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Histoires à méditer


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Guest dounia25

Prenez soin de votre mère...

Ma mère n'avait qu'un seul oeil. Je la détestais... Elle était comme un fardeau.

 

Elle cuisinait pour les élèves et les professeurs, pour apporter son soutien à la famille. Mais il y a eu ce jour, pendant que j'étais en primaire, ma mère était venue me dire bonjour. J'étais si embarrassé. Comment pouvait-elle me faire ça ? Je l'ai ignorée, et je lui ai jeté un regard rempli de haine et je me suis enfui.

 

Le lendemain, à l'école, un de mes camarades m'a dit :

"heeee, ta mère n'a qu'un oeil !! ". Je voulais me brûler tout entier. Je voulais également que ma mère disparaisse !!

Donc je suis allé la voir ce jour, et je lui ai dit : "Si tu veux

que je ris un peu, pourquoi tu ne meurs pas ???"

Ma mère n'a pas répondu...

 

Je n'ai pas eu le temps de penser, une seconde à ce que je disais, parce que j'étais sous l'emprise de la colère. Je m'en moquais éperdument de ses sentiments. Je voulais qu'elle s'en aille de cette maison, je ne voulais plus d'elle. Ainsi j'ai étudié très dur, et j'ai obtenu la chance d'aller à Singapour pour étudier. Puis je me suis marié. Je me suis acheté moi-même, une maison. J'ai eu des enfants.

 

J'étais heureux de ma vie, de mes enfants, et de tout ce

que j'avais. Jusqu'au jour où ma mère est venue me rendre visite. Elle ne m'avait pas vu depuis de très nombreuses années, et n'avait ni vu ses petits enfants. Quand elle est arrivée sur le pas de la porte, mes enfants se sont moqués d'elle, et moi, je l'ai accusée d'être venue sans être invitée ! Je lui ai hurlé : "Comment oses-tu venir chez moi, et faire peur à mes enfants !! DEGAGE D'ICI, MAINTENANT !!"

Et à cela, ma mère a calmement répondu : "Oh, je suis désolée. J'ai dû me tromper de maison." et elle a disparu jusqu'à ce que je ne la vois plus.

 

Un jour, une lettre à propos d'une réunion scolaire, est

venue à la maison, à Singapour. J'ai menti à ma femme prétextant un voyage touristique. Après la réunion, je suis allé à la vieille cabane, simplement par curiosité.

 

Mes voisins m'ont dit qu'elle était morte. Je n'ai pas versé une seule larme. Ils m'ont donné une lettre qu'elle voulait que je lise :

 

-"Mon cher fils, Je pense à toi tout le temps. Je suis désolée d'être venue à Singapour et d'avoir fait peur à tes enfants. J'étais si heureuse quand j'ai appris que tu venais ici pour la réunion scolaire. Mais je ne pourrais pas me lever du lit cette fois ci, pour venir te voir.

 

Je suis désolée d'avoir été un fardeau constant pour toi, pendant que tu grandissais.

Tu vois..... quand tu étais très petit, tu as eu un accident, et tu

as perdu un oeil. En tant que mère, je ne supportais pas de te voir grandir avec un seul oeil. Alors je t'ai donné le mien.

 

J'étais si heureuse de mon fils, qui grandissait et qui voyait un tout nouveau monde pour moi, à ma place, avec cet oeil".

 

Avec mon amour pour toi.

 

Ta mére qui t'aime

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Prenez soin de votre mère...

Ma mère n'avait qu'un seul oeil. Je la détestais... Elle était comme un fardeau.

 

Elle cuisinait pour les élèves et les professeurs, pour apporter son soutien à la famille. Mais il y a eu ce jour, pendant que j'étais en primaire, ma mère était venue me dire bonjour. J'étais si embarrassé. Comment pouvait-elle me faire ça ? Je l'ai ignorée, et je lui ai jeté un regard rempli de haine et je me suis enfui.

 

Le lendemain, à l'école, un de mes camarades m'a dit :

"heeee, ta mère n'a qu'un oeil !! ". Je voulais me brûler tout entier. Je voulais également que ma mère disparaisse !!

Donc je suis allé la voir ce jour, et je lui ai dit : "Si tu veux

que je ris un peu, pourquoi tu ne meurs pas ???"

Ma mère n'a pas répondu...

 

Je n'ai pas eu le temps de penser, une seconde à ce que je disais, parce que j'étais sous l'emprise de la colère. Je m'en moquais éperdument de ses sentiments. Je voulais qu'elle s'en aille de cette maison, je ne voulais plus d'elle. Ainsi j'ai étudié très dur, et j'ai obtenu la chance d'aller à Singapour pour étudier. Puis je me suis marié. Je me suis acheté moi-même, une maison. J'ai eu des enfants.

 

J'étais heureux de ma vie, de mes enfants, et de tout ce

que j'avais. Jusqu'au jour où ma mère est venue me rendre visite. Elle ne m'avait pas vu depuis de très nombreuses années, et n'avait ni vu ses petits enfants. Quand elle est arrivée sur le pas de la porte, mes enfants se sont moqués d'elle, et moi, je l'ai accusée d'être venue sans être invitée ! Je lui ai hurlé : "Comment oses-tu venir chez moi, et faire peur à mes enfants !! DEGAGE D'ICI, MAINTENANT !!"

Et à cela, ma mère a calmement répondu : "Oh, je suis désolée. J'ai dû me tromper de maison." et elle a disparu jusqu'à ce que je ne la vois plus.

 

Un jour, une lettre à propos d'une réunion scolaire, est

venue à la maison, à Singapour. J'ai menti à ma femme prétextant un voyage touristique. Après la réunion, je suis allé à la vieille cabane, simplement par curiosité.

 

Mes voisins m'ont dit qu'elle était morte. Je n'ai pas versé une seule larme. Ils m'ont donné une lettre qu'elle voulait que je lise :

 

-"Mon cher fils, Je pense à toi tout le temps. Je suis désolée d'être venue à Singapour et d'avoir fait peur à tes enfants. J'étais si heureuse quand j'ai appris que tu venais ici pour la réunion scolaire. Mais je ne pourrais pas me lever du lit cette fois ci, pour venir te voir.

 

Je suis désolée d'avoir été un fardeau constant pour toi, pendant que tu grandissais.

Tu vois..... quand tu étais très petit, tu as eu un accident, et tu

as perdu un oeil. En tant que mère, je ne supportais pas de te voir grandir avec un seul oeil. Alors je t'ai donné le mien.

 

J'étais si heureuse de mon fils, qui grandissait et qui voyait un tout nouveau monde pour moi, à ma place, avec cet oeil". Avec mon amour pour toi.

 

Ta mére qui t'aime

 

 

Dieu! comme ça m'a fait du bien.

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Tous ces sacrifices sans reconnaissance me font souffrir dans l'âme , je ne pourrait jamais comprendre que quelqu'un puisse renier un parent à cause d'une infirmité quelconque .

 

Merci pour cette triste moral .

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Guest jazairia

ça fait très mal des histoires pareille, moi ça me rappelle quand on etait en fac on avait un camarade qui se prenait pour le fils de je ne sais qui?! un jour nous etions au foyer un viel homme est venu vers nous demander après ce camarade il nous avait expliquè qu'il etait son père et qu'il etait venu de très loin pour le voir bref! le lendemain on avait vu ce camarade de promo et on lui avait parlè du viel homme qui demandait après lui et devinez ce qu'il nous avait dit cet ingrat" oh oui c'est notre jardinier il est venu me demander de l'argent pour son fils malade , qui habite un douar pas loin d'ici" on etait restè bouche bè .

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Bonjour

 

Les frustrations et les complexes chez les êtres faibles font plus de mal qu'un sabre, dans la morale de cette histoire qu'il s'agisse de cette mère ou de ce père , tous deux sont heureux d'avoir accompagner leur progénitures a un bonheur certains ,ils ne peuvent que se rejouir et être fier,a l'inverse ses enfants sont frustre ,complexe,malheureux et mal dans leurs peaux, on dit que le corps guéri de ses blessures,mais que l'inconscient a bonne mémoire, quelque fut la richesse amasse,quelque fut l'instruction acquise,ses deux jeunes gens auront toujours honte et peur de redevenir pauvre et handicape car ils crainderons plus le regard et les moqueries des autres que ce qui les affectera

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Guest dounia25

« Je me sens triste ! » dit une vague de l'océan en constatant que les autres vagues étaient plus grandes qu'elle. « Les vagues sont si grandes, si vigoureuses, et moi je suis si petite, si chétive. »

 

Une autre vague lui répondit : « Ne sois pas triste. Ton chagrin n'existe que parce que tu t'attaches à l'apparent, tu ne conçois pas ta véritable nature. »

 

« Ne suis-je donc pas une vague ? »

 

« La vague n'est qu'une manifestation transitoire de ta nature. En vérité tu es l'eau. »

 

« L'eau ? »

 

« Oui. Si tu comprends clairement que ta nature est l'eau, tu n'accorderas plus d'importance à ta forme de vague et ton chagrin disparaîtra. »

 

Avoir à l'esprit que l'humanité fait partie d'un ensemble est important. Car l'être humain se considère souvent comme le centre des choses en s'arrogeant des droits particuliers qui n'ont pas de raison d'être. Ainsi il ne voit que chez son prochain ce qu'il n'a pas, sans voir ce qu'il a déjà, et se cause les plus inutiles soucis.

 

c'est ce qu'on appelle rester soi même.

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Guest dounia25

Un homme planta une rose et l'arrosa fidèlement,et avant qu'elle ne fleurisse Il l'examina.

Il vit le bouton qui fleurirait bientôt et aussi les épines.

Et il pensa, "Comment est-il possible qu'une fleur si magnifique provienne d'une plante chargée d'autant d'épines pointues ?"

Attristé par cette pensée, il négligea d'arroser la rose et avant qu'elle ne fût prête à fleurir elle mourut.

 

Il en est ainsi pour nous à l'intérieur de chacun ,de chaque âme ,il y a une rose.faut il savoir la cultiver et l'entretenir ?

Les qualités divines plantées en nous à la naissance grandissent parmi les épines de nos erreurs,

et ainsi nous négligeons d'arroser le bien qui est en nous,qui finalement finit par flétrir voire parfois mourir . Pourtant bien au delà de toute pensées négatives , une lueur doit briller au bout du chemin , et elle ne sera perçue qu'avec l'aide d'une personne qui traverse et passe à travers les épines pour trouver la rose cachée en nous ...c'est le devoir de tous d'aider les autres en cultivant les qualités qui sont en eux et ne jamais sous éstimer quelqu'un selon les apparences ; ainsi chacun pourra faire la conquête des épines et fleurira dans son propre jardin pour embellir cet éspace commun que nous partageons ,...ne dis t on pas "Ceuille les fleurs de ton ésprit et le monde en sera parfumé ....." entre nous éxiste t il des roses sans épines ?

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Guest dounia25

Une vieille dame s'arrête un soir dans un restaurant d'autoroute.

 

Elle va au self et prend une soupe chaude, puis va s'asseoir toute seule à une table.

Elle se rend compte qu'elle a oublié de prendre du sel.

Elle se lève, erre un peu dans le restaurant avant d'en trouver, et retourne à sa table. Mais en revenant, elle y trouve un noir assis, qui plonge sa cuillère dans le bol de soupe et la mange lentement.

"Oh! Il a du culot ce noir! pense la brave dame. Je lui apprendrais bien les bonnes manières "

Mais elle s'assied sur le côté de la table, et charitablement le laisse manger un peu de sa soupe. Tirant un peu le bol à elle, elle plonge sa cuillère elle aussi,cherchant à partager au moins cette soupe avec lui.

Le noir retire doucement le bol vers lui, et continue de manger.

La dame se remet à le tirer légèrement vers elle, pour pouvoir y avoir accès. Et ils finissent la soupe ainsi.

Alors le noir se lève, lui fait signe de patienter, et revient avec une portion de frites énorme, qu'il partage avec elle,comme la soupe.

Enfin ils se saluent, et la dame part aux toilettes. Mais quand elle revient, elle veut prendre son sac pour partir, et découvre qu'il n'est plus au pied de sa chaise.

"Ah! J'aurais bien dû me méfier de ce noir!".

Elle hurle dans tout le restaurant, criant au voleur, jusqu'à ce que finalement on retrouve son sac, posé au pied d'une table où repose un bol de soupe refroidie...

SON bol auquel personne n'a touché.

C'était elle qui s'était trompée de table et avait partagé le repas de l'homme!

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Une vieille dame s'arrête un soir dans un restaurant d'autoroute.

 

Elle va au self et prend une soupe chaude, puis va s'asseoir toute seule à une table.

Elle se rend compte qu'elle a oublié de prendre du sel.

Elle se lève, erre un peu dans le restaurant avant d'en trouver, et retourne à sa table. Mais en revenant, elle y trouve un noir assis, qui plonge sa cuillère dans le bol de soupe et la mange lentement.

"Oh! Il a du culot ce noir! pense la brave dame. Je lui apprendrais bien les bonnes manières "

Mais elle s'assied sur le côté de la table, et charitablement le laisse manger un peu de sa soupe. Tirant un peu le bol à elle, elle plonge sa cuillère elle aussi,cherchant à partager au moins cette soupe avec lui.

Le noir retire doucement le bol vers lui, et continue de manger.

La dame se remet à le tirer légèrement vers elle, pour pouvoir y avoir accès. Et ils finissent la soupe ainsi.

Alors le noir se lève, lui fait signe de patienter, et revient avec une portion de frites énorme, qu'il partage avec elle,comme la soupe.

Enfin ils se saluent, et la dame part aux toilettes. Mais quand elle revient, elle veut prendre son sac pour partir, et découvre qu'il n'est plus au pied de sa chaise.

"Ah! J'aurais bien dû me méfier de ce noir!".

Elle hurle dans tout le restaurant, criant au voleur, jusqu'à ce que finalement on retrouve son sac, posé au pied d'une table où repose un bol de soupe refroidie...

SON bol auquel personne n'a touché.

C'était elle qui s'était trompée de table et avait partagé le repas de l'homme!

 

très drôle....la morale est....le méchant n'est toujours pas celui qu'on croit!!

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Guest dounia25

Il y avait une petite fille assise toute seule dans un parc... Tout le monde passait

 

près d'elle et ne s'arrêtait pas pour voir pourquoi celle-ci avait l'air si triste...

 

 

 

Habillée d'une robe rose un peu défraîchie, pieds nus, cette petite fille assise ne

 

cessait de regarder les gens passer près d'elle...

 

 

 

Elle n'essayait jamais de parler ni même d'attirer leur attention. Elle ne bougeait

 

pour ainsi dire pas du tout tant sa tristesse semblait lourde à porter...

 

 

 

Plusieurs personnes passaient près d'elle, mais pourtant aucune n'arrêtait.

 

Chacun semblait bien trop préoccupé par eux-mêmes ou encore ne dégageait

 

qu'indifférence à son égard...

 

 

 

Le jour suivant, toujours intrigué, j'ai décidé, par curiosité, de retourner au parc afin

 

de découvrir si elle était toujours là. Hé oui !.. Elle se trouvait bien au même endroit

 

que la veille, toujours habitée par cette même tristesse qui inondait son beau

 

regard d'enfant...

 

 

 

Aujourd'hui, c'est décidé, je vais aller vers elle et lui parler. À mon avis, j'ai bien

 

conscience qu'un parc plein de gens inconnus n'est pas nécessairement un endroit idéal permettant à un jeune enfant, étant seule de surcroît, de pouvoir y jouer et s'y épanouir...

 

 

 

Plus je m'approchais, plus je pouvais percevoir que le dos de la robe de cet enfant cachait

 

une sorte de forme étrange. J'ai songé qu'il s'agissait peut-être de la raison pour laquelle

 

les gens passaient tout droit et ne s'arrêtaient jamais pour lui parler...

 

 

 

Souvent, les défauts physiques sont mal perçus dans notre société et celle-ci va

 

même jusqu'à vous isoler lorsque vous trouvez naturel de vous préoccuper d'une personne

 

qui soit différente des autres...

 

 

 

Comme je me rapprochais, la petite fille triste baissa les yeux pour éviter mon

 

regard. Cela ne me découragea pas, mais plus je m'approchais et plus je pouvais

 

voir nettement cette sorte de difformité dans son dos...

 

 

 

Sa robe masquait grossièrement son infirmité assez marquante. Je lui ai souri afin

 

de lui signifier que j'avais vu mais que c'était bien correct et que je désirait l'aider

 

et lui parler...

 

 

 

Je me suis assise à côté d'elle et j'ai débuté la conversation par un simple bonjour.

 

Elle avait l'air surprise, et me répondit à son tour timidement après m'avoir

 

observé longuement dans les yeux...

 

 

 

Je me suis fait chaleureux avec les yeux pleins de tendresse, elle m'a souri à son tour.

 

Nous avons parlé là, simplement, comme ça, jusqu'à ce que la noirceur s'installe

 

et que le parc soit complètement désert...

 

 

 

Je lui ai demandé pourquoi elle avait l'air si triste. Elle me répondit avec un air triste:

 

"Parce que je suis différente"... Immédiatement, je lui ai répondu:

 

"Certainement que tu l'es..." ... Puis, je lui ai souri tendrement. Elle a semblé

 

plus triste encore et m'a répondu: "Je le sais.."...

 

 

 

"Hé !... Petite fille, lui dis-je, tu me fais penser à un ange, gentil et innocent"..

 

Elle m'a regardé, m'a souri et doucement elle s'est levée: "Vraiment ?..." Dit-elle...

 

 

 

"Oui !.. Tu es comme un ange gardien descendu sur terre pour prendre soin de

 

tous ces gens qui marchent autour de toi".. Elle acquiesce d'un signe de la tête

 

et sourit les yeux brillants d'une nouvelle lumière, puis sans que je puisse m'y attendre,

 

elle ouvrit le dos de sa robe rose pour permettre à ses ailes se déployer librement...

 

 

 

Face à mon regard stupéfait, elle dit: "Je suis effectivement TON ange gardien

 

en me clignant un superbe clin d'œil...

 

 

 

Je ne savais plus quoi dire, je pensais que je rêvais...

 

 

 

Elle me dit: "Pour une fois, tu as pensé à quelqu'un d'autres et non qu'à toi-même..

 

Ainsi, mon travail ici bas est terminé, tu peux donc désormais continuer ton

 

évolution avec mon patron qui est ton archange..."

 

 

 

Je me suis levé et je lui ai dit: "Attends, explique-moi, pourquoi personne n'a pris

 

la peine de s'arrêter pour aider un ange ? (semblant si tristement en détresse..).

 

 

 

Elle m'a regardé et dit: "Tu étais le seul qui pouvait me voir" .. puis elle disparut...

 

 

 

Après cela, ma vie a changé dramatiquement... C'est la raison pour laquelle je me sens

 

poussé de vous dire à vous qui me lisez, la phrase suivante: "Quand vous penserez que

 

vous êtes seul au monde, que vous n'avez rien, et que vous allez jusqu'à croire que tous

 

vos efforts sont vains et bien souvenez-vous que nous possédons tous un ange et

 

le vôtre est toujours là, à vous protéger...

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Un saint homme tenait un jour une conversation avec Dieu.

 

Il lui dit : «Seigneur, j'aimerais savoir comment est le paradis et comment est l'enfer ».

 

Dieu conduisit le saint homme vers deux portes.

 

Il ouvrit l'une des portes et permit au saint homme de regarder à l'intérieur.

 

Au milieu de la pièce, il y avait une immense table ronde. Au milieu de cette table, il y avait une grosse marmite contenant un ragoût à l'arôme délicieux..

 

Le saint homme saliva d'envie.

 

Les personnes assises autour de cette table étaient maigres, livides et malades. Elles avaient toutes l'air affamées. Elles tenaient des cuillères aux très longs manches, attachées à leurs bras.

 

Toutes pouvaient atteindre le plat de ragoût et cueillir une cuillerée.

 

Mais, comme le manche de la cuillère était plus long que leurs bras, elles ne pouvaient ramener les cuillères dans leur bouche.

 

Le saint homme frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances.

 

Dieu dit : « Tu viens de voir l'enfer »

 

Dieu et le saint homme se dirigèrent vers la seconde porte.

 

Dieu l'ouvrit.

 

 

La scène que vit le saint homme était identique à la précédente.

 

Il y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût qui fit encore saliver le saint homme.

 

Les personnes autour de la table étaient également équipées des cuillères aux longs manches.

 

Cette fois, cependant, les gens étaient bien nourris, replets, souriants et se parlaient les uns aux autres en riant.

 

Le saint homme dit à Dieu : « Je ne comprends pas !»

 

«C'est simple, répondit Dieu.

 

Ils ont appris à se nourrir les uns les autres tandis que les gloutons et les égoïstes ne pensent qu'à eux-mêmes.»

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Guest dounia25

Il y a une quinzaine d'années, un

jeune et talentueux golden boy de la

city roulait vers la banlieue de

Londres dans sa Jaguar rutilante, et

fraîchement payée.

 

Il jetait un regard négligent sur les

pauvres gamins qui jouaient sur le

pavé, quand soudain, un objet non

identifié croisa sa route et s'enfonça

dans son aile droite avec un "blang"

retentissant ! Une brique avait été

lancée contre sa voiture.

 

Le goldenboy freina sec et fit marche

arrière pour voir d'où était partie le

projectile. Il rencontra un jeune

garçon apeuré :

 

- hé, gamin ! qu'est ce que c'était

que ce truc ? C'est toi qui as lancé

cette brique ?

 

Face au silence embarrassé de

l'enfant, l'homme sut qu'il était en

face du coupable.

 

- Tu sais combien coûte cette voiture

? Ta vie ne suffirait même pas à me

rembourser !

Bon Dieu, Pourquoi as-tu lancé cette

brique ?

 

- S'il vous plaît monsieur... Ne criez

pas. Je suis désolé. Je ne savais pas

quoi faire d'autre. J'ai lance cette

brique parce que personne ne se serait

arrêté.

 

Des larmes creusaient des sillons sur

la peau sale du gamin.

 

C'est mon frère monsieur,

poursuivit-il. On jouait et il est

tombé de sa chaise roulante. Tout seul

je ne peux rien faire : il est trop

lourd pour moi. Pourriez vous m'aider à

le remettre dans sa chaise. Il risque

de se faire écraser...

 

Le golden boy avait du mal à avaler

sa salive. Sans plus attendre, il aida

l'enfant paralysé à regagner son

fauteuil. Il sortit un mouchoir brodé

de sa poche et essuya les plaies du

gamin avant de lui demander si tout

allait bien pour lui. Il se tourna

alors vers son frère, responsable de

l'éraflure sur sa Jaguar, et lui

proposa de les ramener chez eux.

 

Le golden boy ne fit jamais réparer

l'aile de sa voiture de luxe. Il

conserva l'éraflure car elle lui

rappelait de ne jamais conduire si vite

dans la vie qu'on dut lui lancer une

brique pour attirer son attention.

 

.............................. ..........

 

Dans la vie, certaines briques sont

plus douces que d'autres. Le golden boy

n'a pas souffert personnellement... C'est

sa voiture qui a subi les frais de sa

morgue.

 

Faites attention à sentir le vent des

briques qui arrivent sur vous avant

qu'elles ne vous blessent. Anticipez,

regardez autour de vous... peut être

qu'un être souffre dans les alentours.

Peut être que vous pouvez l'aider avant

qu'il ne se manifeste en vous jetant

quelque chose au visage.

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Guest dounia25

valeur réelle

 

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20 $. il demande aux gens :

- Qui aimerait avoir ce billet ?

 

Les mains commencent à se lever alors il dit :

 

- Je vais donner ce billet de 20$ à quelqu'un de vous mais avant, laissez-moi faire quelque chose avec. Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

 

- Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?

 

Les mains continuent à se lever.

 

- Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher. Ensuite il demande :

 

- Qui veut encore avoir ce billet ? Évidemment, les mains continuent de se lever !

 

- Mes amis, vous venez d'apprendre une lecon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas change, il vaut toujours 20 $. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalite votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !

 

La valeur d'une personne ne tient pas à ce l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte.

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Guest Didine RAYAN
Prenez soin de votre mère...

Ma mère n'avait qu'un seul oeil. Je la détestais... Elle était comme un fardeau................

 

 

Ta mére qui t'aime

 

Tu m'as fait pleurer!!!:mad:

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Guest Didine RAYAN

ma mère ci dessous

Elle était pratiquement aveugle...elle avait subi avec succès une opération chirurgicale qui lui avait permis de recouvrer la vue, mais le jour où elle devait se débarrasser du pansement, elle avait rendu l'âme...Elle n'avait pas profité de la lumière pour nous voir comme elle avait l'habitude de le faire..........., c'est ce qui me chagrine à chaque fois que j'y pense.........

 

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