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RUBRIQUE "histoire"


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BONSOIR ADMINO !

quand est ce je vais avoir ?

une rubrique "histoire "

Merci de me faire plaisir au lmieu de deplacer mes posts

 

Bonsoir Jilla

 

C'est moi et non admino qui a déplacé ton sujet dans la rubrique actualités algériennes, selon moi tout à fait approprié pour ce genre de post mais puisque tu insistes pour que celui-ci apparaisse dans la rubrique "coin littérature" j'ai accédé à ta requête, mais c'est bon pour cette fois-ci.

 

Si j'ai un petit conseil à te donner Jilla, évite à l'avenir ce genre de requête, les modérateurs du forum sont habilités à déplacer les posts de tous les forumeurs s'il en estime la nécessité, j'espère que tu n'as pas de problème avec ça.

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BONSOIR ADMINO !

quand est ce je vais avoir ?

une rubrique "histoire "

Merci de me faire plaisir au lmieu de deplacer mes posts .

Eh p'tit, toi qui te dis vieux, merci d'adopter un autre langage quand tu t'adresse à moi ! Pigé ?

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merci jilla d'éclairer nos lanternes par ces posts , très interessants à lire , je m'instruis ,encore merci pour l'effort

 

avec DU plaisir et des fleurs pour tt les filles du forum.6693.jpg

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Eh p'tit, toi qui te dis vieux, merci d'adopter un autre langage quand tu t'adresse à moi ! Pigé ?

 

Je m'excuse ;monsieur l'administrateur ; de mettre permis cette familiarété avec votre aimable personne .

Pas pigé ! recu 5/5 .

je vous rapelle que j'apprécie aussi la réciprocité.

Car je ne suis pas votre p'tit non plus .

C'est le terme gentil de votre pseudo "Admino" et l'appreciation bienvaillante de "DR house" à votre égard qui m'ont induit en erreur.

Désolé et Toutes mes excuses.

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Je m'excuse ;monsieur l'administrateur ; de mettre permis cette familiarété avec votre aimable personne .

Pas pigé ! recu 5/5 .

je vous rapelle que j'apprécie aussi la réciprocité.

Car je ne suis pas votre p'tit non plus .

C'est le terme gentil de votre pseudo "Admino" et l'appreciation bienvaillante de "DR house" à votre égard qui m'ont induit en erreur.

Désolé et Toutes mes excuses.

 

1 - Pour reclamer respect, il faut d'abord le donner !

2 - J'ai remarqué que souvent quand tu t'adresses aux autres, tu fais l'hautin, l'arrogant... tout en leur parlant de haut !

3 - Je te confirme que je suis bien "gentil", mais uniquement avec ceux qui méritent ma gentillesse. Par contre, quand mon interlocuteur me manque de respect et me parle sur un ton que je n'aime pas, je met ma gentillesse de coté et je lui répond selon mon humeur du jour ! Pas de chance pour toi, hier ou moment de lire ton post, j'étais de mauvaise humeur ! :04:

4 - L'affaire est close, c'est déjà oublié pour moi, je te souhaite une très bonne journée mon frère et excuses-moi si ma réponse t'as un peu offensée :cool:

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1 - Pour reclamer respect, il faut d'abord le donner !

2 - J'ai remarqué que souvent quand tu t'adresses aux autres, tu fais l'hautin, l'arrogant... tout en leur parlant de haut !

3 - Je te confirme que je suis bien "gentil", mais uniquement avec ceux qui méritent ma gentillesse. Par contre, quand mon interlocuteur me manque de respect et me parle sur un ton que je n'aime pas, je met ma gentillesse de coté et je lui répond selon mon humeur du jour ! Pas de chance pour toi, hier ou moment de lire ton post, j'étais de mauvaise humeur ! :04:

4 - L'affaire est close, c'est déjà oublié pour moi, je te souhaite une très bonne journée mon frère et excuses-moi si ma réponse t'as un peu offensée :cool:

 

Désolé de vous decevoir !

mais à aucun moment je fus hautain ;ni arrogant et de m'elever au dessus des autres : la preuve ?

je ne suis qu'un berger des maquis d'algerie profonde.

Peut etre ? MES PROPOS SONT LOURDS DE SENS , vu mon age et mon expérience .

Mais ! c'est ma nature .

Et à ce que je sache ! j'ai inondé le forum de fleurs à toutes et contré qu'un seul forumiste, c'est juste avec energie, je m'excuse si c'est votre favori.

OUI! votre réponse ? honnettement m'a froissée.

Mais ! ce ,n'est rien : je suis avisé .

Il n'y auras pas de porochaine fois.

L'incident est clos .

PS : si je peux me permettre ? désolé de vous le dire ;votre jugement est faux ; à defauts de preuve .

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Cent cinquantième anniversaire de la prise de la Kabylie par l’armée coloniale

 

Il y a cent cinquante ans, en 1857, la Kabylie tombait aux mains des soldats du maréchal Randon, après une vaillante résistance populaire dont l’ultime acte fut la célèbre bataille d’Icheridène, sous la conduite de Lalla Fadhma n’Soumer.

 

Des centaines de résistants périrent au cours de cet engagement, comme en témoigne la découverte de fosses communes renfermant les ossements de 750 combattants. Pour marquer cet anniversaire, qui doit être une date phare dans l’histoire de la résistance de la Kabylie et de l’Algérie à l’invasion coloniale, un comité d’organisation des festivités, placé sous le haut patronage du président de la République, est mis en place. Mme Moula Ouzna et M. Chenoun Abdelkrim, des membres de ce comité, nous ont rendu visite à la rédaction pour nous parler du sens de cet anniversaire.

“Icheridène Akal Ijuhden”, “Icheridène, terre de résistance” est l’intitulé du programme des festivités qui s’étalent sur trois jours, du 15 au 18 août.

La cérémonie démarre mercredi par un accueil des invités à la commune d’Ath Agouacha, puis des conférences seront animées, entre autres par Ahmed Aït Ouali qui parlera de “La prise d’Icheridène”, Dahlala Mouloud de “La dimension politique et spirituelle de la Rahmania”, à laquelle appartient Fadhma N’soumer, Mouloud Lounaouci (sociolinguiste) de “La résistance amazighe : continuité historique” et enfin de Kacimi Zinedine qui évoquera “Le rôle des Aït Kaci dans la résistance à la colonisation française”. La journée de jeudi, outre les visites sur site, sera marquée par une conférence de Younès Adli sur “Les forces et limites du commandement de la résistance de 1857”, tandis que Belaïd Nacer interviendra sur “Le rôle de chikh Seddik Ouarab dans la résistance”.

La journée de jeudi verra d’abord l’inauguration d’une stèle dédiée aux résistants “imseblen” , puis une visite guidée au village martyr d’Icheridène, le tout devant s’achever autour d’une waâdha. Au cours de cette cérémonie, une délégation de Tablat, où, jadis, fut bannie puis enterrée Fadhma n’Soumer, sera reçue. Les membres du comité d’organisation tiennent d’abord à souligner l’intérêt du wali de Tizi Ouzou pour cet anniversaire, mais déplorent l’indifférence du ministère des Moudjahiddine, alors qu’il est concerné au premier chef.

Mais plus que cet aspect, les membres du comité tiennent surtout à lancer un appel du cœur pour les descendants des résistants d’Icheridène, qui sont aujourd’hui partout en Algérie, de renouer avec la terre de leurs héros ancêtres qui n’avaient à l’époque que leur “nif” et leur audace pour affronter la soldatesque coloniale. Si le mérite de ce comité local de marquer cet anniversaire est immense et mérite reconnaissance et gratitude, il reste qu’un tel événement, qui représente une date phare dans l’histoire de l’Algérie, aurait dû requérir une plus grande attention et au plus haut niveau de l’État. À moins que…

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voilà j'ai trouvé : je crois que le forum a fait peau neuve.

 

PAS GRAVE !

JE M'INSTALLE en attendant !bien sur si on veut de moi et de mes maigres ecrits sur notre histoire.

 

 

 

 

MOHAMED KHEMISTI

 

JEUNE MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES, ETAIT ASSASSINE

Plus qu’un nom,

Mohamed Khemisti était un combattant de la liberté du peuple algérien

 

La vérité sur tout assassinat aux contours et aux versions suspects demeure à jamais inaccessible.

Rien ne sert non plus de chercher à la découvrir des années après puisqu’elle ne fera qu’exalter les incertitudes et les supputations les plus floues.

Une seule vérité mérite, elle, d’être dite sur certains hommes qui ont été victimes de “circonstances”, tel Mohamed Khemisti .

Qui est cet homme ?

Il s’agit du plus jeune (33 ans) ministre des Affaires étrangères du monde et le premier chef de la diplomatie algérienne démocratique et populaire, désigné le 28 septembre 1962, soit trois jours après la proclamation officielle de la République.

Originaire de Maghnia (Tlemcen) après l’obtention du bac à Oran, il entreprit des études en médecine en France.

Etant membre actif au sein de l’Union générale des étudiants musulmans algériens (UGEMA), il fut arrêté en novembre 1957 sur le territoire français.

Après le cessez- le-feu du 19 mars, il est désigné à Boumerdès en tant que délégué aux affaires économiques de l’exécutif provisoire de l’Etat algérien. Devenu par la suite, ministre des Affaires étrangères

. Malheureusement pour ce jeune diplomate à l’avenir prometteur, sa carrière sera interrompue tragiquement lorsqu’un homme mit fin à ses jours par une balle à la tête un certain 11 avril 1963, à sa sortie du siège de l’Assemblée nationale, au palais Zighout-Youcef.

Il rendit âme quelques jours plus tard le 5 mai 1963. Même si la version officielle avançait l’hypothèse que ce fut l’œuvre d’un fou, quelques proches, amis et compagnons de l’époque, mais surtout sa famille ne croient toujours pas à cette version.

Quelques jours après sa condamnation à perpétuité, l’assassin de Mohamed Khemisti se suicide en 1965, en emportant avec lui la vérité.

Sa mort avait suscité émoi et tristesse à travers toute l’Algérie, les messages de condoléances venaient de toutes parts, un vibrant adieu lui avait alors été consacré.

ses proches tiennent à ce que son parcours soit connu et continuent non pas à revendiquer la vérité sur son assassinat, mais à refuser l’hypothèse du crime passionnel et le laisser reposer en paix.

 

 

 

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Guest elkhamass

Les cierges de novembre se consument en silence...

 

par Farouk Zahi

 

Les trois s'appelaient Abdelkader. Le premier avait pour nom Zelouf, vieux militant de la cause nationale, il s'éteignait en 2005 en Belgique. Il n'avait revu son pays qu'à l'Indépendance en 1962, pour repartir ensuite et pour toujours. Il entretenait des relations avec le défunt Mohamed Boudiaf, qui lui proposait de rentrer au pays en 1992. Il déclinait l'offre et mourait en exil. Il recommandait à son unique fils, âgé d'une cinquantaine d'années, de mère belge, de le faire inhumer après sa disparition, dans sa ville natale. Le fils n'accompagnait pas la dépouille, il la confiait à la fratrie du disparu. Il exauçait ainsi le dernier voeu de son père.

 

Le deuxième, Amrane alias, « Zine Ettala »* mourait en novembre 2006 et le troisième, Delaoui vient de tirer sa révérence en ce début du mois d'août. La journée du Moudjahid de cette année, se passera, pour la première fois, de lui !

 

Il naissait avec le PPA en 1937 et comme tous les Algériens des villes traditionalistes, il fréquentait l'école coranique. L'éveil nationaliste le faisait inscrire à l'Ecole badissienne « El Falah » de Hadj Mohamed Zerrouk Lograda. L'illustre Cheikh qui fit un pèlerinage pédestre de près de 3 ans au Machrek, ouvrait à son retour, cette école avant-gardiste pour l'époque. Il y enseignait les préceptes de la Médersa moderne, aussi bien aux garçons qu'aux filles. Huit de ses élèves mouraient les armes à la main. Dès 1955, Abdelkader Delaoui, intégrait l'Organisation politique et administrative (OPA) de Palestro (Lakhdaria). Avec Mohamed Badredine pendu plus tard à Dar Echioukh en 1958 et Amrane, il recrutait pour le maquis naissant du Bouzegza. Il appelait de tous ses voeux, l'ouverture d'un front au Sud. Il assistait au marché hebdomadaire de Bou-Saada, au premier contact entre Ouamrane et Ziane. Ce dernier de taille démesurée, donnait cette caractéristique, comme signe d'identification. Ces hommes de l'ombre ne se connaissaient pas encore.

 

En décembre 1955, il apprenait que le premier maquis est né à Lougsiat. Le groupe commandé par Achour Ziane comprenait 22 éléments. Il constituait le premier noyau de la future Wilaya VI. Ziane premier chef zonal, le chargeait de la jonction des Houamed pour le ralliement à la nouvelle cause. La première réunion se tenait à Aïn Melh, un jour de marché. Cette stratégie de jour de marché, trompait la vigilance de la gendarmerie. A leur retour le soir, ils étaient interceptés par des gendarmes en faction à l'entrée ouest de Bou-Saada. Interrogés sur leur présence à Aïn Melh, Abdelkader Delaoui, seul lettré, se faisait passer pour un scribe, qui accompagnait le groupe d'hommes, pour la rédaction d'une transaction. Les gendarmes crurent en ses propos.

 

Dès 1957 et ne pouvant dissimuler plus longtemps son activisme, il rejoignait le maquis jusqu'au recouvrement de la souveraineté nationale. Membre actif de « Faoudj El Fadila » des Scouts Musulmans, il créait le premier théâtre militant.

 

Il rejoignait en 1963, l'Ecole normale de Bouzarèa pour une carrière d'enseignant. Créateur littéraire, il écrivait et montait plusieurs pièces de théâtre éducatif. Il était l'auteur de plusieurs chants patriotiques, dont « Min Adjila y a Watani, Qawamtou fi Siri ou A'alani », mis en musique par Mohamed Chemissa en 1983. Après avoir bénéficié de sa mise à la retraite, miné par la maladie, il s'asseyait longuement au seuil de sa porte. Assis à même le sol, à la manière des talebs sur une « haïdoura », il ne manquait jamais de proposer un café ou un thé selon le moment aux passants de son voisinage. Il ne ratait aucun vernissage au musée Nasreddine Dinet. Affable et peu prolixe, on le rencontrait de moins en moins, la maladie l'a réduit à la réclusion. La mort a eu raison de lui... qu'il a tant bravée !

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Les trois s'appelaient Abdelkader.

Le premier avait pour nom Zelouf, vieux militant de la cause nationale, il s'éteignait en 2005 en Belgique. Il n'avait revu son pays qu'à l'Indépendance en 1962, pour repartir ensuite et pour toujours. Il entretenait des relations avec le défunt Mohamed Boudiaf, qui lui proposait de rentrer au pays en 1992. Il déclinait l'offre et mourait en exil.

Il recommandait à son unique fils, âgé d'une cinquantaine d'années, de mère belge, de le faire inhumer après sa disparition, dans sa ville natale. Le fils n'accompagnait pas la dépouille, il la confiait à la fratrie du disparu. Il exauçait ainsi le dernier voeu de son père.

 

Le deuxième, Amrane alias, « Zine Ettala »* mourait en novembre 2006

 

et le troisième, Delaoui vient de tirer sa révérence en ce début du mois d'août. La journée du Moudjahid de cette année, se passera, pour la première fois, de lui !

 

voiçi de vrais resistants de la cause nationale : merci el khamass.

Ils furent des milliers comme eux anonymes et valeureux qui n'ont pas voulu vivre sous les feux de la rampe .

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chabani1.jpg

16.jpg

 

Colonel Chaabani

 

 

 

 

 

Le colonel Chaabani, exigeait l'assainissement de l'armée et la remise en cause de certaines nominations.

 

LE COLONEL TAHAR ZBIRI au quotidien "le soir d'algerie"

 

Le Soir :

Parlons-en. Le colonel Chaabani, mort dans des conditions tout à fait dramatiques, reste toujours et pour beaucoup une énigme dans l'histoire contemporaine de notre pays.

Tout d'abord, quel genre d'homme était-il?

 

Tahar Zbiri : Le colonel Chaabani était responsable de la wilaya VI il avait, à peine 27 ans. Il était d'une grande intelligence et avait une vaste culture. Seulement Chaabani refusait catégoriquement l'autorité de Boumediene et n'avait jamais toléré les ingérences de celui-ci dans les affaires de sa wilaya.

En fait, il refusait l'encadrement francophile (anciens officiers de l'armée française) dont s'était entouré Boumediene.

 

Le Soir : Comment étaient les relations entre Chaabani et Ben Bella?

 

Tahar Zbiri : Chaabani s'entendait très bien avec Ben Bella ainsi qu'avec Khider. Et Boumediene n'était guère satisfait de cet état de fait

.

Le Soir : Est-il vrai que le colonel Chaabani avait des prétentions hégémoniques, s'approprier le Sahara par exemple?

 

Tahar Zbiri : C'est faut. Ce n'est là qu'un pur mensonge. Il refusait je le répète encore, l'autorité de Boumediene et du ministère de la défense nationale de l'époque. Il y'avait aussi son amitié avec Khider, lequel insistait constamment auprès de Ben Bella pour que l'armée se cantonne dans les casernes et qu'elle abandonne la politique.

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bonsoir argelino !

voiçi la réponse quand tu dit que TON HB Fut issé au sommet du pouvoir par de vrais patriotes.

TT le contraire :

 

Le 30 juin 1962 , le GPRA destitue officiellement l'état-major général, dégradant le colonel Boumedienne et les commandants Mendjli et Slimane, et dénonçant leurs « activités criminelles ».

Ben Bella réagit immédiatement en prenant fait et cause pour l'état-major - celui-là même qui, trois ans plus tard, presque jour pour jour, le renversera et le mettra en prison puis en résidence forcée pendant quatorze ans.

 

 

 

La déchirure apparaît maintenant au sein de toutes les wilayas.

Le chef de la II, Saout el-Arab - c'est-à-dire Salah Boumnider - est provisoirement arrêté par ses adjoints. À la wilaya I,

 

Tahar Zbiri condamne publiquement Ben Khedda et ses ministres et demande à tous de se ranger derrière Ben Bella et l'état-major général :

 

c'est le même Tahar Zbiri, nommé chef d'état-major par Ben Bella, qui viendra arrêter celui-ci, une nuit de juin 1965.

 

Un par un, les dirigeants algériens prennent parti. Apparemment, les deux camps se consolident et se fortifient.

 

Mais ils ne sont pas équivalents.

 

Boudiaf n'est libéré que depuis peu et n'a pas de prise directe sur les hommes et les événements.

 

Il n'a pas de vraie complicité avec Aït Ahmed.

 

Ben Khedda n'a jamais exercé de véritable autorité suprême à la tête du GPRA.

 

Boussouf, contredit par son ancienne wilaya, celle d'Oran, se tait et s'apprête à partir pour la France. Bentobbal se tient sur la réserve, Krim est le seul à vouloir agir.

 

Parmi les ministres les plus influents, Saad Dahlab, M'Hamed Yazid, acharné à retrouver l'unité du FLN, s'effacent peu à peu et finiront par démissionner.

 

La wilaya du Nord-Constantinois est divisée.

 

Celle de Kabylie paraît unanime sous l'autorité de Krim et de son colonel, Mohand Ou el-Hadj, mais la wilaya IV ne s'est pas encore prononcée.

 

Dans la zone autonome d'Alger, Yacef Saadi, récupéré par Boumedienne, part en guerre contre le commandant Azzedine...

 

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boussouf et boukharrouba:

Sous la férule de Boussouf et de son adjoint Boumediene, la situation de l'ALN Maroc est moins anarchique. Un commandement centralisé se met en place en juillet 1957, et un PC mixte avec l'ALM fonctionne au nord de Béchar.

Prison, tortures et exécutions contribuent à la discipline. Boussouf, après avoir éliminé Abane Ramdane, crée six ateliers d'armement clandestins.Les franchissements restent encore possibles dans la partie sud de la frontière et permettent d'alimenter les wilayas 4, 5et 6.

A la fin de 1957, l'année française doit colmater une dizaine de brèches dans le barrage marocain (14).

En avril 1958, Krim Belkacem tente d’unifier le commandement militaire. Conseillé par les ex-officiers français, il crée deux comités d’organisation miliaire (COM).

Celui de l’ouest est confié à Boumédiene qui a pour adjoint le colonel Saddek, le colonel Lotfi prenant la tête de la wilaya 5.

De passage à Tunis, Boumediene se rend compte que les ex-officiers français, qui viennent de déserter, sont mal acceptés par les cadres issus des maquis ou des anciens partis nationalistes.

Avec opportunisme, il ernmène au Maroc Zerguini, Chabou et Ben Cherif, auxquels il confie la création et l'organisation des camps d'instruction.

Le COM Est est attribué à Mohammedi Saïd, dit Naceur, ancien chef de la wilaya 3 et à ce titre responsable du massacre de Melouza. Ses adjoints sont Amouri et Benaouda, tandis que la Base de l'est reste confiéeà Amara dit Bouglez.

Mais le COM Est ne parvient pas à unifier ses troupes ; après le bombardement de Sakiet, en février 1958, il lance des opérations de franchissement meurtrières les deux tiers des katibas de la la zone de Souk Ahras, et une grande partie des mintakas 15 et 16, qui sont interceptées par les unités françaises de réserve, et perdent 65 % de leurs moyens.

Poursuivie jusqu'en mai, la bataille des frontières se traduit par 2 400 tués, 300 prisonniers, 3 000 armes individuelles et 350 armes collectives saisies.Alors qu'Ouamrane lance un cri d'alarme, et que certains officiers veulent entraver la construction des barrages, les chefs de guerre à l'est et à l'ouest laissent faire.

Le colonel Zerguini estime que c'était une grave erreur tactique

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Au Maroc, des pétitions circulent, condamnant la direction arbitraire de Boussouf-Boumediene.

A l'automne 1958, le colonel Lamouri, commandant Lakhal, soutenus par le clan radical de la wilaya sent un putsch visant au renversement du GPRA et à la pér unités frontalières en Algérie.

 

Ayant découvert le complot, les 3 B (Belkaceni, Boussouf, Bentobbal) font appel à Bourguiba qui fait encercler les insurgés par sa garde nationale.

 

En novembre, un tribunal présidé par Boumediene prononce quatre condamnations à mort et la détention de nombreux officiers,

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De l'ALN à l'Armée Nationale Populaire.

Les sept colonels qui se réunissent pendant 110 jours à partir de juillet 1959 créent une commission militaire composée

de Boussouf, Boumediene, Mohamedi et le commandant Slimane, chargée de repenser la stratégie de l'ALN.

Du 31 août au 3 septembre, cette commission définit

sept buts stratégiques, comprenant en particulier :

la destruction des barrages,

la création de bases à l'intérieur

et l'implantation au Sahara.

Les sept proposent également une nouvelle composition du CNRA, oÙ les militaires rentrent en majorité.

Du 18 décembre 1959 au 18 janvier 1960, le nouveau CNRA décide de créer un État-Major Général (EMG) confié à Boumediene.

C'est un revers pour Krim, qui devient ministre des Affaires étrangères et membre du Comité Interministériel de Guerre (CIG), aux côtés de Boussouf et Bentobbal.

Cherif Mahmoud est soupçonné de trahison.

Madani remplace le capitaine Bencherif au commandement des frontières (22).

Le CNRA approuve à son tour la reprise des actions aux frontières et le retour des officiers supérieurs en Algérie. Les commandants Zbiri et Souhahi réussissent le franchissement, alors que le colonel Lotfi, les commandants M'Barek et Rejaï y trouvent la mort.

Quatre officiers abandorment ce projet.

Quant à l'EMG, il " renonce aux franchissements en force, qui se sont révélés coûteux en hommes, inefficaces et démoralisants. Le but est de fixer le maximum de troupes françaises sur les frontières par des harcèlements rapides mais violents, combinant l'utilisation de l'artillerie lourde et des fantassins ".

Les blindés qui effectuent la " herse " seront également attaqués, ainsi que les avions.

Deux commandements subordonnés sont institués en Tunisie : la zone d'opérations Nord dirigée par Bensalem, Chadli et Abdelghani ;

la zone Sud confiée à Salah Soufi, Saïd Abid et Mohamed Alleg (23).

Prenant la suite de Krim, Boumediene sait utiliser les compétences des anciens officiers français : Boutella, Zerguini, Hoffmann et Chabou.

Ces officiers professionnels sont affectés au Bureau technique de l'EMG, d'autres sont en place à la Direction de l'Armement et dans les centres d'instruction, alors que Boumediene conserve comme adjoints directs ses fidèles : Mendjeli, Kaïd Ahmed et Azzedine.

Accompagné de ses adjoints techniques il inspecte en février-mars 1960 toutes les unités frontalières, du nord au sud, désigne les commandants d'unité et fixe les dotations d'armement et de matériel (24).

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bonsoir argelino !

voiçi la réponse quand tu dit que TON HB Fut issé au sommet du pouvoir par de vrais patriotes.

TT le contraire :

juste pour vous dire ceci et je ne reponderai plus à vos provocations comme je l'ai dit ailleurs pour les motifs que j'ai enumérés sur une autre discussion, entre autre votre formation et votre niveau d'instruction avec tout les respect que je dois aux gens dont les niveau est bas .

et je pense qu' ADMINO quand il vous a qualifié d ' HAUTAIN et d'ARROGANT ,n'a pas tort . bref .

ecoutez j'ai relevé bcp de contradictions dans les ecrits que vous avez copié et je sais pourquoi ,parceque tout simplement vous les copiez sans les lire sans savoir le contenu et c'est malheureux . mais bon ce n'est ni vous ni moi qui changeront le cours de l'histoire

 

voila, si vous etes un HOMME juste et si vous avez le COURAGE oui je dis bien LE COURAGE d'un patriote comme vous le dites et ROUDJLA comme chez nous ds les aures .et si vous etes correct entre vous et vous meme et envers dieu surtout, dites HAUT ET FORT

qu'est ce qu'il etait SI BOUMEDIENE EN 1957 ET EN 1960 et qui sont ces gens là qui l'ont nommé à ces postes dans la hierarchie de l'ALN que vous defendiez.

je vous rappelle que SI BOUMEDIENE etait le plus jeune colonel de l'ALN ;et il etait nommé CHEF D'ETAT MAJOR en 1960 .

ALORS s'il vous plait mille fois vous qui voulez que les jeunes d'algerie connaissent à travers ces ecrits ,l'histoire ,il est plus HONNETE et plus COURAGEUX de leur dire la verité de BOUMEDIENE en 1957 et 1960.meme si cette verité vous blesse quelque part.

s'il vous plait s'il vous plait repondez qu'a cette question ?????

je ne veux que cette reponse mille fois s'il vous plait.

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voiçi ce que dit khaled nezzar de feu HB .

Houari Boumediène

L'ANP était l'œuvre de beaucoup d'hommes. Boumediène en fit sa chose, sa chasse gardée son instrument, le mythe par lequel il effrayait et dissuadait. ll en était le “patron”, jaloux de son pouvoir.

Tout ce qui avait trait à l’armée le concernait au premier chef : les mutations, les promotions, les prébendes ou les sanctions (les conjurés du 14 décembre 1967 seront frappés d'une main de fer, la sévérité du châtiment devant servir d’exemple). Craignant que l'unité des chefs ne mue en entente, en connivence, il assurait sa tranquillité en maintenant ouvertes, mais gérables, les petites lignes de fracture entre les anciens baroudeurs et les jeunes compétences.

Il bénéficiait de l'effet de la mésentente larvée qui resurgissait, de temps à autre, entre les uns et les autres.

Aucune décision n'était prise sans son aval.

Toujours aux aguets, méfiant, il avait bloqué l'avancement, les salaires, l'organisation de l'armée en grandes unités opérationnelles.

Tout ce qui pouvait inspirer des candidats aux pronunciamentos était écarté. Pas de généraux, surtout pas de généraux !

L’exemple de la Syrie et de l'Irak était là pour lui rappeler l'équation moyen-orientale : un général + une grande unité = un coup d'Etat.

L'implantation spatiale des unités était faite en fonction non pas de la défense du territoire, mais du contrôle de la population

. Grosso modo, il avait maintenu le découpage géographique des wilayas historiques.

L'ANP était-elle au pouvoir au temps de Houari Boumediène ? Quelle a été son influence réelle, son poids, les secteurs où elle a exercé son entregent ? Par qui et comment ? se demande-t-on encore 25 ans après la disparition de l'homme qui l'incarna.

De même qu’il avait tout fait pour éviter le partage de la décision politique, sa conception du pouvoir (aut caesar, aut nihil) lui fit maintenir l'ANP sous sa férule directe afin qu’elle lui demeure inféodée, sans intermédiaire et sans équivoque, (Tahar Z'biri paiera le prix d'avoir été simplement là où il ne fallait pas être).

S'il est vrai que la fonction ne vaut que par l’homme, Abdelkader Chabou, mort dans des circonstances tragiques, ne sera, en fait, jamais remplacé.

Le commandement et l'organisation de l'ANP connurent longtemps le statu quo. Pas d'état-major.

Des directeurs centraux confinés dans des rôles strictement administratifs.

Des chefs régionaux vieillissants et sans aucune envergure technique.

La période où Houari Boumediène a exercé le pouvoir a été une période de marginalisation sur le plan politique de l'armée et de quasi-stagnation sur le plan technique.

A peine si la guerre de Cent ans au Moyen-Orient et les menaces sur notre frontière occidentale ont poussé Houari Boumediène à secouer sa routine pour moderniser les équipements de l'ANP et élever le niveau de la formation militaire.

La configuration du Conseil de la Révolution semblait politiser l’ANP, mais les commandants de région qui en étaient membres demeuraient en fait, écartés du vrai pouvoir qu'ils avaient délégué à Boumediène..

. puisque, sous leur deuxième casquette, il était leur chef.

Curieuse position que celle de ces hommes politiques auxquels il était interdit de faire de la politique ! Ahmed Ben- Ahmed Abdelghani, Chadli Bendjedid (le futur avatar de son système), Salah Soufi, Saïd Abid (pour peu de temps) ou encore Mohamed Salah Yahiaoui, ne seront jamais à l'aise dans cet exercice qui tenait du grand écart.

Il les convoquait, les réunissait de temps à autre, leur exposait les grandes lignes d’un dossier ou donnait la parole à un commis qui dissertera savamment sur les tenants et les aboutissants techniques de telle ou telle question.

Ils écoutaient, faisaient semblant de comprendre, opinaient du chef.

Quelquefois, l'un d’eux posait timidement une question, souvent à “côté de la plaque”.

Qu'importe, il avait l’impression d'avoir contribué à la gestion du pays

. Plus tard, lorsque le Conseil de la Révolution, lavé et relavé, se sera rétréci comme une peau de chagrin, les réunions seront communes avec les membres du gouvernement.

Ces rencontres — audelà de l'importance des dossiers qui y étaient traités — servaient essentiellement à tirer vers le bas ce qu'il restait de ce directoire. La non-implication de l’ANP dans la décision politique était indéniable malgré le faux-semblant de la physionomie du Conseil de la Révolution. Il demeure, cependant, que la présence de militaires dans l'instance politique suprême du pays, même virtuelle, et surtout l'extraordinaire activisme de la sécurité militaire auront, irrémédiablement, impliqué l'ANP, pour le meilleur et pour le pire, aux côtés de Houari Boumediène.

Au lendemain de l'indépendance, l'ANP ne pouvait pas être un outil militaire confiné dans une aire délimitée, aseptisée et silencieuse. De par son histoire récente, de par les fortes personnalités qui étaient à sa tête, elle était un réceptacle bouillonnant de projets et d'ambitions.

La vie d'un pays, la vie d'une institution ne sont jamais un long fleuve tranquille, elles sont remplies de fureur et de remous.

Selon la conjoncture, les arguments et surtout les moyens des uns leur avaient permis de l'emporter sur ceux des autres.

La décantation sera longue et souvent douloureuse. Je ne prétends pas revisiter l'histoire et porter, a posteriori, des jugements de valeur sur les personnes ou sur les raisons qui les ont fait agir.

Je dis simplement que pour l’immense majorité des militants en armes que nous étions,

Ies allégeances n'étaient pas inspirées par des sympathies doctrinales ou idéologiques, qui étaient les mêmes chez tous les compétiteurs, mais par des sentiments, des jugements de valeur, forcément subjectifs et réducteurs

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.

ALORS s'il vous plait mille fois vous qui voulez que les jeunes d'algerie connaissent à travers ces ecrits ,l'histoire ,il est plus HONNETE et plus COURAGEUX de leur dire la verité de BOUMEDIENE en 1957 et 1960.meme si cette verité vous blesse quelque part.

s'il vous plait s'il vous plait repondez qu'a cette question ?????

je ne veux que cette reponse mille fois s'il vous plait.

 

VOILA et ce n'est pas une bravoure de le dire : le probleme n'est pas là et ce n'est pas une provoc comme certains et toi le pretendent : c'est la verité :

 

entre tes dates 1957 et 1960 rien de special ;pas de faits d'arme sou de batailles : que des nominations ctd (corruption à la militaire)

 

En 1948, il se rendit à Constantine pour poursuivre ses études à l’école El Kettania.

en janvier 1951, . Arrivé au Caire et en février de la même année, il s’inscrivit à l’université El Azhar tout en suivant les cours du soir au lycée el Khidiwi (Le Khédive).

C’est là qu’il fit la connaissance du militant algérien Ali Mougari, natif de la ville de Lakhdaria qui le convainquit de suivre un entraînement militaire.

En 1955, il retourne en Algérie où il rejoint les rangs de l'ALN (Armée de libération nationale).

Très vite, il se fait remarquer et occupe UN poste DANS d'état-major AVEC L'APPUI DE BOUSSOUF SON COUSIN ET ZEGRARR TU CONNAIS ?

 

AU mois de septembre 1957,

date à laquelle il fut promu au grade de colonel et devint chef de la wilaya V, en remplacement de Abdelhafid Boussouf qui avait été désigné au Comité de Coordination et d’Exécution..

En 1960, il fut nommé chef d’état-major général de L'ANP et s’installa dans la région de Ghardimaou, aux frontières algéro-tunisiennes

 

IL n'a pas tiré un coup de feu et est devenu colonel : bizarre ! non???

 

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Devenu l'un DES plus jeune colonel du FLN en 1957,

commandant de la wilayaV en 1958,

il fut nommé, en 1960, chef d'état-major de l'Armée de libération nationale hors de l'Algérie

Et d'aprés toi c'est une histoire de fait d'armes ça ?????

QUI ETAIT DERRIERE LUI ??

moi je le sais ! boussouf le MALG et enfin le SDECE .

 

Pendant ce temps les vrAis heros de l'ALN soit ils tombaient dans des embuscades : lotfi ,zighout youcef et si el haouas ,soit combattaient dans les djebels avec rien comme nominations :zero juste le devoir de combattre et bokou sont morts les armes a la main : amirouche et ls autres chouhadas.

 

 

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allez a demain la suite !

je te jure que je ne te lacherais qu'au moment ou tu enleve de ce forum paisible et tranquille ce criminel et opprrtuniste de boukharrouba comme avatar et krim seras là pour le narguer.

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VOILA et ce n'est pas une bravoure de le dire : le probleme n'est pas là et ce n'est pas une provoc comme certains et toi le pretendent : c'est la verité :

 

entre tes dates 1957 et 1960 rien de special ;pas de faits d'arme sou de batailles : que des nominations ctd (corruption à la militaire)

 

En 1948, il se rendit à Constantine pour poursuivre ses études à l’école El Kettania.

en janvier 1951, . Arrivé au Caire et en février de la même année, il s’inscrivit à l’université El Azhar tout en suivant les cours du soir au lycée el Khidiwi (Le Khédive).

C’est là qu’il fit la connaissance du militant algérien Ali Mougari, natif de la ville de Lakhdaria qui le convainquit de suivre un entraînement militaire.

En 1955, il retourne en Algérie où il rejoint les rangs de l'ALN (Armée de libération nationale).

Très vite, il se fait remarquer et occupe UN poste DANS d'état-major AVEC L'APPUI DE BOUSSOUF SON COUSIN ET ZEGRARR TU CONNAIS ?

 

AU mois de septembre 1957,

date à laquelle il fut promu au grade de colonel et devint chef de la wilaya V, en remplacement de Abdelhafid Boussouf qui avait été désigné au Comité de Coordination et d’Exécution..

En 1960, il fut nommé chef d’état-major général de L'ANP et s’installa dans la région de Ghardimaou, aux frontières algéro-tunisiennes

 

IL n'a pas tiré un coup de feu et est devenu colonel : bizarre ! non???

 

 

soubhan ALLAH EL ALLI EL ADHIM...

JAMAIS jamais jamais dans ma vie j'ai rencontré un homme comme toi , mais je te dis cette derniere : ADIEU , c'etait de ma faute de t'avoir repondu la premiere fois ...et maintenant je me rends compte que tu ne sais meme pas lire .....

allez et sans hesiter je te dirais la malhonneteté ,la haine ,le non courage pour ne pas dire la lacheté ليست من شيم الرجال

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allez a demain la suite !

je te jure que je ne te lacherais qu'au moment ou tu enleve de ce forum paisible et tranquille ce criminel et opprrtuniste de boukharrouba comme avatar et krim seras là pour le narguer.

 

au grand jamais et au grand jamais ,j'enleverai ça , il sera tjrs là en train de te faire peur meme mort, comme il l'a deja fait à tous tes generaux , les harkis ,les laches ,les hizb frança derriere lequel vous vous caché tous ...vous qui avaient tués des jeunes algeriens au nom DU GIA et autres , vous devriez avoir honte ,tout le monde sait que vous etes derriere la mort de nos policiers de nos gendarmes et de nos ministres de nos enfants de ben TALHA ,tous ces enfants que vous avez tué vous poursuiveront dans vos tombes .il viendera le jour ou vous payez tous ,les generaux et ceux qui etaient sous leur ordres ,ne vous inquietez pas

ان الله يمهل و لا يهمل

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appel au jeunes algeriens :

 

faites attention à la desinformation , je vous conseille de lire ,lire et lire ,le HIZB FRANçA est toujours là ils veulent vous induire en erreur ,on vous dit par exemple qu'entre les années 1957 et 1960 ,y'avait rien de special quand à notre guerre de liberation .

alors repondez leur par ceci :

 

* pourquoi alors la bataille d'ALGER : debut le 07/01/1957 ???

 

* s'il y'avait rien,comment est ce que le grand BEN MHIDI etait executé dans la nuit du 3_4/ 1957 ????

*s'il y'avait rien,comment est ce que le grand AMIROUCHE est tué le 29/03/1959.

 

*'il y'avait rien,comment est ce que le grand si EL HOUES est tué en 1959 ???

ALORS OUVREZ BIEN VOS YEUX , le seul moyen c'est de lire et de demander avis aux grands moudjahidine et non aux faux

 

LISEZ BIEN CE QUE VOUS DISENT CES GENS LA QUI PRETENDENT ETRE DES COMBATTANTS ILS NE SAVENT MEME PAS QU'EN 1960 C'etait pas L'ANP c'etait L'ALN . je vous ramene ici ce qu'a dit monsieur JILLA :

En 1960, il fut nommé chef d’état-major général de L'ANP et s’installa dans la région de Ghardimaou, aux frontières algéro-tunisiennes

 

alors comment discuter ou faire confiance à quelqu'un qui ne fait pas la difference entre l'ALN et l'ANP alors qu'il pretend etre commandant et maquisard etc..... et qu'il a travaillé sous les ordres du general touati ....alors il ne peut etre qu'un ex caporal de l'armée française , donc faites attention !!!!!

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