L’Algérie n’est pas disposée à brader sa souveraineté nationale

[Cyrta 10]

Louisa Hanoune à Tizi-Ouzou : "L’Algérie n’est pas disposée à brader sa souveraineté nationale et a suffisamment de ressources pour financer les projets de satisfaction des besoins de ses citoyens"

 

La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Mme Louisa Hanoune a exprimé, hier à Tizi-Ouzou, son "opposition à toute forme de subventions matérielles ou financières d’institutions ou associations nationales, provenant d’organismes étatiques ou d’ONG étrangères".

Par l’expression de ce "refus d’aide étrangère à des institutions de la République et du mouvement associatif national", Mme Hanoune entend "attirer l’attention de l’opinion publique sur le fait que ces subventions cachent, sous une apparence philanthropique, des desseins inavoués et attentatoires à la souveraineté nationale", a-t-elle signifié lors d’un meeting qu’elle a animé dans le cadre de la célébration du 30e anniversaire du Printemps amazigh.

"L’Algérie n’est pas disposée à brader sa souveraineté nationale et a suffisamment de ressources pour financer les projets de satisfaction des besoins de ses citoyens", a-t-elle opiné à l’adresse de ceux qui "prennent les Algériens pour des quémandeurs d’aumône".

Abordant la question de tamazight, elle a rappelé que "sa constitutionnalisation, le 8 avril 2002, comme langue nationale, constitue une victoire se devant d’être complétée par son officialisation, afin de renforcer l’unité nationale et de mettre cette revendication à l’abri de toute surenchère et instrumentalisation politique". Sur le même registre, elle a indiqué que son parti "a proposé que l’Etat consacre un budget pour la promotion de la langue et culture amazigh, en tant que partie indissociable des taches nationales démocratiques" tout en estimant que le "moment est venu pour faire le bilan en la matière, afin d’identifier les obstacles et de les lever pour aller de l’avant".

Au volet politique, Mme Hanoune a réitéré la revendication de sa formation politique inhérente à "la tenue d’élections législatives anticipées, dans le but de mettre un terme à la démocratie de façade incarnée par des institutions obsolètes". Pour appuyer cette "demande de changement politique", elle a rappelé qu'"une pétition pour la collecte de trois millions de signatures est actuellement en circulation au niveau national et sera soumise au premier magistrat du pays". Au chapitre de la coopération internationale, la première responsable du PT a indiqué qu’ "elle ne croit pas à la notion de partenariat gagnant-gagnant, dans la mesure où les multinationales ne sont intéressées que par les réserves de change de notre pays", en voulant pour preuve "l’insignifiance des investissements directs étrangers réalisés dans notre pays".

Dans ce contexte, elle a considéré également que "l’accord d’association avec l’Union européenne lèse nettement la balance commerciale de notre pays", en ce sens, a-t-elle argumenté, que "nos importations de marchandises de l’Europe sont en croissance continue, depuis l’entrée en vigueur de cet accord en 2005, alors que les exportations hors hydrocarbures envers ces pays restent dérisoires".

Confortant son constat, elle a fait remarquer que "les investisseurs étrangers n’apportent pas de capitaux, mais en revanche ils ne manquent pas de s’empresser de rapatrier les profits réalisés en Algérie".

Toutefois, elle a relevé, ces dernières années, "une volonté de L’Etat de se réapproprier les leviers de la souveraineté nationale sur ses ressources", en citant, entre autres, "l’arrêt des privatisations, l’effacement des dettes des entreprises publiques économiques", ainsi que certains dispositions "courageuses", selon elle, introduites par la loi de finances complémentaire 2009 notamment celle relative à la suppression du crédit à la consommation, pour "privilégier la production nationale", a-t-elle signalé.

[karimcirta 10]

Bravo Louisa Hanoune

 

Vous etes une vraie patriote, bien plus méritante que ces abrutis de gandouristes qui avec certains pervers de généraux ont causé de grands torts à notre pays

 

L'Algérie doit rester en permanence vigilante devant les tentatives répétées d'atteinte à sa souveraineté qui ici prennent la forme d'une domination economique , là d'une exploitation pernicieuse d'une revendication linguistique saine à la base mais dénaturée par une poignée de siono-makiste écervellée,ou encore par le fameux levier al-qaida dont heureusement l'immense majorité algérienne rejette les initiatives criminelles

[zagor 10]

Louisa Hanoune à Tizi-Ouzou : "L’Algérie n’est pas disposée à brader sa souveraineté nationale et a suffisamment de ressources pour financer les projets de satisfaction des besoins de ses citoyens"

 

La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Mme Louisa Hanoune a exprimé, hier à Tizi-Ouzou, son "opposition à toute forme de subventions matérielles ou financières d’institutions ou associations nationales, provenant d’organismes étatiques ou d’ONG étrangères".

Par l’expression de ce "refus d’aide étrangère à des institutions de la République et du mouvement associatif national", Mme Hanoune entend "attirer l’attention de l’opinion publique sur le fait que ces subventions cachent, sous une apparence philanthropique, des desseins inavoués et attentatoires à la souveraineté nationale", a-t-elle signifié lors d’un meeting qu’elle a animé dans le cadre de la célébration du 30e anniversaire du Printemps amazigh.

"L’Algérie n’est pas disposée à brader sa souveraineté nationale et a suffisamment de ressources pour financer les projets de satisfaction des besoins de ses citoyens", a-t-elle opiné à l’adresse de ceux qui "prennent les Algériens pour des quémandeurs d’aumône".

Abordant la question de tamazight, elle a rappelé que "sa constitutionnalisation, le 8 avril 2002, comme langue nationale, constitue une victoire se devant d’être complétée par son officialisation, afin de renforcer l’unité nationale et de mettre cette revendication à l’abri de toute surenchère et instrumentalisation politique". Sur le même registre, elle a indiqué que son parti "a proposé que l’Etat consacre un budget pour la promotion de la langue et culture amazigh, en tant que partie indissociable des taches nationales démocratiques" tout en estimant que le "moment est venu pour faire le bilan en la matière, afin d’identifier les obstacles et de les lever pour aller de l’avant".

Au volet politique, Mme Hanoune a réitéré la revendication de sa formation politique inhérente à "la tenue d’élections législatives anticipées, dans le but de mettre un terme à la démocratie de façade incarnée par des institutions obsolètes". Pour appuyer cette "demande de changement politique", elle a rappelé qu'"une pétition pour la collecte de trois millions de signatures est actuellement en circulation au niveau national et sera soumise au premier magistrat du pays". Au chapitre de la coopération internationale, la première responsable du PT a indiqué qu’ "elle ne croit pas à la notion de partenariat gagnant-gagnant, dans la mesure où les multinationales ne sont intéressées que par les réserves de change de notre pays", en voulant pour preuve "l’insignifiance des investissements directs étrangers réalisés dans notre pays".

Dans ce contexte, elle a considéré également que "l’accord d’association avec l’Union européenne lèse nettement la balance commerciale de notre pays", en ce sens, a-t-elle argumenté, que "nos importations de marchandises de l’Europe sont en croissance continue, depuis l’entrée en vigueur de cet accord en 2005, alors que les exportations hors hydrocarbures envers ces pays restent dérisoires".

Confortant son constat, elle a fait remarquer que "les investisseurs étrangers n’apportent pas de capitaux, mais en revanche ils ne manquent pas de s’empresser de rapatrier les profits réalisés en Algérie".

Toutefois, elle a relevé, ces dernières années, "une volonté de L’Etat de se réapproprier les leviers de la souveraineté nationale sur ses ressources", en citant, entre autres, "l’arrêt des privatisations, l’effacement des dettes des entreprises publiques économiques", ainsi que certains dispositions "courageuses", selon elle, introduites par la loi de finances complémentaire 2009 notamment celle relative à la suppression du crédit à la consommation, pour "privilégier la production nationale", a-t-elle signalé.

 

bpnjour,

 

 

comme elle se présente 'secrétaire générale du PT, ce n'est que l'air, reste à espérer qu'il ne pue pas.

 

:nopity::nopity:

[Ladoz 11]

:mdr:

Elle joue son rôle de Trotskiste à la perfection :mdr:

Souveraineté nationale avec des ministres Français , Américains , Suisses ............ :mdr: