Réactions après Mexique-France...

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Pépito, Bon vous voulez pas connaitre la mienne parce-que je serais rapidement hors-charte et pas habité de très bons sentiments en ce moment surtout lorsque je sais que le potentiel existe en France.... Et c'est belle et bien fini puisque l'Uruguay et le Mexique vont probablement jouer un match comme une certaine rencontre dans la CAN. C'est pas glorieux mais c'est comme ça.... Quant à ANELKA :ranting2::ranting2::ranting2::ranting2:

 

Jacquet : «La vérité est tombée»

 

Aimé Jacquet (au micro de Canal+) : «La vérité est tombée. Le terrain a donné son verdict. Les Mexicains ont manoeuvré avec beaucoup d'intelligence. Les Français ont été incapables de faire preuve de rythme, de réaction, d'orgueil de jeu. C'est une grosse déception. Je pensais qu'on allait avoir une équipe agressive, percutante, tentant tout, mais elle a été incapable de réaliser un match de ce niveau-là et j'en suis très déçu. Je suis très touché.»

 

Jacquet : «La vérité est tombée» - Foot - Bleus - L'EQUIPE.FR

 

Zidane : «Le meilleur a gagné»

 

«La France n'a pas très bien joué». Zinedine Zidane s'est dit très déçu de la défaite des Bleus face au Mexique (0-2) dans le groupe A du Mondial, jeudi sur la chaîne de télévision mexicaine Televisa. «Je suis déçu pour la France, parce que (l'équipe) n'a même pas eu l'occasion de tirer au but, et cela, c'est peu pour espérer quoi que ce soit d'important», a-t-il ajouté, interviewé sur un plateau depuis l'Afrique du Sud.

 

L'ex-capitaine des Bleus a également loué la performance des Mexicains : «Elle a eu face à elle un rival très bon, qui a fait une très bonne partie. Le Mexique a été très supérieur à la France, surtout physiquement. Ce soir, le meilleur a gagné». Zidane a également critiqué certains choix de Raymond Domenech, en particulier celui d'avoir laissé Yoann Gourcuff sur le banc des remplaçants pour ce match contre le Mexique. «L'entraîneur a pris cette décision, mais je ne suis pas vraiment d'accord avec cela». (Avec AFP)

 

Zidane : «Le meilleur a gagné» - Foot - Bleus - L'EQUIPE.FR

 

Lizarazu : «La tête dans le seau»

 

Bixente Lizarazu (TF1) : «Ce qui m'a interpellé, c'est la première mi-temps de Nicolas Anelka. J'ai vu un joueur marcher... marcher en Coupe du monde. Il n'était pas agressif, pas interessé par le jeu. C'est une image symbolique. Domenech l'a sorti à la pause mais il aurait dû le faire bien plutôt. On ne doit pas jouer de façon égoïste, on doit montrer qu'on a la gnak. Cette défaite est un résultat d'une logique implacable ! J'ai trouvé que cette équipe de France et son capitaine Patrice Evra avaient surjoué le côté tout va bien, on a confiance, tout se passe bien dans le groupe. Toutes ces déclarations cachaient que ça n'allait pas. En face, le Mexique a fait preuve de bien plus de maîtrise et s'est montré plus dangereux. Est ce que l'on a autant de talent que ça si on perd contre le Mexique, qui n'est pas la plus grande des nations en football ? Mathématiquement c'est encore jouable mais je n'y crois plus. Le Mexique et l'Uruguay vont se battre pour ne pas jouer l'Argentine. Et nous, encore faut-il qu'on puisse battre l'Afrique du Sud. L'équipe de France est à la rue et a la tête dans le seau.»

 

Lizarazu : «La tête dans le seau» - Foot - Bleus - L'EQUIPE.FR

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Le sélectionneur s'est montré extrêmement déçu de la prestation des ses joueurs ce soir contre le Mexique.

 

K.O. Voilà l'état dans lequel Raymond Domenech s'est présenté au micro de TF1 après la défaite des Bleus contre le Mexique (0-2). Voilà la réaction du sélectionneur:

 

"C'est plus qu'une énorme déception, je n'ai pas d'autres mots. Je suis comme tout les gens qui étaient dans les tribunes, comme tout les Français qui regardaient ça. C'est plus que décevant. Pour le moment, je ne sais pas quoi dire aux joueurs. Il reste un match, mais bon... Cela tiendrait du miracle. On jouera seulement pour l'honneur. On doit réagir, montrer quelque chose sur ce dernier match. (...) Aujourd'hui, il fallait faire au moins match nul pour que ça dépende de nous... Autant des fois, j'ai une capacité de réaction, mais là, non..."

 

Il va falloir que Ray trouve autre chose avant son retour en France, car les coups devraient pleuvoir...

 

Coupe du monde 2010: La réaction de Raymond Domenech après France-Mexique (0-2)

 

Pour le passage en Orange on devrait le pendre pour ce foutage de gueule devant plus de 60 millions de français.

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Mon texte préféré gnac gnac gnac

 

 

Des Bleus trop loin des putes

 

Ridiculisés par le Mexique, éliminés ou presque de la Coupe du Monde, les Bleus de Raymond Domenech ont démontré une fois pour toutes qu’ils n’étaient ni consciencieux, ni des hommes d’honneur, ni des professionnels, mais juste des amoureux de leurs gros salaires, juchés sur des égos déplacés, que n’intéressent que les grosses voitures et les filles de joie.

 

On s’en doutait un peu, mais quand même pas à ce point là, pas si vite. Le match délivré hier soir par l’équipe de France de football a confirmé de manière hurlante les insuffisances flagrantes de cet équipage fantôme qu’il est indigne d’appeler encore une équipe, d’ailleurs, qu’on appellera plutôt une bande de mercenaires, lourds et lents, sans réaction et sans ressort, indignes du maillot qu’ils portent. Tous, sans exception, ont failli, à un degré moindre Malouda, à un degré moindre Lloris, qui ont fait ce qu’ils ont pu, mais qui pouvaient peu. Les autres ont été nuls, c’est aussi simple que cela, et mériteraient dans tout journal sportif digne de ce nom des notes avoisinant le 0, tout simplement. Ribéry? Bidon, autant de ballons touchés que de ballons perdis, ou pas loin. Inutile dans son rôle de meneur de jeu. Anelka? Toujours pas au courant que la Coupe du Monde a commencé, traîne son indolence sur le terrain, l’œil crâneur, comme s’il se foutait de la gueule de tous, y compris ses sponsors, y compris son entraîneur y compris ses coéquipiers. Gallas? A fait ce qu’il a pu, dans l’état qui est le sien. Toulalan? Pompier de service, mais seul à tenir la lance et à organiser les secours. On ne peut pas à la fois piloter le canadair et conduire le camion. Diabi? Brillant dans le premier match, éteint hier. Evra? Le pire sans doute. Le capitaine minable d’une équipe qu’il n’a jamais su porter, et l’auteur de déclarations à posteriori ridicules sur la soi disant bonne ambiance régnante dans « le groupe » et le désir de chacun d’aller au bout. Foutaises. L’ombre du joueur de United, une énorme déception, une injure au foot français. Abidal? Abruti sur son intervention sur l’attaquant mexicain provoquant le penalty. N’aurait jamais fait ça à Barcelone, où il joue, souvent titulaire, depuis plusieurs saisons. Govou? N’a rien fait, rien apporté, rien tenté, cent pour cent inutile. Gignac? Entré pour participer au naufrage, comme Valbuena, assez ridicule dans ses énervements, volontaire mais à côté du sujet. Sagna? A beaucoup couru, souvent en vain. Domenech? Domenech est peut-être le moins à accuser, parce que lui au moins n’était pas sur le terrain. Il a senti assez rapidement que son équipe le lâchait, n’est même pas resté avec eux toute la mi temps. Perdu, hagard, on l’a retrouvé à la fin du match limite aux larmes, largué par ceux qu’il pensait sans doute être ses ultimes soutiens.

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suite...

 

 

Et maintenant? Maintenant, il ne reste plus qu’un match aux Bleus pour rejoindre leurs femmes, leurs filles de joie, leurs boîtes de nuit, leurs montres en or, leur style de vie qui manifestement seul les intéresse, les motive, les fait bander. Le foot, plus trop. Même si on sait qu’Anelka sera sans doute très bon avec Chelsea la saison prochaine, qu’Evra sera sans doute très valeureux avec Manchester, que Ribéry fera sans doute encore chavirer de bonheur les supporters du Bayern. Des joueurs de club, qui en ont rien à cirer de l’équipe nationale, qui, c’est vrai, leur rapporte peu, si peu. Le problème n’est pas l’argent, j’étais prêt à défendre cette thèse mordicus, et pourtant…Pourtant quand on voit le peu d’entrain qu’ont mis ces Bleus là à défendre leurs couleurs, on peut quand même se poser des questions. On les sent si peu impliqués, à peine abattus, pour tout dire, après le match. Domenech, lui, au moins fait face, en conférence de presse, mais les joueurs, pas trop. Sans doute rejetteront-ils la faute sur leur sélectionneur, sans doute se dédouaneront-ils ainsi, ça leur ressemblerait bien, cette lâcheté là. On n’attend en tout cas pas d’eux un acte de contrition, certainement pas. Ils joueront les coqs jusqu’au bout, fiers et arrogants, eux que certains qualifiaient de méprisant et qui effectivement semblent bien l’être devenu. Triste spectacle, triste fin pour ce foot français qui continuera de faire le bonheur de clubs étrangers et qui va repartir dans des querelles internes et des mirages insensés, style Laurent Blanc.

 

Laurent Blanc, parlons en…L’acte fondateur de sa première sélection devrait être d’exclure tous les joueurs présents sur le terrain hier soir, pour leur donner une leçon, pour marquer le coup. Aucun ne mérite plus de porter le maillot une nouvelle fois. Repartir à zéro, avec des joueurs qui en veulent, qui prennent du plaisir à jouer, qui ont le sens du devoir et des responsabilités. Des adultes, pas des beaux gosses mal dégrossis qui trompent leur ennui entre les seins refaits de bimbos mineures. Blanc doit marquer son territoire ainsi, en se détachant totalement et sans exception de cette génération perdue. Il n’y a pas de football de ce côté-là, rien qui tourne rond. Le jeu est ailleurs, dans le respect des règles et de ceux qui regardent les matches. Être éliminés d’une Coupe du Monde nous arrivera d’autres fois, même au premier tour, mais même en 2002 on n’avait pas ressenti un tel sentiment de dégoût, pour citer Pierre Ménès, pour une fois très juste. Il est temps de sortir les clowns, de virer les imposteurs, et de reconstruire pas à pas : on n’a plus rien à vomir.

 

Des Bleus trop loin des putes - Blog leJDD.fr - Lilian Massoulier

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Un dernier pour la route

 

Groupe A - France/Mexique (0-2)

Les Bleus au summum du néant

 

L’illusion s’est envolée : la France n’était réellement capable de rien. Surtout pas de battre un Mexique au jeu collectif si abouti et la solidarité qui contrastait avec les égoïsmes bleus. Le match a pourtant mis du temps à basculer. Mais c’est bien le néant qui s’est trouvé au bout du chemin français.

 

Corps dynamique contre corps impotent. Compensation, mouvement, altruisme pour le Mexique, immobilisme, indiscipline (Anelka qui flingue la profondeur), et impuissance pour les bleus. Contraste clair mais verdict qui se fait attendre, faute d’artilleur d’élite dans l’armée mexicaine. 
Les ateliers "efficacité" mis en place par El Vasco n’ont visiblement pas porté leur fruit. Les Mexicains tergiversent trop dans la money zone. A la mi-temps, le bilan aux points est clair : toutes les opportunités ont été vertes. La France et le Mexique ne boxent pas dans la même catégorie. D’un coté des poids plumes, de l’autre des poids lourds sans jus mais qui laissent peser la menace d’un KO. Une arlésienne au final.

 

Indécis jusqu’à l’ouverture du score du Chicharito (64e), le match avait débuté sur un match nul entre Javier Aguirre et Raymond Domenech : une retouche chacun. Un décalage aussi. Comme annoncé à grands coups de vuvuzelas, Malouda prenait la place de Gourcuff. Ou plutôt, Ribéry prenait la place du Gourcuff (en position plus avancé toutefois), et Malouda celle de Ribéry à gauche. Comme en 2006, retour au 4-2-3-1 après un premier match insondable de médiocrité offensive. Ce milieu remplumé aidait à ne pas laisser le monopole du ballon aux descendants de Zapata. Côté mexicain, le jeune et friable latéral droit, Paul Aguilar, est sorti du onze. Malouda fait donc face à l’expérience … et la lenteur de Ricardo Osorio, mais là où Sagna est livré à lui-même sur les montées de l’inusable latéral Carlos Salcido (z’ont pas regardé de vidéos du Mexique Les Bleus ?), Osorio reçoit le renfort du milieu droit, Efrain Juarez, ou d’un central. 100% hollandais, l’axe défensif mexicain composé du nouvel entrant Hector Moreno de l’AZ Alkmaar et du Maza Rodriguez du PSV, se contente de neutraliser Ribéry, Anelka préférant aller cueillir des baies au milieu de terrain. 

Au repos, le pote de Jamel qui s’était aussi permis la fantaisie de maltraiter un coup-franc aux 30 mètres, est mis au coin, et Gignac le remplace.

 

La physionomie du match ne bouge pas d’un iota, comme Domenech au bord du terrain, malgré une belle frappe cadrée de Malouda (53e). En revanche, Aguirre s’active : El Chicharito rentre, suivi de Cuauhtémoc, et de l’ouverture du score mexicaine. Servi sur un plateau royal par Rafa Marquez, la jeune recrue de Manchester United, tire profit de l’éternité que lui a offert la défense française, pour dribbler Lloris en marchant et ouvrir la marque. Le Mexique a des failles, mais la France pas de force. Et Domenech sur le banc, qui continue de ne pas changer une équipe qui perd. Barrera s’enfonce dans l’axe comme un couteau dans du beurre au soleil : penalty. 37 ans d’expérience et d’excès : Cuauhtémoc Blanco condamne presque la France à mort à la 79e. Après un mandat de six ans, Domenech n’a toujours pas donné de style aux Bleus. A moins qu’il lui ait imprimé celui-ci : un style creux et vaniteux, comme ses déclarations.

 

Thomas Goubin

 

Les Bleus au summum du néant / Groupe A - France/Mexique (0-2).

[Zim 10]

En ce jour anniversaire de:

 

l'appel du 18 juin 1940

d'un colonel - général à titre temporaire pour la durée de la guerre.

 

et du 18 Juin 1815

- Waterloo.

 

Bonjour,

 

et une ...... ....... pour nos têtes enflées de l'équipe de France,

 

 

et pieds de plomb,

 

 

avant, qu'ils ne sombrent complètement.