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Sarkosy se fout de la gueule des africains


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Sarkosy se fout de la gueule des africains

 

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La colonisation, "une grande faute"

 

 

 

Crédit Photo : LCI

Nicolas Sarkozy à Dekar, le 26 juillet 2007

 

A Dakar, Nicolas Sarkozy a exhorté la jeunesse africaine à dépasser "les crimes du passé" pour "regarder vers l'avenir" et préparer "l'avènement de l'Eurafrique".

Il a cependant estimé qu'on ne pouvait pas "demander aux générations d'aujourd'hui d'expier ce crime perpétré par les générations passées".

 

 

 

bonjour

oui ce monsieur Sarkozy se fout vraiment de la gueule des africains

 

car le pays colonisateur et ce que son armé et ses administrateurs on fait aux pays meme

 

n'a rien avoir avec la procedure de guerre entre deux pays par une guerre franche

 

il y a la confusion d'apreciation et amalgame d'appelation en fait!!

 

et sarkozy confond une guerre comme celle de l'allemagne qui dure de 39 a 45

 

les notre ont dure 132 ans pour les unes et pour plus au moins d'autres

 

et donc la france dans bien des cas etait lointaine de ce que ses sbires faisait subir au citoyens du pays appelé les ......................

meme pas par une eppelation normale

mais la rendant scientifique comme pour designé une bete de la savane

comme l'a dit Alphonse Daudet dans ces ecrits par le livre TARTARIN

 

le jeune africain ont contre attaquer en disant mais il va ou, monsieur Sarkozy

les francai viennent ici en afrique et on leur demande rien

ils viennent sans visa

et nous il faut un visa pour nous rendre en france mais il va ou

on est pas d'accord sur la combine

 

 

enfin il faut entendre ce son de cloche aussi

 

pour entendre la contradiction et comment on dit les portes von se fermé a l'afrique et on choisisira dorenavent qui de vous viendra chez nous en europe

 

 

 

c'est pire que le mur construit en israel celon moi

 

 

que voila deux honte mondiale

 

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l'une est israelienne et l'autre est francaise

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Mal formuler c'est se mettre en erreur et cela peut durer pour ne pas etre compris

 

Mal formuler c'est se mettre en erreur et cela peut durer pour ne pas etre compris

 

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bonjour

je vien de le comprendre en entendant un africain suite

Le président français a exposé jeudi à Dakar sa vision d'un "partenariat" renouvelé entre la France et l'Afrique

dir a la tv ou je pense repete ce qui se dit tout les jours mais sans en connaitre veritablement le sens des mots

 

mais comme tout le monde les dit et bien pour faire bien on va les dire il y en a pas d'autre

mais je me disait pendant qu'il recitait sa demande pourtant intellectuelle

j'avait compris que

 

Mal formuler c'est se mettre en erreur et cela peut durer pour ne pas etre compris

 

car ce monsieur formuler ce qu'il n'avait pas besoin

 

en disant la fameuse formule devant les camera on demande a la france d'etre presente pour faire respecter le droit et les droit de l'homme

 

alors qu'il n'a pas lieu de dire ceux la meme

puisque la seule chose qui puisse leur arrivé n'est que l'abus de pouvoir par leur etat

ce qui n'a rien voir avec la demande intellectuelle

 

 

au fait

Dans un discours, il a déclaré que la colonisation "fut une grande faute" et prôné un "partenariat" renouvelé avec l'Afrique.

 

Lors d'une conférence de presse commune, son homologue sénégalais a apporté soutien à la candidature du socialiste français Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI.

Le discours de Nicolas Sarkozy

"Je ne suis pas venu effacer le passé car le passé ne s'efface pas. Je ne suis pas venu nier les fautes ni les crimes car il y a eu des fautes et il y a eu des crimes", a dit le chef de l'Etat français dans un discours à l'université Cheikh Anta Diop. "Il y a eu la traite négrière, il y a eu l'esclavage, les hommes, les femmes, les enfants achetés et vendus comme des marchandises. Et ce crime ne fut pas seulement un crime contre les Africains, ce fut un crime contre l'homme, un crime contre l'humanité", a souligné le président français

 

 

Le président français a exposé jeudi à Dakar sa vision d'un "partenariat" renouvelé entre la France et l'Afrique

 

Le président Nicolas Sarkozy à Dakar en compagnie de son homologue sénégalais, Abdoulaye Wade (26-7-2007) - France 2 Dans un discours, il a déclaré que la colonisation "fut une grande faute" et prôné un "partenariat" renouvelé avec l'Afrique.

 

Lors d'une conférence de presse commune, son homologue sénégalais a apporté soutien à la candidature du socialiste français Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI. "C'est d'abord le candidat de la France" et "nous connaissons ses compétences, son ouverture. Nous pensons qu'il sera très attentif aux problèmes du tiers-monde et en particulier aux problèmes de l'Afrique", a-t-ilaffirmé.

 

A l'arrivée du président français, Abdoulaye Wade lui avait réservé un accueil populaire et coloré. Selon des journalistes familiers des voyages présidentiels français en Afrique cités par Reuters, la foule était cependant beaucoup moins nombreuse le long du parcours du cortège officiel, que lors des visite du prédécesseur de Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac.

 

Le discours de Nicolas Sarkozy

"Je ne suis pas venu effacer le passé car le passé ne s'efface pas. Je ne suis pas venu nier les fautes ni les crimes car il y a eu des fautes et il y a eu des crimes", a dit le chef de l'Etat français dans un discours à l'université Cheikh Anta Diop. "Il y a eu la traite négrière, il y a eu l'esclavage, les hommes, les femmes, les enfants achetés et vendus comme des marchandises. Et ce crime ne fut pas seulement un crime contre les Africains, ce fut un crime contre l'homme, un crime contre l'humanité", a souligné le président français.

 

Pour autant, comme récemment en Algérie, il a refusé toute idée de "repentance". A ses yeux, "la colonisation n'est pas responsable de toutes les difficultés actuelles de l'Afrique". Il a ainsi cité les guerres, les génocides, la corruption, les gaspillages. A ses yeux, "nul ne peut demander aux générations d'aujourd'hui d'expier ce crime perpétré par les générations passées". "Nul ne peut demander aux fils de se repentir des fautes de leurs pères", a-t-il ajouté.

 

"Partenariat"

Au-delà de son auditoire, c'est à la jeunesse que Nicolas Sarkozy entendait s'adresser. "Jeunesse d'Afrique, je ne suis pas venu te parler de repentance", a-t-il lancé. "Je suis venu vous proposer de regarder ensemble, Africains et Français, au-delà de cette déchirure et de cette souffrance (...). Je suis venu vous proposer, jeunes d'Afrique, non de ressasser ensemble le passé mais d'en tirer ensemble les leçons et de regarder ensemble vers l'avenir".

 

"Voulez-vous que cesse l'arbitraire, la corruption, la violence? Voulez-vous que la propriété soit respectée, que l'argent soit investi au lieu d'être détourné?", a demandé Nicolas Sarkozy. "Voulez-vous que partout l'Etat (...) soit libéré du parasitisme, du clientélisme (...) ? Voulez-vous que partout règne l'Etat de droit ?", a-t-il poursuivi en citant aussi la famine, la pollution, la paix, l'unité africaine. "C'est à vous de le décider et si vous le décidez, la France sera à vos côtés comme un ami indéfectible, mais la France ne peut pas vouloir à la place de la jeunesse d'Afrique", a-t-il lancé.

 

"Ce que veut faire la France avec l'Afrique, c'est le co-développement, c'est-à-dire le développement partagé (...). Ce que veut l'Afrique, ce que veut la France, c'est la coopération, c'est l'association, c'est le partenariat entre nations égales en droits et en devoirs", a souligné le président français.

 

Après le Sénégal, le Gabon

Accompagné dans son voyage par la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Rama Yade, et par le secrétaire d'Etat à la Coopération, Jean-Marie Bockel, Nicolas Sarkozy doit notamment s'entretenir avec le président sénégalais Abdoulaye Wade. Il doit aussi signer un accord sur la protection et la promotion des investissements et de deux conventions de financement.

 

Il se rendra vendredi matin au Gabon, autre ancienne colonie française avec laquelle la France entretient des relations privilégiées. Il devrait rejoindre Paris dans la soirée.

 

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Sénégal : La colonisation, "une grande faute" - Monde

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Bonjour, pmat,

 

Tu es sûr que pour un français, il ne faut pas de visa pour se rendre en Afrique ???

bonjour anais

peut etre que tu veux dire dans le cas des francais algeriens qui partent en algerie?

 

par contre ce que je te dis c'est un africain de Dakar hier soir qui le disait devant une camera

 

donc que te dire?

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Guest anais
bonjour anais

peut etre que tu veux dire dans le cas des francais algeriens qui partent en algerie?

 

par contre ce que je te dis c'est un africain de Dakar hier soir qui le disait devant une camera

 

donc que te dire?

 

C'est juste, pour le Sénégal.

 

Il faut un passeport pour certains pays d'Afrique, tels que :

 

Algérie - Angola - Benin _ burkina Faso - burundi _ Cap Vert - Centre Afrique - Congo - Cote d'Ivoire - Djibouti - Egypte.

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C'est juste, pour le Sénégal.

 

Il faut un passeport pour certains pays d'Afrique, tels que :

 

Algérie - Angola - Benin _ burkina Faso - burundi _ Cap Vert - Centre Afrique - Congo - Cote d'Ivoire - Djibouti - Egypte.

 

merci pour l'info anais

 

ces information il est vrais qu'elle ne cours pas les rues elle sont de l'esprit des consulats

et des pouvoir public francais

action-visas.com - formalités visas pour tous les pays

 

mais ce que je retient de notre africain

c'est l'idé que la france edifié son mur comme celui qu'israel a construit en palestine

 

 

et ou la france et egalement l'europe viendra choisir en afrique ou dechiffrera la des cv que les africains devront faire parvenir

 

 

 

et moi cela me gene car que fait-ons du droit de circuler librement

 

 

tout est mis en jeux

 

ou des murs se dressent

et en plus je me joint

Au CRI DU CONTRIBUABLE

 

Contribuables Associés - dépense publique, impôt, gaspillages, fiscalité, dette, administration -

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