Zoubir8 174 Posted June 9, 2013 Author Partager Posted June 9, 2013 Lapins (suite). Sans commentaires... .http://193.164.196.50/images/186/186323035159309.jpg http://www.venteaffaire.fr/pics/2012-01-19/671487/grande/671487-19024922.jpg 10 € vente lapin AULNAY (17470) Titre de l'annonce : Lapereaux a vendre géant de flandre, papillon, chamois, chevre, californien,havane Date de l'annonce : 19/01/2012 Description de l'annonce : A vendre lapereaux différentes pure race dont géant de flandre, chamois, havane, papillon , chèvre, californien, disponible de suite plus de renseignements veuillez nous contacter par téléphone ou nous envoyer vos coordonnées téléphoniques, nous vous appellerons Achat - Vente - lapin CONTACTEZ CET ANNONCEUR APPELEZ LE : 06.86.49.83. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 9, 2013 Author Partager Posted June 9, 2013 Production de champignon. Mushroom Cultivation, kannada 1 Indian Institute of Horticulture Research Indian Institute of Horticulture Research·19 vidéos Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 9, 2013 Author Partager Posted June 9, 2013 (Suite) Vendre des pierres à lécher naturelles pour animaux d'élevage. Concept: - les animaux d'élevage ont de gros besoins en sel, - acheter des pierres de sel dans les régions où en on trouve, - les ramener par camion, - les vendre dans les zones d'élevage bovin intensif. Parfois il suffit de donner une pierre de sel gemme. Les animaux en raffolent. En Algérie de telles pierres se vendent sur les marchés. http://www.geoforum.fr/uploads/monthly_06_2012/post-3743-0-62666100-1339081843_thumb.jpg Légende: Plaques de sel à Djebel el melha Nord de Biskra (El Outaya). http://p4.storage.canalblog.com/44/55/80491/35444878.jpg Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 9, 2013 Author Partager Posted June 9, 2013 Ouvrir un ball-trap. Tir au fusil de chasse - ball trap 21 136 vues http://www.armurerie-auxerre.com/catalog/images/Image/acces-chasse/ball-trap.jpg Légende: Lanceur de plateaux de ball-trap 99,00 € 50,00 € Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 10, 2013 Author Partager Posted June 10, 2013 Produire du compost urbain pour l'agriculture. http://www.lacompostieredelaube.fr/thumbnails/files/images_pages/16/picture1-315-236.jpg VIDEO d'une entreprise: http://youtu.be/eZb7ZnGyA1w VIDEO du matériel nécessaire pour retourner les tas en voie de décomposition. Matériel d'un bricoleur. VIDEO: http://youtu.be/ddqzF7nvn9o Compostage dans un lycée agricole. VIDEO: Une petite station de compostage en Tunisie. Concept: - les sols algériens sont pauvres en matières organiques, - l'irrigation et la chaleur favorise la minéralisation de la matière organique des sols maraîchers, - il existe des sources de matières organiques inexploitées. - récupérer cette matière organique (déchets urbains, déchets verts des espaces verts, sciure de bois, posidonie "algues" sur les plages, ... - les broyer, les faire fermenter, - les vendre en vrac ou en sacs, - ou les amener à la parcelle et les épandre. Voir le site: http://www.lacompostieredelaube.fr Recyclage des déchets organiques des collectivités et industriels Acceptation préalable Tout déchet organique peut être composté mais sous certaines conditions. Nous avons donc mis en place une procédure d'acceptation préalable, afin de connaître : l'origine exacte du déchet : de quel processus de fabrication ou épuratoire il est issu, s'il n'est pas en mélange avec d'autres déchets non compostables (plastiques, ferrailles...), comment il est stocké puis transporté ; sa composition physico-chimique, sous forme d'une analyse de moins de 3 mois. Ces élèments permettent de vérifier l'intérêt agronomique du déchet organique et son innocuité : absence d'éléments traces métalliques (métaux lourds) et de micropolluants organiques (hydrocarbures). Modes de réception Nous sommes équipées d'une fosse de réception étanche de 150 m3 pouvant recevoir tout déchet organique liquide (boues de station d'épuration liquides, matières de vidanges issues de l'assainissement non collectif, déchets de l'activité vinicole). Les déchets liquides sont mélangés dans la fosse avec de la paille et des stucturants. Une fois le mélange homogène devenu solide, les déchets sont repris et mis en andain. Notre aire de réception de déchets pâteux ou solides est dimensionnée pour permettre la circulation et le déchargement de camion benne en remorque et de camion semi remorque. Préparation des déchets Les déchets organiques (boues de station d'épuration et rebuts de l'industrie agroalimentaire) sont riches en eau et en azote. Ils ne peuvent être compostés seuls contrairement au déchets verts (voir page "Recyclage des déchets verts et biodéchets"). Ces déchets sont donc mélangés à des structurants secs et riches en carbone : du déchets verts broyés grossièrement, des refus de criblage, des rafles de raisins, de la paille... Mise en andain d'aspiration forcée Lorsque le mélange déchets + structurants est équilibré en eau, en carbone et azote, et que sa porosité permet la circulation de l'oxygène, alors les conditions optimales sont réunies pour le compostage. Les micro-organismes présents dans les déchets organiques et les structurants trouvent des conditions idéales pour vivre et se reproduire. Ils consomment les éléments organiques grossiers en molécules carbonées stables, précurseur à la formation de l'humus (élèment essentiel à la fertilité du sol).Ces transformations moléculaires produisent de la chaleur et libérent de grandes quantités d'eau sous forme liquide ou de vapeur. La chaleur produite (jusqu'à 75 °C) par l'activité des bactéries aérobies, permet la destruction des organismes pathogènes (salmonelles, listérias, vers parasites...) et le blocage de la germinaison des graines. Le compost est donc hygiénisé lors de cette phase dite "thermophile" de fortes températures pendant plusieurs jours. Nous avons choisi le recyclage des matières organiques par compostage et non par méthanisation, qui est une autre filière possible et complémentaire pour certains déchets. Il est donc impératif de maintenir l'oxygénation de nos andains afin d'éviter la production de méthane, gaz à effet de serre. Pour répondre à ce besoin, nous avons construit un réseau de canalisations souterraines au travers desquelles circulent l'air des andains. Cet air appauvri en oxygène, est aspiré par un ventilateur principal. Le vide créé permet d'aspirer à son tour, l'air "frais" situé autour de l'andain, et d'amener de l'oxygène aux micro-organismes composteurs. Cependant des zones compactes peuvent se créer au coeur de l'andain et le compostage se stopper. Il est donc impératif de retourner entièrement l'andain. Cette manipulation réalisée au chargeur permet d'homogénéiser le produit en cours de fabrication. La remontée en fortes températures, suite au retournement, nous indique que la dégradation de la matière organique n'est pas terminée. Elle permet également de garantir l'hygiénisation complète de l'andain. Après à la phase thermophile de quelques jours, ce sont des bactéries et des champignons (actinomycètes) vivant à des températures de 40-50 °C qui prennent le relais dans la dégradation de la matière organique. Cette phase dite "mésophile" va durer plusieurs semaines. Grâce aux capteurs installés sur chaque ligne d'aspiration, la température de l'air extrait des andains est mesurée. Cette indication nous permet de suivre et de piloter le compostage : faut-il aspirer plus ou moins, est-il temps de retourner l'andain, la dégradation est-elle terminée ? Epuration de l'air L'air aspiré depuis le coeur des andains est chargé de gaz dont certains comme l'ammoniac, nauséabonds. Afin d'éviter des désagréments pour le voisinage, nous avons installé un laveur de gaz avant la sortie du réseau d'aspiration. Après le lavage, l'air épuré en ammoniac est envoyé vers des biofiltres. Ce sont les micro-organismes présents dans les biofiltres, qui détruisent alors les gaz soufrés et odorants. Amendement organique pour l'agriculture Criblage et maturation Lorsque nous constatons que la phase de dégradation, avec montées en températures, est terminée, nous procédons au criblage de l'andain de compost. Le cribleur permet de séparer les éléments fins : le compost, des éléments grossiers : le refus de criblage. Celui-ci est recycler dans le processus de compostage en étant utilisé comme structurant. Le compost est mis en maturation. Cette dernière étape dure plusieurs semaines et permet la stabilisation et l'évolution du produit en humus stable. Analyse et mise sur le marché Afin de vérifier que le compost est mature et prêt à l'emploi, nous faisons réaliser par un laboratoire agréé, une analyse physico-chimique. L'ensemble des critères recherchés sont comparés à ceux exigés par la norme NF U44-095 de mai 2002 : Amendements organiques – Composts contenant des matières d’intérêt agronomique, issues du traitement des eaux. Les résultats nous permettent alors de mettre le lot de compost NF U44-095 (compost de MIATE) sur le marché. Transport et Epandage Le compost de MIATE est riche en phosphore et potasse. Il apporte également du soufre et du magnésium. Nous le proposons aux agriculteurs en grandes cultures : céréales et colza. En effet, un épandage à 6 t/ha de compost apporte près de 110 unités de phosphore et près de 100 unités de potasse, en remplacement des engrais phospho-potassique minéraux. L'azote étant présent sous forme organique, il participe à l'apport de matière organique dans le sol. Il se minéralise progressivement et n'est donc pas lessivé. En Zone Vulnérable à la pollution par les nitrates, le compost est un fertilisant de type I pouvant être épandu presque toute l'année. Afin d'apporter une prestation de qualité aux agriculteurs, nous assurons la livraison du compost en bout de champ et son épandage précis grâce à un épandeur à compost de 12 m3 à débit proportionnel à l’avancement, table d’épandage et guidage par GPS. Notre démarche complète depuis le recyclage des déchets organiques jusqu'à la prestation d'épandage, s'inscrit pleinement dans le développement durable et les objectifs actuels du Grenelle de l'Environnement prônant le retour au sol de la matière organique. SARL LA COMPOSTIERE DE L'AUBE 9 rue de la Ligne 10320 BOUILLY Tél : 03 25 70 85 81 Fax : 03 25 70 85 82 Mob : 06 23 37 81 15 Email : lacompostiere.aube@orange.fr Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 10, 2013 Author Partager Posted June 10, 2013 «1000 bouteilles de verre dans la nature, c’est l’équivalent de 89 à 100 euros, 1000 bouteilles de verre, c’est l’équivalent de 89 à 100 euros. Des millions de bouteilles de bière larguées dans la nature par an marché juteux cherche désespérément une industrie de recyclage ! le 10.06.13 El Watan 25 à 30 millions de bouteilles de verre vides sont larguées dans la nature annuellement, soit quelque 72 000 tonnes par an de déchets qui viennent agresser les sites de nos villes et villages. Outre les désagréments créés pour la nature et la santé humaine, le vrai gâchis est aussi d’ordre économique. En effet, en l’absence d’une véritable industrie de récupération et de recyclage des déchets en verre, c’est tout un marché juteux qui file ainsi entre les mains des entrepreneurs locaux. Un marché estimé par des experts à près de 9 milliards de dinars par an. Longue de quelque 1200 km, la côte algérienne forme une véritable mosaïque naturelle : plages sablonneuses bordées de végétation, criques rocheuses, estuaires, fleuves côtiers, vallées, îlots… Mais le paysage est beaucoup moins harmonieux lorsqu’on prête attention aux grandes quantités d’ordures et de déchets solides qui assaillent nos plages, forêts, oueds, rivières ou encore les abords des routes. Que contiennent ces déchets qui «pour rissent» le cadre de vie du citoyen ? La liste est longue : un cocktail «détonant» de mégots, tessons de bouteilles, sachets et bouteilles en plastique ou en verre, canettes vides… laissées sur place ou jetées dans la nature, tout au long de l’année. Outre les incendies de forêt, les graves atteintes à la santé humaine et à l’environnement dans son ensemble, la saturation des oueds et des cours d’eau, ainsi que des canaux d’évacuation des eaux usées, ces déchets entraînent de lourdes pertes économiques. En termes relatifs, l’exemple des déchets en verre est des plus éloquents. Que l’on en juge : rien que pour la filière de la bière, un travail de recherche exhaustif, fruit d’enquêtes de terrain menées à travers les grandes villes algériennes où sont enregistrés les plus forts taux de consommation, un groupe de scientifiques de l’Association nationale pour la protection de l’environnement et la lutte contre la pollution (ANPEP) avancent des chiffres qui donnent le tournis : au minimum, 25 à 30 millions de bouteilles de verre vides, l’équivalent de 72 000 tonnes/an, sont, chaque jour que Dieu fait, larguées en pleine nature. Les auteurs de ces actes, la plupart des quelque 5 millions amoureux de la bière que compte l’Algérie. En l’absence d’une industrie de récupération/recyclage, l’économie nationale subit, par conséquent, un préjudice financier de plus de 8,64 milliards de dinars/an. Pour les opérateurs économiques intervenant dans la filière des boissons alcoolisées, ces chiffres sont loin de refléter la réalité. Interrogés, nombre d’entre eux ont livré des indicateurs à même de permettre de cerner les dégâts induits par ce qui s’apparente à un véritable désastre économique, longtemps passé sous silence : l’Algérie compte environ 7 millions de consommateurs — entre réguliers et occasionnels — de bière, avec une consommation moyenne oscillant entre 6 et 10 canettes ou bouteilles/jour, assure un spécialiste du domaine et propriétaire d’un célèbre établissement classé à Annaba. Dans cette wilaya, pour ne citer que cet exemple, plus de 3000 caisses de 24 unités/jour sont vendues sur le marché local. Au total, 72 000 bouteilles vides dont 12 000 dans le seul chef-lieu de wilaya, jonchent les abords des routes, sont enfouies sur les plages, déposées aux pieds des immeubles, des écoles, flottent à la surface des eaux des oueds, du littoral, des ports ou abandonnées le long des chemins forestiers… et ce, en toute impunité et dans l’indifférence la plus totale. Face à ce phénomène, car ce n’est pas une spécificité annabie mais elle touche la quasi-totalité des grandes cités algériennes, le citoyen reste impuissant et les pouvoirs publics curieusement placides. A quand la mise sur pied d’une verrerie de recyclage ? H’maïda Loucif est l’un des industriels qui appellent à une prise de conscience face à ce phénomène ravageur. Outre les atteintes à l’environnement et aux désagréments et les dangers permanents auxquels est exposé le citoyen, le véritable enjeu, selon lui, réside dans les pertes en devises subies par le Trésor public. D’autant, tient à souligner ce limonadier basé à Sidi Kaci (El Tarf), que «1000 bouteilles de verre dans la nature, c’est l’équivalent de 89 à 100 euros, soit 8 DA/unité, qui sont perdus. Ces bouteilles ne sont pas fabriquées en Algérie. Elles proviennent de France, Belgique, Allemagne, Portugal, Turquie, Egypte et de Tunisie. Cette situation problématique nous interpelle, même si, nous, en tant que limonadiers, utilisons des bouteilles retournables mais identiques à celles destinées à la bière avec ou sans alcool». Et d’ajouter : «Des solutions durables telles que la mise sur pied de verrerie pour le recyclage ou la promotion, dans le cadre des dispositifs d’emploi existants (CNAC, Ansej, Anjem), de micro-entreprises de récupération/exportation, peuvent être envisagées. Les débouchés sur le marché international existent. Ainsi, ce problème est susceptible d’être en grande partie réglé au triple plan économique, environnementale et sanitaire.» Pour leur part, les propriétaires des établissements classés et non classés, contactés, ont tous pointé du doigt les dépositaires ainsi que les services de contrôle : «En commercialisant de la bière fraîche, les dépositaires encouragent directement leurs clients à se livrer à ces pratiques. Le client préfère consommer sa bière fraîche en cours de route, c’est-à-dire dans sa voiture. Et pour se débarrasser de ces encombrantes bouteilles vides, il n’hésite pas à les jeter par la fenêtre. pour celui moins privilégié (sans voiture) il consommera sa biére dans la nature, à l’abri des regards, et bien sûr y laissera ses bouteilles. Pourtant, l’utilisation d’appareils frigorifiques est, depuis une quinzaine d’années, strictement interdite par la loi», s’indignent-ils, ajoutant au passage : «Les dépositaires en font fi et les services de contrôle du commerce ferment les yeux. Pourquoi ne pas prendre le taureau par les cornes et interdire aux dépositaires la vente de bière fraîche. Ainsi, le problème pourrait être définitivement réglé. De plus, pour mieux vendre leur produit, les brasseurs leur offrent des réfrigérateurs.» Enivrante problématique ! Selon nos interlocuteurs, 90% de la production nationale de bière, soit 400 000 à 500 000 hectolitres, sont destinés aux dépositaires, les établissements classés et non classés se partageant le reste (10%). Bon nombre de dépositaires interpellés (ils sont une vingtaine à Annaba, plus d’un millier sur le territoire national) estiment que «le réquisitoire dressé à notre encontre par les établissements peut s’expliquer. Pour eux, l’enjeu est de taille et concerne en premier lieu leur chiffre d’affaires». Et nos interlocuteurs de détailler : «Ils achètent la bouteille de bière au prix de gros, soit 40 DA, pour la revendre à leurs clients à 400 ou 500 DA. La marge bénéficiaire engrangée est ainsi loin d’être négligeable. La protection de l’environnement, ils n’en ont cure. Quant à l’incivisme de nos clients, nous n’y sommes pour rien. Nous sommes des commerçants. Faire la morale n’est pas de notre ressort.» Ces clients, passionnés des griseries en plein air, reconnaissent-ils les désagréments induits par leurs actes irresponsables ? Certains d’entre eux, rencontrés au Cap de garde — phare de Annaba —, là où le visiteur est agressé par la vue du nombre impressionnant de cadavres de bouteilles, se défendent. «Ma bière, je préfère l’acheter chez les dépositaires et la savourer en plein air. En cause, qu’ils soient classés ou non classés, les établissements appliquent des prix qui donnent le vertige : une seule bouteille à 500 DA, alors qu’à ce prix, je peux en avoir 5 à 6 auprès du dépositaire», nous dira F. Maâlem, un jeune étudiant, étendu, pour se soustraire aux regards indiscrets, à même l’imposante falaise donnant sur la mer dont la couleur azur est nuancée par le vert que renvoient ces bouteilles. Kamel Z., architecte installé à son compte, abondera dans le même sens, ajoutant : «Traqués sans cesse par les services de sécurité, nous avons dû nous rabattre sur la consommation de notre bière en voiture et à des heures tardives. On évite d’y toucher devant nos parents ou nos enfants, car consommer de l’alcool est assimilé à l’abus, aboutissant à l’ivresse et à ses excès. Et si on se débarrasse des bouteilles en les jetant par-dessus bord, à même le sol, c’est parce que nos n’avons pas d’autre choix. La pratique de la consigne n’existant plus de nos jours et les poubelles mises en place par la commune étant trop exiguës.» Du côté des fabricants, les plus concernés par cette enivrante problématique, c’est motus et bouche cousue. «Je suis désolé, je ne peux faire aucune déclaration. La nature de notre activité peut lui conférer un caractère sensible et faire ainsi obstacle à la communication de toute information», tranche Rachid Chetioui, premier responsable d’Albav (El Tarf), filiale du puissant Groupe Castel Algérie, numéro un sur le marché de la bière dans notre pays. On apprendra, tout de même, que la production réalisée par les deux unités (Annaba et Oran) se situerait respectivement à 1600 et 1000 hl/j de bière (canettes et bouteilles), soit 60 à 65 % de parts de marché. Et si le brasseur a opté pour la bouteille retournable au niveau de son usine d’Oran, à Annaba, on lui reproche, en revanche, d’être à l’origine de la défiguration, surtout l’été où la consommation atteint son pic, des sites touristiques les plus fréquentés par les familles et prisés par les touristes nationaux et étrangers. A ce reproche, une explication, d’après N. G., patron d’une micro-entreprise de récupération de déchets solides : «Albav a toujours décliné toutes les offres de reprise de bouteilles, pourtant issues de sa propre usine, que nombre de mes semblables et moi lui avons maintes fois proposées». Et d’expliquer : «Ce niet, les responsables de l’usine l’ont toujours justifié par le coût élevé et la technologie complexe que requiert le procédé de lavage et de stérilisation des bouteilles usagées. Pour eux, le prix de revient d’une bouteille récupérée et réutilisée dépasse de très loin celui d’une bouteille importée.» Naima Benouaret Citer Link to post Share on other sites
segalas 10 Posted June 10, 2013 Partager Posted June 10, 2013 une idee de business : s'occuper des dechets de la trituration des olives -des quantites enormes sont jetés alors qu'on peut s'en servir pour le chauffage , l'alimentation animal et meme comme engrais parait il . Citer Link to post Share on other sites
Icosium69 10 Posted June 10, 2013 Partager Posted June 10, 2013 une idee de business : s'occuper des dechets de la trituration des olives -des quantites enormes sont jetés alors qu'on peut s'en servir pour le chauffage , l'alimentation animal et meme comme engrais parait il . Oui trés bonne idée, meme pour faire du compost, les dechets organiques ce n'est pas ça qui manque en Algérie!! Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted June 10, 2013 Partager Posted June 10, 2013 1000 bouteilles de verre, c’est l’équivalent de 89 à 100 euros. Des millions de bouteilles de bière larguées dans la nature par an marché juteux cherche désespérément une industrie de recyclage ! .................. C'est 7ram !!! Nous on est un pays musulman et on ne boit pas de bière ni de vin ! Cha3bou eldjazairi mouslimone, men 9ala 7ada 3an aslihi fa9ed kadab !! Citer Link to post Share on other sites
Icosium69 10 Posted June 10, 2013 Partager Posted June 10, 2013 C'est 7ram !!! Nous on est un pays musulman et on ne boit pas de bière ni de vin ! Cha3bou eldjazairi mouslimone, men 9ala 7ada 3an aslihi fa9ed kadab !! T'en fais pas mon ami ! j'ai vu des personnes s'occuper de ce type de recyclage. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 10, 2013 Author Partager Posted June 10, 2013 une idee de business : s'occuper des dechets de la trituration des olives -des quantites enormes sont jetés alors qu'on peut s'en servir pour le chauffage , l'alimentation animal et meme comme engrais parait il . Vous avez raison; il y a des possibilités d'utilisation. Photo: Grignons d'olives. Recherche sur google en tapant: "grignons bloc multinutritionnel" Mise au point d'une technique de fabrication de blocs ... http://www.lrrd.org/lrrd2/2/hassoun.htm de P Hassoun - 1990 - Cité 5 fois - Autres articles Mise au point d'une technique de fabrication de blocs multinutritionnels sans melasse ... grignons d'olives, feuilles d'olivier, pulpes de tomates et de betteraves). Résumé L'étude réalisée en Tunisie, consistait à démontrer qu'il était possible de fabriquer des blocs sans mélasse ou avec de très faibles quantités. Plus de trente formules différentes ont été testées, comprenant les ingrédients classiques utilisés dans les blocs mélasse-urée (urée, mélasse, sel, ciment, chaux, son de céréale) ainsi que des sous-produits disponibles localement (litière de volailles, grignons d'olives, feuilles d'olivier, pulpes de tomates et de betteraves). Le principe de fabrication est sensiblement le même que celui utilisé pour les blocs mélasse-urée. Dix formules différentes ont été retenues sur la base de la dureté et de la solidité des blocs mesurées après séchage. De courts tests effectués sur des brebis ont montré que les blocs des formules retenues étaient acceptés par les animaux. Cette première étude ayant donné d'excellents résultats, il importe que d'autres essais soient réalisés pour affiner la méthode et mesurer sur de plus longues périodes les effets des blocs sur les animaux. Supplementing low quality forages with multi-nutritional blocks for ... http://www.lrrd.org/lrrd15/3/mouj153.htm de N Moujahed - 2003 - Cité 2 fois - Autres articles La complémentation des fourrages pauvres par les blocs multinutritionnels chez les .... Il s'agit notamment des grignons d'olives (Nyarko-Badohu et al 1993, ... PDF (560.9 KB) animres.edpsciences.org/.../Ann.Zootech._0003-424X_1999_48_3_ART00... multinutritionnels et du concentré. Les blocs ont été fabriqués selon deux for- mules : bloc multinutritionnel 1 (BMN1) ren- fermant des grignons bruts d'olives et ... Complémentation d'une paille de blé avec des blocs ... animres.edpsciences.org › All issues › Volume 48/ 3 de M Houmani - 1999 - Cité 2 fois - Autres articles Valeur nutritive des ensilages combinés de fientes de volailles et de grignons d'olives. ... Complémentation d'une paille de blé avec des blocs multinutritionnels ... VI. La complémentation - FAO http://www.fao.org/docrep/w4988f/w4988f08.htm Cas particulier: Complémentation avec des blocs multinutritionnels ..... Ce sont, les grignons d'olive (cas de l'Afrique du Nord et du Proche Orient), la litière ... Citer Link to post Share on other sites
Icosium69 10 Posted June 11, 2013 Partager Posted June 11, 2013 Recyclage des bouteilles et canettes.... Tiens y'a cet article qui date d'aujourd'hui qui parle de cela. Alcool : Quand l?hyprocrisie se dévoile dans toute sa dimension Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 11, 2013 Author Partager Posted June 11, 2013 Louer des nacelles élévatrices pour récolte des dattes. Regardez comment en Palestine occupée, des chariots élévateurs sont utilisés pour travailler dans les palmeraies (taille, fertilisation, éclaircissage, protection des régimes, récolte). Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 11, 2013 Author Partager Posted June 11, 2013 Développer un laboratoire de culture des tissus du palmier pour produire de jeunes plants Maroc : Laboratoire de culture des tissus du palmier - YouTube Maroc : Laboratoire de culture des tissus du Un scientifique marocain explique la technique de micro-bouturage et signe un accord de livraison de milliers de plants. La technique dite du "micro-bouturage". http://youtu.be/PA793GSb5lk La technique est simple une fois qu'on respecte les règles de bases de stérilisation. Selon les plantes bouturées, il faut un dosage en hormones végétales particulier. Voir les fiches techniques. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 11, 2013 Author Partager Posted June 11, 2013 Utiliser ou produire pour vendre un système de goutte à goutte enterré. http://www.netafim.fr/Data/Uploads/peigne1.jpg Le goutte-à-goutte en grande culture Une nouvelle façon d’irriguer ! L’histoire débute aux USA avec le développement de la technique du semi direct et du non travail des terres. Depuis plus de 15 ans, Netafim USA propose aux maïsiculteurs américains du goutte-à-goutte enterré pour irriguer leur culture de maïs. Plus de 5000 ha sont annuellement installés aux États-Unis. Aujourd’hui, la technique commence à traverser l’Atlantique et Netafim France, filiale du groupe Netafim tente d’adapter cette solution technique au contexte français. Un chantier d’installation rapide Il s’agit d’enterrer, à l’aide d’une sous-soleuse, plusieurs lignes de goutte-à-goutte en même temps, à une profondeur de 30 à 40 cm. Les gaines sont enterrées pour une durée de vie d’au moins 20 ans. Le reste de l’installation ressemble à toute autre installation de goutte-à-goutte enterré (photo 1). Filtration, vanne à air et vanne de purge ainsi qu’un peigne collecteur seront dimensionnés en fonction du débit et de la pression de fonctionnement du réseau (photo 2). Dans 80 % des cas, les lignes de goutte-à-goutte sont espacées de 1,3 m, avec des distances entre goutteurs de 0,6 m et des débits de 1 l/h. Ainsi, quel que soit le sens de plantation, tous les pieds de maïs bénéficieront d’une bonne alimentation hydrique. Le producteur commence d’abord à enfouir les lignes de goutte-à-goutte et ensuite à créer son réseau primaire et secondaire. Le?temps d’installation varie en fonction du type de sol. 4 à 6?ha/jour peuvent être réalisés. L’étape la plus longue et la plus fastidieuse consiste à connecter toutes les lignes goutte-à-goutte aux peignes (photo 3). Les avantages de cette technique sont nombreux. C’est d’abord un avantage d’utilisation. Avec l’auto*ma**tisation du réseau, le pro*ducteur passe beaucoup moins de temps à installer, régler et surveiller le sys*tème. Puis c’est un avantage environnemental. Les réduc*tions d’eau peuvent aller de 15 à 30 % par rapport à l’aspersion (photo 4). Tout est fonction du type de sol et de sa dynamique hydrique. En zone périurbaine, l’irri*gation au goutte-à-gout*te des parcelles enser*rées par des lotis*sements évite les nui*sances de l’aspersion occa*sion*nées aux riverains. En*fin, c’est un avantage éco*nomique et financier. Les faibles pressions de fonc*tion*nement d’un réseau gout*te-à-goutte, permettent aux producteurs d’écono*miser l’énergie (fuel, élec*tricité) pour faire fonctionner les pompes. Mais le plus intéressant, c’est l’augme*ntation du revenu/ha, direc*tement liée aux augmen*tations de rendement à la parcelle. Le producteur asso*cie préservation de la res*source et compétitivité écono*mique. Véritable alter*native entre les pro irrigants et les ennemis des cultures irriguées, le goutte-à-goutte enterré peut permettre aux producteurs français de continuer à cultiver des plantes fortes consommatrices d’eau et souvent d’un intérêt stratégique, et satisfaire les partisans d’une réduction des prélèvements d’eau. Un marché potentiel important Avec 1 500 000 ha de maïs cultivés en France, et 10 % de cette surface travaillée en semi direct, le marché potentiel de cette nouvelle application est important. Mais le maïs n’est pas la seule culture qui peut être conduite en goutte-à-goutte enterré. Toutes les céréales et oléo*protéagineux sont suscepti*bles d’être irrigués par cette technique. Seul l’écartement entre ligne sera différent, s’adaptant ainsi aux diffé*rentes densités de plantation des cultures. Un prix qui concurrence les systèmes d’irrigation par aspersion. Par rapport au système par aspersion, le prix /ha est sen*si*blement identique, voire inférieur, notamment pour les parcelles d’une surface de moins de 25 ha. Car c’est la surface et la configuration de la parcelle qui déterminera la faisabilité économique d’une telle installation. Un atout majeur : la FERTIGATION. C’est le point fort d’une telle installation. Grâce au positionnement des goutteurs au cœur du profil racinaire de la culture, les apports d’engrais sont optimisés à leur maximum. En fractionnant les apports, et en les apportant aux moments où la plante en a le plus besoin, le producteur possède un outil lui permettant de contrôler la croissance de sa culture. Au final, avec moins d’unités/ha, l’agriculteur économise des intrants. Conclusion La technique fonctionne et commence à séduire de plus en plus de producteurs. Mis à part des problèmes liés au sol ou à son travail, peu d’inconvénients existent. Les gaines ne sont pas biodégradables et donc peuvent être facilement extraites au bout de 20 ans d’utilisation. Une fois collectées, elles seront recyclées. Aujourd’hui, le seul frein à cette nouvelle façon d’irriguer est la méconnaissance du grand public de l’existence d’une telle technique. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 11, 2013 Author Partager Posted June 11, 2013 Utiliser ou produire et vendre des systèmes de goutte à goutte simple. Regardez sur la vidéo le tuyau de goutte à goutte. On dirait une simple chambre à air de bicyclette percée de trous. http://i01.i.aliimg.com/wsphoto/v1/908209425/HN-45-Diameter-28-5mm-three-oblique-hole-Agricultural-water-saving-micro-spray-tube-drip-irrigation.jpg Pourquoi ne pas essayer d'en produire à partie d'une bande de plastique repliée et cousue sur la longueur? Quitte à ne l'utiliser que sur une campagne agricole et pour de faibles pressions? Légende: Sytème classique. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 11, 2013 Author Partager Posted June 11, 2013 Fabriquer du fromage "analogue". (Québec) Vous aimez la pizza au fromage bien fondant? Mais est-ce toujours du fromage que vous dégustez? Le fromage analogue vendu en France par Cargill... - image 1.0 Agrandir Le fromage analogue vendu en France par Cargill ne se retrouve pas encore sur le marché canadien. Mais des produits à base de farine de tapioca sont commercialisés par l'entreprise Daiya sous les termes «à saveur de cheddar» ou autres qui peuvent semer une certaine confusion. En principe, les Canadiens sont protégés des fausses allégations grâce à l'adoption en 2008 de normes de composition du fromage. Mais la ligne pouvant induire le consommateur en erreur est parfois mince... Par définition, le fromage est fabriqué à partir de lait frais ou de crème. Depuis quelques années, toutefois, de nouveaux produits d'imitation ne contenant que peu ou aucune trace de lait sont apparus sur le marché. En France, la compagnie Cargill commercialise depuis 2007 du «fromage analogue», soit une pâte présentant la même texture qu'un fromage, mais composée de 15 % de protéines laitières, d'huile de palme (une huile de plus en plus décriée pour ses impacts sur la santé et sur l'environnement) et d'exhausteurs de goût. L'entreprise a remis ça en 2009 avec un autre produit, le Lygomme TACH Optimum (miam, miam, ça donne le goût!), lequel ne contient aucun ingrédient laitier, mais plutôt trois amidons, un galactomannane et un carraghénane (deux substances d'origine végétale) et des arômes. Ce produit était d'ailleurs parmi les trois finalistes du Food Ingredients Excellence Awards 2009, dans la catégorie Innovation de l'année pour la laiterie (cherchez l'erreur!). Destinés à la grande industrie, ces produits se retrouvent principalement dans les pizzas congelées, lasagnes, cheeseburgers et autres mets préparés. Des médias français en ont beaucoup parlé, et des blogueurs font régulièrement circuler l'information. Un courriel accusant Pizza Hut France d'en servir sans le dire a même circulé jusque de ce côté-ci de l'Atlantique. L'entreprise s'est toutefois défendue de servir autre chose que du vrai fromage (http ://goo.gl/wSmXl). Selon Cargill France, le Lygomme TACH Optimum «rappelle les fromages traditionnels à pâte dure tels que le gouda, le cheddar ou le gruyère. Quant au client, il y trouve le même plaisir et la même satisfaction». On s'en doute, la raison première de telles innovations est l'économie d'argent qu'elles permettent. Le Lygomme coûte 60 % de moins qu'un «fromage analogue» (celui qui contient 15 % de protéines laitières), et 200 % de moins qu'un vrai fromage de type mozzarella ou emmental. Toute une aubaine! Toujours selon Cargill, ce produit présente aussi un intérêt sur le plan de la santé, puisqu'il contient moins de calories (moins de matières grasses et pas de matières grasses saturées). Il offre aussi une solution de rechange aux personnes souffrant d'intolérance au lactose et peut être consommé sans problème par les végétaliens puisqu'il ne contient aucun ingrédient d'origine animale. Enfin, il peut aussi porter les labels halal et kasher. La Commission européenne a autorisé ces produits à la condition que les étiquettes affichent la liste des ingrédients. Mais qui va lire, ou encore comprendre la nature de cette liste? Si, en outre, le fabricant a utilisé un mélange de vrai fromage et de produits faits avec des gras végétaux, l'acheteur risque fort d'être berné. Au Canada À la lumière de ces informations, on peut se demander si les Canadiens mangent du faux fromage à leur insu. Vérification faite, Santé Canada n'a pas homologué les deux innovations de Cargill, mais Cargill France a fait une demande pour le Lygomme auprès de l'Office de la propriété intellectuelle du Canada. Le chercheur Paul Paquin, de l'Université Laval, spécialiste des produits laitiers, dit avoir fait des analyses sur le fromage utilisé dans les grandes pizzérias et ne pas avoir trouvé de produits d'origine végétale. Une représentante de Boston Pizza à qui j'ai parlé certifie de son côté que l'entreprise utilise de la mozzarella à 100 % et aucun fromage analogue ou produit à base d'huile de palme. Les normes de composition des fromages de 2008 définissent une quantité minimale de caséine (la protéine) de lait frais à utiliser. Cette quantité va de 100 % pour le cheddar à 63 % pour la mozzarella à pizza. Cette mesure a été adoptée pour contrer un certain flou qui ouvrait la porte à l'ajout sans limites de substances laitières modifiées. Les compagnies Kraft et Saputo ont tenté de faire renverser cette réglementation et se sont rendues jusqu'à la porte de la Cour suprême, qui a refusé de les entendre. Concrètement, cela veut dire que le mot «fromage» ne peut pas apparaître sur un aliment qui ne correspond pas aux normes de composition. Mais les choses sont parfois subtiles. Daiya Foods inc., une entreprise basée à Vancouver, fabrique des aliments forts prisés par les végétaliens que l'on retrouve facilement au Québec. Fabriqués avec de la farine de tapioca et de l'huile de canola sans OGM (une rareté au Canada), ils sont vendus sous les termes «à saveur de cheddar» (ou d'havarti, ou de mozzarella...). Alors, quand je vous parlais d'une ligne mince... Citer Link to post Share on other sites
Icosium69 10 Posted June 11, 2013 Partager Posted June 11, 2013 Fabriquer du fromage "analogue". Y'en a à 400 da ( 4 euros ) le kg . Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted June 11, 2013 Partager Posted June 11, 2013 Fabriquer du fromage "analogue". Y'en a à 400 da ( 4 euros ) le kg . Je n'aime pas son goût ! Par contre, j'ai bien aimé le steack végétal ! Citer Link to post Share on other sites
Icosium69 10 Posted June 11, 2013 Partager Posted June 11, 2013 Je n'aime pas son goût ! Par contre, j'ai bien aimé le steack végétal ! Oui , y'a aussi les steacks hachés surgelés de chez KOFT , le chiche kebab et les merguez ... Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted June 11, 2013 Partager Posted June 11, 2013 Oui , y'a aussi les steacks hachés surgelés de chez KOFT , le chiche kebab et les merguez ... J'ai acheté celui de Koft. En le mettant sur le feu, il a commencé à pisser un jus rosâtre qui m'a semblé bizarre. Il n'a pas bruni même en le laissant plusieurs minutes sur le feu !!! Incroyable ! Personne n'a voulu le manger ! Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 11, 2013 Author Partager Posted June 11, 2013 Je n'aime pas son goût ! Par contre, j'ai bien aimé le steack végétal ! Il nous faut inventer de nouveaux aliments. Pourquoi pas des "rouleaux de printemps" made in Algeria? Ils pourraient être enrichis en pousses de soja (ou pousses de pois chiche) par exemple. Il nous faut trouver des sources de protéines pas chères pour 37 000 000 d'Algériens. http://www.vietnamguide.fr/wp-content/uploads/2010/12/rouleau-de-printemps-goi-cuon-vietnam-guide.jpg Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted June 11, 2013 Partager Posted June 11, 2013 le fameux "Printemps arabe" Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 11, 2013 Author Partager Posted June 11, 2013 @Pax. Fabrication de WC douche type Geberit. Citer Link to post Share on other sites
Icosium69 10 Posted June 12, 2013 Partager Posted June 12, 2013 J'ai acheté celui de Koft. En le mettant sur le feu, il a commencé à pisser un jus rosâtre qui m'a semblé bizarre. Il n'a pas bruni même en le laissant plusieurs minutes sur le feu !!! Incroyable ! Personne n'a voulu le manger ! C'est un burger industriel, il est pas à 100 % viande, melangé à des protéines végétales,des épices pour donner le gout du shaorma et tout le reste.... Citer Link to post Share on other sites
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