Jump to content

Recommended Posts

je vous invite à nous faire partager des petites histoires :04:

 

Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse. Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui acheter un peigne pour parvenir à se coiffer. L’homme, très désolé, lui dit qu’il n’avait même pas assez d’argent pour réparer le bracelet de sa montre qu’il venait de casser. Emue elle aussi, elle n’insista pas pour sa demande.

 

 

L’homme alla à son travail en passant chez l’horloger. Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix et s’en alla acheter un peigne pour son épouse.

 

 

Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l’offrir. Quelle fut sa surprise lorsqu’il vit que son épouse s’était coupée les cheveux très courts, les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.

 

Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux, non pas pour l’inutilité de leur acte, mais pour la réciprocité de leur amour.

 

:)

Link to post
Share on other sites
  • Réponses 109
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Popular Days

Top Posters In This Topic

Guest dounia25

Alors qu'un homme nettoyait sa voiture, son fils de 4 ans ramassa un caillou et fit des graffitis sur la voiture. l'homme prit la main de son fils et la frappa plusieurs fois ; sans se rendre compte qu'il frappait avec une clé à molette.

A l'hôpital, le garçon perdit tous ses doigts, à cause des multiples fractures dont il était victime. Quand le garçon vit son père tout triste, (à cause de sa blessure), il demanda : "Papa, quand est-ce-que mes doigts vont repousser ?"

L'homme fût très secoué par la question et resta sans voix. il s'assît devant la voiture. Alors il vît ce que son fils avait gribouillé sur sa voiture et lût : "JE T'AIME PAPA !"

Le jour suivant, l'homme se suicida.

La colère et l'amour n'ont pas de limites.

Les choses sont créées pour être utilisées et les personnes pour être aimées.

 

Mais le problème dans le monde d'aujourd'hui est que les personnes sont utilisées et les choses sont aimées.:mad:

Link to post
Share on other sites
je vous invite à nous faire partager des petites histoires :04:

 

Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse. Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui acheter un peigne pour parvenir à se coiffer. L’homme, très désolé, lui dit qu’il n’avait même pas assez d’argent pour réparer le bracelet de sa montre qu’il venait de casser. Emue elle aussi, elle n’insista pas pour sa demande.

 

 

L’homme alla à son travail en passant chez l’horloger. Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix et s’en alla acheter un peigne pour son épouse.

 

 

Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l’offrir. Quelle fut sa surprise lorsqu’il vit que son épouse s’était coupée les cheveux très courts, les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.

 

Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux, non pas pour l’inutilité de leur acte, mais pour la réciprocité de leur amour.

 

:)

 

Merci chirir -:D- pour cette très belle histoire, d'un coup je me suis retrouver plongée dans mes souvenirs d'enfance, merci encore une fois ^^

Link to post
Share on other sites
Alors qu'un homme nettoyait sa voiture, son fils de 4 ans ramassa un caillou et fit des graffitis sur la voiture. l'homme prit la main de son fils et la frappa plusieurs fois ; sans se rendre compte qu'il frappait avec une clé à molette.

A l'hôpital, le garçon perdit tous ses doigts, à cause des multiples fractures dont il était victime. Quand le garçon vit son père tout triste, (à cause de sa blessure), il demanda : "Papa, quand est-ce-que mes doigts vont repousser ?"

L'homme fût très secoué par la question et resta sans voix. il s'assît devant la voiture. Alors il vît ce que son fils avait gribouillé sur sa voiture et lût : "JE T'AIME PAPA !"

Le jour suivant, l'homme se suicida.

La colère et l'amour n'ont pas de limites.

Les choses sont créées pour être utilisées et les personnes pour être aimées.

 

Mais le problème dans le monde d'aujourd'hui est que les personnes sont utilisées et les choses sont aimées.:mad:

 

:)

Link to post
Share on other sites
Quand il s'agit de l'enfance, ca ne peut qu'etre de bons souvenirs -dommage c'est un temps qui ne reviendra jamais :(-

 

oui je suis d'accord avec toi les souvenir de mon enfance m'apporte souvent la pais en soit , je me dis que j'ai eu beaucoup de chance d'avoir vécue des moments inoubliable :]

Link to post
Share on other sites
oui je suis d'accord avec toi les souvenir de mon enfance m'apporte souvent la pais en sois , je me dis que j'ai eu beaucoup de chance d'avoir vécue des

moments inoubliable :]

 

Moi je suis plutot nostalgique de ces moment, et je fais toujours une sorte de comparaison entre la joie de vivre de l'enfance et le vide dans ma vie actuelle :confused:

Link to post
Share on other sites

Puisque ca parle enfance, voici un conte que je trouve heuu marrant on va dire :D

 

Le lobe de l’oreille, l’orteil et la jambe

 

Un sultan avait sept filles. Six avaient épousé de preux chevaliers, la septième avait choisi un imbécile surnommé le Teigneux car il se coiffait d’une panse de brebis. Aussi ce dernier poussait-il le ridicule jusqu’à chevaucher un âne galeux, à l’envers, en le tenant par la queue. Un jour, le roi voulut éprouver ses gendres. Il fit semblant d’être malade et réclama, pour sa guérison, du lait de lionne. Les six chevaliers, fiers et imbus de leur personne, filèrent ensemble en crachant sur le Teigneux qui fut obligé de prendre un autre chemin. Ils ignoraient que c’était le grand roi Haroun Rachid, contraint de vivre ainsi car Dieu lui avait prescrit sept années de malheur.

 

Plus loin sur la route, un miracle se produisit et le grand saint, Sidi Abdelkader, apparut au roi déchu. Il lui offrit une outre remplie de lait de lionne, le métamorphosa en magnifique chevalier, et disparut.

 

Sur le chemin du retour, Haroun Rachid rencontra ses six beaux-frères qui n’avaient pas réussi à trouver le lait. Ils ne le reconnurent pas. C’est alors qu’il leur proposa de leur donner le lait contre un bout du lobe de l’oreille de chacun. Ils acceptèrent et Haroun Rachid garda les six lobes dans une musette. Au retour, le sultan fut satisfait de ses six gendres et déçu du septième. Ce dernier avait repris son aspect de Teigneux et s’en revenait les mains vides chevauchant son âne.

 

La fois d’après, le sultan exigea pour sa guérison une pomme qui se trouvait dans le jardin de la terrible ogresse Allia Bent-Mansour sekna cheg sebaâ bhour (« Alia la fille de Mansour qui habite au-delà des sept mers »). Les six, comme à leur habitude, prirent la route ensemble espérant croiser le chemin du chevalier. Le Teigneux de son côté rencontra le saint qui, cette fois, lui dit :

 

- Tiens ! Voilà deux fois sept perdrix. Tu découvriras, au bord des océans un aigle géant qui te les fera franchir sans se poser. Pour qu’il accomplisse la traversée, tu lui offriras à manger une perdrix à chaque étape.

 

Ainsi, le roi déchu suivit les conseils du saint. A l’aller, tout se déroula dans les meilleures conditions. L’aigle reçut comme convenu une perdrix après avoir franchi chacun des sept océans. L’aigle le déposa dans le jardin d’Allia Bent-Mansour, il y cueillit une pomme et s’en retourna. Comme pour l’aller, il offrit à l’aigle les perdrix. Mais à la septième et dernière étape la perdrix lui échappa des mains et tomba dans l’eau. Sans hésiter Haroun Rachid sortit son couteau et se trancha un bout de chair, derrière le genou. Il le mit dans le bec de l’oiseau qui dit, écoeuré :

 

- Hum ! Cette viande est salée, que m’as-tu donné ?

 

- De ma chair, car j’ai perdu la perdrix.

 

- Reprends ta chair, et estime-toi heureux. Cette négligence aurait pu te coûter la vie.

 

Le roi recolla en hâte le morceau sur sa jambe. L’aigle le mena à bon port. De nouveau, sous l’apparence d’un chevalier, il proposa l’échange aux six, qui avaient échoué, et obtint de chacun un bout du cinquième orteil qu’il mit également dans la musette.

 

Arriva le moment où Haroun Rachid réalisa que les sept ans de malheur venaient de s’achever. Il se présenta au sultan. Il se fit reconnaître sous sa véritable identité et confondit ses six beaux-frères en montrant leurs lobes d’oreilles et leurs bouts d’orteils qu’il sortit de la musette. Haroun Rachid fut rétabli dans ses honneurs et son épouse recouvra sa fierté. De ces miracles, il resta trace. Ainsi les humains ont le lobe plus petit que le reste de l’oreille et le cinquième orteil plus petit que les autres. Quant à notre jambe, elle présente un creux derrière notre genou. C’est la partie qui fut tranchée pour nourrir l’aigle. Et le mollet est plus gros car c’est à cet endroit que le morceau fut recollé en hâte par le héros.

Link to post
Share on other sites
Puisque ca parle enfance, voici un conte que je trouve heuu marrant on va dire :D

 

Le lobe de l’oreille, l’orteil et la jambe

 

Un sultan avait sept filles. Six avaient épousé de preux chevaliers, la septième avait choisi un imbécile surnommé le Teigneux car il se coiffait d’une panse de brebis. Aussi ce dernier poussait-il le ridicule jusqu’à chevaucher un âne galeux, à l’envers, en le tenant par la queue. Un jour, le roi voulut éprouver ses gendres. Il fit semblant d’être malade et réclama, pour sa guérison, du lait de lionne. Les six chevaliers, fiers et imbus de leur personne, filèrent ensemble en crachant sur le Teigneux qui fut obligé de prendre un autre chemin. Ils ignoraient que c’était le grand roi Haroun Rachid, contraint de vivre ainsi car Dieu lui avait prescrit sept années de malheur.

 

Plus loin sur la route, un miracle se produisit et le grand saint, Sidi Abdelkader, apparut au roi déchu. Il lui offrit une outre remplie de lait de lionne, le métamorphosa en magnifique chevalier, et disparut.

 

Sur le chemin du retour, Haroun Rachid rencontra ses six beaux-frères qui n’avaient pas réussi à trouver le lait. Ils ne le reconnurent pas. C’est alors qu’il leur proposa de leur donner le lait contre un bout du lobe de l’oreille de chacun. Ils acceptèrent et Haroun Rachid garda les six lobes dans une musette. Au retour, le sultan fut satisfait de ses six gendres et déçu du septième. Ce dernier avait repris son aspect de Teigneux et s’en revenait les mains vides chevauchant son âne.

 

La fois d’après, le sultan exigea pour sa guérison une pomme qui se trouvait dans le jardin de la terrible ogresse Allia Bent-Mansour sekna cheg sebaâ bhour (« Alia la fille de Mansour qui habite au-delà des sept mers »). Les six, comme à leur habitude, prirent la route ensemble espérant croiser le chemin du chevalier. Le Teigneux de son côté rencontra le saint qui, cette fois, lui dit :

 

- Tiens ! Voilà deux fois sept perdrix. Tu découvriras, au bord des océans un aigle géant qui te les fera franchir sans se poser. Pour qu’il accomplisse la traversée, tu lui offriras à manger une perdrix à chaque étape.

 

Ainsi, le roi déchu suivit les conseils du saint. A l’aller, tout se déroula dans les meilleures conditions. L’aigle reçut comme convenu une perdrix après avoir franchi chacun des sept océans. L’aigle le déposa dans le jardin d’Allia Bent-Mansour, il y cueillit une pomme et s’en retourna. Comme pour l’aller, il offrit à l’aigle les perdrix. Mais à la septième et dernière étape la perdrix lui échappa des mains et tomba dans l’eau. Sans hésiter Haroun Rachid sortit son couteau et se trancha un bout de chair, derrière le genou. Il le mit dans le bec de l’oiseau qui dit, écoeuré :

 

- Hum ! Cette viande est salée, que m’as-tu donné ?

 

- De ma chair, car j’ai perdu la perdrix.

 

- Reprends ta chair, et estime-toi heureux. Cette négligence aurait pu te coûter la vie.

 

Le roi recolla en hâte le morceau sur sa jambe. L’aigle le mena à bon port. De nouveau, sous l’apparence d’un chevalier, il proposa l’échange aux six, qui avaient échoué, et obtint de chacun un bout du cinquième orteil qu’il mit également dans la musette.

 

Arriva le moment où Haroun Rachid réalisa que les sept ans de malheur venaient de s’achever. Il se présenta au sultan. Il se fit reconnaître sous sa véritable identité et confondit ses six beaux-frères en montrant leurs lobes d’oreilles et leurs bouts d’orteils qu’il sortit de la musette. Haroun Rachid fut rétabli dans ses honneurs et son épouse recouvra sa fierté. De ces miracles, il resta trace. Ainsi les humains ont le lobe plus petit que le reste de l’oreille et le cinquième orteil plus petit que les autres. Quant à notre jambe, elle présente un creux derrière notre genou. C’est la partie qui fut tranchée pour nourrir l’aigle. Et le mollet est plus gros car c’est à cet endroit que le morceau fut recollé en hâte par le héros.

 

c'est un bon scénario pour y faire un film fantaisie ...:crazy:

Link to post
Share on other sites

C'est l'histoire d'une princesse qui vivait dans un vieux chateau. elle n'était pas bien riche car son grand coeur faisait qu'elle préféré faire le bonheur des gens qui l'entourait. Il lui arrivait même de devoir se nourir de quelques miettes mais celà lui suffisait amplement, car quelques part dans son jardin il y avait un étang et dans cette étang un crapaud.

Chaque jour elle s'en allait écouter son chant et chaque jour le chant du crapaud était différent.

Si la princesse était inquiète le crapaud lui interprété unechanson douce et apaisante, lorsqu'elle était triste ses mots lui disait de ne pas s'inquiéter, elle avait le pouvoir de comprndre son crapaud, c'était un secret quelle ne voulait partager, non par peur qu'on la prenne pour une folle, juste par crainte qu'il s'en aille et ne revienne jamais.

Mais un jour le château fut incendié et par malheur la réserve d'eau des pompiers était insuffisante pour venir à bout des flammes, ils ne parvinrent pas à mettre un terme à cet incendie ravageur, et il ne restait donc qu'une solution puiser l'eau dans l'étang.

La princesse vit le niveau baisser et s'inquiéta mais son crapaud sorti t de l'eau et une nouvelle fois lui chanta ces quelques mots.

Ne t'en fait pas pour moi, je serai toujours là et même si l'eau s'en va et que tu ne m'entends pas tu me retrouveras.

Sur ces paroles le crapaud plongea et s'enfuit, l'incendie fut éteint c'est aussi grâce à lui.

La princesse pleura et pleura encore durant des nuits et des jours mais à bout de force elle fint un soir par plonger ds un sommeil profont c'est dans un songe qu'un prince apparut et vinet lui souffler ces doux mots.

Tu vois je te l'avais dit qu'un jour on se retrouverait jamais plus on ne se quittera et je serai toujours là.

C'est ainsi que se termine l'histoire, la princesse avait son bonheur et elle le portait sur son coeur c'est endoit le plus chaud le plus beau le plus grand bien mieux qu'un étang l'endroit de son prince charmant.:)

Link to post
Share on other sites
Guest The Bride
C'est l'histoire d'une princesse qui vivait dans un vieux chateau. elle n'était pas bien riche car son grand coeur faisait qu'elle préféré faire le bonheur des gens qui l'entourait. Il lui arrivait même de devoir se nourir de quelques miettes mais celà lui suffisait amplement, car quelques part dans son jardin il y avait un étang et dans cette étang un crapaud.

Chaque jour elle s'en allait écouter son chant et chaque jour le chant du crapaud était différent.

Si la princesse était inquiète le crapaud lui interprété unechanson douce et apaisante, lorsqu'elle était triste ses mots lui disait de ne pas s'inquiéter, elle avait le pouvoir de comprndre son crapaud, c'était un secret quelle ne voulait partager, non par peur qu'on la prenne pour une folle, juste par crainte qu'il s'en aille et ne revienne jamais.

Mais un jour le château fut incendié et par malheur la réserve d'eau des pompiers était insuffisante pour venir à bout des flammes, ils ne parvinrent pas à mettre un terme à cet incendie ravageur, et il ne restait donc qu'une solution puiser l'eau dans l'étang.

La princesse vit le niveau baisser et s'inquiéta mais son crapaud sorti t de l'eau et une nouvelle fois lui chanta ces quelques mots.

Ne t'en fait pas pour moi, je serai toujours là et même si l'eau s'en va et que tu ne m'entends pas tu me retrouveras.

Sur ces paroles le crapaud plongea et s'enfuit, l'incendie fut éteint c'est aussi grâce à lui.

La princesse pleura et pleura encore durant des nuits et des jours mais à bout de force elle fint un soir par plonger ds un sommeil profont c'est dans un songe qu'un prince apparut et vinet lui souffler ces doux mots.

Tu vois je te l'avais dit qu'un jour on se retrouverait jamais plus on ne se quittera et je serai toujours là.

C'est ainsi que se termine l'histoire, la princesse avait son bonheur et elle le portait sur son coeur c'est endoit le plus chaud le plus beau le plus grand bien mieux qu'un étang l'endroit de son prince charmant.:)

 

Mafhamte walou:mad:

Link to post
Share on other sites
Guest The Bride
kiski ti na pas compris :confused:

 

Difda3..c'est bien un prince charmant??:confused:

 

pourquoi elle ne lui a pas donné de bisou??:confused: pour qu'il redevienne un prince charmant??

Link to post
Share on other sites
Guest dounia25

C'est l'histoire d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde...

Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler. Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :

- "Elles sont à l'envers, maîtresse".

La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre, mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.

Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :

- "C'est pas mes bottes".

A ce moment-là, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit AVANT... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.

Elle dit alors :

- "Bon, allez, on les enlève", et elle se met à nouveau au boulot.

Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :

- "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".

Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes. L'opération est enfin terminée et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :

- "Où sont tes gants ?"

Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :

- "Je les ai mis dans mes bottes..."

Link to post
Share on other sites
Guest The Bride
C'est l'histoire d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde...

Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler. Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :

- "Elles sont à l'envers, maîtresse".

La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre, mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.

Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :

- "C'est pas mes bottes".

A ce moment-là, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit AVANT... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.

Elle dit alors :

- "Bon, allez, on les enlève", et elle se met à nouveau au boulot.

Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :

- "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".

Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes. L'opération est enfin terminée et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :

- "Où sont tes gants ?"

Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :

- "Je les ai mis dans mes bottes..."

 

:(

Link to post
Share on other sites
C'est l'histoire d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde...

Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler. Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :

- "Elles sont à l'envers, maîtresse".

La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre, mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.

Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :

- "C'est pas mes bottes".

A ce moment-là, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit AVANT... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.

Elle dit alors :

- "Bon, allez, on les enlève", et elle se met à nouveau au boulot.

Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :

- "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".

Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes. L'opération est enfin terminée et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :

- "Où sont tes gants ?"

Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :

- "Je les ai mis dans mes bottes..."

 

:mdr: La pauvre, moi j'aurai hissé le drapeau blanc depuis longtemps :surrender:

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...