Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 POUR faire mieux comprendre que la revolution algerienne fut populaire ? IL fallait que je commence par ça : C'est les ingredients necessaires pour les intoxiqués : FLN: Front de Libération nationale Le Front de Libération nationale a été fondé à l'automne 1954 par une poignée d'Algériens qui pensaient qu'il était nécessaire de passer par une lutte armée pour obtenir l'indépendance de leur pays. Il s'est imposé face aux autres mouvements algériens, au besoin par la force, et a mené la guerre contre l'armée française jusqu'en 1962. Il a alors pris la direction du pays. ce FLN lui mm ? est fait de plusieurs militants de différents partis. A suivre :le cours d'histoire est permanent !). avec des fleurs bien sur ! pour dépassionner le débat. Citer Link to post Share on other sites
argelino 10 Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 ________________MODERATION___________________ Jilla et Argelino, une fois de plus, vous êtes priés d'éviter la pollution de topic ! bonjour lina , c'est juste une precision de ma part et j'espere qu'elle ne sera pas supprimée ,tout en vous demandant d'etre JUSTE ,pour que ce forum qui est le notre (je pense ),continue à exister. quand monsieur jilla à creé ce topic ,si vous avez remarqué ,je n'ai intervenu que plus tard ( post46 ) et ce suite à sa provocation ci dessous : POST 42 voiçi la réponse quand tu dit que TON HB Fut issé au sommet du pouvoir par de vrais patriotes. TT le contraire : alors il s'adresse bien à moi bienque je n'ai fait aucune intervention durant tout son discours ( du post 1 au post 42 ). ma reponse fut la suivante /POST 46 juste pour vous dire ceci et je ne reponderai plus à vos provocations comme je l'ai dit ailleurs pour les motifs que j'ai enumérés sur une autre discussion, entre autre votre formation et votre niveau d'instruction avec tout les respect que je dois aux gens dont les niveau est bas . et je pense qu' ADMINO quand il vous a qualifié d ' HAUTAIN et d'ARROGANT ,n'a pas tort . bref . ecoutez j'ai relevé bcp de contradictions dans les ecrits que vous avez copié et je sais pourquoi ,parceque tout simplement vous les copiez sans les lire sans savoir le contenu et c'est malheureux . mais bon ce n'est ni vous ni moi qui changeront le cours de l'histoire voila, si vous etes un HOMME juste et si vous avez le COURAGE oui je dis bien LE COURAGE d'un patriote comme vous le dites et ROUDJLA comme chez nous ds les aures .et si vous etes correct entre vous et vous meme et envers dieu surtout, dites HAUT ET FORT qu'est ce qu'il etait SI BOUMEDIENE EN 1957 ET EN 1960 et qui sont ces gens là qui l'ont nommé à ces postes dans la hierarchie de l'ALN que vous defendiez. je vous rappelle que SI BOUMEDIENE etait le plus jeune colonel de l'ALN ;et il etait nommé CHEF D'ETAT MAJOR en 1960 . ALORS s'il vous plait mille fois vous qui voulez que les jeunes d'algerie connaissent à travers ces ecrits ,l'histoire ,il est plus HONNETE et plus COURAGEUX de leur dire la verité de BOUMEDIENE en 1957 et 1960.meme si cette verité vous blesse quelque part. s'il vous plait s'il vous plait repondez qu'a cette question ????? je ne veux que cette reponse mille fois s'il vous plait malgré tout ça le monsieur, continue et de me repondre comme suit: post50 allez a demain la suite ! je te jure que je ne te lacherais qu'au moment ou tu enleve de ce forum paisible et tranquille ce criminel et opprrtuniste de boukharrouba comme avatar et krim seras là pour le narguer. alors je me demande *est ce comme ça qu'on presente l'histoire à nos enfants ?? *est comme ça qu'on eduque nos enfants ? * est ce une façon de tenir une discussion des plus importante et delicate sur un forum ??? * n'est elle pas une provocation de sa part avant meme que j'intervienne?? je te laisse le soin, lina d'eclairer les choses en toute sincerité et merci . Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 L'Eveil du Nationalisme Algérien une petite introduction est necessaire: Après les développements intervenus sur la scène politique en Algérie au cours des années trente tels que la tenue du Congrès Islamiqueen 1936 et l'arrivée du Front Populaire au pouvoir en France puis la déception du mouvement national algérien quant aux promesses de réformes faites par le Front Populaire et suite à la dissolution de l'Etoile Nord Africaine en 1937, les anciens militants de l'ENA se regroupèrent pour former un nouveau parti nationaliste, à savoir le Parti du Peuple Algérien.. L'Eveil du Nationalisme Algérien Dès cette période, les aspirations nationales s'expriment en des organisations multiples et souvent antagonistes. Les oulémas : ces "docteurs de la loi" représentent l'orientation nationalitaire défendent l'identité culturelle en une formule restée célèbre "L'arabe est ma lange, l'Algérie est mon pays, l'islam est ma religion" Fut créé en 1931 à ALGER par Abdelha mid Ben Badis issu d'une grande famille musulmane de Constantine. FERHAT ABBAS publie : le jeune algérien. le courant Jeune algérien C'est dans ce courant que les premiers intellectuels algériens et les éléments d'une bourgeoisie libérale se trouvent représentés. Incarné par Ferhat Abbas (docteur en pharmacie) qui veut espérer en la France idéale. Il prône ainsi l'égalité de ceux qu'on appellera les pieds-noirs mais reste attaché à sa personnalité religieuse. le courant communiste le "Parti Communiste Algérien" est officiellement fondé en 1936. Bien implanté dans l'Oranie, sa conception de l'Algérie "Nation en Formation" énoncée en 1939, son refus du mot d'ordre de l'indépendance le feront heurter au nationalisme républicain. La plupart des militants du PCA rejoindront en 1956 le FLN à titre individuel. Principal courant nationaliste "l'Étoile Nord Africaine" (ENA) Né en 1926 à PARIS, dirigée par Messali HADJ est le seul à réclamer ouvertement l'indépendance algérienne. L'ENA voit le jour avec le soutien actif du PCF et affirme que sont but fondamental est la lutte pour l'indépendance totale de chacun des trois pays : Tunisie - Maroc - Algérie. En février 1922, au congrès de Bruxelles, déclare "le peuple algérien qui est sous la domination française depuis un siècle n'a plus rien à attendre de la bonne volonté de l'impérialisme français pour améliorer notre sort". Dissoute en novembre 1929, l'ENA se reconstitue en 1933 ; de mai à août 1935 organise 44 meetings à PARIS. Peu à peu, les nationalistes militants gagnent du terrain et la tendance aux opérations clandestines pour un renversement brutal de l'ordre existant s'accentue. en 1933 : . Reconstitution de l'étoile Nord Africaine par Messali HADJ. 1936 . 7 juin : la fédération des élus, les OULÉMAS et les communistes fondent le congrès musulman algérien dans le cadre du Front Populaire 1937 . 11 mars : les nationalistes algériens proclament le PPA (Parti du Peuple Algérien) tjr avec des fleurs svp ! Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 bonjour lina , c'est juste une precision de ma part et j'espere qu'elle ne sera pas supprimée ,tout en vous demandant d'etre JUSTE ,pour que ce forum qui est le notre (je pense ),continue à exister. quand monsieur jilla à creé ce topic..... alors il s'adresse bien à moi juste pour vous dire ceci et je ne reponderai plus à vos provocations et je pense qu' ADMINO quand il vous a qualifié d ' HAUTAIN et d'ARROGANT ,n'a pas tort . je te jure que je ne te lacherais qu'au moment ou tu enleve de ce forum paisible et tranquille ce criminel et opprrtuniste de boukharrouba comme avatar et krim seras là pour le narguer. alors je me demande *est ce comme ça qu'on presente l'histoire à nos enfants ?? *est comme ça qu'on eduque nos enfants ? * est ce une façon de tenir une discussion des plus importante et delicate sur un forum ??? * n'est elle pas une provocation de sa part avant meme que j'intervienne?? je te laisse le soin, lina d'eclairer les choses en toute sincerité et merci . CHOSE PROMISE ? CHOSE DUE . Enfin ce n'est pas de la provoc ? c'est une invite . ECOUTE fiston , en t'interpellant : je voulais que tu lis et que tu participe en donnant tes réponses : pas pour insulter ou appuyer les PROPOS erronés des autres . pour le fair play ! constate que mon avatar n'est plus ! tt ton contraire . Et ce n'est pas moi qui rapporte l'appreciation des autres sur ton compte dans ce topic .et c'est dans le forum . Haram ça!!! enfin ! tt les enfants et mm toi seront gavés d'histoire de notre beau pays avec la suite que je projete et ceci pour enlever la CHAPE de plomb et afin que nul ne l'oublie . LINA est une moderatrice ! pas un arbitre ? fiston!!! ALORS AIDE MOI ! afin qu'elle et son admin ne verouillent aussi ce topic. ce serais une insulte à moi personnellement et notre memoire vivante . car pour le premier ? il fut ouvert et fermé par son propre auteur. Et c'est juste ! Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 bonsoir ! "la suite "et avec des fleurs comme promis . les lecteurs et lectrices ont constaté que le mouvement nationaliste a débuté en oranie (l'est du pays ). Aprés l'ENA , voiçi le PPA parti du peuple algérien . Le Parti du Peuple Algérien fut créé en mars 1937 en France en tant que prolongement de l'ENA. Plus de 300 militants assistèrent au congrès constitutif à l'issue duquel Messali El Hadj fut élu président du parti, qui décida de transférer ses activités en Algérie après que Messali y soit revenu le 18 juin 1937. Très rapidement, le parti du peuple se transforma en une organisation politique forte et un mouvement nationaliste pur connu pour sa capacité d'organisation et sa vaste implantation dans toutes les villes d'Algérie, bénéficiant en cela de l'expérience politique des anciens militants de l'ENA . Afin de propager ses idées et faire connaître ses principes, le PPA publia bon nombre de journaux : parmi lesquels : " al Umma " " al chaâb " que dirigeait Mufdi Zakaria ainsi que le parlement algérien. Le parti avait une intense activité politique, qui lui valut la confiance du peuple lequel s'unit autour de lui et l'élargissement de sa base populaire dans toutes ;les différentes villes d'Algérie. En un court laps de temps, il devint un parti national populaire ayant du poids au regard des autorités coloniales qui surveillaient les mouvements de ses militants ainsi que leurs activités. Cependant, sa dissolution ne tarda pas à être décrétée le 27 septembre 1939 et ses leaders furent arrêtés. Son président Messali El Hadj fut condamné aux travaux forcés. C'est ainsi que fut tournée la page du PPA aux yeux de l'administration française. Cependant l'activité nationaliste connaîtra une autre étape au cours de la seconde guerre mondiale et même après. Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 la seconde etape du nationalisme algerien le vide politique : rien à l'est ! ni à l'ouest ! ni au nord ! ni au sud! Durant les années 1940-1942, le mouvement national souffrait de l'absence de direction. Messali El Hadj passait de la prison à l'exil. Les gens avaient perdu confiance en Benjelloul dont les positions étaient obscures et changeantes au cours des années 30. Ferhat Abbas s'est porté volontaire dans l'armée française alors qu'il n'avait pas encore gravi les échelons de la responsabilité, n'était pas connu au niveau national et bien qu'il fut connu en tant que personnalité, il n'avait pas encore exercé de commandement. Pour toutes ces raisons, les Algériens avaient besoin de quelqu'un qui les guiderait et exprimerait leurs souhaits au cours de cette période critique caractérisée par le vide politique. Il n'y avait ni rassemblements, ni partis, ni dirigeants, ni journal ou périodique autour duquel ils se seraient regroupés. L'Algérie entrait alors dans une nouvelle phase de sa vie politique voilà ! qu'apparait Les amis du Manifeste Algérien (AML). Dès le 8 novembre 1942, l'Algérie entra dans une nouvelle étape de son évolution politique dominée d'une part par les Alliés et d'autre part par le Comité pour la France Libre. Cette phase durera jusqu'à la fin de la guerre et aux évènements du 8 mai 1945. Au niveau national, cette phase s'est distinguée par une tentative de combler le vide, initiée par Ferhat Abbas. Quant aux membres du PPA et de l'association des ulémas musulmans algériens, ils étaient soit bloqués soit éloignés du champ politique. Elle fut également caractérisée par le champ libre laissé aux communistes pour reprendre leurs activités. Au cours de cette période, apparut un courant modéré représenté par le Manifeste Algérien qui représentait les idées des modérés basées sur l'esprit de clan, l'intérêt particulier et la prise en compte des circonstances Ferhat Abbas s'engagea au nom des Amis du Manifeste à oeuvrer à la distribution des richesses aux paysans, à s’opposer à la féodalité et aux couches privilégiées et que leur objectif était l'instauration d'une république algérienne rattachée à la France une fois que celle-ci se serait libérée de l'idée de colonialisme impérialiste. L'année 1944 s'était à peine achevée que le mouvement national était devenu plus politique, bénéficiant d’un soutien plus fort et jouissant d'une solide expérience. Par ailleurs, il s'était engagé avec les Français dans une phase de défi et d'affrontement, démarche jusque là inconnue, phase qui s'acheva par les massacres du 8 mai 1945. Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 Tjr la suite et avec des fleurs: "le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques" Naissance du Mouvement : Après les massacres du 8 Mai 1945 et la libération de Messali el Hadj en octobre 1946, les cadres du Parti du Peuple Algérien tinrent une réunion à Alger en décembre 1946 au cours de laquelle fut examinée la réactivation du parti sous un nouveau nom "le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques" tout en gardant le Parti du Peuple Algérien en tant qu'aile politique secrète active. le mouvement prends place dans la capitale : alger. Le Mouvement a pris une nouvelle orientation en adoptant la méthode de la trêve avec la politique française, d'où l'appel de MESSALI El Hadj à participer aux élections et l'idée de la lutte légale. Cela donna naissance à une aile opposée à l'adaptation avec la politique coloniale et à la création d'une aile paramilitaire en février 1947 qui prit le nom d'Organisation Spéciale. L'OS.La Crise du Mouvement La crise au sein du mouvement apparut de façon évidente lors de la tenue de son deuxième congrès en avril 1953, au cours duquel apparurent les questions essentielles du conflit entre le Comité Central d'une part et Messali et ses partisans de l'autre. Les membres de l'Organisation spéciale adoptèrent une position opposée au conflit, insistant sur la nécessité de sauvegarder l'unité du mouvement et assurer sa stabilité. Selon les termes de la motion finale du deuxième congrès du Mouvement, il découla des travaux du congrès une décision stipulant la définition des prérogatives du président du Mouvement et l'instauration d'une sorte de démocratie au sein de la direction du mouvement et l'adoption des décisions à la majorité. Messali avait en effet insisté pour jouir de pouvoirs absolus pour diriger le mouvement. La deuxième décision a consisté à éloigner les plus importants collaborateurs de Messali du bureau politique, à savoir Ahmed MEZGHENNA et Moulay MERBAH et à faire élire Benyoucef BEN KHEDDA en tant que secrétaire général du Mouvement et à lui choisir Hocine LAHOUEL et Abderrahmane KIOUANE comme adjoints. Mais MESSALI El Hadj ne tarda pas à rejeter les décisions du congrès et il fut question dans la lettre de MESSALI aux militants du Mouvement du retrait de sa confiance au Comité Central. La lutte entre Messalistes et centralistes s'intensifia vu que chacune des parties campait sur ses positions. Il s'en suivra l'émergence d'un nouveau mouvement connu sous le nom de / Comité pour La Révolution, l'Unité et l'Action (CRUA) qui oeuvrera à concilier les deux parties mais sans succès, puisque les partisans de MESSALI se réunirent en Belgique les 14,15 et 16 juillet 1954 et introduisirent des aménagements à la structure du mouvement. Ce congrès fut considéré comme étant celui de la scission définitive puisqu'il en émana la décision d'écarter les anciens dirigeants du MTLD. Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 LA SUITE et sans fleurs. PCQ (PAGE SOMBRE) Création de l'UDMA l’Union Démocratique pour le Manifeste Algérien A sa sortie de prison en avril 1946, Ferhat Abbas procéda à la création de l’Union Démocratique pour le Manifeste Algérien. Il réunit les militants dans le cadre de l’Union sur la base du programme du Manifeste Algérien. Tous les militants de l’élite algérienne qui avaient participé à l’élaboration du Manifeste Algérien rejoignirent l’Union. Parmi eux figurent des avocats tels que Boumendjel, Kaddour Sator, des médecins tels que Saadane, Benkhelil et Ahmed Francis etc. Abbas publia un communiqué par lequel il dénonçait les crimes du colonialisme lors des massacres du 8 mai 1945, démontrait qu’il avait déployé des efforts pour la coopération algéro musulmane, insistant sur la non implication des Amis du Manifeste dans ces crimes, ceux-ci ayant organisé une manifestation pacifique et n’ayant appelé qu’à la paix, au calme, à l’union et à la compréhension mutuelle entre Européens et Algériens. Position de l'UDMA par rapport à la lutte de libération Ferhat Abbas, secrétaire général de l’Union a commenté les opérations intervenues au cours de la nuit du déclenchement de la lutte de libération en novembre 1954 en disant : « C’est le désespoir, le chaos et l’aventurisme ». Le comité central de l’Union s’était réuni le premier novembre pour étudier la possibilité de fournir de l’aide aux victimes du séisme d’El Asnam et des conséquences politiques engendrées par la scission du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques. Il fut contraint d’étudier la nouvelle situation engendrée par le déclenchement de la Révolution, considérant que ce n’était là que la conséquence des mises en garde adressées par l’Union aux autorités françaises et une réaction à l’oppression et la fraude. L’Union ne croyait pas que le Front de Libération Nationale résisterait devant les troupes françaises, ni que la violence révolutionnaire ouvrirait la porte aux négociations et manœuvres avec les Français. Abbas écrivit que la violence ne résolvait rien et que de ce fait, il était opposé à la lutte armée, proposant aux Français le respect de la loi, le retour à la liberté de vote et l’adoption du principe de l’égalité dans la représentation entre Musulmans et Européens. Il précisa que ces propositions étaient en totale contradiction avec les principes de la déclaration du premier novembre 1954. Ferhat Abbas poursuivit sa politique d’opposition aux principes du Front de Libération Nationale, soutenant la politique de réformes de Soustelle avec lequel il entama des négociations par le biais de son représentant, Ahmed Francis . Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 enfin dés le premier novembre 1954 ;declaration du front de libération nationale que le FLN commenceras jusqu'à son aboutissement la revolution populaire pour l'indépendance de la patrie . Tôt le matin du 1er novembre 1954, les maquisards du FLN déclenchèrent des attaques dans diverses régions de l'Algérie contre des installations militaires, commissariats, entrepôts, équipements de communications, et des bâtiments publics. Plusieurs soldats français sont tués. Parmi les premières victimes, dans les gorges de Tighanimine Aurès, à 7 heures du matin, les maquisards ont bloqué l'autocar et ont fait descendre ses deux passagers français, un couple d'instituteurs, les Monnerot, et le caïd de la localité voisine de M'chounèche, Hadj Sadok. Ce dernier, ancien officier de l'armée française, a été abattu lorsqu'il a voulu sortir un pistolet de sa gandoura. La rafale a tué Guy Monnerot qui se tenait à ses côtés. Sa femme a été grièvement blessée. Depuis Le Caire, le FLN diffuse une émission radiophonique invitant les musulmans d'Algérie à s'associer dans une lutte nationale pour la « restauration de l'État algérien, souverain, démocratique et social, dans le cadre des principes de l'Islam » Içi je mettrais UNE COURRONE de fleurs pour la gloire des 1 MILLION ET DEMI chouhadas de tt le pays d'est en ouest et du nord au sud . Citer Link to post Share on other sites
argelino 10 Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 CHOSE PROMISE ? CHOSE DUE . Enfin ce n'est pas de la provoc ? c'est une invite . ECOUTE fiston , en t'interpellant : je voulais que tu lis et que tu participe en donnant tes réponses : pas pour insulter ou appuyer les PROPOS erronés des autres . pour le fair play ! constate que mon avatar n'est plus ! tt ton contraire . Et ce n'est pas moi qui rapporte l'appreciation des autres sur ton compte dans ce topic .et c'est dans le forum . Haram ça!!! enfin ! tt les enfants et mm toi seront gavés d'histoire de notre beau pays avec la suite que je projete et ceci pour enlever la CHAPE de plomb et afin que nul ne l'oublie . LINA est une moderatrice ! pas un arbitre ? fiston!!! ALORS AIDE MOI ! afin qu'elle et son admin ne verouillent aussi ce topic. ce serais une insulte à moi personnellement et notre memoire vivante . car pour le premier ? il fut ouvert et fermé par son propre auteur. Et c'est juste ! j'espere que tu t'appelle JILLA et non LINA ,et que je ne suis pas ton fiston. merci d'etre comprehensif. bonne continuation. pour notre histoire ,merci j'ai mes sources. Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 Le Front de libération nationale (ou FLN) a été fondé le 10 octobre 1954 pour obtenir l'indépendance de l'Algérie. Il était dirigé par neuf personnalités : Ahmed Ben Bella, Krim Belkacem (assassiné à Francfort en 1970), Mohhamed Khider, Mohammed Boudiaf (qui fut par la suite chef de l'État), Didouche Mourad, Ben Boulaïd, Bitat, Hocine Aït Ahmed et Larbi Ben M'Hidi VOUS VOYEZ MES ENFANTS :tt l'algerie est presente. Ce mouvement nationaliste est issu de la fusion de plusieurs mouvements. Il s'est doté d'une armée, l'ALN (Armée de libération nationale). Le FLN était aussi lié à d'autres mouvement nationalistes, dont le CRUA (Comité révolutionnaire d'unité et d'action), le GPRA (Gouvernement provisoire de la république algérienne, dirigé par Ferhat Abbas) et l'UDMA (Union démocratique du manifeste algérien). Le FLN et l'ALN ont utilisé une tactique de guérilla dans leur lutte : sabotages, attentats, assassinats, attaques de détachements militaires, émeutes. Durant la guerre d'Algérie (1954 - 1962), l'histoire du FLN a été marquée par de nombreuses purges, résultant de fortes rivalités internes et d'opérations de désinformation menées par les services secrets français. À l'indépendance, le FLN devint un parti politique, qui est toujours au pouvoir actuellement. voiçi une couronne de fleurs pour le" FLN historique" Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 le FLN avait son armée de liberation nationale c'etait la glorieuse ALN de l'interieur . Elle n'etait pas communiste , noi islamiste mais combattait pour la liberté . Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 L'ARMEE DE LIBERATION NATIONALE etait en symbiose avec le peuple comme un poisson dan l'eau . Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 MM LES FEMMES ALGERIENNES Y ETAIENT MM DANS LE COMBAT AUSSI ! Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 les combattants etaient surtout des enfants du peuple des ouvriers des paysans sans terre des commercant des peits bourgeois enfin tt le peuple mm la pegre MUSULMANE qui s'est rallié à l'ALN . Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 IL Y AVAIT DES INTELLECTUELS ET DES BRAVES D'anciens engagés de l'indochine et surtout qui aimaient leur patrie ; ce n'est que plus tard que les officiers musulmans de l'armée francaise rejoignirent le gros des troupes archaiques de l'ALN Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 20, 2007 Partager Posted August 20, 2007 L'origine de l'ALN remonte à l'Organisation Spéciale (O.S) laquelle avait œuvré à la constitution des premières cellules militaires armées au sein des militants du MTLD. Elle avait ainsi ouvert la voie à la mobilisation, qu'elle avait néanmoins soumise à certaines conditions. Elle s'était dotée d'un : CONSEIL NATIONAL DE LA REVOLUTION (CNR) et d'une organisation militaire se présentant comme suit: le demi-groupe, le groupe, le bataillon ainsi que de nombreuses sections : la section des explosifs, la section signalisation et la section chargée des caches. L'Organisation avait par ailleurs élaboré un programme d'entraînement militaire comprenant 12 leçons dont 50 copies furent imprimées et distribuées exclusivement aux chefs. Les entraînements étaient principalement axés sur les aspects théorique et pratique, notamment l'usage des explosifs et des armes, la tactique de la guérilla et l'art de l'embuscade et des incursions. Malgré les poursuites et des pressions exercées sur ses membres ainsi que les procès qui leur furent intentés, l'Organisation avait réussi à jeter les bases, esquisser et clarifier les conceptions pour la mise en place d'une institution militaire qui constituera le cadre militaire pour la lutte de libération. C'est ainsi que naquit l'Armée de Libération Nationale sur laquelle s'appuiera le Front de Libération Nationale pour libérer le pays de la domination coloniale et restaurer l'Etat algérien. L'un des problèmes les plus importants auxquels fut confrontée l'ALN fut celui des voies et moyens de se procurer les armes, d'autant plus que les autorités coloniales avaient commencé à concentrer leurs forces et mettre en oeuvre un important dispositif de guerre pour réprimer les régions entrées en révolte. Dans sa confrontation avec l'armée française, l'ALN avait adopté la stratégie de la guérilla basée sur l'effet de surprise et la connaissance du terrain Cette stratégie a réussi à lui assurer de nombreux succès militaires, du fait que l'exécution de telles opérations ne nécessitait pas la mobilisation de grands moyens mais faisait appel à des groupes réduits dotés d'un armement léger. D'autre part, avec l'effet de surprise, le résultat était quasiment assuré puisque, dans la plupart des cas, les embuscades tendues par l'ALN atteignaient les objectifs visés. Les attaques constituaient l'une des méthodes privilégiées par l'ALN, l'objectif étant d'affecter le moral des soldats français et démontrer l'existence effective de la Révolution et l'adhésion populaire qui l'accompagnait. L'ALN a adopté la méthode de la guérilla tout au long de la guerre de libération sans entrer dans un affrontement militaire classique avec l'armée française, sauf en cas de nécessité, et ceci trouve sa justification dans le déséquilibre du rapport de forces entre les deux armées en présence. La méthode de la guérilla a eu entre autres conséquences, la mise à rude épreuve de l'ennemi, la dispersion de ses forces et la destruction de ses installations économiques et vitales. -Première phase : 1954-1956 Au cours de cette phase, l'ALN ne représentait encore qu'un groupe réduit sous-équipé. La veille du 1er novembre, le nombre des moudjahidine s'élevait à 1200, armés d'environ 400 pièces entre fusils de chasse et pistolets hérités pour la plupart de la deuxième guerre mondiale. Cette armée était répartie sur les cinq régions arrêtées au cours de la réunion du 23 octobre 1954. Au cours de cette phase, l'ALN était composée des premiers contingents de moussabiline (volontaires civils), des fedayin (combattants armés), ainsi que des personnes faisant l'objet de poursuites par les autorités coloniales. Des conditions et critères avaient été arrêtés pour l'adhésion et l'enrôlement dans les rangs de l'ALN. La première formation arrêtée pour les unités de l'ALN était la suivante : FormationNombre d'élémentsCommandementLa faction (zoumra)05 moudjahidinCommandée par un soldat de 1ère classeLa Section (fawj)11-13 Moudjahid Commandée par un caporal et deux adjoints avec grade de soldat de 1ère classeLa Compagnie (fassila) 35-45 moudjahidin. 03 sections Commandée par 06 soldats avec grade de soldat de 1ère classe et 03 autres avec grade de caporal. A la tête de la compagnie, il est désigné un caporal-chef, assisté d'un secrétaire.Le Bataillon (katiba)105-110 moudjahidinCommandé par un adjudant et deux adjoints dont l'un est militaire et l'autre politiqueLa Division (qism)constituée de plusieurs bataillonsLa Zone (mintaqa)constituée de plusieurs divisions L'organisation militaire de l'armée obéissait au système des sections (fawdj ; pl. afwadj) Cette forme d'organisation était dictée par la nécessité de la présence et la répartition de l'ALN à travers tout le territoire national. Les premiers dirigeants avaient réussi à mettre en place les bases organisationnelles et structurelles de l'Armée de Libération et à tracer un programme pour l'action militaire, visant à assurer la continuité de la Révolution ainsi que la globalisation et la généralisation de l'action militaire, la coordination entre l'action politique et militaire ainsi que la dotation de l'armée en armement. Outre le fait que la Révolution a d'abord compté sur elle-même, elle intensifia la fabrication des bombes artisanales et la collecte de toutes les munitions et armes possibles auprès des citoyens ainsi que la récupération des armes de l'ennemi au cours des batailles. La Révolution a ainsi réussi à réaliser de nombreuses victoires militaires et atténuer les retombées de l'offensive militaire française intensive, basée sur les opérations de ratissage, l'utilisation de toutes sortes de matériels de guerre et d'armes prohibées. Les attaques du 20 août 1955, dirigées par le martyr Zighoud Youcef, donnèrent une preuve éclatante de la détermination de l'Armée de Libération et du soutien du peuple à ses actions. - Deuxième Phase : 1956-1962 L'ALN fut amenée à revoir sa stratégie en accord avec le développement de la Révolution pour faire face à l'effort de guerre français croissant. Il s'est avéré nécessaire de mettre en place un cadre qui conférerait à l'armée de libération un nouveau caractère organisationnel et structurel lui permettant d'accroître numériquement ses forces et de les doter en moyens et armement les plus modernes. Le bond qualitatif enregistré par l'ALN a eu lieu après la promulgation des décisions du Congrès de la Soummam en 1956 lesquelles ont défini une structuration très précise de l'ALN, tant du point de vue de l'organisation que de l'unification des commandements, des grades, de l'armement, du ravitaillement, des allocations familiales pour les moudjahidine, des dotations aux familles des martyrs, en plus de la création de nombreux services auxiliaires tels que les services de santé, de topographie, des munitions, du courrier, de renseignements , d'information, de presse, ainsi que les services juridique et social. Le plus intéressant dans les décisions du Congrès de la Soummam, c'est que l'ALN est ainsi devenue une organisation moderne, complémentaire dans les wilayate, répartie entre elles. houari boumedienne n'etait PEUT ETRE MM PAS militant . Il a été également mis en place des commandements unifiés , obéissant à une hiérarchie précise et rattachée à des services complémentaires accomplissant au mieux leurs missions pour affronter l'ennemi. Citer Link to post Share on other sites
argelino 10 Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 La révolution dévore ses enfants Slimane Dehilès (Colonel Sadek). Ancien maquisard, ancien chef de la wilaya IV « En moins de six mois, l’organisation politico-militaire était une réalité. » Mais les premiers anicroches avec Krim commencent à se faire jour. Slimane descend à Alger. Il Au titre de chef, il a vécu les différentes crises des appareils, mais c’est inévitablement l’assassinat de Abane Ramdane qui l’a profondément marqué. La seule évocation des 3 B le fait sursauter. Pour se consoler sans doute de sa disparition qu’il n’a pas digérée, il recourt à la célèbre phrase : « Les grands hommes ne meurent pas dans leur lit. » Car sans mâcher ses mots, le colonel Sadek même, s’il considère que la révolution dévore ses enfants, n’en condamne pas moins les dépassements et les liquidations faits par ceux-là mêmes censés guider la lutte. L’assassinat de Abane lui est resté en travers de la gorge, tant les deux hommes s’estimaient et se respectaient. « Abane, rappelle-t-il, a été un chef de l’OS qui a été arrêté et a purgé 5 ans de prison. Les purges ont été la tâche noire de la guerre. mais ceux qui ont trahi paieront un jour. » « La Wilaya IV, dont j’avais la charge, était devenue une wilaya intellectuelle, avec tous les étudiants qui y affluaient. Forcément, elle gênait. Surtout le groupe de Oujda qui s’était juré de liquider les intellectuels pour réduire les effectifs de l’intérieur. C’était un plan sordide. » Afin d'eviter tout amalgame et ne pas faire dire au colonel dehilis ce qu'il n'a pas dit ,il me semble qu'il est necessaire de rapporter les temoignages suivants ?de differentes sources ,sans pour autant les commenter : ESPION ET TRAHISON DE BESSAOUD MOHAMD ARAB dans son livre FFS, espion et trahison, Bessaoud Mohand Arab indique que Krim Belkacem a assassiné Abane Ramdane. Il précise que le colonel Dehiles Slimane traitait Krim et Boussouf de criminels de la Révolution. Témoignage dubâtonnier belhocine sur l'assassinat de abane ramdane Bentobal a le devoir de dire la vérité le témoignage de Lakhdar Bentobal mérite d'autant plus de retenir l'attention et appelle discussion que cet ancien chef de la Wilaya II s'était opposé en décembre 1957 à l'élimination physique de Abane. Le 20 août 1989, à Larbaâ Nath Irathen, j'avais été approché par une journaliste, Ghania Mouffok, pour une interview sur la mort de ce grand révolutionnaire. C'était l'occasion pour moi de lever le voile sur un mystère honteux pour dire la vérité et balayer les « on-dit » et « non-dits » car le « cas » Abane vérifie l'adage : « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ». De cette interview publiée dans Algérie Actualité n°1246 du 30 août 1989, je reprends ici l'essentiel. Abane, avec qui je travaillais à Tunis à la commission de rédaction d'EI Moudjahid, avait disparu quelques jours avant la fin décembre 1957 et sa mort « au champ d'honneur » sera annoncée en mai 1958. Pour les initiés, ce n'était qu'un « mensonge pieux ». Vers la mi-juin 1958, j'ai été appelé au Caire pour travailler aux côtés du colonel Ouamrane, responsable du département Armement et Ravitaillement général. Quelques jours après avoir rodé mes contacts avec Ouamrane, je lui ai posé la question : « Pourquoi avez-vous tué Abane ? » Interloqué, Ouamrane me dit : « Je te répondrai demain. » Le lendemain matin, arrivant au bureau, il me tendit un document et me dit : « Lis ! » Quarante-cinq ans après, j'ai encore le texte sous les yeux, le voici : « Procès-verbal Nous, soussignés colonel Mahmoud Cherif, ancien chef de la wilaya I ; Lakhdar Bentobal, wilaya Il ; Krim Belkacem wilaya III ; Amar Ouamrane, wilaya IV ; Abdelhafid Boussouf, wilaya V. Considérons que Abane Ramdane manifeste un comportement indiscipliné, négatif, qu'il dénigre le CCE (comité...), attitude qui gêne l'activité et l'autorité du CCE dans son action. Que dans ces conditions, si Abane continue dans son comportement malgré les avertissements, il sera emprisonné en Tunisie et si nécessaire au Maroc, au cas où ces mesures seraient insuffisantes, l'exécuter. Lakhdar Bentobal fait des réserves quant à l'exécution disant qu'une condamnation à mort ne peut être prononcée que par un tribunal militaire avec audition de l'intéressé et droit à la défense. Document signé des cinq (en 5 exemplaires, 1 pour chacun). » Je sais qu'un haut responsable membre du CNRA encore vivant a eu le document des mains de Krim Belkacem et nos témoignages concordent. Des cinq « conjurés », seul Bentobal est en vie, il détient le fameux PV d'enquête. Il a le devoir de le publier. source :elwatan du 01/11/2004 le colonel amar benaouda le colonel Benaouda Amar qui, par son récit dans les colonnes de Révolution africaine de septembre 1989, se voulant une contribution à la connaissance de la vérité sur cette affaire, nous apprend, malgré lui, les noms des quatre assassins qui ont décidé l'élimination physique de Abane Ramdane. Ils sont contenus dans un procès-verbal dont il donne des détails effrayants avec les précisions sur les réserves et le refus de participer à ce meurtre de Bentobbal Lakhdar, faisant ressortir, de la manière la plus claire, que ce document est un acte de la conspiration des assassins qui ont arrêté dans l'ombre la décision de tuer Abane Ramdane avec la lâcheté et la traîtrise les plus abjectes. Les noms des assassins livrés sont : Krim Belkacem, Boussouf Abdelhafid, Ouamrane Amar et Cherif Mahmoud, Bentobbal Lakhdar, au courant du complot, est complice du fait de ne rien avoir fait pour l'empêcher. AUTOPSIE D'UNE GUERRE ( Ferhat abbas) page 210 : « Quant au conflit qui opposait Abane à Krim, on n'allait pas tarder à en connaître les prolongements tragiques… ». « Au Caire la crise était ouverte. Le conflit Krim - Abane se révélait insoluble. L'un et l'autre exposèrent leurs griefs. Abane décelait chez les colonels (Krim, Boussouf et Bentobbal) une tendance à l'exercice d'un pouvoir absolu », « ils s'imaginent avoir un droit de vie et de mort sur les populations qu'ils commandent. Ce sont tous des assassins », me dit-il. Abane m'a aussi révélé qu'on a tenté de le liquider au Congrès de la Soummam, Krim ne le nia pas. Page 217 : « C'est Mehri qui m'a appris la fin tragique de notre ami (Abane). J'en fus bouleversé, révolté. Nos colonels seraient-ils, comme Abane ne cessait de le répéter, de vulgaires assassins ? » Page 228 : « Page 228 : Quelques jours après, le 19 février 1958, Krim vint me voir. '''Abane est mort, me dit-il, et je prends la responsabilité de sa mort. En mon âme et conscience, il était un danger pour notre mouvement. Je ne regrette rien.'' Qui t'a autorisé à être juge ? ai-je répondu. Et qui te jugera à ton tour ? Ne crains-tu pas que la mort de Abane retombe un jour sur ta tête ou sur celle de tes enfants ? Le Dr Lamine Debaghine proposa la convocation du CNRA qui seul peut remettre de l'ordre là où les colonels ont semé le désordre. Pour des raisons diverses, la mort de Abane nous avait traumatisés. Nos colonels n'avaient aucun droit à délibérer sans nous et à se constituer en juges. Ils n'avaient pas le droit de vie et de mort sur les hommes du FLN et encore moins sur un membre du CCE. Leur attitude ouvrait la voie à l'anarchie. » Page 280 : « Le CNRA de janvier 1960 fut avant tout le procès de Krim, de Boussouf et de Bentobbal. Ils subirent les attaques des orateurs. Ils entendirent des critiques acerbes venant des commandants Mendjelli et Slimane et des colonels Boumediène, Ouamrane, Sadek, Zbiri, Lotfi qui ne pouvaient pas pardonner l'assassinat de Abane. » Citer Link to post Share on other sites
argelino 10 Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 la suite declaration du neveu de abane ( ali abane )Je connais les exécutants du crime... » « A partir de ce lieu sacré, je réitère l’appel de notre famille au Président pour qu’il retrouve les ossements de Abane Ramdane », lance Ali Abane. Le rideau est baissé sur la cérémonie. Le voile se lève maintenant sur les « nouvelles » qui ne se racontent pas en public. Ali Abane fait une grosse révélation. Pour la première fois, il évoque des exécutants du crime. Si jusque-là, les Algériens ne connaissent que les fameux trois « B » (Abdelhafidh Boussouf, Krim Belkacem et Lakhdar Bentobal), présentés par les historiens et les historiques comme étant les assassins de Abane, le neveu de ce dernier parle maintenant de ceux qui avaient « étranglé » son oncle sous les ordres du triumvirat. « Ils sont quatre et tous en vie, sauf un. Je les connais tous, mais tant que nous n’avons pas encore rassemblé les preuves, nous ne pouvons rien faire... », affirme Ali Abane. Voilà donc une autre pièce à conviction à verser au dossier de la mystérieuse mort de l’architecte de la Révolution. sourec:el watan 28 décembre 2005 interview de madame abane à liberté Liberté:Officiellement, Abane Ramdane est mort au champ d’honneur. Ce qui est faux. Il a été assassiné, comment et par qui ? madame abane :• Tout le monde sait qu’il a été exécuté au Maroc. Ferhat Abbas, Boumendjel et Ben Khedda l’avaient prévenu en lui disant : “Ils vont te faire un mauvais coup.” Quand ils ont décidé de le liquider, ils l’ont appelé au Maroc. Il était accompagné de loin par Krim Belkacem et Mahmoud Cherif. D’après les différents témoignages, Boussouf les a mis devant le fait accompli. Il leur a expliqué qu’il ne pouvait pas mettre Abane en prison parce que c’était dangereux. Il valait mieux l’exécuter. D’après certains témoignages, Abdelhafid Boussouf a étranglé Abane Ramdane de ses propres mains. Ce qui est paradoxal c’est qu’un jour, au retour du congrès de La Soummam, Abane était tout heureux que le congrès se soit passé sans aucun incident. Abane m’a sorti une photo de Abelhafid Boussouf, responsable de la wilaya V en me disant : “Regarde cet homme comme il est vaillant.” Abane était content de travailler avec des hommes comme Boussouf. liberté: Il ne savait pas qu’il tenait entre les mains la photo de son futur assassin… Madame abane : C’est son bourreau. Les trois B, Ben Tobbal, Belkacem et Boussouf ont décidé de son élimination. Soit la prison, soit la mort. Boussouf était franc, il savait qu’il allait le tuer. Les autres faisaient semblant de ne pas le savoir. Ils souffraient d’un grand complexe d’infériorité par rapport à Abane. B]Polémique sur l’affaire Abane-Krim Un dîner qui a tourné court [/b]L’article publié par notre journal jeudi dernier et relatif à la rencontre entre les familles de Abane Ramdane et de Krim Belkacem a déclenché, sans le vouloir, un début de polémique sur l’objet de ce dîner offert par l’organisateur source el watan 20/03/2006 SANS COMMENTAIRE Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 j'espere que tu t'appelle JILLA et non LINA ,et que je ne suis pas ton fiston. merci d'etre comprehensif. bonne continuation. pour notre histoire ,merci j'ai mes sources. bonsoir argelino et merci d'y contribuer dans ma rubrique "histoire" , j'ao apprécié tes 2 derniers posts sur abane ramdane (l'autre fois ?tu me demandais : mon heros préféré ?et bien :c'est lui !) Pour les sources , plus elles sont diverses plus c'est bien ! mais surtout mefie toi de celles du site "MAOL". sans rancune : la continuation j'espere seras avec toi ou vous tous . Citer Link to post Share on other sites
argelino 10 Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 bonsoir argelino et merci d'y contribuer dans ma rubrique "histoire" , j'ao apprécié tes 2 derniers posts sur abane ramdane (l'autre fois ?tu me demandais : mon heros préféré ?et bien :c'est lui !) Pour les sources , plus elles sont diverses plus c'est bien ! mais surtout mefie toi de celles du site "MAOL". sans rancune : la continuation j'espere seras avec toi ou vous tous . bonjour , jilla ,je l'ai toujours dit ,sans sources ou temoignages ,on ne peux ni avancer ,ni apprendre ,surtout quand il s'agit de notre histoire ,sans les temoignages de gens sinceres qui l'ont vecu et les archives que detient l'etat français ,on continue toujours à sombrer un petit peu dans le doute. Citer Link to post Share on other sites
argelino 10 Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 L'origine de l'ALN remonte à l'Organisation Spéciale (O.S) laquelle avait œuvré à la constitution des premières cellules militaires armées au sein des militants du MTLD. - Deuxième Phase : 1956-1962 houari boumedienne n'etait PEUT ETRE MM PAS militant . sur feu BOUMEDIENE , je rapporte ce qui suit et selon differentes sources aussi : Personnalité exceptionnelle dont l’apport fut primordial dan l’histoire de l’Algérie contemporaine. Boukherouba Mohamed Brahim dont le nom de guerre Houari Boumediene est né le 23 Août 1932 aux environs de Guelma. Il est issu d’une famille pauvre et grandit dans des conditions de vie difficiles. il s’inscrit à l’université d’El Azhar puis à l’école militaire. En 1956, il rejoint la révolution et devient combattant de l’ALN au sein de la Wilaya 5, à l’ouest de l’Algérie. IL prend le nom de guerre « Houari Boumediene » et accède à la direction de la Wilaya 5 en octobre 1957. Il organise L’ALN et en janvier 1960 Houari Boumediene devient chef de l’état major. source :Algerie-Monde.com jean paul balta au soir d'algerie soir d'algerie : Sur ses premières années au maquis de Houari Boumediène, les témoignages recoupés font défaut. Il semble, toutefois, avoir inscrit, d’emblée, sa trajectoire parmi les chefs de la révolution… PB : Oui, incontestablement, Houari Boumediène a entamé sa carrière révolutionnaire sous de bons auspices. En février 1955, à l’issue de la formation militaire accélérée juste évoquée, il est choisi pour participer au convoiement clandestin, à bord du bateau « Dina », d’un lot d’armes destiné à l’ALN. Il rencontre juste après le débarquement qui intervient, finalement, à Melilla, au Maroc espagnol, Larbi Ben M’Hidi, qui assure le Commandement de la zone V de l’ALN, la future wilaya V. Après un intermède forcé à Melilla, Houari Boumediène entreprend avec Larbi Ben Mhidi le franchissement de la frontière pour rejoindre le territoire national. Il est nommé contrôleur pour toute la Zone V, une fonction où s’imbriquent les charges de commissaire politique et d’inspecteur. Cela lui permet de connaître, rapidement, tout l’encadrement de la zone. Après le départ de Larbi Ben Mhidi qui rejoint le CCE, la nouvelle direction du FLN, c’est Abdelhafid Boussouf qui lui succède. Houari Boumediène qui devient l’un de ses adjoints accède, en 1957, au grade de Commandant. Lorsque le CCE est remanié et que Boussouf y fait son entrée, Houari Boumediène le remplace à la tête de la wilaya – nouvelle dénomination de la zone après le Congrès de la Soummam –. C’est dans cette wilaya que, pour brouiller les cartes ou pour marquer la dimension nationale qu’il veut conquérir, ce natif de l’Est adopte son pseudonyme de résistant,composé d’un prénom usuel très répandu dans l’Ouest, Houari, et du nom de Boumediène,celui du saint patron de la mosquée de Tlemcen. Sa carrière politico-militaire commence, alors, réellement. Il est choisi, successivement, pour commander le COM Ouest dès 1958 puis, en 1960, il est désigné Chef de l’Etat-Major Général de l’ALN, nouvellement mis en place. Abdelkader Bousselham D'ailleurs, c'est ce qui est arrivé en octobre 1955, quand le « Dina », subtilisé quelques semaines auparavant à Alexandrie par les commandos de Ben Bella, assisté de frères égyptiens, est parvenu enfin au large de Nador, sur la côté rifaine, avec à son bord une cargaison précieuse d'armes et de munitions ainsi qu'un groupe de jeunes volontaires, parmi lesquels un certain Mohamed Boukharrouba. Quelques semaines après, toute l'Oranie était à feu et à sang. Survenant après les évènements d'août 1955 à Skikda et dans le nord-est de notre pays, cette offensive de l'ALN dans toute l'Oranie plongea l'état-major français dans un complet désarroi. Abdelkader Bousselham, Le Quotidien d'Oran[/g] et pour terminer ,j'ajoute ceci : les « théories fanoniennes », qui, par certains aspects, rejoignaient celles développées par un autre théoricien révolutionnaire, Mao Tsé-Toung et, à un degré moindre, Che Guevara. Ses écrits, les seuls d’ailleurs, ont fait de Frantz Fanon, sans doute, l’unique théoricien de la révolution algérienne. Ou du moins, il a été l’un des rares dirigeants du FLN à avoir tenté de théoriser, bien avant l’indépendance de l’Algérie, la guerre de Libération nationale. Un homme sera inspiré par les théories de Frantz Fanon : Houari Boumediène. Lesquelles théories ont permis de doter d’un socle cohérent l’action tiers-mondiste de l’Algérie. En Afrique, Frantz Fanon fera des émules : les dirigeants Kwane Nkrumah, Mobido Keita et, à un degré moindre, Ahmed Sékou Touré Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 . sur feu BOUMEDIENE puis à l’école militaire. En 1956, il rejoint la révolution et devient combattant de l’ALN au sein de la Wilaya 5, à l’ouest de l’Algérie. IL prend le nom de guerre « Houari Boumediene » et accède à la direction de la Wilaya 5 en octobre 1957. Il organise L’ALN et en janvier 1960 Houari Boumediene devient chef de l’état major. source :Algerie-Monde.com jean paul balta En février 1955, à l’issue de la formation militaire accélérée les charges de commissaire politique et d’inspecteur. Cela lui permet de connaître, rapidement, tout l’encadrement de la zone. Après le départ de Larbi Ben Mhidi qui rejoint le CCE, la nouvelle direction du FLN, c’est Abdelhafid Boussouf qui lui succède. Houari Boumediène qui devient l’un de ses adjoints accède, en 1957, au grade de Commandant. Lorsque le CCE est remanié et que Boussouf y fait son entrée, Houari Boumediène le remplace à la tête de la wilaya – . Il est choisi, successivement, pour commander le COM Ouest dès 1958 ..... en 1960, il est désigné Chef de l’Etat-Major Général de l’ALN, nouvellement mis en place. Abdelkader Bousselham Abdelkader Bousselham, Le Quotidien d'Oran[/g] et pour terminer ,j'ajoute ceci : les « théories fanoniennes », qui, par certains aspects, rejoignaient celles développées par un autre théoricien révolutionnaire, Mao Tsé-Toung et BONSOIR ARGELINO ! voilà ce que j'ai retenu de tes maigres sources et intéréssées sources et elles confirment mes dires à une nuance prés . IL FUT EPAULE PAR SON COUSIN BOUSSOUF ! veux tu bien me dire quellle ecole militaire ? Quant à le comparere à MAO TSE TOUNG ? Là ! monsieur vous faites erreur . Car ce dernier a fait une revolution des plus prestigieuse de l'humanité avec une longue marche populaire sans grade et sans armée et ce n'est que plus tard qu'il devient le chef de l'arméée rouge . Cette armée faite de paysans ; d'ouvriers ; et d'intellectuels avérés tels "lin piao "et "chou en lai" aidait le peuple dans ses moissons et ses besoins et ceci durant la revolution et mao tsé toung est un grand monsieur : paysan et trés cultivé et est arrivé au pouvoir aprés plusieurs rectifications de la notion "armée-parti." je te parlerais un autre jour sur cette armée populaire et dans le detail . EN tt les cas : les militaires ne vivaient pas au dos du peuple , ils cultivaient les champs , construiser des ponts et- dresser des digues pour les gens civils . ETC ETC Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 Voiçi un autre source et c'est celle de l'ANP . Né officiellement le 23 août 1932 près de Guelma, Boukharouba Mohammed Brahim dit houari Boumedienne, serait selon d’autres sources, né entre 1925 et 1932. Entré à six ans à l’école primaire française, il suit en même temps les cours d' une école coranique avant d'acquérir,à partir de quatorze ans, une formation entièrement Arabe, en fréquentant tour à tour La madrasa Kitania de Constantine, La Zitouna de Tunis, Enfin à partir de 1951, l’université Al Azhar du Caire. Chef de la wilaya V en 1957, il dirige depuis le P.C d'Oujda au Maroc. Nommé chef du commandement opérationnel de l'Ouest dès qu' il a gagné Tunis, désigné enfin comme responsable de l'état-major de l'A.L.N, Assuré du soutien de l' armée, notamment l' armée des frontières, qui est alors la seul force organisée, il aide Ahmed Ben Bella à faire son entrée à Alger le 3 août 1962. Ministre de la défense nationale et vice-président du Conseil de 1962 à 1965, il organise le coup d' état, qui le 19 juin 1965 destitue Ahmed Ben Bella. IL devient président du Conseil de la Révolution le 5 juillet 1965, puis président de la République algérienne de 1965 jusqu' à sa mort le 27 décembre 1978 Selon certaines sources, il aurait rallié le PPA-MTLD avant son départ pour le Caire, et continuera son activité militante dans la capitale égyptienne en travaillant au Bureau du Maghreb Arabe. Il aurait également fait partie du groupe de quinze étudiants algériens (enrolés par boussouf )suivant des séances d’instruction à l’école de guerre d'Alexandrie Citer Link to post Share on other sites
Guest JILLA Posted August 21, 2007 Partager Posted August 21, 2007 voiçi une autre source : celle de la présidence de la republique algerienne democratique et populaire : Houari Boumediène Mohamed Boukharouba, dont le nom de guerre est Houari Boumediene est né le 23 août 1932 dans la localité de Beni Addi à 15 km de Guelma. Houari Boumediene a poursuivi des études en arabe à l’école coranique et en français à l’école primaire de sa ville. En 1949 il se rend à Constantine où il s’inscrit à la medersa d’El Kettania. Durant cette période, il entame sa vie de révolutionnaire en adhérant au Partie du Peuple Algérien. Il se rendit ensuite, clandestinement à Tunis à l’université de la Zaitouna et enfin au Caire à El Azhar. En 1955, il se retrouve dans la wilaya 5 (Oranie) à la tête de laquelle il est nommé en 1957, avant de prendre le commandement du P.C. d’Oujda, puis le commandement opérationnel de l’ouest et enfin la direction de l’Etat-Major de l’Armée de Libération Nationale. Vice-Président du Conseil et Ministre de la Défense dans le premier gouvernement de l’Algérie indépendante. Le 19 juin 1965, il destitue le Président Ben-Bella et devient Président du Conseil de la Révolution. En 1968, il est élu président en exercice de l’Organisation de l’Union Africaine. Le 24 Février 1971, Il nationalise les hydrocarbures et les moyens de transport. Le 10 décembre 1976, il est élu Président de la République. Il décède des suites d’une maladie le 27 décembre 1978. PS : cette derniere remarque est de moi. RIEN ! aucuns faits d'armes ! ni de combats ! ni participations ou directions de batailles legendaires de l'ALN RIEN de rien ; pistonné il s'est elevé dans la hiearchie militaire comme une fleche . BOUSSOUF ET ZEGRAR etaient tjr derriere . Comment de simple militant ; il devient le plus puissant aprés l'independance : ministre de la defense. Ou etaient les fameux colonels de L'ALN . Citer Link to post Share on other sites
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