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Guest Didine RAYAN
Whooah un autre roman sur FA!:o:o

Cool et moi qui me demandé se que j'pourrais bien lire quand j'termine l'autre!!:o:o

 

Mets ta main à la pâte et

improvises nous un chapitre stp :confused:

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Mets ta main à la pâte et

improvises nous un chapitre stp :confused:

 

J'my connais pas moi!:confused:

en plus allah ybarek vous ecrivez tous tellement bien que j'ai peur de tout vous gaché!

donc j'préfère lire de loin!!

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Guest Didine RAYAN
J'my connais pas moi!:confused:

en plus allah ybarek vous ecrivez tous tellement bien que j'ai peur de tout vous gaché!

donc j'préfère lire de loin!!

 

:rolleyes:

 

 

Comme je vous le disais, cette escapade ne m’a été ‘soufflée’ que par l’entremise d’un ami qui me harcelait de ses questions bêtes les unes que les autres, parfois assez stupides que j’osais même pas lui répondre et puis, sachant que je suis de nature assez suspicieuse pour ne pas dire carrément curieuse, je me suis lancé dans mes propres investigations de curieux maladifs et essayé d’apprendre un peu plus sur cette drôle de liaison qui commençait à m’intéresser….:confused:

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C'était du temps où (Le loup faisait sa propre promenade aléatoire accompagné d'une jolie agnelle).

aussi c'était d'autant qu'on se souvenait, dans ce village parmi tant d'autre, comme c'est aussi à l'Est, des jeunes gens faisaient le pèlerinage à la cité perdue. Quant à moi, je ne l'étais et jamais y allé ; puisque je ne possédais pas de quoi payer la dot de l'une de ces fameuse monture, d'autrefois et aujourd'hui. D'ailleurs, dans le passé et ce temps aussi, j'ai la nostalgie dès qu'il s'agissait de ce genre de ressourcement.

En outre, il relevait de nos jours qu'on n'aimait guère ceux qui pleurnichaient sur les ruines d'une soi-disant cité qu'on n'avait jamais vu ni connu et qui s'y avérait engobée par sa propre poussière dans un temps révolu.

Néanmoins, je ne me souviens qu'un peu de ce qui était passé dans cette époque. Cependant, comme c'était très beau et chouette de courir les uns derrière les autres, sans crainte et au bon nous semble et autant…smillant ainsi le cours des ans à la filature des jours et à fur et à mesure, l'évolution prend sa course, ainsi pouce par pouce nous grandissions.

Mais, ce qui ait le pouvoir de tout, c'était lorsque nous n'étions que des enfants, somme-toute, on ne faisait que regarder nos- ainés, sur le dos de leurs chevaux régalaient en tout vent. (Moi, non plus) cependant à quoi servir d'être l'un de ceux qui se donnaient à ça ? Sinon d'improvisés. Toutefois, dite-moi, était-il encore temps pour ce genre de chose ?

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Je brûle déjà...........de curiosité:D.

 

 

OK a vos risques et périls :D

 

 

La nuit se montrait doucement, à l’ouest, l’éclat flamboyant du soleil commença à s’éteindre petit à petit, laissant place à la lune pour se vanter, majestueusement dorée, elle prodiguait sa richesse à la fenêtre de Isabelle qui sombrât dans un sommeil profond. Mais sa quiétude physique cachait bien un rêve chavirant.

 

Il s’appelait Monsieur X, un prénom qui lui est étranger, pas plus que lui, ni vu ni connu, ni même entendu parler, une œuvre d’un subconscient innovateur, sur qui elle pouvait parier, et imposer toute ses cartes maitresses.

 

elle l‘attachait sur un pilier, lui faisant à la fois subir les plus atroces tortures, et les plus tendres des câlins, Elle ‘exprimait par ses sens toute ses caprices inaccomplis, ses fantasmes inassouvis dessinant sur son corps par ses angles et ses lèvres toute la complexité passionnel d’un orgasme passionné,pendant que lui Fidèle à son inertie ne cessait de la peloter des yeux, la domptait imperceptiblement par son regard fauve, la désarmant, la possédant petit à petit, apaisant par cela ses ardeurs sauvages,

 

La tigresse semble s'apprivoiser !

 

 

Elle frôla ses lèvres par un baisers fougueux descendant avec sa langue et ses dent jusqu'à son cou remontant jusqu’a ses oreille, collant sa poitrine sur son torse, pendant qu’il la serrât vers lui, leur corps synchronisait, leur haleine se mélangeaient,… des baisers, des morsures… des caresses des blessures … une harmonie entre la douleur et la douceur, qui donnât naissance à ces deux inconnus aux corps nus un plaisir émoustillant.

 

 

:D C'est plus fort que moi

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OK a vos risques et périls :D

 

 

La nuit se montrait doucement, à l’ouest, l’éclat flamboyant du soleil commença à s’éteindre petit à petit, laissant place à la lune pour se vanter, majestueusement dorée, elle prodiguait sa richesse à la fenêtre de Isabelle qui sombrât dans un sommeil profond. Mais sa quiétude physique cachait bien un rêve chavirant.

 

Il s’appelait Monsieur X, un prénom qui lui est étranger, pas plus que lui, ni vu ni connu, ni même entendu parler, une œuvre d’un subconscient innovateur, sur qui elle pouvait parier, et imposer toute ses cartes maitresses.

 

elle l‘attachait sur un pilier, lui faisant à la fois subir les plus atroces tortures, et les plus tendres des câlins, Elle ‘exprimait par ses sens toute ses caprices inaccomplis, ses fantasmes inassouvis dessinant sur son corps par ses angles et ses lèvres toute la complexité passionnel d’un orgasme passionné,pendant que lui Fidèle à son inertie ne cessait de la peloter des yeux, la domptait imperceptiblement par son regard fauve, la désarmant, la possédant petit à petit, apaisant par cela ses ardeurs sauvages,

 

La tigresse semble s'apprivoiser !

 

 

Elle frôla ses lèvres par un baisers fougueux descendant avec sa langue et ses dent jusqu'à son cou remontant jusqu’a ses oreille, collant sa poitrine sur son torse, pendant qu’il la serrât vers lui, leur corps synchronisait, leur haleine se mélangeaient,… des baisers, des morsures… des caresses des blessures … une harmonie entre la douleur et la douceur, qui donnât naissance à ces deux inconnus aux corps nus un plaisir émoustillant.

 

 

:D C'est plus fort que moi

Ehhh qu'est ce que tu fou par là toi,

j'pense que tu veut une autre raclé!!

revenons aux choses sérieuse maintenant!

tu écris super bien toi aussi; enfin je le savais déjà mais là c'est autre chose:confused:

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Ehhh qu'est ce que tu fou par là toi,

j'pense que tu veut une autre raclé!!

revenons aux choses sérieuse maintenant!

tu écris super bien toi aussi; enfin je le savais déjà mais là c'est autre chose:confused:

 

 

:D

 

 

Faut croire que je te surprend toujours :D

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Ocatv Mirbeau avait dit ça• "Il n’est pas besoin, je crois, de tout comprendre en art. Il y a des obscurités harmonieuses et sonores qui vous enveloppent d’un mystère qu’on a tort souvent de vouloir percer. Puisque nous ne comprenons pas la vie, pourquoi vouloir tout comprendre de ce qui en est la paraphrase ?" (janvier 1893 il ya déja 1siècle)Alors Fonce et t'excuse jamais je serai toujours dans les alentours

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Ocatv Mirbeau avait dit ça• "Il n’est pas besoin, je crois, de tout comprendre en art. Il y a des obscurités harmonieuses et sonores qui vous enveloppent d’un mystère qu’on a tort souvent de vouloir percer. Puisque nous ne comprenons pas la vie, pourquoi vouloir tout comprendre de ce qui en est la paraphrase ?" (janvier 1893 il ya déja 1siècle)Alors Fonce et t'excuse jamais je serai toujours dans les alentours

 

 

MIRBEAUUUUUUUUU vieux de la vieille

 

En meme temps j'aime aussi la citation de Boileau: La nature imite l'art

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alors! tiens cela c'est la mienne: C’est en cela qui se résume la vie de tous ceux qui se donnent à cela. Puisque l’homme est son œuvre et en est l’oeuvrant en même temps. En outre la finisse de l’art est le style de l’homme d’art. Ainsi dit l’habilité de l’être est son fond et ce dernier est la patte à modeler. Donc, fortifies mon ami (e) ton être, désormais tu le saches que dans ceci et delà même de majesté, on y est et en évoquant la notre d’une manière ou d’autre. Alors qui dit que l’art est une exception, de même que ceux qui le nient, n’ont et ne sont que les reclus (es) de leur sort. Que Dieu ait pitié d’eux en cette vie et compense cette lacune dans son paradis.B.EL_M

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Guest Didine RAYAN
OK a vos risques et périls :D

 

 

La nuit se montrait doucement, à l’ouest, l’éclat flamboyant du soleil commença à s’éteindre petit à petit, laissant place à la lune pour se vanter, majestueusement dorée, elle prodiguait sa richesse à la fenêtre de Isabelle qui sombrât dans un sommeil profond. Mais sa quiétude physique cachait bien un rêve chavirant.

 

Il s’appelait Monsieur X, un prénom qui lui est étranger, pas plus que lui, ni vu ni connu, ni même entendu parler, une œuvre d’un subconscient innovateur, sur qui elle pouvait parier, et imposer toute ses cartes maitresses.

 

elle l‘attachait sur un pilier, lui faisant à la fois subir les plus atroces tortures, et les plus tendres des câlins, Elle ‘exprimait par ses sens toute ses caprices inaccomplis, ses fantasmes inassouvis dessinant sur son corps par ses angles et ses lèvres toute la complexité passionnel d’un orgasme passionné,pendant que lui Fidèle à son inertie ne cessait de la peloter des yeux, la domptait imperceptiblement par son regard fauve, la désarmant, la possédant petit à petit, apaisant par cela ses ardeurs sauvages,

 

La tigresse semble s'apprivoiser !

 

 

Elle frôla ses lèvres par un baisers fougueux descendant avec sa langue et ses dent jusqu'à son cou remontant jusqu’a ses oreille, collant sa poitrine sur son torse, pendant qu’il la serrât vers lui, leur corps synchronisait, leur haleine se mélangeaient,… des baisers, des morsures… des caresses des blessures … une harmonie entre la douleur et la douceur, qui donnât naissance à ces deux inconnus aux corps nus un plaisir émoustillant.

 

 

:D C'est plus fort que moi

 

Enfin, tout cela, çà ce passait dans mon imaginaire et rien de plus. Et cette histoire ne tenait pas la route… La réalité fut tout autre. Comme je ne connaissais pas son véritable identité, j’essayais de lui en attribuer une, mais je n’en arrivais pas, et tous les noms me paraissaient aussi moins bons pour la simple raison que j’ignorais tout de lui.

 

Etait-il beau ? De grande de taille ? Svelte et élégant ou bien complètement moche ? Alors, j’avais opté pour monsieur X, pas comme Malcom X, même si les objectifs paraissaient les mêmes, entre autre, semer l’amour et rapprocher au maximum les cœurs des uns et des autres. Mais, au dernier moment, je m’en étais ravisé, parce que j’ai tout simplement horreur de l’inconnu.

 

J’avais décidé alors, après mure réflexion, de le nommer « Jiji » en référence à une trépidante chanson de Dalida et ce satané d’italiano au teint basané, à la chevelure longue et lisse que tout le monde attendait et qui faisait chavirer, à lui seul, tous les jupons en manque des belles sensations d’amour qui auraient le malheur de le croiser sur leurs chemins …..

 

 

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OK a vos risques et périls :D

 

 

La nuit se montrait doucement, à l’ouest, l’éclat flamboyant du soleil commença à s’éteindre petit à petit, laissant place à la lune pour se vanter, majestueusement dorée, elle prodiguait sa richesse à la fenêtre de Isabelle qui sombrât dans un sommeil profond. Mais sa quiétude physique cachait bien un rêve chavirant.

 

Il s’appelait Monsieur X, un prénom qui lui est étranger, pas plus que lui, ni vu ni connu, ni même entendu parler, une œuvre d’un subconscient innovateur, sur qui elle pouvait parier, et imposer toute ses cartes maitresses.

 

elle l‘attachait sur un pilier, lui faisant à la fois subir les plus atroces tortures, et les plus tendres des câlins, Elle ‘exprimait par ses sens toute ses caprices inaccomplis, ses fantasmes inassouvis dessinant sur son corps par ses angles et ses lèvres toute la complexité passionnel d’un orgasme passionné,pendant que lui Fidèle à son inertie ne cessait de la peloter des yeux, la domptait imperceptiblement par son regard fauve, la désarmant, la possédant petit à petit, apaisant par cela ses ardeurs sauvages,

 

La tigresse semble s'apprivoiser !

 

 

Elle frôla ses lèvres par un baisers fougueux descendant avec sa langue et ses dent jusqu'à son cou remontant jusqu’a ses oreille, collant sa poitrine sur son torse, pendant qu’il la serrât vers lui, leur corps synchronisait, leur haleine se mélangeaient,… des baisers, des morsures… des caresses des blessures … une harmonie entre la douleur et la douceur, qui donnât naissance à ces deux inconnus aux corps nus un plaisir émoustillant.

 

 

:D C'est plus fort que moi

 

 

 

c est si bien écrit mais c est :eek:...

 

 

la suite c est quand?

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Illusion de bien vouloir la continuité d'un Roman, le rêve d'un moment de bonneur avec ses amis es, et qui ne sera qu'une fraction de ce conceptuel, d'où notre échappée est limité par une triste réalité.

Alors! Dite laquelle ?

- à vrai dire n'étant que le souhait d'un fait où le refoulement de concret est bel et bien marqué pour se refugier dans le semblant, univers combinait à l'abstrait.

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Guest Sally

Si je commence par commenter la torride contribution de Victime, ça ne veut pas dire que je néglige l'ami12 et Didine. Ça signifie simplement que je replonge au temps où adolescente, je recherchais dans les romans les passages qui m'affranchiraient sur la réalité des rapports homme-femme.

 

Voici le meilleur résumé de la scène

une harmonie entre la douleur et la douceur

 

Je pense que Victime a bien fait d'oser, il éveille les sens sans tomber dans la vulgarité.

 

Didine tu as raison le personnage de Gigi l'Amoroso serait pas mal.

 

Toujours vainqueur, parfois sans coeur

Mais jamais sans tendresse

 

c est si bien écrit mais c est :eek:...

 

 

la suite c est quand?

 

Layele, je t'invite fortement à y donner suite, si tu veux bien bien sûr.

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Guest Sally
Illusion de bien vouloir la continuité d'un Roman, le rêve d'un moment de bonneur avec ses amis es, et qui ne sera qu'une fraction de ce conceptuel, d'où notre échappée est limité par une triste réalité.

Alors! Dite laquelle ?

- à vrai dire n'étant que le souhait d'un fait où le refoulement de concret est bel et bien marqué pour se refugier dans le semblant, univers combinait à l'abstrait.

 

Vu que nous n'en sommes pas perpétuellement conscients, nous pouvons voler des moments de bonheur par-ci, par-là.

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  • 3 weeks later...
Guest Sally

Cela fait déjà un mois que Gigi et Isabella ne se sont plus parlés.

Pourtant, il fût un temps où ils ne pouvaient se passer l'un de l'autre. Aujourd'hui ils sont deux étrangers, ils évitent de se croiser dans les rues de la petite ville où tous deux habitent.

 

Parfois, de la fenêtre de son bureau, elle l'aperçoit passer au bras de sa nouvelle petite amie. Elle détourne rapidement le regard.

De son côté Gigi, souffre secrètement, elle lui manque, mais elle l'exaspère aussi. Il trouve sa perspicacité lourde à supporter. Il n'aime pas sa façon de lui parler, de le regarder avec ces yeux pleins de reproches. Il aurait voulu qu'elle soit plus naïve, moins sûre d'elle.

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au fil des jours

 

Alors, des fois on devina le pêle-mêle de nous-mêmes.

l'autre moitie, celle qui fait le distinct de chacun.

Etre, pour qu'on n'aurait pas encore du mal.

Dès lors, "l'ingéniosité de l'orgueil l'humain, rentre en jeu, en anéantissant les beaux projets d'une époque bien donnée.

- Donc, ce n'était que de son propre devoir de l'être

Le désopilant dans tous ceux-ci; ce que nous y sommes et depuis la création d'Eve et d'Adam.

L'amusant aujourd'hui, il s'agit de notre prématurité.

En outre, n'y a-t-il pas ici une supercherie ?

Puisque, ça se passe au-dépend de notre innocence, le bon tout court et quelconque soit-Il

Petit ou grand.

Tout en sachant, que ce n'est que de la belle enfance qui nous sommeilla et on est tout équipé.

Les conséquences de ce mot, ce que l'âme humaine est parfois sujette à certains dérapage.

Dès lors et malgré ce restitué lignage.

le pourquoi?

etant ainsi !

donc! la question, elle suppose d'elle meme et avec insistance…?

D'autre part, on s'y croit quand on est dedans et tout en l'obligeant l'autre grain à se murir en elle, elle en va nous dispenser du tourment continuel (Maturité).

Sinon la bavure, elle ne sera imputée qu'à nous et de nous.

Quoi que une fois on saisit la réalisée, on s'aperçoit que les choses ne vont que par là.

- De même qu'au vu et au su, ce meme (le sauras-tu) qu'on commence à acquérir et dès notre jeune âge.

 

ouuff. la vie:surprise:

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au fil des jours

 

Il ne t'a pas fleuré ce mot composé à l'infinitif qui est (le laisser-aller) primitif aucun doute et sans modification apparente.

Mais qui donna à réfléchir.

certes!

Parlons-en logiquement : n'est-ce pas ou en d'autre ; nous-ne sommes pas les assignés et qu'elle est l'éclaircie de nous-mêmes ?

En autre, quand on l'a connu réellement, on saura que vaut-elle notre vie.

Donc, on s'aperçoit l'enjeu,

Le reste ne portera que peu à la charge, dont on a endossé tout au long de notre vie et qu'on a passé connecter à elle.

Même en étant méfiant à l'égard de celle-ci, qui est toute en dedans comme toute auprès de nous et aussi de ceux qui croient être très loin d'elle.

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  • 11 months later...
Je sais qu'il y en a eu plusieurs, mais je veux le mien:o. Et je le veux à l'eau de rose:D.

 

 

 

 

Il raccroche rapidement, éteint son ordinateur et se précipite vers la sortie. Il a une seule idée en tête rejoindre sa jeune amie sur msn.

 

Isabella, regarde son téléphone d'un air surpris, elle n'arrive pas à croire qu'il ait osé lui raccrocher au nez au milieu d'une dispute.

Durant deux longues heures, elle attend patiemment qu'une sonnerie vienne indiquer qu'il se préoccupe d'elle, qu'il ne veut pas qu'elle s'en aille.

 

pourquoi a-t-il éteint son ordinateur pour rejoindre sa jeune amie sur msn ... c'est où ... msn ???

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