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Alger: Suite à l’application d’une décision de justice, un homme de 32 ans s’immole par le feu


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Cela s’est passé lundi dernier, au quartier la Bise, à Bordj El-Bahri. Suite à l’exécution d’une décision de justice, opposant deux familles se disputant un terrain, le jeune Fouad s’immole et décède le lendemain, mardi, à l’hôpital de Douéra.

En début de matinée de la journée de lundi, le père de la victime, ancien moudjahid, a été interpellé par les éléments des services de sécurité qui se sont présentés à son domicile pour appliquer la loi et donc démolir la demeure et restituer le terrain qui revient désormais à la famille les opposant. Le jeune Fouad, ne supportant pas l’opération d’expulsion, s’est réfugié sur la terrasse muni d’un bidon d’essence menaçant de s’immoler si le père n’est pas libéré et l’opération de démolition annulée. Une situation qui a duré deux heures. Malgré les efforts des amis, voisins et éléments des services de sécurité à dissuader Fouad, il passera à l’acte. Il s’affale sur le sol, brûlé vif. Transporté à l'hôpital de Douéra, il succombera à ses blessures le lendemain.:mad:

 

Le soir d'Algérie.

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Cela s’est passé lundi dernier, au quartier la Bise, à Bordj El-Bahri. Suite à l’exécution d’une décision de justice, opposant deux familles se disputant un terrain, le jeune Fouad s’immole et décède le lendemain, mardi, à l’hôpital de Douéra.

En début de matinée de la journée de lundi, le père de la victime, ancien moudjahid, a été interpellé par les éléments des services de sécurité qui se sont présentés à son domicile pour appliquer la loi et donc démolir la demeure et restituer le terrain qui revient désormais à la famille les opposant. Le jeune Fouad, ne supportant pas l’opération d’expulsion, s’est réfugié sur la terrasse muni d’un bidon d’essence menaçant de s’immoler si le père n’est pas libéré et l’opération de démolition annulée. Une situation qui a duré deux heures. Malgré les efforts des amis, voisins et éléments des services de sécurité à dissuader Fouad, il passera à l’acte. Il s’affale sur le sol, brûlé vif. Transporté à l'hôpital de Douéra, il succombera à ses blessures le lendemain.:mad:

 

Le soir d'Algérie.

 

Je suis vraiment triste pour Fouad!!!! allah yerahmou.

quant au ancien moujahid, il n'a rien a voir dans l'histoire.

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Regrettable

... pour le jeune homme

... mais tant pis pour le moudjahed

 

Moudjahed or not that is not the problem.

La justice doit s'appliquer à tous de la même façon et la seule rétribution à laquelle doit aspirer un moudjahid c'est celle de l'au-delà .

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Cela s’est passé lundi dernier, au quartier la Bise, à Bordj El-Bahri. Suite à l’exécution d’une décision de justice, opposant deux familles se disputant un terrain, le jeune Fouad s’immole et décède le lendemain, mardi, à l’hôpital de Douéra.

En début de matinée de la journée de lundi, le père de la victime, ancien moudjahid, a été interpellé par les éléments des services de sécurité qui se sont présentés à son domicile pour appliquer la loi et donc démolir la demeure et restituer le terrain qui revient désormais à la famille les opposant. Le jeune Fouad, ne supportant pas l’opération d’expulsion, s’est réfugié sur la terrasse muni d’un bidon d’essence menaçant de s’immoler si le père n’est pas libéré et l’opération de démolition annulée. Une situation qui a duré deux heures. Malgré les efforts des amis, voisins et éléments des services de sécurité à dissuader Fouad, il passera à l’acte. Il s’affale sur le sol, brûlé vif. Transporté à l'hôpital de Douéra, il succombera à ses blessures le lendemain.:mad:

 

Le soir d'Algérie.

 

C'est vraiment triste, Je connais la famille en question. C'est vrai qu'ils avaient construits sur une propriété qui n'était pas la leurs mais c'est malheureux d'arriver au suicide aussi jeune surtout, Leurs construction a été complètement détruite.

 

Que dieu ait son âme.

 

Ps: Le quartier ne s'appelle pas la Bise, Mais la Brise ( Brise Marine).

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C'est vraiment triste, Je connais la famille en question. C'est vrai qu'ils avaient construits sur une propriété qui n'était pas la leurs mais c'est malheureux d'arriver au suicide aussi jeune surtout, Leurs construction a été complètement détruite.

 

Que dieu ait son âme.

 

Ps: Le quartier ne s'appelle pas la Bise, Mais la Brise ( Brise Marine).

 

Malheureux et les autorités qui ont laissé construire portent une très grande part de la responsabilité dans ce drame!

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Malheureux et les autorités qui ont laissé construire portent une très grande part de la responsabilité dans ce drame!

 

Exactement, La construction date quand même, C'est pas nouveau...Et d'après ce que les gens disent quand il avait menacé de s'immoler un policier lui avait dit " t'hab na3tilék briquet?" ...Mais ça reste que des rumeurs de quartier.

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Exactement, La construction date quand même, C'est pas nouveau...Et d'après ce que les gens disent quand il avait menacé de s'immoler un policier lui avait dit " t'hab na3tilék briquet?" ...Mais ça reste que des rumeurs de quartier.

 

Oui c'est malheureux d'en arriver là.

Beaucoup de responsabilités dues surtout à la mentalité Algérienne.

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Cela s’est passé lundi dernier, au quartier la Bise, à Bordj El-Bahri. Suite à l’exécution d’une décision de justice, opposant deux familles se disputant un terrain, le jeune Fouad s’immole et décède le lendemain, mardi, à l’hôpital de Douéra.

En début de matinée de la journée de lundi, le père de la victime, ancien moudjahid, a été interpellé par les éléments des services de sécurité qui se sont présentés à son domicile pour appliquer la loi et donc démolir la demeure et restituer le terrain qui revient désormais à la famille les opposant. Le jeune Fouad, ne supportant pas l’opération d’expulsion, s’est réfugié sur la terrasse muni d’un bidon d’essence menaçant de s’immoler si le père n’est pas libéré et l’opération de démolition annulée. Une situation qui a duré deux heures. Malgré les efforts des amis, voisins et éléments des services de sécurité à dissuader Fouad, il passera à l’acte. Il s’affale sur le sol, brûlé vif. Transporté à l'hôpital de Douéra, il succombera à ses blessures le lendemain.:mad:

 

Le soir d'Algérie.

 

salem alikoum ,mon pere aussi et un encien mojdahed et il a eu presque la meme histoire avec son frere qui veu dire mon oncle est c'est fils,,,grace a la rachwa il a peut prandre a mon pere la moitier d'une villa colniale......les vole de bien d'autre personne, devien des tenebres au jour de jugement dernier hamdoullah qui ya la mort tout personne rendra conte se jour la...allah yarham le jeune et que allah donne le sabre a sa famille ...

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Moudjahed or not that is not the problem.

La justice doit s'appliquer à tous de la même façon et la seule rétribution à laquelle doit aspirer un moudjahid c'est celle de l'au-delà .

Monsieur la dose

... devrait savoir

... que s'il y avait un justice

... ol n'y aurait pas de moudjahed

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Monsieur la dose

... devrait savoir

... que s'il y avait un justice

... ol n'y aurait pas de moudjahed

 

La justice est un terme assez flou pour qu'on puisse l'utiliser concernant cette histoire de moudjahid !

 

PS : Monsieur Ladoz pas Monsieur La dose (de Ricard ? :mdr:) STP !!!

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C'est vraiment triste

 

Mais ce n'est pas le premier cas et hélas pas le dernier.

 

Je ne connais pas les détails de l'affaire mais a priori la responsabilité incombe aux autorités locales qui ont laissé construire. La qualité de Moudjahid, aussi honorable soit-elle, ne donne pas le droit de construire sur la terre d'un autre. A moins que l'acquisition du terrain soit postérieur à la construction de la maison. Il faut être vigilent car les querelles de voisinages sont en générale très complexes.

 

Mais si les autorités ne font pas respecter le droit à la propriété privée, les propriétaires n'auront pas d'autre solution que de recourir aux armes pour protéger leurs biens.

 

On appelle ça le Far West.

 

De toute façon, comment peut-on obtenir le permis de construire sur un terrain que l'on ne possède pas ?

 

L'administration a une lourde responsabilité !

 

Tout cela est dramatique.

 

Allah ilahmou.

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Cela s’est passé lundi dernier, au quartier la Bise, à Bordj El-Bahri. Suite à l’exécution d’une décision de justice, opposant deux familles se disputant un terrain, le jeune Fouad s’immole et décède le lendemain, mardi, à l’hôpital de Douéra.

En début de matinée de la journée de lundi, le père de la victime, ancien moudjahid, a été interpellé par les éléments des services de sécurité qui se sont présentés à son domicile pour appliquer la loi et donc démolir la demeure et restituer le terrain qui revient désormais à la famille les opposant. Le jeune Fouad, ne supportant pas l’opération d’expulsion, s’est réfugié sur la terrasse muni d’un bidon d’essence menaçant de s’immoler si le père n’est pas libéré et l’opération de démolition annulée. Une situation qui a duré deux heures. Malgré les efforts des amis, voisins et éléments des services de sécurité à dissuader Fouad, il passera à l’acte. Il s’affale sur le sol, brûlé vif. Transporté à l'hôpital de Douéra, il succombera à ses blessures le lendemain.:mad:

 

Le soir d'Algérie.

 

C est triste, il faut esperer comme l a si bien dit un intervenant, que le juge ait rendu le bon jugement en son ame et conscience.

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