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TOP 50 des meilleurs patrons algériens.


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Houari Boumèdienne (Allah irahmou) avait essayé la voie socialisante. On est aujourd'hui dans une voie capitaliste.

On va faire avec en espérant que des patrons algériens ne vont pas constituer une bourgeoisie compradore (d'import-export) mais de patrons au service de l'économie algérienne.

 

Dans cette optique quels patrons (quels capitaines d'industrie) font avancer notre pays.

 

Ps: yar ham babeck, évitez nous les discussions stériles.

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Abderrahmane Benhamadi (Algérie)

 

PDG du groupe Benhamadi Antar Trade

 

Dans sa ville, tout le monde l’appelle par son second prénom, Abdelmalek. Très proche de ses 1300 salariés, Abderrahmane Benhamadi a la trempe d’un meneur d’hommes détenant l’art de mobiliser toutes les énergies de son staff pour donner vie à ses projets.

Économiste, diplômé d’une grande école d'Angleterre, M. Benhamadi a réussi la prouesse de bâtir, en quelques années, un des fleurons de la jeune industrie électronique algérienne. Commercialisés sous la marque Condor, les produits électroménagers (téléviseurs, climatiseurs, démodulateurs) qui sortent des usines du groupe, implanté dans la zone industrielle de Bordj-Bou-Arréridj, à 230 km à l’est d’Alger, sont appréciés des ménages algériens pour leur fiabilité et la compétitivité de leurs prix. Les premiers contrats à l’exportation sont également au rendez-vous avec d’importantes ventes vers le marché tunisien. Le succès fulgurant de la marque Condor est le résultat de la politique d’investissement tournée vers la remontée de filière technique, comme l’illustre l’inauguration en janvier 2006 d’une unité industrielle high-tech de fabrication de cartes numériques.

Avec ce projet, le taux d’intégration des produits électroniques Condor, 70%, leur permet de faire mieux que résister aux importations asiatiques. Déjà leader dans la production de téléviseurs, Condor effectue une entrée en force dans la production des réfrigérateurs avec le démarrage en 2007 d'une unité de production ultramoderne d'une capacité de 150 000 unités/an avec un taux d'intégration de 80%. Depuis mars 2007, l'entreprise Condor est certifiée conforme aux normes ISO 9001, version 2000. Les ambitions de « Abdelmalek » ne s’arrêtent pas là. Son groupe a investi depuis 2008 les nouveaux créneaux de l’éclairage des grandes infrastructures (stades, salles omnisports...) et de la climatisation centralisée.

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Rachid Sekkak (Algérie)

Directeur HSBC Algérie (sources: les Afriques)

 

Au début des années 90, le service de la dette extérieure asphyxie l’économie algérienne menaçant d’atteindre, voire de dépasser 100% des recettes extérieures du pays.

C’est l’époque où le public algérien découvre Rachid Sekkak. Le jeune directeur de la dette extérieure à la Banque d’Algérie est un fonctionnaire atypique dans le conteste d’une administration traditionnellement repliée sur elle-même et peu encline à communiquer.

Passionné, inlassablement soucieux d’expliquer et de convaincre, largement ouvert aux médias, Rachid Sekkak va contribuer à faire passer le message du rééchelonnement de la dette, qui sera aussi celui de la libéralisation à marche forcée de l’économie algérienne. Une fois achevées les négociations sur le rééchelonnement, auxquelles il a pris une part prépondérante, et à l’occasion desquelles les capacités de ce jeune banquier algérien n’ont pas échappé aux partenaires de l’Algérie au sein des Clubs de Paris ou de Londres, Rachid Sekkak exprime avec une impatience croissante son souci de contribuer à la modernisation des banques algériennes.

Peine perdue, au milieu des années 90, la reforme bancaire et financière n’est pas encore une priorité des autorités algériennes. Rachid Sekkak accepte alors les propositions d’une banque européenne dont il va notamment diriger le réseau en Asie.

Dix ans plus tard, il est de retour en Algérie à la tète de la filiale de HSBC, dont il compte bien faire un instrument efficace de mise à niveau des pratiques bancaires de la place. HSBC décroche en 2007 un accord de partenariat avec la BEA, pour notamment accompagner son prestigieux client, Sonatrach, à l’international. A peine sur la place, HSBC Algérie s’apprête à s’engager dans le montage des financements de gros projets de la pétrochimie. Le retour de Rachid Sekkak n’est pas passé inaperçu.

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Brahim Hasnaoui (Algérie) Version imprimable

 

Chef d’entreprise

Brahim Hasnaoui ( Algérie )

 

Si les Algériens ont eu un début d'explication rationnelle sur les étranges variations du prix de la pomme de terre sur le marché, ils le doivent à Brahim Hasnaoui, patron d'un groupe industriel qui a la particularité d'être basé dans une ville moyenne, Sidi-Bel-Abbès. Son groupe, il l'a constitué patiemment, sur trois décennies, contrairement aux météorites qui ont peuplé le ciel de l'économie algérienne avant de disparaître. Il y a du « travail derrière », disent ceux qui le connaissent. Les importateurs de semences de pommes de terre le détestent, il le leur rend bien. Moins en paroles qu'en actions. Hasnaoui s'est engagé, en partenariat avec des Australiens, dans la production de la semence pré-base, une première au Maghreb. Depuis au moins deux décennies, la pomme de terre est un élément essentiel de la nourriture des Algériens, tout comme la semoule et le lait. Brahim Hasnaoui, en quelques interventions publiques, démontre qu'il est possible de répondre au besoin du marché en fournissant la pomme de terre à un prix très raisonnable de 20 dinars, et avec des possibilités d'exporter. Ses arguments n'ont pas fait bouger les responsables du secteur, sa bataille de la semence n'est pas gagnée, mais la popularité nationale de Brahim Hasnaoui est faite : c'est le patron qui pense au couffin du pauvre. A Sidi-Bel-Abbès, elle était déjà faite, dans le secteur du bâtiment. Sa bonne ville est l'une de celles où la pression sur le logement est la plus faible du pays, avec le plus bas taux d'occupation par logement. C'est un « aventurier dans le meilleur sens du terme », explique un journaliste oranais. « Il a compris que pour réussir, il faut devenir indépendant, c'est-à-dire maîtriser l'ensemble de la filière où il active y compris le volet formation ». Que ce soit dans le secteur du bâtiment ou dans l'agriculture, c'est cela la méthode Hasnaoui : maîtriser et innover. En mai 2008, la Société de développement agricole (SODEA), une entreprise du groupe, a reçu, à Genève, le trophée international de la qualité (New Millenium Award).

sources: Les Afriques

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Houari Boumèdienne (Allah irahmou) avait essayé la voie socialisante. On est aujourd'hui dans une voie capitaliste.

On va faire avec en espérant que des patrons algériens ne vont pas constituer une bourgeoisie compradore (d'import-export) mais de patrons au service de l'économie algérienne.

 

Dans cette optique quels patrons (quels capitaines d'industrie) font avancer notre pays.

 

Ps: yar ham babeck, évitez nous les discussions stériles.

 

En Algérie on n'a pas de patrons dans le sens managérial du terme , puisqu'on se trouve soit en face de véritables beggaras analphabètes et incultes , soit en face de prête-noms (donc simples "employés chez" .......).

Le terme bourgeoisie est aussi inapproprié car il suppose une certaine noblesse que malheureusement ni les beggaras , ni encore moins les prête-noms n'ont ............ :jester:

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  • 10 months later...

le groupe benammor.dans l'est du pays.tomate concentree ,agrandissement par la suite aux couscous et autres.exportation depuis peu !

 

c'est le père qui a commencè.l'usine a ete construite il y a quelques annees à proximitè d'un village qui s'appelle bouatti (guelma) ,lui rèsidait à 60 km.à annaba.à l'epoque la tomate concentree etait importee en grande quantitè de tunisie.l'usine a commencè petit à petit par s'equiper ,au fur et à mesure qu'elle produisait.les fils ont pris la relève par la suite en modèrnisant ,en formant leur personnel.pour la tomate-semoule-couscous,son nom est une rèfèrence en matière de qualitè.ses produits couvrent une grande partie de la demande.le chomage des habitants du lieu d'implantation de son usine est absorbè efficacement.

bonne continuation les 'benamor '!!

 

 

p,s :il y a quelques annees ,la tèlevision algerienne a diffusè pendant longtemps une emission d'un certain samir chaabna.

cette emission a consistè à aller dans tous les pays du monde et montrer des exemples de reussites professionnelles.

question:à qui s'adressait cette foutue emission ,aux jeunes pour leur dire :partez à l'etranger ,vous allez reussir ?...n'importe quoi !!en tous cas ,samir chaabna ou plutot chbaana ,il vaut mieux qu'il rèvise sa mèthode pedagogique et qu'il montre des cas de reussites et discute les causes des echècs des petits projets.....qui n'en deviendront que plus grands.

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Tomate industrielle: Benamor 50% de la production nationale

 

Message par Prince le Dim 4 Avr - 15:38

Tomate industrielle : Le groupe Benamor assure 50% de la production nationale

 

 

 

 

 

Alors que plusieurs unités de production de la tomate industrielle en Algérie ont disparu, le groupe Benamor se présente comme le dernier des Mohicans.

 

Implanté dan la wilaya de Guelma, dans l’Est algérien, ce groupe a réussi, en l’espace de moins de trois décennies, le pari de devenir leader sur le marché national en matière de tomate industrialisée. Fondé en 1984 par le défunt père Amor Benamor, le groupe dispose d’une conserverie spécialisée dans la production de la tomate concentrée sous plusieurs formes. D’une modeste unité de 200 t/jour, il est arrivé à produire jusqu’à 5200 t/jour actuellement. Au sein du groupe, c’est la jubilation ! « On a réussi à tripler notre rendement en tomate concentrée », s’est félicité jeudi dernier Laïd Benamor, manager général du groupe Benamor, devant une importante délégation du Forum des chefs d’entreprise (FCE). Cette organisation patronale, composée de dirigeants d’entreprises privées, des représentants d’une mission économique européenne et de 4 directeurs de publications (El Watan, Liberté, La Tribune et El Khabar), était en visite jeudi dernier dans les différentes unités de production de ce groupe familial. Pour M. Hamiani, la « réussite » que constitue le groupe Benamor montre que l’entreprise privée, « loin du pouvoir » et « malgré les difficultés », demeure le moteur de la croissance du pays.

 

Les invités du FCE ont eu à se rendre dans la matinée sur le site de la conserverie Benamor (Cab). Celle-ci compte deux unités de production avec des capacités de production de 1500 t/jour et 3600 t/jour chacune. Le nombre de postes d’emploi créés est de 435. Grâce à des efforts soutenus et une stratégie perspicace, la production de la CAB en tomate concentrée est passée de 8500 t en 2002 à 39 450 t en 2009. La production de cette conserverie couvre 50% du marché national, selon M. Hamiani. « Le marché est important. Il y a de la place pour tout le monde. Nous avons développé une politique articulée sur la contribution active des agriculteurs », souligne, Fouad Brahim Benamor, gérant de la conserverie. Les principaux clients sont des grossistes, des propriétaires de grandes surfaces et le ministère de la Défense nationale. Il va sans dire que la réalisation de ces performances n’a pas été sans la mise en place d’une stratégie de développement des plus efficaces. Le groupe contribue d’ailleurs à l’assistance de 600 agriculteurs aux nouvelles techniques de culture de la tomate, notamment la fertilisation, l’irrigation et le choix variétal, sur une superficie cultivée de 2500 ha.

 

Les dirigeants du groupe ont mis également en place une station d’expérimentation de la culture de tomate au même titre qu’une serre multichapelle de 0,7 ha pour la production de 10 millions de plants, soit 500 ha. Des solutions innovantes en matière de production de plants de tomate ont été introduites dans la production de la tomate de serre. C’est ce qu’ont découvert, avec des yeux émerveillés, les membres de la délégation du FCE au niveau d’une serre multichapelle. Selon les explications fournies par Messaoud Chebah, agronome à la Cab, ces techniques permettent de réduire de 50% la période allant entre la phase semis au repiquage sur champ. Concrètement, cette période peut être ramenée de 2 mois à 30 jours, grâce aux performances d’une planteuse dont le rendement est de 200 à 850 plateaux/hectares. Ceci étant, M. Chebah a expliqué que le repiquage mécanisé assure également un gain de temps considérable.

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En Algérie on n'a pas de patrons dans le sens managérial du terme , puisqu'on se trouve soit en face de véritables beggaras analphabètes et incultes , soit en face de prête-noms (donc simples "employés chez" .......).

Le terme bourgeoisie est aussi inapproprié car il suppose une certaine noblesse que malheureusement ni les beggaras , ni encore moins les prête-noms n'ont ............ :jester:

 

il y a des patrons en algerie ,de vrais 'big boss'....c'est la politique des incultes qui les met à l'ombre parceque ça sert mieux leurs interets au lieu que ce soit le contraire et d' en faire des modèles à suivre pour les jeunes investisseurs : 'commencer petit,investir ses propres rèsultats pour se dèvellopper'.comme disait un big.

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il y a des patrons en algerie ,de vrais 'big boss'....c'est la politique des incultes qui les met à l'ombre parceque ça sert mieux leurs interets au lieu que ce soit le contraire et d' en faire des modèles à suivre pour les jeunes investisseurs : 'commencer petit,investir ses propres rèsultats pour se dèvellopper'.comme disait un big.

 

Un vrai patron ne peut devenir "big boss" en Algérie ...

C'est comme dans tous les domaines ou seuls les plus médiocres , les plus corrompus ...... réussissent (en Algérie , bien entendu :mdr:)

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Un vrai patron ne peut devenir "big boss" en Algérie ...

C'est comme dans tous les domaines ou seuls les plus médiocres , les plus corrompus ...... réussissent (en Algérie , bien entendu :mdr:)

 

voici un exemple :monsieur rabrab.

 

groupe 'cevital'

 

aperçu d'une de ces confèrences ( mars 2010 , fondation club avenir ):comment devellopper les industries durables en algerie.il expose ses dèbuts,ses programmes ,ses visions.ce sont des hommes comme lui qui nous sortirons du non-sens.

 

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voici un exemple :monsieur rabrab.

 

groupe 'cevital'

 

aperçu d'une de ces confèrences ( mars 2010 , fondation club avenir ):comment devellopper les industries durables en algerie.il expose ses dèbuts,ses programmes ,ses visions.ce sont des hommes comme lui qui nous sortirons du non-sens.

 

 

Mr Rebrab est un blanchisseur d'argent ...

 

Un patron c'est autre chose !

 

C'est vrai qu'il sait parler mais c'est ce qui lui a permis d'obtenir le rôle !

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Mr Rebrab est un blanchisseur d'argent ...

 

Un patron c'est autre chose !

 

C'est vrai qu'il sait parler mais c'est ce qui lui a permis d'obtenir le rôle !

 

un patron c'est celui qui cree de l'emploi.

c'est celui qui rèduit l'importation.

c'est celui qui travaille pour exporter.

 

c'est ce qu'il a fait !...si en plus ,il sait parler ,tant mieux pour lui et pour nous.il saura expliquer aux algeriens de laisser travailler les gens et d'arreter d'être dèfaitistes !!

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un patron c'est celui qui cree de l'emploi.

c'est celui qui rèduit l'importation.

c'est celui qui travaille pour exporter.

 

c'est ce qu'il a fait !...si en plus ,il sait parler ,tant mieux pour lui et pour nous.il saura expliquer aux algeriens de laisser travailler les gens et d'arreter d'être dèfaitistes !!

 

Mr LADOZ pourrait en créer plein d'emplois aussi si on lui "donnait" des centaines de milliards et qu'on lui accordait toutes les facilités (surtout le foncier) et qu'on lui garantissait un certain monopole sur ses productions :crazy::crazy:

 

Faut pas être un génie pour le faire !!!!

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Mr LADOZ pourrait en créer plein d'emplois aussi si on lui "donnait" des centaines de milliards et qu'on lui accordait toutes les facilités (surtout le foncier) et qu'on lui garantissait un certain monopole sur ses productions :crazy::crazy:

 

Faut pas être un génie pour le faire !!!!

 

le gènie ,c'est d'arriver à le faire parmi les loups:pokey:

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le gènie ,c'est d'arriver à le faire parmi les loups:pokey:

 

Lui il bosse pour les loups ......

 

Si c'était un génie , il aurait quand même pu faire "quelque chose" à l'étranger , monter des affaires qui marchent ailleurs comme le font les vrais "patrons" ............

 

C'est très facile de bosser avec un robinet bancaire ouvert (des crédits qui n'en finissent pas) et un marché protégé ......

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quel est le riche des riches dans ce bled qui contribue a bâtir une bibliothèque ou un établissement culturel...... rien

 

nos riches s'occupent de bâtir des villas géantes juxtaposées :mdr: et étalé devant ces voitures 4 foif 4

 

très juste.

...mais, villa-voitures sont son droit le plus lègitime.si c'est le fruit de son labeur.la mentalitè hèritee du socialisme à idèologie egalitaire doit être mieux adaptee aux rèalites.un homme d'affaires ne peut pas avoir le même train de vie qu'un fonctionnaire....mais un homme d'affaire est obligè d'assurer sècuritè-droit-dignitè à son personnel dans le cadre de lègalitè.

 

theâtre,bibliothèque,hôpital...peuvent être,c'est vrai,une contribution de la part d'un richissime homme d'affaire ou un sportif ou un artiste.

les artistes,on en a beaucoup aussi ,ils sont ou ! même pas un petit quelque chose pour leur ville ou village.:plane:

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Lui il bosse pour les loups ......

 

Si c'était un génie , il aurait quand même pu faire "quelque chose" à l'étranger , monter des affaires qui marchent ailleurs comme le font les vrais "patrons" ............

 

C'est très facile de bosser avec un robinet bancaire ouvert (des crédits qui n'en finissent pas) et un marché protégé ......

 

justement a l'ère de la mondialisation, je me demande toujours pourquoi nos richissimes patrons n'investissent pas a l'étranger ?

ils ne connaissent pas le mot multinationale ?

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issad rebrab je dirais,ca c est un veritable patron,il a hisser sa societer parmi les plus grande et les plus competitifs d afrique et il a d ambitieux projets immobilier comme la construction de 5 grattes ciel a la gloire de cevital

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justement a l'ère de la mondialisation, je me demande toujours pourquoi nos richissimes patrons n'investissent pas a l'étranger ?

ils ne connaissent pas le mot multinationale ?

 

Parce qu'ils sont ................incompétents et ne peuvent faire face à la concurrence habitués qu'ils sont à être protégés !!

Ce sont des gestionnaires de superette , sans plus !!!

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