous partageons avec de nombreux citoyens, participer à votre rencontre.

Monsieur le Ministre,

Votre congrès se tient dans la salle Mohamed Boudiaf. Pour avoir eu le privilège et l’honneur de l’approcher je peux et je dois témoigner que l’homme du 1er novembre 1954 avait la ferme détermination – il me l’a dit – de restituer à la mémoire nationale un sigle qui appartient à tout le peuple algérien.

Soyez assuré, monsieur le Ministre, que le jour où vous ou, d’autres responsables, seront à la tête d’une formation politique inscrivant son combat dans une compétition loyale, s’interdisant de confisquer le patrimoine mémoriel algérien, je me ferai un plaisir de répondre à toute invitation pouvant contribuer à asseoir une culture politique tolérante et apaisée dans notre pays.

Recevez, monsieur le ministre, mes salutations distinguées.

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Tiens le dormeur vient de se réveiller :mdr: :mdr: :mdr:

Surement qu'il a un besoin pressant d'argent lui :crazy: :crazy: :crazy:

Allongez les billets (ou plutôt fourguez les dans un sac noir ) et le bonhomme replongera dans son sommeil (tout en rêvant qu'il ne se trompera point de peuple à son réveil).

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C'est une erreur monumental que de s'adresser à des faussaires qui passent leur temps à trahir la mémoire des algériens . Le FLN veritable n'existe plus depuis 1956/58 , il fut vider de sa substance ( honneur et patrie ) dès cette date par les planqués presser d'accepter et signer les conditions de leurs amis français .

 

Belle initiative si ca aurait un impact à plus grande echelle et non destiner à un gallinacé aux yeux bandés .

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Guest MARCEL
Ce bédouin de Belkhadem ne mérite pas une lettre aussi polie et surtout pas le titre de ministre !

Quelques chèvres du coté d'Aflou , lui suffiraient largement .

 

 

 

 

 

La dernière fois que je l'ai rencontré à chéraga,

il était accompagné d'une chèvre voilée de noir.

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la source de l'article

 

SALAM etoileadam

 

Je voudrais, et MERCI d'avance, connaitre la source de cette lettre

 

NE me remerciez pas,c'était un devoir et un plaisir à la fois et excusez moi d'avoir oublié de citer la source,la voici:

 

 

ACTUALITE POLITIQUE » Archives du Blog » Said Sadi écrit à Belkhadem (SG du FLN)

 

ou encore:

 

http://www.facebook.com/editnote.php?note_id=390781686792&id=55428143386

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Guest Didine RAYAN

Monsieur Abdelaaziz Belkhadem, Ministre d’Etat

 

Vous nous avez invités à assister au congrès du FLN qui s’ouvre les 19 mars 2010. Vous n’ignorez pas l’importance que nous accordons aux repères, valeurs et symboles constitutifs de notre mémoire collective et dont le traitement polémique et tendancieux a occasionné à la Nation des dommages dont nous continuons à payer le prix le plus fort.

Le sigle « FLN » symbolise le cadre dans lequel se sont fondues les sensibilités patriotiques pour parvenir à l’objectif commun de l’indépendance nationale. Par respect envers tous ceux qui se sont mobilisés pour cette cause sacrée et par conviction politique nous ne pouvons, sans renier des principes que nous partageons avec de nombreux citoyens, participer à votre rencontre.

Monsieur le Ministre,

Votre congrès se tient dans la salle Mohamed Boudiaf. Pour avoir eu le privilège et l’honneur de l’approcher je peux et je dois témoigner que l’homme du 1er novembre 1954 avait la ferme détermination – il me l’a dit – de restituer à la mémoire nationale un sigle qui appartient à tout le peuple algérien.

Soyez assuré, monsieur le Ministre, que le jour où vous ou, d’autres responsables, seront à la tête d’une formation politique inscrivant son combat dans une compétition loyale, s’interdisant de confisquer le patrimoine mémoriel algérien, je me ferai un plaisir de répondre à toute invitation pouvant contribuer à asseoir une culture politique tolérante et apaisée dans notre pays.

Recevez, monsieur le ministre, mes salutations distinguées.

 

ils peuvent opté pour un autre sigle

je leur propose FN, comme ça, il n'y aura pas d'amalgame:confused:

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On ne peut qu'applaudir monsieur Saadi. :thumbup:

Entièrement d'accord avec lui même si je ne suis pas du tout RCDiste. :cool:

 

Débarasser notre pays de tous ces microbes et parasites va être trés difficile car ils ont pris "forme humaine".....:crazy:

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Pause-Café : Pause-Café

1er Novembre, dites-vous ?

 

M. Belkhadem a qualifié le congrès du FLN de «nouvelle étape dans le processus de consolidation des caractéristiques du parti, qui englobent à la fois l'adaptation politique et la vision prospective dont les fondements trouvent leur essence dans les référents historiques du 1er Novembre 1954». (TSA)

Les référents historiques du 1er Novembre n’ont jamais dit de soutenir le bradage des richesses nationales. Quand Boumediene avait nationalisé les mines, c’était un acte qui s’inscrivait en droite ligne des référents du 1er Novembre. Et quand l’équipe actuelle dénationalise les mines (Ouenza a été rendue aux Algériens en 1966 mais elle est dirigée aujourd’hui par un… Français !), avec la bénédiction du FLN, ça n’a rien à voir avec le 1er Novembre !

Ce même FLN n’a pas dit mot sur l’émergence d’une nouvelle classe d’exploiteurs, l’atteinte aux droits fondamentaux des travailleurs et tous les renoncements sur les fronts économique et social.

Depuis 2000, le FLN s’est distingué deux fois par des actions qui sentaient l’odeur du 1er Novembre ; c’était lorsqu’il avait empêché la privatisation de Sonatrach et quand il s’était affranchi de la tutelle. Et M. Belkhadem n’était pas à sa tête !

 

Maâmar Farah, le Soir d'Algérie du 21/03/2010

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