Guest jazairia Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 Elles sont attaquées de nuit par des jeunes encagoulés : Chasse aux femmes vivant seules à Hassi Messaoud Parce que justice n’a pas été rendue aux victimes des violences d’El Haïcha, à Hassi Messaoud, en juillet 2001, des dizaines d’autres femmes vivent, non loin des mêmes lieux, un véritable cauchemar. Depuis quelques semaines, chaque soir elles subissent le pire. Constitués en bandes organisées, des jeunes hommes encagoulés munis de sabres, couteaux haches et bâtons fracassent les portes et investissent leurs maisons. Ni les cris, ni les pleurs des enfants, ni les supplications des vieux ne font reculer les assaillants dans leur sale besogne. Battues, menacées de mort, les victimes sont délestées de leurs bijoux, argent, téléphones portables et de tout objet ou équipement électroménager de (...) Elwatan Dimanche 11 avril 2010 Citer Link to post Share on other sites
Guest jazairia Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 La question qui se pose et s'impose :Ou sont passè les autoritès ou c'est la loi de la jungle ? C'est quoi tague ala mène tague ou quoi? Citer Link to post Share on other sites
darkoo 10 Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 en quelque sorte c'est comme ça laba ce secteur a tjr été laissé pour conte et en + ya méme des flics qui sont complice de sa depuis que je me souvienne el haicha a tjr été le coin de tous les vice si jpeux dire donc a froce les gens ce sont impeu habitué a sa et les autorité aussi Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 Parlons franchement! Les femmes qui sont agressées ont des frères (des maris et des fils) qui iront eux mêmes agresser des femmes solitaires s'ils en trouvaient près de chez eux. C'est un problème de mentalité , de hogra chez tous les Algériens ! Point à la ligne. Toutes ces philosophies à 2 centimes ne servent à rien. A el haicha par exemple les premiers agresseurs étaient des clients de certaines "femmes de meurs légères" qu'elles connaissaient parfaitement ! La société Algérienne est en elle-même violente (des bébés égorgés par des ............Algériens ça prouve pas mal de choses). Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 Qui va rendre la justice? Le juge qui fait partie de ce peuple haggar et qui a donc la même mentalité? Vous savez ce que la majorité des Algériens pensent ? Que ces femmes n'avaient qu'à rester chez elle et qu'elles ne font qu'augmenter le chômage ! Le juge Algérien , le flic (quel que soit son rang) Algérien et bien ils pensent pareil . C'est malheureusement comme ça . Citer Link to post Share on other sites
kamel31 10 Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 une HONTE ....sans commentaire Citer Link to post Share on other sites
Guest jazairia Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 walah mes amis de ce forum dites moi ça va durer jusqu'ou ce cauchemar de notre pays? Mème en Somalie et ce genre d'incident ne peut pas avoir lieu et cette police elle est faite pour decorer tout simplement ou quoi? A quoi bon toutes ces institutions? Toutes ces lois ,il ya de quoi se perdre la tète pas seulelment sa voix Citer Link to post Share on other sites
Guest jazairia Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 L'article en entier Hassi Messaoud (Ouargla). De notre envoyée spéciale Depuis deux semaines, chaque soir, le scénario de l’horreur se répète, face à l’impuissance ou l’inertie des services de police, alors qu’un commissariat se trouve à quelques centaines de mètres de ce quartier situé dans la ville pétrolière censée être la plus surveillée du pays. Les maisons ne sont pas choisies au hasard. Elles sont repérées dans la journée, puis mises à sac la nuit. La plupart sont habitées par des femmes originaires du nord, qui vivent loin de leurs familles. Rares sont celles qui déposent plainte, car les plus téméraires ont payé cher leur acte. Elles ont fini par abandonner leur domicile, errant d’un quartier à un autre à la recherche d’un lieu plus sûr. Rencontrées sur place, les témoignages de certaines d’entre elles font froid dans le dos et font craindre le pire. Terrorisées, les victimes ont toutes refusé de révéler leur identité. « C’est la misère qui nous a fait faire des centaines de kilomètres à la recherche d’un emploi pour nourrir nos familles. Nous ne voulons pas perdre le pain de nos enfants. Nous voulons juste gagner notre vie avec dignité et dans la sécurité. Nous sommes des citoyennes au même titre que les autres,et nous avons droit d’aller n’importe où pour travailler », déclare Souad, âgée d’une trentaine d’années. Lorsque nous lui avons rendu visite, dans sa maison du quartier des 36 logements, elle a mis du temps à nous ouvrir la porte. Elle venait de rentrer chez elle après avoir fait le tour des maisons de ses copines, sur le boulevard, au cœur même de la ville. Notre identité déclinée, elle exprime son « grand soulagement ». Cela fait plus d’une semaine que sa sœur et elle vivent un « vrai cauchemar ». Une bande de cinq à six jeunes enturbannés ont fait irruption chez elles au milieu de la nuit de mercredi à jeudi. « On nous avait déjà parlé de femmes ayant été agressées dans leur maison, mais je n’y ai pas cru. Je n’aurais pas pensé qu’un jour je serais une des victimes », raconte Souad, l’aînée d’une famille de trois filles et un garçon. Cela fait dix ans qu’elle travaille à Hassi Messaoud. Sa sœur cadette, avec laquelle elle partage le logement en parpaing constitué d’une pièce-cuisine, semble très fatiguée. Elle vient de subir une opération chirurgicale. En cette nuit de jeudi, les deux filles, leur jeune frère et leur mère venus leur rendre visite de très loin, ignoraient que le pire les attendait. Tous dormaient profondément lorsqu’ils ont brusquement été réveillés par de violents coups donnés à la porte d’entrée métallique. Avant même que Souad ait le temps de se mettre debout, déjà trois hommes encagoulés, surgissaient dans la pièce. « Lorsque je me suis réveillée, j’ai vu le viseur d’un téléphone portable se fixer sur mon visage. J’étais terrorisée. Ma sœur criait et ma mère suppliait les assaillants de ne pas nous toucher. L’un d’eux m’a bloquée contre le mur en m’enfonçant un tournevis dans le ventre. Il m’a enlevé ma chaîne en or, mes bagues et mes boucles d’oreilles. Ils avaient tous un accent du sud-ouest. Il m’a interdit de crier et j’étais comme paralysée, jusqu’au moment où il a commencé à relever ma jupe. Je le suppliais, mais il était comme drogué. Il puait l’alcool, tout comme ceux qui étaient avec lui. Ma sœur malade n’arrivait pas à se lever, ils lui ont demandé son téléphone portable, alors que ma mère a été délestée de sa bague en or avec violence. Son agresseur l’a obligée à l’enlever en maintenant le couteau collé à sa main, laissant une bonne entaille. Nous avons crié de toutes nos forces et l’un d’eux, dans sa fuite, a laissé tomber la serviette qui recouvrait son visage. Un visage que je garderais en mémoire toute ma vie. Les cinq ont pris la fuite lorsque les voisins ont ouvert leurs portes en entendant nos cris », témoigne Souad. Elle dénude son abdomen pour nous montrer la cicatrice, longue de quelques centimètres, laissée par le tournevis. asuivre.... Citer Link to post Share on other sites
Guest jazairia Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 Elle raconte que les voisins disent tous n’avoir reconnu aucun des agresseurs, mais elle sait, au fond d’elle-même, qu’ils ne peuvent être étrangers au quartier. Toute la famille a couru vers le commissariat, mais ses portes étaient fermées. « Nous avons frappé à la porte et un policier nous a orientés vers la sûreté de daïra. J’ai commencé à hurler. Là, il m’a ouvert la porte et m’a fait entrer pour m’entendre et faire un procès-verbal. Une photo de ma blessure a été également prise, mais ce n’est que le lendemain que les policiers sont venus à la maison pour constater le vol. Lorsque je lui ai dit qu’ils nous ont volé tous nos biens, l’équivalent de plus de 100 000 DA entre bijoux et téléphones portables », l’officier m’a déclaré : « Estimez-vous heureuse. La femme qu’ils ont volée il y a quelques jours est à l’hôpital. Ils l’ont violée à cinq, la laissant dans un état de choc ». « Il nous a fait comprendre qu’il ne pouvait rien faire », révèle la sœur de Souad. Les policiers lui demandent de ne pas suspendre sa ligne téléphonique dans l’espoir de localiser les voleurs et de les arrêter. Mais ces derniers, encouragés par l’’impunité qui règne dans cette ville, utilisent sa puce pour appeler d’autres victimes. Durant des jours, ils les menacent de mort et profèrent des obscénités à leurs contacts dont les numéros ont été récupérés de la mémoire de la puce Elwatan 11/04/2010 Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 Elle raconte que les voisins disent tous n’avoir reconnu aucun des agresseurs, mais elle sait, au fond d’elle-même, qu’ils ne peuvent être étrangers au quartier. Toute la famille a couru vers le commissariat, mais ses portes étaient fermées. « Nous avons frappé à la porte et un policier nous a orientés vers la sûreté de daïra. J’ai commencé à hurler. Là, il m’a ouvert la porte et m’a fait entrer pour m’entendre et faire un procès-verbal. Une photo de ma blessure a été également prise, mais ce n’est que le lendemain que les policiers sont venus à la maison pour constater le vol. Lorsque je lui ai dit qu’ils nous ont volé tous nos biens, l’équivalent de plus de 100 000 DA entre bijoux et téléphones portables », l’officier m’a déclaré : « Estimez-vous heureuse. La femme qu’ils ont volée il y a quelques jours est à l’hôpital. Ils l’ont violée à cinq, la laissant dans un état de choc ». « Il nous a fait comprendre qu’il ne pouvait rien faire », révèle la sœur de Souad. Les policiers lui demandent de ne pas suspendre sa ligne téléphonique dans l’espoir de localiser les voleurs et de les arrêter. Mais ces derniers, encouragés par l’’impunité qui règne dans cette ville, utilisent sa puce pour appeler d’autres victimes. Durant des jours, ils les menacent de mort et profèrent des obscénités à leurs contacts dont les numéros ont été récupérés de la mémoire de la puce Elwatan 11/04/2010 C'est toujours des gens de l'entourage immédiat et du voisinage qui sont à l'origine de ce genre de problèmes. Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 walah mes amis de ce forum dites moi ça va durer jusqu'ou ce cauchemar de notre pays? Mème en Somalie et ce genre d'incident ne peut pas avoir lieu et cette police elle est faite pour decorer tout simplement ou quoi? A quoi bon toutes ces institutions? Toutes ces lois ,il ya de quoi se perdre la tète pas seulelment sa voix Le problème est dans le ...... peuple lui même :cool: Aussi simple que ça ;) Citer Link to post Share on other sites
Numidia84 10 Posted April 11, 2010 Partager Posted April 11, 2010 :mad: Ces agresseurs ont raison, parce que même """ l'État de Notre Ministre de l'Intérieur """" agresse nos femmes nos sœurs, nos filles en les déshabillant de leur voile??? :mad: ................ De quoi bon les agresseurs ont peur??? Police absente, sécurité absente, Etat absent à vous de juger ???? Citer Link to post Share on other sites
la.zolie.girl 10 Posted April 13, 2010 Partager Posted April 13, 2010 C'est une triste histoire, je suis réellement bouleversée, Espérant qu'un jour, justice sera faite! Qui va rendre la justice? Le juge qui fait partie de ce peuple haggar et qui a donc la même mentalité? Vous savez ce que la majorité des Algériens pensent ? Que ces femmes n'avaient qu'à rester chez elle et qu'elles ne font qu'augmenter le chômage ! Le juge Algérien , le flic (quel que soit son rang) Algérien et bien ils pensent pareil . C'est malheureusement comme ça . Citer Link to post Share on other sites
akarim 10 Posted April 14, 2010 Partager Posted April 14, 2010 C'est une triste histoire, je suis réellement bouleversée, Espérant qu'un jour, justice sera faite! j'en doute sans complicités sa ne ce serait pas produit en plein Sahara ou veut tu qu'ils puisse se sauver ,ils ont tout le temps de les attraper s'ils veulent ! Citer Link to post Share on other sites
Guest YinYang Posted April 14, 2010 Partager Posted April 14, 2010 Toutes les femmes vivant seules, qu’elles soient divorcées ou veuves, sont vues comme des moins que rien par la société algérienne bien pensante. Ne parlons pas des mères célibataires, s’ils pouvaient les brûler ils le feraient avec plaisir et sans scrupules. C’est les mentalités qu’il faut changer, à commencer par l’éducation des enfants. Puis contrôler aussi certains immams qui sont le facteur 1er des agressions perpétrées à l'encontre de ces femmes. Citer Link to post Share on other sites
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