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Les films de Bollywood


Les films de Bollywood  

20 members have voted

  1. 1. Les films de Bollywood

    • Je suis une femme et j'aime bien
    • je suis une femme et je n'aime pas
    • je suis une femme et bof ni j'aime ni je naime pas
    • je suis un homme et j'aime bien
    • je suis un homme et je n'aime pas
    • je suis un homme et bof ni j'aime ni je n'aime pas.


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Guest nouss
Les films de Bollywood, vous aimez ou pas?

 

Tout est dans la question, sachant quand meme que ce genre de films sont créer en général par les pires des kouffars, c'est a dire les paiens hindous, quoiqu'il y as quelques acteurs et producteurs musulmans.Il est pas rare d'y voir des références et des scènes de cultes a des dieux hindous.

 

Voila peit parenthèse religieuse:), donc savoir ce que vous en pensez, bon je sais qu'ne général c'est plutot adrésser a un public féminin, mais moi j'aime bien.

 

Je distingue homme et femme pour voir a peu près le genre de public.

 

Moi j'aime les chansons, les histoires, les costumes les danses et aussi les femmes:)

 

moi j'aime bien aussi , leur danse ,les chanson

YouTube - bole chudiyan ( ledja ledja )

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Les films de Bollywood, vous aimez ou pas?

 

Tout est dans la question, sachant quand meme que ce genre de films sont créer en général par les pires des kouffars, c'est a dire les paiens hindous, quoiqu'il y as quelques acteurs et producteurs musulmans.Il est pas rare d'y voir des références et des scènes de cultes a des dieux hindous.

 

Voila peit parenthèse religieuse:), donc savoir ce que vous en pensez, bon je sais qu'ne général c'est plutot adrésser a un public féminin, mais moi j'aime bien.

 

Je distingue homme et femme pour voir a peu près le genre de public.

 

Moi j'aime les chansons, les histoires, les costumes, les décors, les danses et aussi les femmes:)

 

moi je suis pas fan mais je regarde des fois un film qui passe sur infinity le vendredi ou sur mbc max quand il ya rien au programme :calich-s:

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Les films de Bollywood, vous aimez ou pas?

 

Tout est dans la question, sachant quand meme que ce genre de films sont créer en général par les pires des kouffars,

oui c'est vrai c'est fait par des sales kouffar polythéistes adorateurs de déesse à 4 bras et d'éléphants mais ils font de bons films.

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J'aime les films de bollywood et maintenant j'aimerai bien regarder ce film ''My name is Khan''

my-name-khan-shah-rukh.jpg

 

 

.

 

Depuis un siècle, Hollywood soumet la planète à ses règles. Casablanca, Paris, Pékin ont été reconstitués sur ses plateaux de façon à se conformer au regard américain. My Name is Khan, de Karan Johar, retourne le compliment, de Bollywood à Hollywood. Il faut aller voir ce long film, musical, larmoyant, drôle et engagé, ne serait-ce que pour découvrir le Sud profond des Etats-Unis, comme on le voit dans un studio de Bombay : avec des pitons volcaniques, des vaches qui paissent dans des rues boueuses et des Afro-Américains chantant et souriant.

 

 

 

Si elle n'occupe qu'une place mineure dans le film, cette réponse du berger à la bergère en reflète l'humeur générale. Il s'agit d'une mise en point en forme de mélodrame indien. Shah Rukh Khan, l'interprète principal du film, est la plus grande star du cinéma indien. Le héros du film, on l'aura compris, s'appelle Khan, Rizvan Khan. Musulman, il est né à Bombay et a immigré aux Etats-Unis. Il raconte son enfance en voix off, et l'on découvre un petit garçon pas comme les autres, qui a du mal à se faire des amis, à comprendre le monde qui l'entoure. Sa maman le protège du malheur pendant les pogroms antimusulmans de 1992-1993. A la mort de celle-ci, il rejoint son frère à San Francisco.

 

C'est là qu'il découvre que sa manière très personnelle de vivre en société tient au syndrome d'Asperger dont il est atteint. Cette forme d'autisme est très populaire dans la fiction contemporaine (il tenait une place importante dans le joli film d'animation australien Mary et Max, en 2009) ; elle permet ici à Shah Rukh Khan de s'aventurer sur le terrain exploré par Dustin Hoffman dans Rain Man (1988), de Barry Levinson. La tête penchée, le sourire perpétuel, l'élocution monocorde vous campent un personnage.

 

En Californie, Rizvan rencontre l'amour de sa vie, Mandira (Kajol) une belle hindoue qui tient un salon de beauté. Idylle, chansons, montage de moments amoureux, les règles de la comédie musicale indienne sont respectées (à ceci près que les personnages ne chantent pas eux-mêmes - les mélodies s'insinuent gracieusement dans le quotidien), avec en plus l'exotisme californien, puisque ces séquences sont tournées en décors naturels.

 

Le bonheur de Rizvan, marié, père d'un bel enfant, ne résiste pas au 11 septembre 2001. La tragédie, collective et individuelle, est annoncée dès les premières séquences, puisque l'on voit le héros dans un aéroport américain soumis à une fouille rigoureuse, répétant mécaniquement "My name is Khan, I am not a terrorist" ("Je m'appelle Khan, je ne suis pas un terroriste"), ce qui est réellement arrivé à l'acteur lorsqu'il est venu présenter son film aux Etats-Unis.

 

Pour regagner l'amour de Mandira, Rizvan a entrepris de démontrer au monde en général et au président des Etats-Unis en particulier qu'on peut être musulman et homme de bien. Cette quête le jette sur les routes américaines en 2008, et ce qui était impossible au printemps le devient en novembre, les 43e et 44e présidents étant invités à faire de la figuration intelligente.

 

Cette deuxième partie, plus politique (si l'on peut vraiment faire de la politique en se servant exclusivement de sentiments), est moins réussie, moins enlevée que la première. Pour un spectateur européen, qui n'a qu'une lointaine idée des identités religieuses en Inde, elle est toutefois passionnante. Le parcours du combattant de Rizvan le conduit à dénoncer une cellule terroriste au FBI tout en devenant la victime, puisqu'il se retrouve au secret dans un centre de détention. Il ne doit son salut qu'à deux jeunes journalistes indiens (encore un couple mixte, musulman et hindoue) établis aux Etats-Unis.

 

L'Amérique apparaît comme un continent infini où tout peut se jouer et se résoudre, y compris les conflits qui déchirent l'Inde. Au passage, Rizvan et ses inventeurs prennent clairement parti pour la cause des droits civiques (dans une version qui aurait sans doute fait sourire Martin Luther King par sa vétusté), détournant vers le sous-continent indien le lien maintenant ancien entre Afro-Américains et islam.

 

Il y a là de la naïveté, de la démagogie aussi, sans doute destinée à entretenir les illusions que peut nourrir la jeunesse indienne à l'égard de la terre promise. Mais surtout l'affirmation d'une autre voix, pas plus raffinée, pas plus intelligente, mais radicalement différente de la voix dominante que les industries culturelles américaines ont imposée au monde.

 

Le monde

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  • 2 months later...
J'aime les films de bollywood et maintenant j'aimerai bien regarder ce film ''My name is Khan''

my-name-khan-shah-rukh.jpg

 

 

.

 

Depuis un siècle, Hollywood soumet la planète à ses règles. Casablanca, Paris, Pékin ont été reconstitués sur ses plateaux de façon à se conformer au regard américain. My Name is Khan, de Karan Johar, retourne le compliment, de Bollywood à Hollywood. Il faut aller voir ce long film, musical, larmoyant, drôle et engagé, ne serait-ce que pour découvrir le Sud profond des Etats-Unis, comme on le voit dans un studio de Bombay : avec des pitons volcaniques, des vaches qui paissent dans des rues boueuses et des Afro-Américains chantant et souriant.

 

 

 

Si elle n'occupe qu'une place mineure dans le film, cette réponse du berger à la bergère en reflète l'humeur générale. Il s'agit d'une mise en point en forme de mélodrame indien. Shah Rukh Khan, l'interprète principal du film, est la plus grande star du cinéma indien. Le héros du film, on l'aura compris, s'appelle Khan, Rizvan Khan. Musulman, il est né à Bombay et a immigré aux Etats-Unis. Il raconte son enfance en voix off, et l'on découvre un petit garçon pas comme les autres, qui a du mal à se faire des amis, à comprendre le monde qui l'entoure. Sa maman le protège du malheur pendant les pogroms antimusulmans de 1992-1993. A la mort de celle-ci, il rejoint son frère à San Francisco.

 

C'est là qu'il découvre que sa manière très personnelle de vivre en société tient au syndrome d'Asperger dont il est atteint. Cette forme d'autisme est très populaire dans la fiction contemporaine (il tenait une place importante dans le joli film d'animation australien Mary et Max, en 2009) ; elle permet ici à Shah Rukh Khan de s'aventurer sur le terrain exploré par Dustin Hoffman dans Rain Man (1988), de Barry Levinson. La tête penchée, le sourire perpétuel, l'élocution monocorde vous campent un personnage.

 

En Californie, Rizvan rencontre l'amour de sa vie, Mandira (Kajol) une belle hindoue qui tient un salon de beauté. Idylle, chansons, montage de moments amoureux, les règles de la comédie musicale indienne sont respectées (à ceci près que les personnages ne chantent pas eux-mêmes - les mélodies s'insinuent gracieusement dans le quotidien), avec en plus l'exotisme californien, puisque ces séquences sont tournées en décors naturels.

 

Le bonheur de Rizvan, marié, père d'un bel enfant, ne résiste pas au 11 septembre 2001. La tragédie, collective et individuelle, est annoncée dès les premières séquences, puisque l'on voit le héros dans un aéroport américain soumis à une fouille rigoureuse, répétant mécaniquement "My name is Khan, I am not a terrorist" ("Je m'appelle Khan, je ne suis pas un terroriste"), ce qui est réellement arrivé à l'acteur lorsqu'il est venu présenter son film aux Etats-Unis.

 

Pour regagner l'amour de Mandira, Rizvan a entrepris de démontrer au monde en général et au président des Etats-Unis en particulier qu'on peut être musulman et homme de bien. Cette quête le jette sur les routes américaines en 2008, et ce qui était impossible au printemps le devient en novembre, les 43e et 44e présidents étant invités à faire de la figuration intelligente.

 

Cette deuxième partie, plus politique (si l'on peut vraiment faire de la politique en se servant exclusivement de sentiments), est moins réussie, moins enlevée que la première. Pour un spectateur européen, qui n'a qu'une lointaine idée des identités religieuses en Inde, elle est toutefois passionnante. Le parcours du combattant de Rizvan le conduit à dénoncer une cellule terroriste au FBI tout en devenant la victime, puisqu'il se retrouve au secret dans un centre de détention. Il ne doit son salut qu'à deux jeunes journalistes indiens (encore un couple mixte, musulman et hindoue) établis aux Etats-Unis.

 

L'Amérique apparaît comme un continent infini où tout peut se jouer et se résoudre, y compris les conflits qui déchirent l'Inde. Au passage, Rizvan et ses inventeurs prennent clairement parti pour la cause des droits civiques (dans une version qui aurait sans doute fait sourire Martin Luther King par sa vétusté), détournant vers le sous-continent indien le lien maintenant ancien entre Afro-Américains et islam.

 

 

Le monde

 

j'ai déja regardé ce film avec le couple mythik kajol et srk il est assez original le film c un bollywood hollywooder c plus centrer sur l'amérik le producteur (karan johar) a un faible pour les usa mais sinon un film trés émouvant le jeux des acteur sublime je te le conseille

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