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Textes de PAULO COELHO


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Guest dounia25

Le petit garçon regardait son grand-père écrire une lettre. A un certain moment, il demanda :

« Tu écris une histoire qui nous est arrivée ? Est-ce par hasard une histoire sur moi ? »

Le grand-père cessa d’écrire, sourit, et déclara à son petit-fils :

« J’écris sur toi, c’est vrai. Mais plus important que les mots est le crayon que j’utilise. J’aimerais que tu sois comme lui quand tu seras grand. »

Intrigué, le gamin regarda le crayon, et il ne vit rien de particulier.

« Mais il est pareil à tous les crayons que j’ai vu dans ma vie !

Tout dépend de la façon dont tu regardes les choses. Il y a en lui cinq qualités qui feront de toi, si tu parviens à les garder, une personne en paix avec le monde.

 

« Première qualité : tu peux faire de grandes choses, mais tu ne dois jamais oublier qu’il existe une main qui guide tes pas. Cette main, nous l’appelons Dieu, et il doit toujours te conduire vers sa volonté. »

 

« Deuxième qualité : de temps à autre je dois cesser d’écrire et utiliser le taille-crayon. Le crayon souffre un peu, mais à la fin il est mieux aiguisé. Par conséquent, sache supporter certaines douleurs, car elles feront de toi une meilleure personne. »

 

« Troisième qualité : le crayon nous permet toujours d’utiliser une gomme pour effacer nos erreurs. Comprends que corriger une chose que nous avons faite n’est pas nécessairement un mal, mais que c’est important pour nous maintenir sur le chemin de la justice. »

 

« Quatrième qualité : ce qui compte vraiment dans le crayon, ce n’est pas le bois ou sa forme extérieure, mais le graphite qui se trouve à l’intérieur. Par conséquent, prends toujours soin de ce qui se passe en toi. »

 

« Enfin, la cinquième qualité du crayon : il laisse toujours une marque. De même, sache que tout ce que tu feras dans la vie laissera des traces, et efforce-toi d’être conscient de tous tes actes. »

 

Extrait du livre « Comme le fleuve qui coule »

de PAULO COELHO.

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J'adore Paulo Caelho et cet extrait de ''L'alchimiste''

 

" Mon coeur craint de souffrir,

dit le jeune homme à l'alchimiste,

une nuit qu'ils regardaient le ciel sans lune.

- Dis-lui que la crainte de la souffrance

est pire que la souffrance elle-même.

Et qu'aucun coeur n'a jamais souffert

alors qu'il était à la poursuite de ses rêves."

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dounia25[/size];930694]

 

Extrait du livre « Comme le fleuve qui coule » de PAULO COELHO.

 

 

Bonjour amie.

 

Il me revient cette évocation et le dit qui va avec: une fois que l'on a eu ces ensembles, qui formèrent le signifié dans ce bas monde, ils vont séjourner en nous certes, est matériellement très apparent. De ce fait le souviens-tu de ma question (qu'es-tu?).

merci

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Guest dounia25
Bonjour amie.

 

Il me revient cette évocation et le dit qui va avec: une fois que l'on a eu ces ensembles, qui formèrent le signifié dans ce bas monde, ils vont séjourner en nous certes, est matériellement très apparent. De ce fait le souviens-tu de ma question (qu'es-tu?).

merci

 

qui suis-je? là est la question!!:)

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qui suis-je? là est la question!!:)

 

 

 

L'erreur qu'il ne fallut pas

ou dois-je dire la question

qu'es-tu ?

Le vrai de la vérité > (mon amie), ce que l'un des ces deux là, était égale à une pure vanité, par rapport à la réalité. Tout là, où nous y sommes, c'était d'autant vrai une petite excursion virtuelle, sans plus ni moins. Cependant, nous sommes belle et bien équipé de notre réelle unité ;avec le temps , elle va nous conduire tout droit vers le milieu de notre source, celle qui va révéler notre véritable identité , et même par delà si le cœur t'en dira de goûter de cette raffinerie aux sens retenait la haut est d'avance.

merci

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Guest dounia25
L'erreur qu'il ne fallut pas

ou dois-je dire la question

qu'es-tu ?

Le vrai de la vérité > (mon amie), ce que l'un des ces deux là, était égale à une pure vanité, par rapport à la réalité. Tout là, où nous y sommes, c'était d'autant vrai une petite excursion virtuelle, sans plus ni moins. Cependant, nous sommes belle et bien équipé de notre réelle unité ;avec le temps , elle va nous conduire tout droit vers le milieu de notre source, celle qui va révéler notre véritable identité , et même par delà si le cœur t'en dira de goûter de cette raffinerie aux sens retenait la haut est d'avance.

merci

 

c'est trop philosophique pour ma petite cervelle:crazy:

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c'est trop philosophique pour ma petite cervelle:crazy:

 

 

re-bonsoir amie Dounia. merci d'avoir répondue

Ah non amie, j'n'en crois plus mes yeux! C'est vraiment toi qui s'exprime ainsi-là? ou c'est un effet de mon imagination. Ce que je me donne tant de mal pour suivre tes exploits et toi, tu me dis que tu as une petite cervelle. Là, je m'excuse infiniment. alors, ne te paye pas ma tete mon amie. les amis es ne font pas ça aux leurs.

merci amicalement.

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Le petit garçon regardait son grand-père écrire une lettre. A un certain moment, il demanda :

« Tu écris une histoire qui nous est arrivée ? Est-ce par hasard une histoire sur moi ? »

Le grand-père cessa d’écrire, sourit, et déclara à son petit-fils :

« J’écris sur toi, c’est vrai. Mais plus important que les mots est le crayon que j’utilise. J’aimerais que tu sois comme lui quand tu seras grand. »

Intrigué, le gamin regarda le crayon, et il ne vit rien de particulier.

« Mais il est pareil à tous les crayons que j’ai vu dans ma vie !

Tout dépend de la façon dont tu regardes les choses. Il y a en lui cinq qualités qui feront de toi, si tu parviens à les garder, une personne en paix avec le monde.

 

« Première qualité : tu peux faire de grandes choses, mais tu ne dois jamais oublier qu’il existe une main qui guide tes pas. Cette main, nous l’appelons Dieu, et il doit toujours te conduire vers sa volonté. »

 

« Deuxième qualité : de temps à autre je dois cesser d’écrire et utiliser le taille-crayon. Le crayon souffre un peu, mais à la fin il est mieux aiguisé. Par conséquent, sache supporter certaines douleurs, car elles feront de toi une meilleure personne. »

 

« Troisième qualité : le crayon nous permet toujours d’utiliser une gomme pour effacer nos erreurs. Comprends que corriger une chose que nous avons faite n’est pas nécessairement un mal, mais que c’est important pour nous maintenir sur le chemin de la justice. »

 

« Quatrième qualité : ce qui compte vraiment dans le crayon, ce n’est pas le bois ou sa forme extérieure, mais le graphite qui se trouve à l’intérieur. Par conséquent, prends toujours soin de ce qui se passe en toi. »

 

« Enfin, la cinquième qualité du crayon : il laisse toujours une marque. De même, sache que tout ce que tu feras dans la vie laissera des traces, et efforce-toi d’être conscient de tous tes actes. »

 

Extrait du livre « Comme le fleuve qui coule »

de PAULO COELHO.

 

j'adore,merci pour le partage :)

je dois absolument le lire ce roman :o

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Ah ce cauelho, parfois je me dis qu'il ne lui reste plus qu'à devenir algérien, on trouve sa collection dans toutes les librairies même chez les tabacs journaux, m'enfin pour ma part j 'aime pas trop cet auteur c'est un écrivaillions pour plusieurs facteurs à la fois; simpliste, répétitif et le nectar de tout ces textes sont ceux des autres,

 

L'alchimiste c est un bon roman son meilleur d'ailleurs parfois je me dis que ce n' est pas lui qu'il a écrit comparé à ses autres oeuvres au niveau du style, mais celui -ci est loin d'être un conte philosophique du moins comme ceux de voltaire ou de Balzac ...etc et ici et la je parle du fond et non du style, car le style est même pas comparable, sinon pour revenir à cet oeuvre j'avoue que j'ai bien aimé la fin le trésor se trouve dans le point de départ il fut inspiré par les milles et une nuits, sinon le fond de sa philosophie et sa légende personnelle, thomas Moore n'aurait pas pu étre plus utopique ," si tu décide un truc tout l'univers va t 'aider a le réaliser" quand même ça ne se pense même pas

 

Onze minute alors celui là je ne sais pas encore ou le classer, roman érotique, ou à 'eau de rose en fait il n 'est ni l 'un ni l 'autre, les scènes sont mal décrites, l'histoire c'est presque un plagiat du René Dunan de l' académie française sauf que celui là malgré que l'oeuvre était pornographique, on remarquerait la différence entre un écrivain de l'académie française et un écrivain de chansonnette...enfin la fin reste raté quand même l'aéroport et tout le monde sera heureux le raccourcis était trop court il ne l'a pas si bien fini, de plus j’ai remarqué qu’il avait un peu de mal à se mettre dans la peau d’une prostitué, ou d’une femme, il la crée selon sa vision de gentil séducteur qui emballe les filles à fleur de peau

 

Comme un fleuve qui coule: les meilleures histoires sont celles qui en le concerne pas ; j'ai aimé la fable de Gengis khan et son aigle , celle de l'empereur chinois et la fille de la fleur qui ne pousse pas sinon ses propres expériences...c'est enfin sans commentaire

 

Mektub: la même pareil à : comme un fleuve qui coule l'histoire de la chenille qui devient un papillon m'a un plu sinon c'est un fabuliste avec les histoires des autres

 

 

la manuel de guerrier de la lumière : Alors celui là, celui là franchement, il se voit comme un guerrier de la lumière...le guerrier de la lumière se brosse les dents avant de dormir le guerrièr de la lumiere laisse un pourboire à la jolie serveuse...enfin tout ce qu'il ya de plus fastidieux à lire

Le zahir ; la banque des avantages ça m’a fait tant rire, lorsqu’il le répétait, et dans ce roman il se répète encore la journaliste qui se casse et lui la cherche et se souviens de son histoire avec elle boffffffffffffffff

 

Veronika décide de mourir; alors celui là aussi j'en ai lu jusqu’à ce qu'elle se souviens qu'elle a rencontré Coelho...j 'ai jeté le livre...je n'avais pas pu continuer

 

 

La cinquième montagne : l'histoire d 'elie, je la préfère dans bidaya wa nihaya de ibn khatir hormis le coté religieux c'est un historien à part entière

 

Le démon et mademoiselle prym: une bonne idée mal écris il me reste 50 pages c'est une souffrance j'ai promis a Mystery de le lire je le critiquerai quand je le finirai

 

 

Pour conclure ; je veux juste le comparer à un autre auteur latino américains ;, Gabriel Garcia marquez, même s’ils ne sont pas du même registre la différence au niveau du style , la rage d’écrire, le talent de mettre en valeur et en évidence e la réalité, ceux qui ont lu l’amour autant de choléra l’une des plus belle histoire d’amour, magnifiquement écrite, cent ans de solitude …etc c’est incomparable au niveau du talent

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Bonsoir.

 

Oui j'ai beau chercher , c'est illégal.

 

 

ouii je crois...c'est pas fameux crois moi :rolleyes: lis autres choses comme amin maalouf par exemple ou...malek haddad ou amin zaoui ou dan brown ou kafka ...etc

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Guest dounia25
ouii je crois...c'est pas fameux crois moi :rolleyes: lis autres choses comme amin maalouf par exemple ou...malek haddad ou amin zaoui ou dan brown ou kafka ...etc

 

les goûts et les couleurs ça ne se discutent pas:rolleyes:

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Guest dounia25
ouii...tout à fait, mais en occurence je te conseille de lire amin maalouf ou dans brown et j'en suis sur que tu remarqueras la différence :p

 

en ce qui concerne la lecture,je dévore tout ce qui me passe entre les mains,j'ai lu presques tous les livres de Amine Malouf,certes il a un bon style mais n'empêche que beaucoup d'autres sont meilleurs que lui.

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Guest dounia25
j’ai remarqué qu’il avait un peu de mal à se mettre dans la peau d’une prostitué, ou d’une femme, il la crée selon sa vision de gentil séducteur qui emballe les filles à fleur de peau

onze minutes:saches qu'il s'est fait aidé par une prostitué,c'est presque son autobiographie.

 

Le démon et mademoiselle prym: une bonne idée mal écris il me reste 50 pages c'est une souffrance j'ai promis a Mystery de le lire je le critiquerai quand je le finirai

je l'ai également lu,c'est vrai que sa lecture est un peu lourde mais une fois terminé,tu sens que l'histoire n'est pas mal et ce que l'auteur voulait nous transmettre n'est autre que le mal et le bien qui s'affronte au fond de chacun de nous.

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Guest dounia25

«Tout le monde croit savoir exactement comment nous devrions vivre. Mais personne ne sait jamais comment il doit lui-même vivre sa propre vie.»

 

 

«Quand les jours sont ainsi semblables les uns aux autres, c'est que les gens ont cessé de s'apercevoir des bonnes choses qui se présentent dans leur vie...»

P.C

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onze minutes:saches qu'il s'est fait aidé par une prostitué,c'est presque son autobiographie.

 

 

En fait il ne faut surtout pas prendre mal une critique, car c'est dans celle-ci qu'on aura une perspective différente des choses, ce qui est fatal pour un auteur même pour un lecteur c'est d'accepter seulement la critique de promotion. Je ne juge pas tout ses idées seulement l’ensemble qui est trop utopique à mon gout, et il ne faut surtout pas négliger que le style est toujours le miroir du fond. Parce que celui –ci est caractérise par deux choses essentielles : le don, il faut être doué pour bien écrire, et la lecture il faut beaucoup lire …comme disait Al3anka : eli makrach aalèche yekteb…celui qui n’a jamais lu pourquoi il écrit ? de plus la littérature est l’art de mettre en valeur une idée dans une histoire ou dans une pièce de théâtre dans un poème…etc, ce qui n’est pas son cas à lui, ceci reste mon avis personnel

 

 

Pour Onze minute, comme je te l’ai déjà dit il a René Dunan qui a écris bien avant lui une histoire similaire qui était une forme de bibliographie mais il a su l’embellir par ce qu’il est de l’académie française parce que c’est une grand écrivain à part entière, il n’a pas su s’investir dans cette histoire à mon sens , sinon la théorie de Platon qu’on trouve dans ce roman n’est pas celle de platon mais si je ne me trompe pas soit d’Aristophane soit de Xénophon, on a beaucoup approprié des idées des présocratiens même celle de Xénophon à Platon car on a reçu dans les 2000 pages dédié à Platon , on remarque aussi dans ce roman qu’il n ya pas vraiment de description des scènes du moins sensuelle, qui s’accorde avec le statue de prostitué on dirait une bibliothécaire, la première scène d’amour de celle-ci qui est un événement exceptionnel et qui doit être bien traité, bien décris car c’est quelque chose qui marque une femme surtout une prostitué. Il le rate sur tout les plans, c’est dans des occasions comme celle-ci qu'on peut cadrer un écrivain entre autres bien sur, je le compare seulement à Maalouf qui décris la scène entre Omar Khayyâm et sa poétesse, dans Samarkande avec quel beauté pudique il a su embellir ça

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Guest dounia25

personnellement je n'ai pas la compétence ni la prétention pour critiquer telle ou telle oeuvre litteraire,tout ce que je peux faire c'est donner mon avis sans plus.

chaque écrivain est unique en son genre ,je ne les compare jamais.ceci ne veut pas dire que tout ce que je lis me plait mais j'essaye de trouver le "plus" dans chacun d'eux.

ps:entre nous,11mn m'a beaucoup plu.;)

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personnellement je n'ai pas la compétence ni la prétention pour critiquer telle ou telle oeuvre litteraire,tout ce que je peux faire c'est donner mon avis sans plus.

chaque écrivain est unique en son genre ,je ne les compare jamais.ceci ne veut pas dire que tout ce que je lis me plait mais j'essaye de trouver le "plus" dans chacun d'eux.

ps:entre nous,11mn m'a beaucoup plu.;)

 

 

Ce n'est pas une question de compétence encore moins de prétention, même si cela parait ainsi, mais une opinion sur l'œuvre, ce n'est pas des accusations à tort et à travers tu l'as sans doute remarqué, je pense que j'ai bien précisé ce que je n 'ai pas aimé, une critique appuyé surtout par : 'pourquoi je n 'ai pas aimé' et 'qu'est ce que je n 'ai pas aimé,' sinon pour les écrivains ils ne sont pas uniques dans le genre chacun se désaltère de l'autre Emile Zola fut inspiré par les comédies humaines de Balzac, Dostoïevski s'est inspiré dans crime des châtiments par les châtiments de Victor Hugo, les grands poète français de Victor brodeau à Baudelaire se sont inspiré par les poètes latins comme Horace Ovide ...etc. apollinaire fut aussi inspiré par Le marquis de Sade, L’avare de Molière des « avares » du djahid. Cela dit chacun d’eux a crée son monde de ses propres moyens, sans avoir recourt aux fables des autres

 

PS : je comprends que tu puisses aimer Onze minute, mais moi je m’attendais à plus d’action lol

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Guest dounia25

il est normal que les écrivains peuvent s'inspirer les uns des autres mais ce n'est pas une raison pour comparer 2 d'entre eux et dire celui là est meilleur que l'autre.

ps: pour 11mn,j'ai appris pas mal de choses que je ne connaissais pas et c'est ça l'avantage.

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il est normal que les écrivains peuvent s'inspirer les uns des autres mais ce n'est pas une raison pour comparer 2 d'entre eux et dire celui là est meilleur que l'autre.

ps: pour 11mn,j'ai appris pas mal de choses que je ne connaissais pas et c'est ça l'avantage.

 

Edgar allan poe a dit toute chose est bonne ou mauvaise par comparaison :p on peut pas échappé à cette régle

 

PS; ça confirme ce que j'ai dis les meilleures choses qu'on trouve chez lui sont celle qui ne lui appartiennent pas :p

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