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Idée de business en l'Algérie.


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Création d'un réseau de livraison de pièces auto.

 

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Concept:

- réseau de livraison avec commande par internet,

- catalogue limité à certaines pièces,

- réaliser un réseau privé avec des points de réception dans des stations services (un peu comme le fait la Redoute en France). En effet, on ne peut faire confiance à la Poste (risque de vol de colis),

- de tels réseaux pourraient être ouverts à d'autres produits comme le fait la Redoute)..

 

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Exemple de réseau de livraison: Catalogue En Ligne 2014

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Créer une entreprise spécialisée dans la protection des maisons contre l'humidité.

 

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Humidité - murprotec.fr‎

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Traitement Humidite Murs

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Particuliers bénéficiez des 25 ans dexpérience auprès de S NCF & R ATP‎

Qui sommes-nous ? - Vu à la TV - Le procédé MURASEC - Diagnostic gratuit

59 rue de l'Eglise, Smermesnil‎

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Développer un réseau de maisons de retraite et s'associer au français Korian.

 

Concept:

- la population algérienne devient de plus en plus vieille,

- les appartements en ville sont petits, il est difficile d'y garder ses vieux parents,

- les couples modernes ne souhaitent pas garder en général leurs parents,

- développer des moyens d'accueil des séniors qui ont les moyens de payer.

 

korian_3.jpg

 

 

Senior Cottage * * * A voir, cela donne des idées pour d'autres types d'accueil.

http://www.senior-cottage.fr

Logement équipé pour personne âgée. Dans votre jardin. 49900€ TTC

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Série de machines russes (peu sophistiquées, mais efficaces).

Machine à transformer les tôles d'acier.

 

Machine artisanale pour fabriquer du grillage.

 

Machine manuelle pour fabriquer du treillis soudé.

 

Machine manuelle pour fabriquer des coudes de tuyaux de poele.

 

 

 

Machine à fabriquer des clous.

 

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Machine automatique (mais réalisable par un bon soudeur) pour fabriquer du grillage.

 

* * * * * vues 94 961 fois.

 

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Bonus: La vidéo qui montre comment ils ont fabriquer cette machine.

 

hqdefault.jpg

 

ps: 5 *, c'est extrêmement rare.

 

 

Autre machine plus artisanale:

vues 106 388 fois.
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Vidéo montrant le principe d'une machine russe transformant la tôle.

 

On voit qu'elle est encore dans l'atelier de fabrication. Travail accessible pour un très bon soudeur. Cela mérite 5 * car pas besoin d'importer la machine, elle est fabriquable en Algérie.

 

* * * * * Vue 18 429 fois.

 

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Machine russe, simple, pour le pliage de la tôle industrielle. листогиб ручной Schechtl UK и UKV

 

* * * * On voit que cette machine a été fabriquée localement.

 

 

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Bonus: Vidéo de réglage de la machine (avec photo des trois personnes qui l'ont mise au point).

Konstantin Melnikov * * * met en ligne 90 vidéos sur différentes applications industrielles. Celle-ci a été vue 27 447 fois.

 

ps: suite à la qualité du matériel russe et à l'inventivité des techniciens russes, l'adresse de l'ambassade russe mérite d'être connue pour d'éventuelles commandes.

7, Chemin du Prince d'Annam, El-Biar, Alger, Algerie. Téléphone: (8-10-213-21) 922-614, 923-139;

Fax: (8-10-213-21) 922-882; E-mail: ambrussie@yandex.ru

 

ps: presse plieuse occasion

http://www.jccolombo.fr

Coupez & Pliez sur 1 seule machine! Cisaille, Plieuse Qualité / Prix

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Plieuse - cintreuse.

 

 

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cintreuse , plieuse petit prix vente outillages par correspondance

 

 

plieuse-a-tablier-pour-tole-de-25mm-x-1020-mm.jpg

 

Découpe d’acier à façon

 

Avec le développement des engins de BTP et agricole, la fourniture de pièces par découpe augmente an Algérie. Un créneau porteur ...

 

Un exemple à l'étranger

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Rapidité, proximité, convivialité Faite confiance à

 

Machine marquage laser

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Toutes les solutions Laser pour Graver, Découper et Marquer

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Femmes Business Angels: Bienvenue sur le 1er réseau féminin de ...

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11 juin 2013 - 1er réseau féminin de business angels en Europe pour investir dans des entreprises innovantes.

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Ils proposent un abonnement gratuit à leur newsletter. Un bon moyen pour se tenir au courant d'idées d'investissements.

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Créer une "baguette tradition" en Algérie.

 

La baguette «tradition» fête ses 20 ans

 

Par Helene Dupuy | 17/09 | Les Echos

 

Les baguettes «de tradition française», règlementées par un décret datant de septembre 1993, représentent un quart de la consommation de pain des Français. Très en vogue, leur consommation ne cesse de croître.

 

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La baguette «de tradition française» fête ses 20 ans en septembre. - AFP

 

 

L’image d’Épinal du Français au béret et à la marinière pourrait bien troquer sa baguette classique contre une «tradi». Cette dernière fête ses 20 ans en septembre et est devenue un incontournable du quotidien des Français. C’est le 13 septembre 1993 qu’est institué le «Décret Pain» , le point de départ officiel de la «Baguette de Tradition Française» son appellation exacte. Une législation mise au point pour sauvegarder les spécificités de la panification française face à l’élargissement de l’emploi d’additifs et améliorants en tous genres dans le pain. Confrontés à cette «dérive», les Minoteries Viron décident de remettre au goût du jour les procédés de fabrication à l’ancienne en créant leur «Rétrodor» en 1990 : une baguette composée uniquement de 4 ingrédients : farine, levure, sel eau. Ils militent alors pour la création d’une législation visant à protéger leur recette : le gouvernement Balladur instaurait le décret trois ans plus tard.

 

 

Et la consommation de «tradis» n’a cessé de croître depuis. Elles représentent aujourd’hui «20 à 25% des 10 milliards d’équivalents baguettes (en quantité de farine) que la population française achète chaque année en boulangerie» estime Alexandre Viron, président des Minoteries éponymes, devenues un acteur majeur de la «tradi». En 22 ans, la production de leur société a été multipliée par 30 passant de l’équivalent de 1,7 million de baguettes «tradi» par an en 1990 à plus de 50 millions en 2012.

Se démarquer des produits industriels

 

Et les Minoteries Viron ont rapidement été rejointes par les moulins Foricher, Eric Kayser, Patrick Castagna, Baguépi, Banette … et un très grand nombre de boulangeries artisanales. La «tradi» s’est aussi rapidement exportée. Hormis la France, la Belgique et l’Angleterre comptent également parmi ses premiers marchés historiques, puis viennent le Japon et la Corée du Sud. Elle est également commercialisée aux Etats-Unis, Canada, Gabon, Allemagne, Russie, Hollande où les minoteries françaises apportent leur matière première et leur expertise.

 

Si les ventes de baguettes «de tradition française» se développent à toute vitesse aujourd’hui, leur démarrage fut cependant assez lent. «La tradi a eu du mal à décoller au début car les gens ne voyaient pas l’intérêt, et les boulangers ne voulaient pas changer leurs habitudes» explique Alexandre Viron. Pour lui, son envol est allé de pair avec l’augmentation des exigences en qualité de la nourriture. Dans les années 50, le pain industriel s’impose et la surgélation de la pâte transforme beaucoup de boulangeries en simples terminaux de cuisson. A la fin des années 80, les boulangers réagissent et redécouvrent les vertus du four à bois, du levain naturel et de la pâte peu pétrie, mais longtemps fermentée. Mais c’est surtout à partir de 1995 et la crise de la vache folle, que les gens ont vraiment commencé à se poser la question de ce qu’ils consommaient explique le directeur des Minoteries Viron. Du coté des artisans boulangers, la «tradi» est également devenue une opportunité de se démarquer des produits industriels dont ils subissent très durement la concurrence.

Une règlementation très stricte

 

Car pour obtenir la précieuse appellation, une législation très stricte s’impose, bien loin des pratiques boulangères d’alors. La composition, d’abord : alors que 150 produits sont permis pour faire du pain dans la législation européenne, la «tradi» ne peut comporter que 4 ingrédients : eau, farine, sel, levain et seulement trois additifs sont autorisés. Aucun colorant, améliorant, ou produit chimique n’est donc permis. Le processus de fabrication ensuite : il faut aussi que le pain n’ait pas été congelé, pas plus qu’aucun de ses ingrédients. Le décret concerne aussi le point de vente : pour qu’une boulangerie soit considérée comme fabriquant du « pain maison », il faut que le pain ait été entièrement pétri, façonné et cuit sur son lieu de vente. «Toutefois, cette dénomination peut également être utilisée lorsque le pain est vendu au consommateur final, de façon itinérante, par le professionnel qui a assuré sur le même lieu les opérations de pétrissage, de façonnage et de cuisson» peut-on lire sur l’article 1 du fameux décret. En revanche, toutes les tailles, formes et prix sont possibles -ficelles, petits pains- bien qu’existent des recommandations dans le domaine pour favoriser un bon rapport mie-croûte. Les baguettes «tradi» font souvent 200g en province, 250 à 300g à Paris et leur prix varie entre 1,15 et 1,25-30 euros. Plus chère que la baguette classique, «sa fabrication est aussi plus longue, plus précautionneuse et demande des boulangers mieux formés» souligne Alexandre Viron. Synonyme de «tradition réinventée», la «tradi» illustre le passage d’un pain-nécessité, qui représentait voici des décennies une part représentative de l’apport énergétique, au pain plaisir revendiquant la qualité, le goût, et l’équilibre alimentaire.

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