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Idée de business en l'Algérie.


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L\'idéal ce serait d\'avoir des artisans de haut niveau; anciens de Vuitton, artisans de Tlemcen...

 

Tu sais... faire du luxe ne consiste pas à copier vulgairement des modèles déposés ..... c\'est un long travail, des compétences et une réputation acquise avec le travail, les sacrifices, les moyens et l\'excellence

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Tu sais... faire du luxe ne consiste pas à copier vulgairement des modèles déposés ..... c\'est un long travail, des compétences et une réputation acquise avec le travail, les sacrifices, les moyens et l\'excellence

 

Tout à fait Raison de plus pour commencer. Nous avons des artisans renomés à Tlemcen.

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Tout à fait Raison de plus pour commencer. Nous avons des artisans renomés à Tlemcen.

 

Des artisans pour faire dans la traditionnel local? oui parfait.

Des artisans de tlemcen pour faire dans le sac de luxe ... je n y crois absolument pas. Un sac de luxe c\'est effectivement des artisans, des concepteurs, des commerciaux, des capitaux, ... et j\'en passe!

Un artisan (par définition) fait dans l\'artisanat ...

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L'élevage de Caille,Dinde,Lapins,...etc Tout ce qui est viande blanche un créneau inepuisable.faut aller du coté Ain ouessara puisque les terrains agricoles sont abordables si ce n'est gratos.pour ceux qui veulent investir l'état apporte tout le soutien nécessaire.

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ARGILEV le fait!! Une entreprise issue de l'Ansej.

 

Créée en 2002, première opération d'exportation en 2003.

 

Pour information l'argile verte est différente du Ghassoul. Le Ghassoul est une argile saponifiée dont le seul gisement connu au monde se trouve au Maroc.

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Jeune manager dynamique et entreprenante, Naïma Beghili se lance dans les affaires comme on se lance dans la vie. Dès son retour de Tunisie en 2002, l’idée de créer sa petite affaire ne quittait plus son esprit. Elle a longuement réfléchi et a fini par trouver son créneau. Elle voulait investir dans un secteur se rattachant au terroir algérien. Là où originalité et savoir-faire riment avec Casbah et tradition. Pour réunir l’ensemble, elle met tout en œuvre et met vite sur pied Argilev, qui prend bien vite de l’essor.

 

 

 

Dès 2003, au tout début du lancement de son entreprise, elle produit et exporte. «J’ai fait un grand pas vers l’exportation. C’est mon but, d’ailleurs», se félicite-t-elle. Elle est, du reste, applaudie de partout. Naïma finit par collectionner les trophées. Pour sa première exposition à l’étranger, et voyant son ascension, le World Trade Center Algeria lui décerne le trophée de la plus jeune exportatrice 2004. En juin 2002, à la Foire internationale d’Alger, elle reçoit la visite du président de la République. En 2004, elle participe au Sami organisé par l’Ansej. En juin 2005, elle reçoit la visite du président du Sénat de l’Afrique du Sud. Enfin, le 8 mars de cette année, c’est la consécration : elle a été honorée par le président de la République.

 

La naissance d’Argilev

 

ARGILEV vient du mot «argile» et de la lettre «V» pour verte. Faisant de l’argile verte l’essence même de son existence, cette jeune entreprise active dans la production de produits cosmétiques traditionnels à base d’argile verte.

 

«Nous avons lancé le projet en 2002, et comme c’est une entreprise issue de l’Ansej, nous avons eu une année pour préparer le dossier administratif, location du local et autres. L’activité a commencé concrètement en 2003, dès l’obtention de l’accord de la banque, pour pouvoir acheter tout le matériel», explique l’initiatrice du projet.

 

C’est un secteur porteur, et ce, beaucoup plus à l’étranger qu’en Algérie. Ce sont des produits qui ont complètement disparu sur le marché, aussi bien en Algérie qu’à l’étranger. Ce sont des produits «bio» qui se font de plus en plus rares. «Je me suis dit : pourquoi ne pas investir ce secteur ? C’est un peu le retour aux sources. Mon souci premier était de refaire vivre ces produits qui étaient d’une grande utilité autrefois et qui ont été totalement oubliés aujourd’hui», commente-t-elle.

 

Bureaucratie récurrente

 

Argilev, au même titre que les autres opérateurs économiques algériens, s’est trouvé au devant de problèmes typiquement administratifs, dans un premier temps. Lourdeurs administratives obligent, l’accord de la banque a pris beaucoup de temps pour se concrétiser. «Pour avoir l’accord de la banque, c’était très difficile, il fallait vraiment courir. Au niveau de l’administration bancaire, c’était vraiment infernal», déplore-t-elle.

 

Argilev a choisi la BDL pour l’accompagner durant tout le processus de mise en marche de l’entreprise et même dans son évolution actuelle. «J’ai frappé à toutes les banques, la plupart d’entre elles ont refusé. La BDL a été la seule à accepter le crédit, même si cela n’a pas été facile», relate-t-elle.

 

Changement de statut

 

Argilev est, aujourd’hui, un établissement, et exerce en tant que personne physique. La première responsable envisage très prochainement de passer à l’Eurl dès janvier 2008. «Comme j’ai fini de payer mon crédit au niveau de ma banque, nous avons le projet d’en faire l’extension en 2008», annonce-t-elle.

 

De plus, notre interlocutrice précisera qu’elle détient aujourd’hui l’accord de l’Ansej. «L’agence est prête à nous octroyer un crédit allant jusqu’à 1 milliard ; par ricochet, nous pourrons nous aussi demander un petit crédit au niveau de ma banque, toujours avec un financement triangulaire, et passer carrément au statut de Eurl parce que l’entreprise prend de plus en plus d’expansion. Je pourrai ainsi recruter un plus grand nombre de personnes, louer plus grand ailleurs», envisage-t-elle.

 

Une distribution mesurée

 

Pour ce qui est de la distribution de ses produits, l’entreprise a aujourd’hui signé des conventions avec des entreprises étatiques bien ciblées. «Avec l’ENTMV, nous avons signé des conventions avec toutes les boutiques des bateaux affrétés. Avec une boîte à Constantine, Merbouha Marketing, issue elle aussi de l’ANSEJ, avec qui nous avons une convention pour la distribution de nos produits sur tout l’Est algérien, de Sétif à la frontière tunisienne. Avec l’Etusa, pour la pâte à savon à base d’argile, utilisée pour dégraisser les mains. Ce même produit, nous le vendons depuis deux ans à la SNVI avec laquelle nous comptons signer une convention très prochainement. L’Etusa et la SNVI achètent nos produits pour un usage interne. Avec l’ANP, aussi nous avons une convention pour ce même produit», souligne-t-elle.

 

L’argile verte : une ressource inestimable

 

L’argile verte est un gisement qui se trouve en Algérie. Dans le cadre de la loi minière fixant les modalités d’exploitation, Argilev se procure cette matière première nécessaire à la fabrication de ses produits. Avec le soleil, l’air et l’eau dont elle capte les principes vitaux, elle constitue le plus puissant agent de régénération physique. Pour se procurer cette matière vivante, Argilev est en relation avec un fournisseur commissionné à la quantité. «Il nous ramène cette matière qu’il extrait de façon traditionnelle (c’est-à-dire qu’ il fait un ramassage manuel), à peu près une tonne par mois», soutient-elle. Cette matière spécifique est disponible en grande quantité dans les sols algériens.

 

Une petite équipe à la hauteur

 

Actuellement, Argilev emploie 4 personnes : 3 ouvrières formées sur le tas, une chimiste qui s’occupe des préparations est responsable des dosages. Naïma, elle, elle a créée, elle a conçu, elle a mis en place, elle a lancé et maintenant elle gère ; elle fait également la livraison des produits. «Plus tard, quand l’entreprise sera plus forte, nous pensons lui offrir une formation à l’étranger. Cela fait partie des projets de l’entreprise», avoue-t-elle.

 

«Nous avons toujours besoin de parfaire notre formation. En Algérie, la cosmétique n’est pas bien développée. Les produits sont beaucoup plus importés que fabriqués localement», poursuit-elle.

 

Investissement minimal et résultat inattendu

 

L’investissement consenti était plutôt faible compte tenu de l’activité actuelle. «J’ai bénéficié d’un financement triangulaire, mon apport personnel était de 25 000 DA. La banque m’a aidée pour le matériel à hauteur de 300 000 DA et l’Ansej m’a aidée avec 100 000 DA. Voilà l’ensemble de l’investissement. Très petit», reconnaît-elle.

 

Quand au chiffre d’affaires réalisé annuellement, la gérante ne nous cachera pas que la première année, elle était au négatif, la deuxième et la troisième au positif. «Je suis satisfaite de mon ascension», lance-t-elle.

 

Concrètement, en 2004, Argilev était au négatif, ce qui est tout à fait normal, puisqu’elle venait à peine de se lancer.

 

En 2005, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 450 000 DA, et en 2006, un chiffre d’affaires de 980 000 DA. «C’est une progression régulière», commente-t-elle.

 

Un réseau bien élaboré

 

Argilev a mis en place un réseau de distribution à travers les grandes surfaces et vend aussi directement à des clients : l’ ANP, l’Etusa, la SNVI, l’ENMTV et Cevital avec son nouveau projet. «Pour ces clients, nous travaillons directement du producteur au consommateur final, sans intermédiaire», garantit-elle. Autrement, les produits Argilev sont disponibles en superettes et en magasins. En dernier lieu, les grossistes, eux, interviennent pour revendre aux détaillants.

 

Pour la clientèle, Argilev l’a scindée en trois grandes catégories. Cette jeune entreprise exporte également. «A travers les foires auxquelles je participe à l’étranger, j’exporte mes produits», assure-t-elle. De plus, continue-t-elle, «j’ai un représentant à Marseille qui place mes produits dans cette région du sud de la France, en attendant que je créée ma filiale», indique-t-elle.

 

Des produits originaux

 

Argilev développe une gamme de produits riche et variée. Cette jeune entreprise a d’abord lancé, dès sa création, le masque naturel d’argile utilisé pour l’éclat et la netteté de la peau. Par la suite, elle l’a amélioré, en le faisant accompagner d’huiles naturelles. Elle proposait donc le même masque accompagné d’huile de rose pour la peau couperosée et irritée, l’huile d’amande douce pour la peau sèche, et l’huile de citron pour la peau grasse et acnéique. Ensuite, elle a confectionné la poudre à épiler à base d’argile. Facile à utiliser, elle rend la peau claire et nette pour une efficacité durable. Présentée dans une mini jarre recouverte d’une petite fouta kabyle ou en dosette.

 

Le produit le plus authentique que la créatrice a eu l’idée de mettre sur le marché est sans contexte le savon noir, «le fameux ‘Sabone d’zaïr’ que nos mamans utilisaient pour faciliter le gommage du corps ; il enlève toutes les peaux mortes, purifie la peau, nettoie et rend la peau très douce et très lisse. Il est proposé en mini jarre et en pot», fait-elle savoir.

 

Après quoi, elle a fabriqué un shampooing à base d’argile verte pour les cheveux gras, qui est également un anti-pelliculaire doux. «Pour les cheveux gras, parce que l’argile a cette propriété d’absorber le gras », remarque-t-elle.

 

Argilev fait aussi dans le conditionnement du k’hol naturel et, celui du henné 100 % naturel présenté dans des mini jarres. Elle présente pareillement la pierre ponce naturelle dans du jute. «C’est une pierre volcanique, venant du sud algérien, qui nous est procurée par l’un de nos fournisseurs», énonce-t-elle.

 

Pour une présentation très esthétique de ses produits, la propriétaire utilise abondamment le jute pour confectionner des petits paniers. Le jute est teinté avec différentes couleurs pour en faire des petits kits originaux qui contiennent tous les produits Argilev pour le plaisir d’offrir. «C’est ce qui est disposé dans toutes les boutiques des bateaux. Il en existe en bleu, en vert, en jaune, en rose, et bien d’autres couleurs encore», dit-elle.

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ARGILEV le fait!! Une entreprise issue de l'Ansej.

 

Créée en 2002, première opération d'exportation en 2003.

 

Pour information l'argile verte est différente du Ghassoul. Le Ghassoul est une argile saponifiée dont le seul gisement connu au monde se trouve au Maroc.

 

Je vous conseille de lire ce lien, on y découvre le parcours d'une jeune entrpreuneuse dynamique.

oui vous avez raison

http://www.lejourdalgerie.com/Editions/Speciale/Saga%20Argilev.htm

http://www.argilevtn.com/contact.htm

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Idea:

- devenir le leader algérien de la fabrication de ruches,

- construire des ruches pour les vendre aux apiculteurs.

- matériel: bois, grillage,

- technologie simple,

- approvisionnement en matériaux: local.

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Coursier à moto dans Alger.

Dans les grandes villes comme Paris, on voit plein de coursiers à moto. Ils emmènent d'une société à l'autre de petits colis, des courriers importants qui doivent arriver dans l'heure.

 

Il y a là une possibilité de business pour qui:

- à une moto,

- les moyens de faire de la publicité.

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Peu d'hotéls

 

Idea (services):

- créer une centrale d'achat de places d'hôtels (complexe touristiques), spectacles, circuits touristiques, cadeaux pour les comités d'entreprise des sociétés et administrations.

Et puis ces hotels n'ont pas besoin d'intermédiaires,puisque ils ne proposent rien ou presque.ils font leurs lois a leur guise.c'est hors de prix pour un cadre moyen .les hotels a bas prix sont infréquentables par manque d'hygiene

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