Jump to content

Acheter des actions en bourse.


Recommended Posts

  • Réponses 1,1k
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Marchés : les coupons attendus demain

 

Avenir Finance (0,15 euro), BNP Paribas (1,20 euro), Boiron (0,70 euro), Courtois (4,20 euros), Infotel (2,25 euros) et Schlumberger (0,275 dollar) détachent demain des dividendes qui seront mis au paiement ultérieurement. Aubay paie pour sa part un coupon de 0,10 euro, détaché la semaine dernière.

Boursier 29/05 (13:18)

Link to post
Share on other sites
  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...
- Je préfère que mon chéri ait des bourses en action que des actions en bourse :eek:

 

- C'est sorti tout seule. Me jetez pas des tomates. :mad:

 

 

non, on ne va pas vous jeter des tomates

:present:

 

ps: suis curieux de voir le cac demain

Link to post
Share on other sites
  • 2 weeks later...
Bonjour Tout le monde !! est ce que vous pensez que le marche Algerien et un marche potentiel pour la bourse et le Forex en ligne ????

 

Forex? Il parait qu'on peut perdre gros.

 

Avez vous vu Vivendi? Elle monte. Le PDG veut vendre Activision.

A suivre...

Link to post
Share on other sites
  • 1 month later...

Bon maintenant que le Ramadhan est passé, on peut parler bourse.

Je conseille Vivendi.

 

Mes arguments:

- présentation des résultats le 3O août,

- des annonces de cession devraient être faites à cette occasion,

- rappel, le PDG a été renvoyé, le CA veut faire remonter le cours de la boite,

- le cours qui est à 16 euros pourrait aller vers 20 euros.

Link to post
Share on other sites

Vivendi prépare la cession de sa pépite brésilienne GVT

 

Par Gregoire Poussielgue | 20/08 Les Echos

 

 

Le groupe a engagé deux banques-conseils pour se séparer de GVT. Deux options sont envisagées : une introduction en Bourse ou une cession. En très forte croissance, l'opérateur brésilien est valorisé entre 6 et 7 milliards d'euros.

 

 

Un opérateur télécoms jaloux de son indépendance

Par Les Echos

 

Vivendi prépare la cession de sa pépite brésilienne GVT

 

La cession par Vivendi de l'opérateur brésilien de télécommunications Global Village Telecom (GVT) se précise. Alors que la cession de cet opérateur racheté en 2009 par Vivendi avait été évoquée par l'agence Reuters dès le mois de juillet, l'agence Bloomberg précise à présent que le groupe français a engagé deux banques, Rothschild et Deutsche Bank, pour entrer dans le vif du sujet. Deux options sont envisagées : une introduction en Bourse, partielle ou totale, de GVT, ou une cession pure et simple.

 

Depuis le départ de Jean-Bernard Lévy de la présidence du directoire de Vivendi en juin et la reprise en main effectuée par Jean-René Fourtou, président du conseil de surveillance, le groupe est entré dans une revue de ses actifs afin de soulager son endettement (12,5 milliards d'euros de dette nette au 31 mars selon ses derniers chiffres officiels) et faire remonter son cours de Bourse actuellement déprimé. Chez Vivendi, trois hommes sont aux manettes : le premier d'entre eux est bien évidemment Jean-René Fourtou. Comme il y a dix ans après le départ de Jean-Marie Messier, il est monté en première ligne pour présider aux destinées du groupe. Philippe Capron, le directeur financier, et Régis Turrini, le directeur du développement, sont également aux premières loges.

 

La cession d'Activision Blizzard, sa filiale dans le jeu vidéo, a d'abord été envisagée, mais l'opération a été « mise au réfrigérateur », selon une source proche du groupe. Activision Blizzard est en effet un actif beaucoup trop gros -il pèse plus de 13 milliards de dollars en Bourse -pour être vendu rapidement et facilement. Toutes les options envisagées par le groupe -cession en Bourse, reprise par les dirigeants, rachat par un industriel -se sont révélées compliquées à mettre en oeuvre.

 

Aujourd'hui, Vivendi se concentre donc sur la cession de GVT. C'est en effet l'actif le plus facile à vendre en raison notamment de sa très forte croissance. Entre 2008 et 2011, le chiffre d'affaires de GVT a été multiplié par trois, passant de 498 millions à 1,45 milliard d'euros (lire ci-dessous). Et ses résultats ont suivi le mouvement. L'opérateur, dirigé par son fondateur Amos Genish, anticipe une très forte croissance pour les années à venir, en raison de l'explosion du marché des télécoms et de la télévision payante au Brésil. Dans cette dernière activité, il a lancé, avec succès, une offre en septembre 2011. Globalement, l'opérateur vise un chiffre d'affaires de 3 milliards d'euros en 2014 et de 4,2 milliards en 2016 ! En huit ans, son chiffre d'affaires devrait donc être multiplié par huit.

 

Avec une telle croissance, la valorisation de GVT explose : racheté 2,8 milliards d'euros par le groupe en 2009, il est aujourd'hui valorisé entre 6 et 7 milliards d'euros par les analystes, soit entre 4,6 et 5,3 euros par action Vivendi. De quoi redonner du baume au coeur aux actionnaires de Vivendi. Malgré la hausse récente (+ 23 % depuis trois mois), l'action affiche encore un repli de 5 % depuis le début de l'année et de 45 % depuis cinq ans. En vendant GVT, Vivendi se donnerait certes une bouffée d'oxygène à court terme. Mais le groupe ne réglerait en rien son problème stratégique de fond : reste-t-il un conglomérat orienté vers les médias et les télécoms ou bien abandonne-t-il une des deux activités ? « Le problème est que, si Vivendi vend GVT, il se coupe du seul réservoir de croissance pour le pôle télécoms », souligne un analyste.

Dans l'attente

 

Telefonica, qui avait longuement bataillé contre Vivendi pour prendre le contrôle de GVT en 2009, pourrait être un candidat naturel au rachat. Mais confronté à une crise sans précédent sur son marché domestique, qui l'a forcé à engager un programme drastique de réduction de ses coûts et de ses investissements, l'opérateur historique espagnol aura sans doute du mal à financer une opération d'une telle ampleur. « Le positionnement "haut de gamme" de GVT, sa croissance naturelle et le succès de son offre de télévision payante attiseront, sans aucun doute, les convoitises de nombreux candidats, locaux et internationaux », estimait l'analyste de Natixis, Jerôme Bodin, en juillet, au moment des premiers bruits sur une vente de GVT.

 

Devant l'attente suscitée par le changement opéré à la tête de Vivendi et les premières initiatives que prendra le groupe, les investisseurs sont plus que jamais dans l'expectative. Ils attendent beaucoup du 30 août, date de présentation des résultats du premier semestre, pour avoir plus d'informations. Mais rien ne dit qu'à cette date, Vivendi pourra être plus concret, au moins dans ses intentions. « Nous n'aurons rien bouclé d'ici là », avance une source proche du groupe. D'où un nouveau risque de déception pour des actionnaires déjà échaudés.

GRÉGOIRE POUSSIELGUE

Écrit par Gregoire POUSSIELGUE

Journaliste

Link to post
Share on other sites
  • 2 weeks later...
je suis sur page jaune et alcatel ca tarde a progresser mais pas pour longtemp

 

Pages Jaunes, si la renégociation de la dette se fait le titre va remonter.

 

NEXITY, à suivre!!!!

Hollande a décidé un grand programme de construction de logments et une nouvelle loi Scellier. Cela favorise le titre.

 

Nexity : favorisé par le projet de loi de mobilisation générale pour la construction de logements

Nexity progresse de 3% ce matin au-dessus des 20 Euros, le promoteur immobilier bénéficiant directement du programme de rentrée du ministère du logement. Le projet de loi de mobilisation générale pour la construction de logements sera présenté demain en Conseil des Ministres avec notamment deux enjeux pour favoriser les logements sociaux : la modification de la loi SRU et la mise à disposition de terrains publics gratuitement ou à prix réduit. Un nouveau dispositif fiscal pour l'investissement locatif figurera par ailleurs dans le projet de loi de Finances 2013 qui présenté la semaine du 24 septembre.

 

Même si le nouveau schéma d'aide à l'investissement locatif sera bien sûr beaucoup moins avantageux fiscalement, toutes ces mesures sont de nature à relancer l'activité des promoteurs, ce qui bénéficie donc directement à Nexity dont la fin du dispositif Scellier fin 2012 avait fait naître beaucoup d'inquiétudes.

 

Ces derniers mois, le PDG de Nexity, Alain Dinin, avait multiplié ces appels à une relance du secteur du logement neuf en France avec de nouveaux schémas d'aide à l'accession ou de stimulation de l'investissement locatif. Comme beaucoup de professionnels du secteur, Alain Dinin avait d'ailleurs rencontré en juillet la ministre en charge du logement, Cécile Duflot, pour échanger sur le sujet...

 

On rappellera que Nexity voit toujours le marché français résidentiel neuf chuter d'environ 30% cette année avec une estimation de 70.000 à 80.000 logements. Nexity compte maintenir sa part de marché (estimée à 11,4% en 2011) dans cet environnement difficile.

Boursier 04/09 (09:31

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...