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Idée de business en l'Algérie.


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Ouvrir des zones franches.

Pourquoi ne pas développer des zones franches où les investisseurs étrangers paieraient très peu d'impôts?

fr_gphoto_168.jpg

 

Envoyer des jeunes travailler en Allemagne.

L'Allemagne manque de main d'oeuvre. Et ainsi les jeunes reviendraient ensuite au bled avec une expérience professionnelle (et une épouse Allemande?).

Jeunes-techniciens-auto.jpg

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Propriétaire à 200€/mois

Rédiger un guide des subventions pour particuliers ou privés industriel désirant construire et en tenant compte des dernières lois en vigueur en Algérie..

gf-gpd2011.jpg

Loi defiscalisation: Scellier LMNP LMP - guide de la défiscalisation

Grâce aux lois de défiscalisation. Infos, conseils, simulations.

 

c'est plus de la persévérance…….c'est de l'obstination.

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c'est plus de la persévérance…….c'est de l'obstination.

 

Yekhi, comme on dit:

"Assamatt yaghleb el gbih" ...

Entreprise de nettoyage

 

Karim1987 a cité le message suivant:

 

"Bonsoir mes amis(es)

pour les entreprises de nettoyages je vous déconseille car en 2001 j'ai crée la première entreprises dans l'est de l'Algérie j'ai très très bien travaillé mais avec le temps il y avais d'autres entreprises c'étais parfait mais le problème c'est que maintenant il y a une concurrence déloyale car c'est des casseurs de prix

j'avais trois entreprises avant je travaillé dans une université a l'est de l'Algérie le marché couté 370.000,00 DA ils exiges 20 salariées assurées plus une liste de matériels jusqu'au la c'est bon !! maintenant c'est presque les mêmes conditions mais le prix du marché a baisser a 280.000,00 DA avec 20 salariées assurée

ont fait un petit calcule

un salarié déclaré a plein temps touche minimum 15.000,00 c'est a dire minimum le SMIG * 20 personne

assurance 35 % du salaire * 20 personne

plus produit

plus impôt 2% sur le montant total en hors taxe

plus assurance de l'employeur

plus IRG

plus une taxe sur le bénéfice

alors ont dépasse le montant 280.000,00 ????

il reste quoi comme bénéfice ..???? "

 

nettoyage_batiment.jpg

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Investir en Espagne, c'est tentant à ce prix là de l'immobilier?

 

Des villages au prix d’une maison en Espagne

Publié le 12/03/2014 Le Figaro.

 

La crise immobilière en Espagne pousse les propriétaires à vendre leurs biens abandonnés pour une bouchée de pain.

 

« Vend hameau de 13 000 m2, composé de cinq maisons de pierres, pour 62 000 euros. » Voici à quoi pourrait ressembler, en résumé, l’annonce immobilière du hameau de Pena Vella, dans le nord de l’Espagne. Comme lui, près de 2 900 villages ont été abandonnés dans le nord de la péninsule hispanique, dont plus de la moitié en Galice et dans les Asturies, d’après l’institut national de la statistique.

2 900 villages abandonnés

 

Avec la chute de la bulle immobilière – les prix ont chuté de 7,8 % en 2013 en Espagne —, il est désormais possible d’acheter ces hameaux délaissés depuis l’exode rural. Comme le montrent les annonces disponibles sur le site espagnol Aldeasabandonadas.com, on en trouve dès 45 000 euros, et autour de 250 000 euros en moyenne. Soit le prix d’une maison en France. Sauf que les biens en question sont parfois laissés à l’abandon depuis plus de cinquante ans. Autrement dit : ils sont vétustes, recouverts de mousse, en ruine. En somme : ils demandent de l’entretien.

12 maisons à « zéro euro »

 

C’est pourquoi la plupart des acheteurs sont des étrangers. Des Britanniques, des Norvégiens, des Allemands, des Russes et des Mexicains, d’après l’AFP. Ils sont le plus souvent écrivains, peintres ou professionnels du tourisme rural. C’est à ce profil que s’adresse tout particulièrement le village d’A Barca. Ses 12 maisons sont à saisir « pour zéro euro ». En échange, le repreneur devra proposer « un projet global, qui intègrera la totalité des maisons » à la mairie qui l’a racheté. Comme un complexe touristique, par exemple.

 

Elodie Buzaud © Explorimmo.com

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UDES de Bousmail : Plaidoyer pour le chauffe- eau solaire.

 

Le chauffe- eau solaire , produit et développé localement avec des moyens locaux , le séchoir solaire destiné au séchage des déchets agroalimentaires , rendu possible grâce à un accord avec un industriel qui a demandé de travailler sur ce process, le frigo solaire équipé pour le rendre autonome avec panneaux solaires et batterie , destiné à des zones éloignées pour, entre autres usages, la conservation des médicaments pour les centres de santé et tout un système pour le traitement des eaux fait en collaboration avec l’ONA de Tipaza pour en démontrer la faisabilité, sont autant de projets sur lesquels on travaille à l’Unité de recherche des équipements solaires UDES de Bousmail.

 

Une unité que dirige le Dr Nachida Kasbadji Merzouk qui, dans l’entretien qu’elle nous a accordé, évoque les raisons du désintérêt des industriels algériens des prototypes développés par l’UDES avec des moyens locaux, la démarche à suivre pour intégrer le chauffe-eau solaire et d’autres produits sur le marché algérien et leur « acceptation » par le consommateur algérien et le rôle de Rafev pour la promotion de la notion d’économie verte.

 

DZEntreprise : Vous êtes experte en énergie renouvelable et œuvrez dans le domaine de la gestion, la maitrise et l’économie de l’eau et de l’énergie, thème sur lequel vous donnez régulièrement des conférences internationales, pensez- vous que le projet sur lequel vous travaillez avec l’ONA de Tipaza a des chances de réussir et peut- on le généraliser ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : Evidement ! Nous travaillons sur tout un système pour le traitement des eaux, le tout c’est de le faire avec la steppe de Tipaza. Une fois traitée ,cette eau pourrait servir à l’arrosage et au lavage des voiries ;à défaut c’est une eau non polluante si elle venait à être rejetée vers la mer.

Il y a également une équipe qui travaille sur la valorisation des boues issues de ces stations d’épuration et c’est un projet de recherche national.

 

DZEntreprise : S’agissant de la chauffe- eau solaire, ce n’est pas un projet très récent .Il a même été présenté lors de divers salons consacrés aux énergies renouvelables ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : C’est vrai, c’est un projet qui a connu plusieurs étapes .Nous en sommes au troisième prototype et il y a une réelle évolution par rapport aux deux premiers.

La performance du nouveau chauffe -eau est le coût estimatif. Il fallait qu’on produise un produit capable de concurrencer le chauffe- eau à gaz.

Et comme l’électricité et le gaz sont subventionnés chez nous, il n’est donc pas compétitif, cela ne nous empêche pas de le parfaire en attendant des mesures incitatives qui permettront de le placer sur le marché national.

DZEntreprise : Comment ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : Notre vision est qu’on ne doit pas l’introduire par l’importation, vu qu’il ne demande pas de grands moyens pour sa fabrication.

On peut donc et facilement l’industrialiser en Algérie compte tenu des capacités locales.

Je tiens à préciser que pour la fabrication de nos prototypes, nous avons fait appel à des entreprises algériennes, étatiques et privées, pour la fabrication des pièces qui composent notre chauffe-eau.

 

DZEntreprise : Cela veut-il dire que si quelqu’un veut l’industrialiser, il aura tout à portée de main ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : Mieux que cela !nous avons transmis les caractéristiques (peinture, verre…) à des fabricants qui ont réalisé et très bien réalisé, donc s’il y un industriel qui veut fabriquer et commercialiser, toutes les données techniques sont chez les entreprises avec lesquelles nous avons travaillé.

Avec ces données, ils peuvent procéder à la fabrication des pièces qui composent le produit à tout moment.

 

DZEntreprise : Mais peut-on facilement le commercialiser et comment convaincre l’industriel algérien pour le fabriquer ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : Il ya deux approches, voir un industriel qui pourrait le fabriquer et le multiplier et dans cet objectif, nous avons travaillé sur le process d’industrialisation en multipliant les machines, mais cette vision n’a pas abouti bien que plusieurs industriels se soient déplacés pour voir le produit et ont manifesté de l’intérêt sans vraiment concrétiser…

 

DZEntreprise : Par crainte du marché ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : Entre autres.Il faut savoir que si à ce jour nous n’avons pas une idée sur le marché du chauffe-eau solaire en Algérie, c’est par manque d’étude et d’intérêt pour ce même marché.

Si aujourd’hui le marché n’existe pas il existera d’ici 2030 parce qu’on ne pourra pas aller à l’encontre des solutions de développement durable et d’énergie propre…

 

DZEntreprise : Et comment peut-on l’intégrer sur le marché ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : Pour être intégré il faut qu’il soit visible.

On peut le faire en impliquant les collectivités locales, en l’intégrant dans tout ce qui est d’utilité publique, les écoles, les cités universitaires, les centres de santé….

Et c’est en le multipliant qu’on pourra l’intégrer. Mais il ne faut surtout pas le faire avec des produits importés.

 

DZEntreprise : Et la deuxième vision ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : Elle est plus facile à mettre en œuvre ! Elle passe à mon avis par la création de plusieurs PME-PMI qui fabriqueraient chacune un composant du chauffe-eau solaire, ou tout autre appareil, et une autre ferait le montage.

A ce moment là, l’investissement est moins lourd et c’est ce qui permettra aux jeunes diplômés en énergie renouvelable de profiter des aides de l’Etat pour mettre en place des entreprises complémentaires.

 

DZEntreprise : Et dans ce dernier cas quel serait l’apport de l’UDES ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : En tant qu’unité qui est dans la recherche appliquée, elle a un rôle important puisqu’elle est dans la pratique.

Le transfert de ce savoir- faire vers l’industrie peut se faire par une passerelle qui est l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique , par abréviation l’ANVREDET, qui fait la promotion de ces produits de la recherche.

Et je reste convaincue que les produits que nous développons seront très compétitifs du point de vue qualité et prix.

Le tout est de permettre leur commercialisation.

 

DZEntreprise : Vous faites partie du réseau algérien des femmes en économie verte RAFEV, que visez-vous à travers le réseau ?

 

Dr Nachida Kasbadji Merzouk : A travers ce réseau ou les femmes proviennent de tous les horizons, nous voulons divulguer l’information en dehors du secteur du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de vulgariser le produit de l’UDES dans d’autres secteurs.

Ce qui est important et intéressant, c’est que dans ce réseau, il n ya pas que des femmes universitaires qui sont impliquées dans l’économie verte, il y en a d’autres de profils différents qui activent dans le monde de l’économie dite verte volontairement ou par nécessité.

C’est dire que ce sont des femmes de divers horizons qui composent le réseau et que c’est autant de chances de faire véhiculer l’information.

Aujourd’hui, l’économie de l’énergie et de l’eau est l’affaire de tous, et les femmes sont plus sensibles à cette notion de développement durable et donc la protection de l’environnement de leur progéniture.

Et la sensibilisation est une des actions phare du programme de RAFEV.

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Fabriquer des chauffe-eau solaires et climatiseurs solaires.

 

Relation unités de recherches – industrie : L’impossible alliance !?

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« Prototype développé à l’UDES cherche désespérément industriels pour faire un bon bout de chemin ensemble » , cette annonce que l’on veut ironique résume parfaitement la relation unités de recherches –industrie.

 

Entre ces deux « parties » de l’économie nationale, par ailleurs très complémentaires, le dialogue de sourds s’est installé. Durablement.

 

Pourtant ce n’est pas la volonté de trouver et de corriger l’erreur qui manque ! De part et d’autre, d’ailleurs, si l’on se réfère à ce qui est en train de se faire au sein des unités de recherches et aux initiatives certes timides de quelques industriels qui regrettent que l’université ne joue pas le jeu.

 

Il y a comme un maillon manquant même si une agence- l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique, par abréviation ANVREDE,-a été mise sur pied pour faire la jonction entre le monde de la recherche et celui de l’industrie.

 

Il reste que les rares partenariats qui se font, le sont grâce à la ténacité des directeurs de recherches qui maintiennent mordicus que leurs produits sont « viables, concurrentiels » et à celle de quelques managers d’entités économiques qui croient et qui font confiance aux produits conçus et fabriqués localement.

 

La meilleure des illustrations nous vient de ce partenariat qui lie l’UDES à Naftal, pour l’installation de chauffe-eaux solaires au niveau de la nouvelle station Naftal de Yellel dans la wilaya de Relizane ou encore l’alimentation en éclairage solaire des stations d’essence situées le long de l’autoroute Est-Ouest. Et l’unité que dirige Dr Nachida Kasbadji Merzouk met le coeur à l’ouvrage.

 

Pour rappel, le chauffe-eau solaire algérien conçu à l’UDES et breveté par l’Institut national de la propriété intellectuelle (INAPI) a été très bien accueilli car répondant à tous les critères, entre autres ceux du rapport qualité/ prix. Si bien que le ministre de l’Energie et des Mines a pris option pour sa fabrication en vue d’équiper les installations de Sonatrach dans le sud du pays, pour le prototype de l’UDES au détriment de celui proposé par l’Entreprise nationale des grands travaux pétroliers (GTP).

 

En mai dernier , les responsables de GTP avaient été instruits pour travailler avec l’UDES -dont l’équipe a déjà finalisé le processus d’industrialisation- et lancer la fabrication des chauffe-eaux solaires made in Algéria et ce, dans le cadre du programme national des énergies renouvelables 2012-2030. Et il se trouve que ce partenariat peine à démarrer.

 

Le prototype cherche donc toujours un industriel. A L’UDES, on affirme être « ouverte à toute proposition émanant d’un industriel privé ou public pour l’industrialisation du chauffe-eau solaire » ou tout autre prototype développé par l’UDES tel que le climatiseur solaire.

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Lancement du Réseau de promotion de l’entrepreneuriat durable en Algérie

 

 

C’est dans l’exceptionnel site du Palais du Rais, plus communément appelé le Bastion 23, que la Coopération allemande au développement GIZ Algérie, le Programme développement économique durable (DEVED) et la Direction générale de la PME du département de Chérif Rahmani ont officiellement lancé le Réseau de promotion de l’entrepreneuriat durable en Algérie.

 

Un réseau doté d’une plate- forme web qui permet une réelle « interactivité » entre les membres du réseau mais pas que, selon la conseillère technique de DEVED qui a présenté, au cours de cette journée le projet.

 

La plate- forme « sustain-preneur » offre des outils d’analyse pouvant aider les entrepreneurs à « s’auto-évaluer » tout en rassemblant les contributions des différents acteurs.

Un réseau que Rachida Sellam veut voir s’élargir par l’adhésion d’un plus grand nombre d’entrepreneurs. Des entrepreneurs que les informations mises sur le site pourraient décider à rejoindre les « sustains-preneurs ».

 

Ces derniers, indique cette directrice d’un bureau d’étude, membre fondatrice du réseau, souhaitent, par souci d’efficacité, voir élaborer un plan d’action.

 

S’agissant des outils d’évaluations, Ali Harbi a, au cours de sa présentation, expliqué que le Quick Check, un des outils qu’offre la plate- forme « permet à l’entreprise de s’auto-évaluer rapidement par rapport à ses pratiques en matière de développement durable. Le référentiel utilisé est la norme ISO 26000 ».

 

Pour rappel, Lotfia et Ali Harbi du cabinet conseil AHC consulting avaient animé, en marge de EnviroAlgérie qui s’était déroulé à Oran du 15 au 18 octobre dernier, un business Game pour l’entrepreunariat durable ; le concept développé par AHC pour le compte de DEVED consiste à mettre des jeunes avec des méthodes pédagogiques et lucratives dans une situation d’investissement et de management d’entreprise ou comment passer du mode de production classique à un mode de production durable.

 

Les lauréats du Business Game, sept au total, se sont vu remettre leurs diplômes au cours de la cérémonie du lancement du Réseau de promotion de l’entrepreneuriat durable en Algérie.

 

De son côté Mehadji Haradj , qui intervenait au nom du ministère de l’Industrie, a mis l’accent sur la nécessité de sensibiliser les chefs d’entreprise au développement durable .

 

Et ils sont nombreux ! A l’occasion, le sous- directeur du département Rahmani a rappelé que le taux de croissance annuel de création de PME est de 9% .Soit, tient –il à préciser, « 25à 30 mille entreprises ».

 

Une façon de démontrer qu’il y beaucoup à faire. L’aubaine peut être pour le ministère de l’Industrie, qui veut « verdir » les PME, vient du fait que l’actuel ministre de l’Industrie, est l’ex- ministre de l’environnement.

 

Et M. Chérif Rahmani ,avait, alors fait de la « dépollution » industrielle son cheval de bataille .

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  • 2 weeks later...

SALAM ZOUBIR

J'avais un projet d’entreprise dans les travaux de développements et maintenances des réseaux téléphoniques urbains

mais je ne sais pas au je trouvée les moyens et les matériaux spéciaux dans l'algerie et a ce que te peut m'aidé pour trouvée les matériaux demander pour cette entreprise

MERCI D'avance

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  • 3 weeks later...

Premieres impréssions

 

Bonjour,

 

Après plus de 40 ans en France et en Grande Bretagne, j'envisage de retourner en Algérie afin d'y lancer un (des) business.

 

Je viens de découvrir ce site ( par accident) et je félicite les "modérateurs" tant bien pour l’idée ainsi que la qualité des contributions / messages.

 

Mon parcours est dans le monde de la finance ( investissement, assurances, banques, ainsi que service financier) mais je considérerai toutes propositions / affaires ayant un (bon) grand potentiel.

 

Entres autres:

 

1. Banques en lignes

2. Assurance directes (en ligne, sans intermédiaires)

3. Écoles privées ( anglais essentiellement)

4. Fabrication de chocolat

5. Marketing / Publicité (journaux gratuits, panneaux, etc..)

6. Énergies alternatives (panneaux, éolienne, maritime, etc..)

7. Franchises ( encore quelques entraves légales avec ce concept)

 

Je note aussi que ces affaires devraient être aussi multidirectionnelles, cad de l' Algérie vers l'Europe en notant par example:

 

a) Externalisation ( création de centre d'appel en Algérie pour le marche Français)

b) Export produits cosmétiques ( huile d'Argan algérienne)

c) Export produits alimentaires ( par exemple Dates deglet nour vers la GB)

d) Tapis?

 

J'apprecierai vos observations / commentaires

 

Merci

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Distributeur eau minérale

 

Salam Aleikoum,

 

J'ai un grand garage sur Relizane et je souhaite développer un point de vente t de distribution d'eau minérale IFRI et NESTLE.

Je n’arrive pas a avoir les infos nécessaires, y a t*il un cahier des charges ?

quelqu'un peux t-il me donner des infos ou des contacts ?

Merci beaucoup.

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Réponse à votre annonce

 

Ami, you are welcome here in Algeria !!!

Je suis en retraite (médecin) depuis 3 ans et serais ravi de vous être utile en quelque chose ...,démarchage ou autre ...!!

Chocolat ou Energie renouvelable par exemple !!

skype: nassim1er ; Tél: 00213 791 676701

PS: je ne propose pas d'association, je ne suis pas riche ...., hélas !!

 

Bonjour,

 

Après plus de 40 ans en France et en Grande Bretagne, j'envisage de retourner en Algérie afin d'y lancer un (des) business.

 

Je viens de découvrir ce site ( par accident) et je félicite les "modérateurs" tant bien pour l’idée ainsi que la qualité des contributions / messages.

 

Mon parcours est dans le monde de la finance ( investissement, assurances, banques, ainsi que service financier) mais je considérerai toutes propositions / affaires ayant un (bon) grand potentiel.

 

Entres autres:

 

1. Banques en lignes

2. Assurance directes (en ligne, sans intermédiaires)

3. Écoles privées ( anglais essentiellement)

4. Fabrication de chocolat

5. Marketing / Publicité (journaux gratuits, panneaux, etc..)

6. Énergies alternatives (panneaux, éolienne, maritime, etc..)

7. Franchises ( encore quelques entraves légales avec ce concept)

 

Je note aussi que ces affaires devraient être aussi multidirectionnelles, cad de l' Algérie vers l'Europe en notant par example:

 

a) Externalisation ( création de centre d'appel en Algérie pour le marche Français)

b) Export produits cosmétiques ( huile d'Argan algérienne)

c) Export produits alimentaires ( par exemple Dates deglet nour vers la GB)

d) Tapis?

 

J'apprecierai vos observations / commentaires

 

Merci

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Ami, you are welcome here in Algeria !!!

Je suis en retraite (médecin) depuis 3 ans et serais ravi de vous être utile en quelque chose ...,démarchage ou autre ...!!

Chocolat ou Energie renouvelable par exemple !!

skype: nassim1er ; Tél: 00213 791 676701

PS: je ne propose pas d'association, je ne suis pas riche ...., hélas !!

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SALAM ZOUBIR

J'avais un projet d’entreprise dans les travaux de développements et maintenances des réseaux téléphoniques urbains

mais je ne sais pas au je trouvée les moyens et les matériaux spéciaux dans l'algerie et a ce que te peut m'aidé pour trouvée les matériaux demander pour cette entreprise

MERCI D'avance

 

Salam khouya,

Merci pour votre intérêt.

Ce n'est pas ma spécialité, mais je vais me renseigner.

Puis si quelqu'un a de l'info, il pourra vous répondre.

Bon courage.

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Ramener en Algérie un camion terrassement par aspiration.

 

Le terrassement par aspiration consiste à terrasser un terrain par l'utilisation d'une excavatrice munie d'un système d'aspiration. Cette technique de terrassement permet d'intervenir sur des terrains de manière très précise sans dégrader le périmètre.

 

Une vidéo:

 

aspri2.jpg

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cherche promoteurs /Investisseurs agricoles

 

on cherche des promoteurs/ investisseurs / Agriculteurs , Algeriens pour un projet agricole très rentable, propriétaire ou concessionnaire d'un terrain agricole irrigué ou capable d’être irrigué, ( minimum 10 hectares ...) pour la plantation de la stevia, nous vous vous fournissons les plants la mise en place, l'assistance, la formation, le coaching et nous achetons la totalité de votre production à 2500 € la tonne, sachant que la production moyenne d'un hectare est égale à 4.5 tonnes ( 1 hectare = 11 250 €)

- 2500 € la Tonne

- 4.5T/hect*

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