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Houari Boumedienne, un extrait d'un discours.


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si tu es un boumedieniste , tu aimes alors le kazoul , demande a ton pere

lui qui a connu la generation d'avant ,pourra te dire comment ete boumedienne , ton boumediene a combatut la france de loin et il a ete pousse par le france de devenir president , tu connais le clan d'oujda !

boutef c 'etait son chouchou ,mais pourkoi l'etait il ???? plusieurs gents se pose cette question .

bonjour ,

 

ARGELINO c'etait mon ancien pseudo .

 

quand tu me dis que je dois demander à mon pere qu'il me parlera de la generation d'avant , alors qui t'as dit que moi meme je la connais pas ?

 

quand tu dis que j'aime le kazoul ,le kazoul veut dire quoi pour toi ?,si c'est dictature .alors avant d'en discuter ,vaux mieux qu'on se mette d'accord sur la definition ,ensuite donner toutes les alternatives en argumentant bien sur .

 

si tu as des preuves que boumediene comme tu dis a combattu de loin et qu'il a eté pousser par la france pour devenir president ,tu n'as qu'a les etaler sur ce forum et on discutera .

 

le clan de oujda je connais bien , dire que boutef etait le chouchou de SI boumediene ,cela prouve que tu ne connais rien en la politique de ton pays et tu n'as que me prouver le contraire .

 

ps : je ne discuterai que dans le respect et que les accusations doivent etre prouvées ,les discussions des cafés ,j'aime pas

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bonjour ;

le chouchou de boumediene je le conais tres bien , c'est abdelkader el mali (vrais?) , pendant que les moudjahidines combataient l'enemis ,lui etait en decapotable en espagne, sans donner de ces nouvelles et des qu il rentrer

boumediene ne lui faisait rien , apres plusieurs cous il l'envois au Mali comme punition ,et au Mali tu crois qu'il y avait l'enemi labas ?

si cela ne te sufit pas je peus t'en rajouter encore +.

bonne journée.

bonjour ,

 

ARGELINO c'etait mon ancien pseudo .

 

quand tu me dis que je dois demander à mon pere qu'il me parlera de la generation d'avant , alors qui t'as dit que moi meme je la connais pas ?

 

quand tu dis que j'aime le kazoul ,le kazoul veut dire quoi pour toi ?,si c'est dictature .alors avant d'en discuter ,vaux mieux qu'on se mette d'accord sur la definition ,ensuite donner toutes les alternatives en argumentant bien sur .

 

si tu as des preuves que boumediene comme tu dis a combattu de loin et qu'il a eté pousser par la france pour devenir president ,tu n'as qu'a les etaler sur ce forum et on discutera .

 

le clan de oujda je connais bien , dire que boutef etait le chouchou de SI boumediene ,cela prouve que tu ne connais rien en la politique de ton pays et tu n'as que me prouver le contraire .

 

ps : je ne discuterai que dans le respect et que les accusations doivent etre prouvées ,les discussions des cafés ,j'aime pas

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salut voici une preuve : <

 

Par ailleurs, pour rejoindre Tunis les quatre survivants (Ben Mhidi étant arrêté la veille par les paras) ont décidé de se scinder en deux groupes. Krim et Ben Khedda ont emprunté la voie orientale via la Kabylie et Abane et Dahleb la voie occidentale. Arrivé au Maroc Abane s’est mis en colère en découvrant, d’une part, que la Wilaya 5 était hors de combat et, d’autre part, que les chefs se conduisaient comme des Sultans. En effet, d’après Harbi : «Boussouf a besoin de terreur pour imposer le monopole du pouvoir, susciter la délation, semer la méfiance qui décourage la critique, l’organisation et la révolte. En un mot contrôler tout ». Du coup, Abane a estimé primordial de remettre la révolution sur rail pour assurer sa victoire. Il reproche notamment à Boussouf de n’être pas au combat au milieu de ses hommes et il exige surtout la dégradation de Boumediene devenu commandant à 25 ans sans fait d’arme à son actif.

 

Arrivé à Tunis, Abane n’a rien caché de ce qu’il avait vu au Maroc. Cette intransigeance a poussé le comité de la Wilaya 5 à demander des explications à leurs camarades sur le comportement de Abane. Celui-ci a-t-il eu tort de critiquer ses pairs? Dans une organisation démocratique il est tout à fait normal qu’un dialogue soit instauré. Dans une révolution cependant, le consensus est recommandé pour ne pas engendrer des dissensions au sein de celle-ci. Mais ce que Abane a reproché au comité de la W5 était son manquement au devoir révolutionnaire. En l'occurrence, si un tort pouvait lui être reproché c'était celui de vouloir organiser la révolution à la hauteur du combat enclenché. En effet, sans Abane et Ben Mhidi la révolution n’aurait jamais eu une organisation définissant toutes les étapes jusqu’à la victoire finale. >>

la suite vous devez la conaitre .

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bonjour ;

le chouchou de boumediene je le conais tres bien , c'est abdelkader el mali (vrais?) , pendant que les moudjahidines combataient l'enemis ,lui etait en decapotable en espagne, sans donner de ces nouvelles et des qu il rentrer

boumediene ne lui faisait rien , apres plusieurs cous il l'envois au Mali comme punition ,et au Mali tu crois qu'il y avait l'enemi labas ?

si cela ne te sufit pas je peus t'en rajouter encore +.

bonne journée.

 

apparement tu n'as pas lu ce que j'avais ecrit ,

je rappelle ,les discussions de bistros ,c'est pas mon domaine .

bye

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Violence et terrorisme d'Etat

(1962 - 2001)

Chronologie non exhaustive

 

 

 

Salah-Eddine Sidhoum, publié par algeria-watch en septembre 2001

 

La répression en Algérie (1962-2001)

 

3 juillet 1962 : Indépendance de l'Algérie.

 

25 juillet 1962 : l'armée des frontières aidée d'éléments de la wilaya I s'empare des villes de Constantine, Annaba et Skikda : 50 morts. Plus de 100 citoyens sont arrêtés.

 

30 juillet 1962 : Mohamed Boudiaf, membre fondateur du FLN et ministre du GPRA est arrêté à M'sila par des militaires de la wilaya I, agissant pour le compte de l'armée des frontières.

 

20 août 1962 : Des hommes armés à la solde de l'armée des frontières tirent sur des maquisards de la wilaya 4 à Alger : nombreux morts et blessés.

 

29 août 1962 : Violents accrochages entre éléments infiltrés de l'armée des frontières et maquisards de la wilaya 4 à Alger : plus d'une dizaine de morts.

 

30 août 1962 : L'armée des frontières attaque les maquisards de l'ALN sur plusieurs fronts : Boghari, Masséna, Sour El Ghozlane et Sidi Aïssa. A L'aide de leur armement lourd, ils provoquent un véritable carnage dans les rangs des maquisards et de la population. Des témoins locaux parlent d'un millier de morts.

 

1er septembre 1962 : Violents affrontements entre l'armée des frontières et les maquisards de la wilaya 4 à Boghari : plusieurs dizaines de morts et de blessés.

 

4 septembre 1962 : violents combats entre l'armée des frontières et des maquisards à El Asnam : 75 morts

 

7 septembre 1962 : Violents accrochages entre l'armée des frontières et des maquisards de l'ALN dans la vallée du Chélif (Chlef) : Plus de 120 morts.

 

9 septembre 1962 : l'armée des frontières fait son entrée à Alger après plus de deux mois de combats et plus de 1500 morts.

 

11 avril 1963 : Mohamed Khemisti, ministre des Affaires Etrangères de Ben Bella est tué par balles près du siège de l'assemblée nationale par un homme traité de "malade mental ". Ce "fou " sera "suicidé " quelque temps après dans sa cellule. Bouteflika, l'un des hommes-clés de Boukharouba prend alors le portefeuille des Affaires étrangères.

 

13 juin 1963 : Mansour Youcef, secrétaire général de l'Organisme saharien est kidnappé par des hommes armés de la police politique au café Le Strasbourg d'Alger.

 

21 juin 1963 : Mohamed Boudiaf, membre fondateur du FLN et ministre d'Etat du GPRA est kidnappé au pont d'Hydra par des hommes armés de la police politique. Il sera déporté à Tsabit, dans l'extrême-sud durant près de cinq mois.

 

14 août 1963 : Le pouvoir d'Alger annonce l'arrestation d'un groupe armé de tendance marxiste constitué d'une trentaine de citoyens dans les maquis de Dra El Mizan (Tizi-Ouzou). Ces malheureux opposants seront horriblement torturés. Le "ministre " de l'information de Ben Bella accuse….Israël d'être à l'origine de ce complot !

 

3 septembre 1963 : Création par Ben Bella de milices "populaires " qui arrêtent, emprisonnent et torturent en toute impunité les opposants au pouvoir.

 

29 septembre 1963 : Hocine Aït Ahmed et d'anciens maquisards de la guerre de libération nationale de l'Algérois, de la Kabylie et du Constantinois créent le Front des Forces Socialistes (FFS) et décident d'une lutte armée contre la dictature de Ben Bella et de Boukharouba. L'armée des frontières occupe plus particulièrement la Kabylie où une impitoyable répression s'abat sur la population. Elle fera en moins de deux années plus de 400 morts et plusieurs centaines de prisonniers. Saïd Gherib, député à l'assemblée constituante, suspecté de sympathie au FFS est kidnappé par la police politique et meurt sur la table de torture.

 

6 - 7 janvier 1964 : Manifestations de citoyens chômeurs à Oran. Violente répression avec de nombreux blessés et des dizaines d'arrestations. Le pouvoir décide de créer les "cours révolutionnaires " (tribunaux d'exception) pour juger les "contre-révolutionnaires ".

 

Avril 1964 : Campagne de terreur contre les populations de Kabylie. Des centaines de citoyens soupçonnés de sympathie au FFS sont arrêtés et torturés.

 

16 mai 1964 : Cheikh Mohamed El Bachir El Ibrahimi, président de l'association des Oulémas adresse une lettre ouverte au pouvoir militaro-policier d'Alger pour attirer son attention sur ses dérives du régime et les germes de guerre civile. Malgré son âge (76 ans) et son état de santé, il sera assigné à résidence où il mourra une année plus tard (20 mai 1965).

 

7 juillet 1964 : Arrestation de Abderrahmane Farès, ancien président de l'exécutif provisoire et député à l'assemblée Constituante. Il sera séquestré dans un centre de torture d'El Biar avant d'être déporté vers Béchar.

 

19 août 1964 : Ferhat Abbas, 65 ans, ancien président du 1er GPRA et ancien président de l'assemblée Constituante de l'Algérie indépendante est arrêté à son domicile par la police et déporté à Adrar dans le Sud algérien durant dix mois.

 

1er septembre 1964 : Cinq militants du FFS dont Chemmame Moh Chérif, ancien officier de la guerre de libération nationale, sont fusillés.

 

3 septembre 1964 : Le colonel Chabani, plus jeune officier supérieur de l'armée de libération nationale et ancien chef de la wilaya VI, est fusillé, après une parodie de procès par l'armée des frontières.

 

Octobre 1964 : Des dizaines de citoyens sympathisants du FFS sont torturés par la S.M. au centre de torture du chemin Poirson (El Biar). D'autres opposants subissent les mêmes supplices à la clinique psychiatrique de Notre-Dame d'Afrique, sur les hauteurs d'Alger.

 

12 avril 1965 : Aït Ahmed, membre fondateur du FLN et ex-député de l'Assemblée Constituante est condamné à mort par un tribunal d'exception. Sa peine sera commuée in extremis en perpétuité par Ben Bella alors que certains officiers de l'Etat-major des frontières voulaient son exécution.

 

19 juin 1965 : Coup d'Etat du colonel Boukharouba contre Ben Bella. Certains citoyens se hasardent à manifester dans l'Est Algérien : 40 morts. Ben Bella sera séquestré durant 14 années sans jugement. On ne lui permettra même pas d'assister à l'enterrement de sa vieille mère.

 

15 mars 1966 : Vaste campagne de répression contre les militants et sympathisants du FFS. Des dizaines de citoyens seront arrêtés et torturés par la sécurité militaire.

 

Octobre 1966 : Nombreuses arrestations au sein de l'organisation des étudiants (UNEA) dominée par le PAGS.

 

4 janvier 1967 : Mohamed Khider, membre fondateur du FLN est assassiné par la sinistre police politique à Madrid. Hocine Aït Ahmed désigne un certain Youcef Dakhmouche, comme étant le tueur .

 

14 décembre 1967 : Tentative de coup d'Etat du colonel Zbiri contre le colonel Boukharouba. De violents accrochages ont lieu à El Affroun. Des Migs pilotés par des soviétiques bombardent les colonnes blindées des putschistes. Près d'un millier de morts dont de très nombreux civils. Ceux qui dirigeaient les troupes du colonel Boukharouba ne seraient autres que d'anciens sous-officiers déserteurs de l'armée française, selon Tahar Z'biri.

 

16 décembre 1967 : Le colonel Saïd Abid est "suicidé " dans son quartier général de Blida. Des rumeurs font état de son élimination par deux ex-sous-officiers de l'armée française.

 

Janvier 1968 : Le colonel Abbés meurt mystérieusement sur la route Cherchell-Alger. Des rumeurs font état de sa liquidation suite au coup d'Etat manqué de Zbiri.

 

27 avril 1968 : Tentative d'assassinat du colonel Boukharouba au palais du gouvernement. L'attentat est perpétré par d'anciens compagnons du colonel Zbiri.

 

7 avril 1969 : La Cour "révolutionnaire " d'Oran (tribunal d'exception) condamne à mort par contumace, Krim Belkacem, membre fondateur du FL N.

 

18 octobre 1970 : Krim Belkacem, membre fondateur du FLN est étranglé dans un hôtel de Francfort (Allemagne) par des tueurs à gage de la sinistre police politique d'Alger. Aït Ahmed cite parmi les tueurs un certain commandant H'mida Aït Mesbah, chef du service opérationnel de la SM.

 

1971 : Youcef Dakhmouche, ancien membre du MALG, impliqué par certains opposants politiques dans l'assassinat de Mohamed Khider à Madrid est arrêté et emprisonné à El Harrach par la SM. Il sera porté "disparu " depuis cette date.

 

Juin 1974 : Affrontements entre gendarmes et population à Larbaâ Nath Irathen, suite à l'interdiction de chanteurs kabyles de se produire sur scène : 3 morts.

 

25 décembre 1975 : une machination orchestrée par la police politique (affaire des bombes d'El Moudjahid) aboutira à l'arrestation d'opposants au pouvoir. Parmi eux se trouvaient Medjeber Mohamed Ousmaïl et Mohamed Haroun, fils de martyr de la guerre de libération. Ils seront accusés d'activités "berbéristes " et subiront les affres de la torture. Medjeber et Haroun seront condamnés le 4 mars 1976 par la Cours de sûreté de l'Etat (tribunal d'exception) respectivement à la peine capitale et à la réclusion perpétuelle. Ils seront incarcérés à la prison de Lambèse. Mohamed Haroun sera soumis à un "traitement psychiatrique ". Ils seront graciés en 1987 et 1988.

 

Janvier 1976 : Ouarab Madjid, militant pour la culture Amazigh est kidnappé par des éléments de la sécurité militaire. Il sera porté disparu jusqu'en 1977, où son cadavre, en état de décomposition avancée sera découvert.

 

10 mars 1976 : Ferhat Abbas, Benyoucef Benkhedda, Hocine Lahouel et Mohamed Kheireddine sont mis en résidence surveillée et leurs biens confisqués par le colonel Boukharouba pour avoir publié un manifeste dénonçant le pouvoir personnel et les risques de guerre fratricide avec les marocains. Ils y resteront jusqu'au 13 juin 1977.

 

Juillet 1976 : Plus d'une centaine de jeunes citoyens de la région de Larbaâ Nath Irathen sont arrêtés suite à la découverte de textes sur la culture Amazigh.

 

Décembre 1978 : la sécurité militaire infiltre et pilote un parachutage d'armes organisé par des opposants (Benyahia) en Kabylie (affaire du Cap Sigli). De nombreux opposants seront arrêtés et torturés.

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27 avril 1968 : Tentative d'assassinat du colonel Boukharouba au palais du gouvernement. L'attentat est perpétré par d'anciens compagnons du colonel Zbiri.

 

Je connais deux personnes qui ont participé à cette opération, dont celui qui a tué le garde du corps de Boumediene, ils ont fait de la prison à Aîn salah pendant 12 ans, ils ont été libérés en 1988.

Eux au moins, ont eu le mérite d'essayer de sauver les meubles avant qu'il n'en soit trop tard, c'est dommage qu'ils n'aient pas réussi !

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N'en parlons pas de 80 et le printemps berbère. Le pouvoir interdit une conférence donnée par Mouloud Mammeri sur la poésie berbère ancienne. L'armée fait irruption dans les cités universitaire de tizi ouzou et fait des centaines de prisonniers. Beaucoup ont subit des tortures.

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