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Les colères présidentielles


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Guest elkhamass

par Abdou .B

 

Les coups de sang du président de la République à chacune de ses sorties ont perdu progressivement en pertinence et les Algériens seraient en droit de se demander à quoi servent-ils, au bout du compte. Ses colères font les premières pages des journaux et sont délivrées en boucle par la télévision, qui occulte par ailleurs celles des citoyens, de l'opposition et des élites qui veulent juste exercer leur magistère et se rendre utiles à leur pays. Le pouvoir est juge et partie, mais seulement entre ses membres apparents, révocables à merci, sans sanction positive ou négative, interchangeables par le verdict de la nomination discrétionnaire, dans un jeu de chaises musicales qui donne le tournis.

 

La polémique montée en épingle, entre un ancien chef du gouvernement et d'ex-responsables exclusivement militaires, a été barrée par les colères du Président, non sans avoir mis, une fois de plus, la lumière sur la nature d'un pouvoir, son exercice et la bande étroite où il se pratique loin du Parlement, de l'opinion et des médias lourds. Mais cela ne relève que d'une tradition dont personne ne peut prédire l'extinction, sachant que si les hommes produisent un système, ils en sont prisonniers et participent à sa durabilité, sans de sérieuses et profondes réformes élaborées dans des consensus régulièrement adaptés et mis à jour. Or, cette version optimiste n'est envisageable que dans une démocratie, un Etat de droit dans lequel chacun rend des comptes à des électeurs, à la représentation nationale dans des débats publics, relayés et arbitrés dans la transparence. Or, la polémique en question restera des coups d'épée dans l'eau, anesthésiée par une vision aphasique de l'histoire, «un droit de réserve» extensible, la présence d'acteurs vivants même si nombre d'entre eux ont atteint leurs limites physiques mais qui surveillent leurs arrières. De gros enjeux sont à l'ouvrage protégés par des «lignes rouges» à ne pas transgresser pour longtemps.

 

Et, au milieu, il y a les plus nombreux qui n'ont ni vacances ni congés, inquiets pour leur survie et celle de leur famille. Et qui ont sûrement reçu les échos des colères présidentielles.

 

S'exprimant comme un chef de file de l'opposition, M. Bouteflika ne peut plus continuer à faire des constats des plus alarmants. «Il faut une fermeté implacable de la part des autorités», a-t-il lancé en se référant aux bidonvilles qui caractérisent l'Algérie. Cependant, ces autorités sont légion et sont toutes sous la tutelle de l'administration.

 

Le pouvoir d'une APC et quasi nul, celui du wali découle de sa hiérarchie et celui des ministres est pris dans les rets d'un inextricable réseau de relais, de textes, d'interventions, de règlements, de budgets et de considérations politiques et partisanes qui font que personne ne peut décréter la priorité entre une mosquée et une crèche, un espace vert ou un commissariat, l'éradication à sa naissance d'un bidonville et une aire de jeux... Et comme le dit un ancien chef du gouvernement, «ceux qui veulent la réforme n'en ont pas le pouvoir, ceux qui ont le pouvoir ne veulent pas de réforme». Dans ce cas, que veut faire ou que peut faire M. Bouteflika qui, de tout l'Exécutif, est le seul à avoir une légitimité ? Pour exécuter les orientations du premier magistrat, il faut impérativement avoir la légitimité et les compétences.

 

L'Angleterre a décidé que d'ici 2018, toutes les habitations construites le seront selon un schéma inédit. Chaque maison aura l'énergie solaire, l'éolien, récupérera l'eau de pluie et ne gaspillera aucune once d'eau ou d'énergie. Une série de brevets sont déposés et des demeures pilotes peuvent être aujourd'hui visitées par n'importe quel responsable algérien. Faut-il ajouter que la plus grosse part du territoire national a tout le soleil qu'il faut ? Il manque des réformateurs au pouvoir, des bâtisseurs reconnus et une politique volontariste affichée.

 

Les colères présidentielles signifient des choses simples mais non acceptées. L'être humain n'est pas parfait, donc le pouvoir actuel ne l'est pas. Toutes les critiques sont donc autorisées, suscitées et protégées, quitte à tamiser, à sérier, à planifier et à libérer les énergies, qu'elles soient au pouvoir, dans l'opposition ou dans la société. Or, celle-ci est encore considérée en «transition». Immature, susceptible de mal voter ou de s'abstenir.

 

Les remèdes faciles et inopérants tels que l'autoritarisme, la censure, la fermeture, l'enfermement consanguin des responsables ne génèrent que le statu quo velléitaire. Nous y sommes depuis longtemps, et les colères présidentielles ne sont pas suffisantes. Elles sont considérées par leurs destinataires comme de simples orages d'été.

 

Pour un pays comme l'Algérie, nonobstant les fluctuations du baril, le temps est compté et sa jeunesse se délite et les élites sont absentes du débat d'idées à tous les niveaux. Une querelle européenne est passée inaperçue dans les médias et l'université en Algérie. La Convention sur le brevet européen entrera en vigueur le 13 décembre 2007. Elle va modifier au plan juridique le protocole de Londres.

 

La chose concerne la protection juridique d'un brevet, sa durée liée à la vie de son inventeur et à la traduction d'une langue à l'autre en Europe. Les enjeux sont évidents : combien de brevets sont déposés auprès de l'Office européen des brevets et quelle est la langue qui peut devenir majorité sinon hégémonique ? Y a-t-il en Algérie une politique du brevet avec ce que cela suppose : centres pointus de recherche, financements adéquats, traduction en arabe des récents brevets susceptibles d'intéresser l'économie et les entreprises nationales, etc. ? Devant les retards accumulés, les cadres envoyés à la casse, la régression du système éducatif, les bas salaires des enseignants, il y aurait des colères qui seraient bienvenues

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Les coups de sang du président de la République à chacune de ses sorties ont perdu progressivement en pertinence et les Algériens seraient en droit de se demander à quoi servent-ils, au bout du compte.

Bof !

Les coup de gueule de Boutef, ça fait longtemps qu'elles ne me font plus aucun effet. J'y ai cru durant les deux premières années de son mandant, sans doute trompé par son don de la parole !

 

Malherueusement, Boutef en homme intelligent qu'il est, a vite compris qu'il fallait danser sur la même musique que son peuple, ce dernier adorde les coups d'eclats ? régalons le par la poltique sepectacle, il est attaché à son Islam? adressons-nous à lui par le plus religieux des discours, fière de son passé révolutionnaire ? lançons une croisade contre la France de la loi du 23 Fevrier...

 

Pendant ce temps, le raïs prépare son 3ème mandant, le peuple crie "tahya prisidane", et l'Algérie dans tout ça ? ELLE STAGNE...

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Guest elkhamass
Bof !

Les coup de gueule de Boutef, ça fait longtemps qu'elles ne me font plus aucun effet. J'y ai cru durant ses deux premières années de son mandant, sans doute trompé par son intelligence et son don de la parole !

 

Malherueusement, Boutef en homme intelligent qu'il est, a vite compris qu'il fallait danser sur la même musique que son peuple, ce dernier adorde les coups d'eclats ? régalons le par la poltique sepectacle, il est attaché à sa Islam? adressons à lui par le plus religieux des discours, fière de son passé révolutionnaire ? lançons une croisade contre la France de la loi du 23 Fevrier...

 

Pendant ce temps, le raïs prépare son 3ème mandant, le peuple crie "tahya prisidane", et l'Algérie dans tout ça ? ELLE STAGNE...

 

le peuple ne croit a plus rien ,ni au patriotisme,ni aux religieux.....même pas a lui même...il a baissé les bras aprés tant de souffrances ,et tants d'espérances.....et l'abstention dans le dernier scrutin n'est que Renoncement a son destin...il se laisse mourir...ou se faire assassiner...

 

ceux que crient "tahya prisidane" ne sont que de pauvres ouvriers emmener de force ...khobza oblige..

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Bof !

Les coup de gueule de Boutef, ça fait longtemps qu'elles ne me font plus aucun effet. J'y ai cru durant ses deux premières années de son mandant, sans doute trompé par son intelligence et son don de la parole !

 

Malherueusement, Boutef en homme intelligent qu'il est, a vite compris qu'il fallait danser sur la même musique que son peuple, ce dernier adorde les coups d'eclats ? régalons le par la poltique sepectacle, il est attaché à son Islam? adressons à lui par le plus religieux des discours, fière de son passé révolutionnaire ? lançons une croisade contre la France de la loi du 23 Fevrier...

 

Pendant ce temps, le raïs prépare son 3ème mandant, le peuple crie "tahya prisidane", et l'Algérie dans tout ça ? ELLE STAGNE...

 

Mais alors pourquoi Bouteflika a reconduit la même équipe présidentielle alors que les dernières législatives semblaient condamner le gouvernement en place?

 

Sans doute que l'Algérie ne possède pas de véritables politiciens compétents et elle serait bien inspirée à regarder dans l'immgration si elle ne pourrait pas dénicher quelques "oiseaux" rares. C'est du moins mon opinion.

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Mais alors pourquoi Bouteflika a reconduit la même équipe présidentielle alors que les dernières législatives semblaient condamner le gouvernement en place?

Parce que M. Bouteflika est le chompion des contradictions !

 

Sans doute que l'Algérie ne possède pas de véritables politiciens compétents

C'est pas une affaire de politiciens, c'est plutôt un problème de système !

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Bouteflika se moque de qui? Quand je le voit se fâcher comme ça devant les caméra de tv, je me dis que décidément, nos dirigeants s'obstinent à traiter le peuple algerienen peuple mineur...jusqu'à quand? Que croit-il donc, le Boutef? Que le peuple est dupe? Non, je ne crois pas que le peuple est crédule! Gouverner ce n'est pas gésticuler!

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Bouteflika se moque de qui? Quand je le voit se fâcher comme ça devant les caméra de tv, je me dis que décidément, nos dirigeants s'obstinent à traiter le peuple algerienen peuple mineur...jusqu'à quand? Que croit-il donc, le Boutef? Que le peuple est dupe? Non, je ne crois pas que le peuple est crédule! Gouverner ce n'est pas gésticuler!

 

Se croirait-il encore à la tribune des Nations unies en tant que ministre des affaires étrangères?

 

 

 

BOUTEFLIKA AU GOUVERNEMENT ET AUX WALIS

 

«Je ne veux pas de mensonges!»

 

Le chef de l’Etat a dit, comme à son habitude, ses «quatre vérités». Il a relevé les avancées constatées sur le terrain, mais a également lourdement insisté sur les faiblesses de l’encadrement de la République.

Le président de la République a longuement disserté sur le cas des Algériens qui portent la double nationalité lors de l’allocution qu’il a prononcée à l’occasion de la réunion gouvernement-walis au Palais des nations, hier.

Pour le chef de l’Etat, la double nationalité n’est pas un sésame pour accéder à quelconque statut de privilégié. «Celui qui possède cette double nationalité ne signifie pas qu’il est supérieur à celui qui n’en a qu’une seule», a déclaré le président Bouteflika lors de cette réunion annuelle qui tend à devenir une tradition. «Les binationaux sont des Algériens qui ont choisi un autre chemin. Mais nous les acceptons en tant qu’experts, nous aurons besoin de leur expertise, de leur technicité, nous payerons le prix qu’il faut» a-t-il dit. Très fortement et longuement applaudi par l’assistance, le président a souligné que l’Algérie accepte et ne rejette pas ces Algériens «à condition qu’ils ne viennent pas nous souiller avec la morale et la philosophie». Le président a insisté que les postes de souveraineté seront d’abord accordés aux Algériens qui ont une seule nationalité: «je ne connais pas un pays au monde qui donne des postes de souveraineté à des binationaux», a déclaré le chef de l’Etat qui s’est étonné des erreurs commises par le passé en accordant notamment la possibilité à des Algériens de passer leur service national dans un pays de leur choix. «Nous disons que l’Algérie appartient aux Algériens». «Il ne s’agit pas d’avoir plusieurs nationalités, il s’agit de savoir qui nous sommes et d’où nous venons» a-t-il dit encore. Lors de cette rencontre, M.Bouteflika a brassé le tableau socio-économique et fixé les projections futures du pays dans tous les secteurs.

 

«Je ne veux pas de ça»

 

A l’ouverture des travaux, MBouteflika a insisté sur la nécessité de dire la vérité aux citoyens dans la réalisation des programmes. «Il vaux mieux dire que nous avons réalisé 100 km d’autoroute et de reconnaître qu’on n’a pas eu le temps et les moyens d’en faire plus que de mentir aux citoyens en leur faisant croire qu’on en a réalisé des centaines de kilomètres» a averti le président. «Je ne veux pas de ça, je ne veux pas mentir à ce peuple» a-t-il répété à l’adresse des walis et des membres du gouvernement. Nous avons des moyens et une volonté politique. «Nous devons être au rendez-vous avec la qualité et la perfection mondiales».

 

«Travaillez ou partez»

 

Parlant des cadres de la République, des ministres et des commis de l’Etat, M.Bouteflika a également mis en garde les responsables, notamment les ministres, qui ne veulent pas travailler. «N’est pas ministre qui veut, n’est pas wali qui veut» a-t-il dit avant de relever qu’«il y a ceux qui travaillent jour et nuit». Le président a été catégorique quand il a affirmé: «Celui qui veut assumer ses responsabilités nous le soutenons et celui qui ne veut pas assumer ses responsabilités qu’il nous le dise en toute franchise, et qu’il parte. Nous avons suffisamment de jeunes qui peuvent assumer des responsabilités.» L’alerte est ainsi donnée. Il revient sur le sujet et souligne: «Celui qui veut assumer ses responsabilités nous allons l’appuyer et celui qui ne veut pas, nous allons l’écarter en toute franchise». Le président de la République n’a pas donné l’alerte uniquement au responsable dans ce projet de reconstruction du pays. Les citoyens sont également impliqués et interpellés.

 

«Nos constructions sont moches»

 

Très critique sur la façon dont sont construits les logements, le président a appelé à revoir toute la stratégie d’architecture et de construction dans le pays. «Nous avons un projet de un million de logements, une quantité pareille de logements réglera le problème de cinq millions de personnes», a-t-il dit d’un ton optimiste avant de lâcher: «La qualité et la conception architecturale de ces logements sont catastrophiques, il faut revoir toute la conception car elle est tout simplement moche». Il s’emporte et ajoute: «Où sont les plans, que faisons-nous dans ce secteur?» Pour juguler la crise du logement, le président a préconisé de recourir aux formules LSP et Aadl.

 

Les jeunes d’abord ...

 

Dans cette allocution, M.Bouteflika a particulièrement insisté sur la jeunesse. Il a affirmé que l’emploi des jeunes constitue la principale «priorité» de la stratégie nationale de développement. Dans cette optique, il a rappelé, que différents dispositifs de soutien à l’emploi ont été mis en place, «précisément pour permettre l’insertion du maximum de jeunes et de moins jeunes dans le monde du travail». Il a déploré la lourdeur des procédures bureaucratiques. «Trop d’entraves et d’obstacles, voire d’obstructions et de blocages continuent encore de freiner les initiatives en matière de création d’activités et d’emplois», a-t-il regretté. Le président Bouteflika a également insisté sur l’«’urgence de concrétiser au plus vite le programme de réalisation de 100 locaux par commune (... )».

 

Le 5 Juillet redeviendra la fête de la jeunesse

 

Pour renforcer l’esprit de patriotisme et garder les repères chez cette jeunesse, le président a demandé de lui rétablir sa fête. C’est également pour sortir des carcans de la commémoration aux gerbes de fleurs et la lecture de la Fatiha. «Le 5 juillet redeviendra un jour de joie pour la jeunesse à qui les années 90 n’ont laissé aucun millimètre de joie, il sera un jour de distractions, de chant, de culture et de cérémonie», a-t-il insisté. C’est pour M.Bouteflika une manière de redonner de la joie et de la vie à cette jeunesse marquée par les années de violence:

 

1000 DA pour les retraités

 

Le chef de l’Etat a décidé de créer une prime complémentaire pour ce qui est des pensions de retraite et d’invalidité de moins de 10000 DA, de façon à ce qu’elles atteignent ce niveau. Quelque 900.000 retraités et bénéficiaires de pensions d’invalidité profiteront de cette mesure. «J’appelle le gouvernement à prendre toutes mesures visant à renforcer le régime de retraite et à garantir sa pérennité».

 

«On a pardonné, on n’a pas oublié»

 

Le mot a été direct «un assassin reste un assassin» a affirmé le président de la République quand il a évoqué le drame subi par le pays durant les années 90. «Ce qui nous est arrivé est le fait des assassins. Nous avons pardonné mais on n’a pas oublié. Un assassin reste un assassin et il doit savoir que si le peuple lui ouvre aujourd’hui ses bras, cela ne veut pas dire qu’il a oublié». Les mots sont crus et directs.

 

Il n’ y a pas de «pas de loi» ...

 

Le président de la République a fait allusion pour la première fois à l’amendement de la Constitution. «Il arrive que nous changeions de textes mais nous ne pouvons pas changer d’où nous venons, nos repères.

Je lis dans la Constitution que les drapeaux, l’hymne national et le sceau de la République sont définis par la loi. Quelle est cette loi qui définira l’emblème national, le sceau de la République et l’hymne national?», s’est interrogé le premier magistrat du pays avant d’insister que «ce sont des repères immuables».

 

150 milliards de dinars aux walis pour rattraper... le train

 

Le président a annoncé le «renforcement des prérogatives» des walis, «principaux animateurs du développement au niveau local», pour lever les «contraintes majeures» auxquelles ils sont confrontés.

Il a annoncé dans ce sens qu’une enveloppe de 150 milliards de DA sera dégagée au titre de la loi de finances complémentaire 2006 pour la prise en charge des dépenses liées à ce programme complémentaire.

 

 

Source: journal L'Expression

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le peuple ne croit a plus rien ,ni au patriotisme,ni aux religieux.....même pas a lui même...il a baissé les bras aprés tant de souffrances ,et tants d'espérances.....et l'abstention dans le dernier scrutin n'est que Renoncement a son destin...il se laisse mourir...ou se faire assassiner...

 

ceux que crient "tahya prisidane" ne sont que de pauvres ouvriers emmener de force ...khobza oblige..

 

je crois que chacun a trouvé son compte , ki chaab ki boutef ,et cela boutef le sait bien ...

il sait bien que ce peuple là, ne brandisse jamais les drapeaux oranges .alors il fait de nous tout ce qui veut

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je crois que chacun a trouvé son compte , ki chaab ki boutef ,et cela boutef le sait bien ...

il sait bien que ce peuple là, ne brandisse jamais les drapeaux oranges .alors il fait de nous tout ce qui veut

 

et c'est la que tu te trompe, l'algérien n'a pas trouvé son compte c pour sa qu'il ya des émeutes

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et c'est la que tu te trompe, l'algérien n'a pas trouvé son compte c pour sa qu'il ya des émeutes

monsieur quand je parle des drapeaux oranges ,je crois que tu me comprends ?

alors desolé ,je vois pas ces drapeaux oranges en algerie !!!

si tu me parles des emeutes ponctuelles ,je ne pense pas que ces emeutes là vont perturber boutef .et ces emeutes là ne concernent que la vie sociale du citoyen (logement,gaz,tranqport etc..) mais moi je parle du systeme.

et soit certain que le peuple ne pourra brandir ces drapeaux oranges sans qu'ils y'aient des leaders ,et c'est de ces leaders là que je parle ,ceux là ont trouvé leur compte et boutef le sait bien et ils les manipule bien . khalida messaoudi n'est qu'un exemple.

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Guest elkhamass
je crois que chacun a trouvé son compte , ki chaab ki boutef ,et cela boutef le sait bien ...

il sait bien que ce peuple là, ne brandisse jamais les drapeaux oranges .alors il fait de nous tout ce qui veut

 

non le peuple a fait beaucoup de sacrifices qui n'en finissent pas, il n'en peut plus il lui faut une pause....

le peuple espérait beaucoup de boutef, qui a trahi cette confiance..et la trahison est plus dure a supporter que la repression...

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non le peuple a fait beaucoup de sacrifices qui n'en finissent pas, il n'en peut plus il lui faut une pause....

le peuple espérait beaucoup de boutef, qui a trahi cette confiance..et la trahison est plus dure a supporter que la repression...

 

peux tu me citer un seul sacrifice monsieur ?? quand les kabyles se sont dirigé vers la capitale, aucun algerien,je dis bien aucun algerien des autres wilaya n'a bougé le doigt.

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Guest elkhamass
peux tu me citer un seul sacrifice monsieur ?? quand les kabyles se sont dirigé vers la capitale, aucun algerien,je dis bien aucun algerien des autres wilaya n'a bougé le doigt.

 

bougé le doigt!!!pouquoi ...pour empecher cette marche, c'etait une marche autorisée, elle a derapée .....bref c'est un autre debat ,et c'est l'absence de democratie qui est propice a ce genre de derapage....j'en dis pas plus..

quand aux sacrifices, si t'es en algerie, tu pourra pas les rater......

je dis seulement que le peuple est la seule victime, de deux bourreux, dont il est vrai l'un est téléguidé par l'autre....

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monsieur quand je parle des drapeaux oranges ,je crois que tu me comprends ?

alors desolé ,je vois pas ces drapeaux oranges en algerie !!!

si tu me parles des emeutes ponctuelles ,je ne pense pas que ces emeutes là vont perturber boutef .et ces emeutes là ne concernent que la vie sociale du citoyen (logement,gaz,tranqport etc..) mais moi je parle du systeme.

et soit certain que le peuple ne pourra brandir ces drapeaux oranges sans qu'ils y'aient des leaders ,et c'est de ces leaders là que je parle ,ceux là ont trouvé leur compte et boutef le sait bien et ils les manipule bien . khalida messaoudi n'est qu'un exemple.

 

chui pas d'accord avec toi moi je dis que l'algérie est une poudriere et que tot ou tard sa va peter, peut etre pas aujourd'hui, peut etre pas demain, peut etre pas dans 6 mois mais...

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chui pas d'accord avec toi moi je dis que l'algérie est une poudriere et que tot ou tard sa va peter, peut etre pas aujourd'hui, peut etre pas demain, peut etre pas dans 6 mois mais...

oui c'est sur un jour ou l'autre ,mais je pense pas que ça sera sous les regnes de boutef. mais bon, nous souhaitons toujours un grand homme qui saura les aspirations de ce grand peuple.

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bougé le doigt!!!pouquoi ...pour empecher cette marche, c'etait une marche autorisée, elle a derapée .....bref c'est un autre debat ,et c'est l'absence de democratie qui est propice a ce genre de derapage....j'en dis pas plus..

quand aux sacrifices, si t'es en algerie, tu pourra pas les rater......

je dis seulement que le peuple est la seule victime, de deux bourreux, dont il est vrai l'un est téléguidé par l'autre....

ahhhh non tu m'as mal compris ou plutot je me suis mal exprimé ,mais je voulais dire que personne n'a bougé le doigt pour leur dire ouiiii nous sommes avec vous ,et que nous sommes tous dans le meme petrin.

allez bonne soirée

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