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Insécurité: la pensée unique de Nicolas Sarkozy


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BONJOUR

 

Insécurité: la pensée unique de Nicolas Sarkozy

 

CELON MARIANNE

 

Lundi 2 Août

 

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Sarkofrance

Insécurité: la pensée unique de Nicolas Sarkozy

juan sarkofrance

Vendredi, il fallait écouter le discours du chef de Sarkofrance dans l'enceinte de la préfecture de l'Isère. Un grand discours, l'un de ceux qui donnent la nausée aux républicains, l'un de ceux qui décrédibilisent un homme, l'un de ceux qui mêlent injonctions, approximations et outrances. L'homme qui parlait vendredi ainsi à Grenoble était pourtant, paraît-il, président de la République. De laquelle ? La sienne.

 

 

 

Actu

Crise: les banques et les patrons d'abord!

Laurent Pinsolle - Blogueur associé

La crise a eu un mérite : celui de révéler au grand jour les priorités de nos sociétés capitalistes. Tant que les banques et les grandes entreprises se portent bien, l'essentiel est préservé. Et tant pis si les citoyens assistent impuissants à cette distribution de privilèges. La crise que nous...

 

 

 

Actu

Epad: le népotisme «décomplexé» de Nicolas Sarkozy

Emmanuel Lévy - Marianne

Octobre 2009 marque la rupture définitive des Français avec leur Président. En décidant d'offrir sur un plateau d'argent la présidence de l'Epad à son fils Jean, Nicolas Sarkozy fait dans le népotisme le plus abscons. Ce fut sans doute la vraie rupture du sarkozysme. Mais pas celle que le président...

 

 

 

Actu

Communautarisme: la démocratie contre la République

Jean-Paul Brighelli - Blogueur associé

Jean-Paul Brighelli revient sur les récentes sortie de Nicolas Sarkozy sur les «Roms». Un signe de plus que désormais, sous couvert de diversité, on désigne les citoyens, on les trie, par communautés. Cela revient à pulvériser la République.

 

 

 

 

 

 

Actu

Dossier: la crise encore et toujours

Marianne2

Rigueur, titrisation, chacun y va de sa petite idée pour enrayer la crise. Avec plus ou moins de bon sens. Il ne faut pas désespérer Bettencourt Ces derniers jours, les marchés n'ont voulu voir que les bonnes nouvelles, ignorant tout ce qui viendrait contredire l'idée que la crise s'éloigne de...

 

 

 

Buzz

Le voile de Diam's, concentré des peurs françaises

Bénédicte Charles

Octobre 2009: Paris-Match publie des photos de la rappeuse, voilée des pieds à la tête. Aussitôt, c'est un déferlement de commentaires sur le Net. C'est que Diam's incarnait, aux yeux des internautes, des valeurs à l'opposé du voile islamique. Le 8 octobre 2009, Paris-Match publiait un bien curieux...

LA PEURE C'EST ICI:

 

http://www.marianne2.fr/

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Sécurité: Sarkozy fait campagne pour sa réélection

 

Sécurité: Sarkozy fait campagne pour sa réélection

L'Express - ‎Il y a 41 minutes ‎

Avec ces annonces sécuritaires, Nicolas Sarkozy fait une embardée à l'extrême de son camp en vue de sa réélection. L'édito de Christophe Barbier. L'âpre débat sur des retraits de nationalité proposés vendredi par le président Nicolas Sarkozy dans ...

Pour la presse anglo-saxonne, Nicolas Sarkozy reprend son rôle de ... Le Monde

Déchéance de la nationalité : une réforme juridiquement impossible ? nouvelobs.com

Le Point - Le Post - AgoraVox - Megados

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VOILA ? CE QUI SE PASSE LORSQUE LA POLICE NE FAIT PAS SON TRAVAIL

LE MAL GRANDI

ET CA DONNE DES DEPACEMENT QUI SERVENT L'INTOLLERANCE ET LE REJET

 

MAIS OU EST LA POLICE DEVANT CES CHOSES?

LA POLICE EST ABSSENTE ELLE NE SECURISE RIEN

 

voila ce quelle provoque son absence et ce qu'elle veut qu'on relate mediatiquement

 

 

Insécurité : «C'était intenable, nous sommes partis»

 

Mots clés : Agressions, incivilités, trafics, montée du communautarisme, tensions raciales, violences tribales, émeutes de Grenoble, Perpignan

 

Par Raphaël Stainville

03/08/2010 | Mise à jour : 10:47 Réactions (1648)

Myriam, jeune femme appréciée de tous, voulait croire au bonheur à Perpignan. Mais les incivilités répétées et la violence de l'attaque dont elle a été l'objet en avril en compagnie de son mari l'ont poussée au départ. (Mélanie Frey/Le Figaro Magazine)

Agressions, incivilités, trafics, montée du communautarisme, des tensions raciales et des violences tribales... Victimes de cette situation, des familles migrent. Des anonymes qui vivent aujourd'hui en France comme des exilés de l'intérieur. Après les émeutes de Grenoble et Saint-Aignan, reportage à Perpignan.

 

Myriam P. s'en souvient comme si c'était hier. Elle se souvient des cris dans la rue, des insultes qui montaient, de la horde qui gonflait, se massait sous ses fenêtres, des projections de pierres et de carrelages qui menaçaient de tomber dans la chambre de sa fille endormie et bientôt des coups de boutoir dans sa porte, après qu'une quinzaine de jeunes eurent défoncé le portail de son immeuble.

 

Réfugiée dans les toilettes de son appartement, tenant blottie contre elle son bébé tandis qu'elle essayait désespérément de joindre la police, elle pouvait les entendre qui hurlaient: «On va vous crever, sales céfrans (Français, ndlr). » Son mari, lui, arc-bouté derrière la porte d'entrée, pouvait voir voler en éclats son mur devenu poussière de plâtre. «O n a cru vivre nos derniers instants. Sans l'intervention de la BAC, c'en était fini. » C'était dans la nuit du 17 au 18 avril, au 14 de la rue des Trois-Journées, en plein cœur de Perpignan. A cinquante mètres de la splendeur gothique qu'est la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, et à deux cents mètres à peine du commissariat principal. Coupables d'avoir osé demander que cessent sous leurs fenêtres les rodéos de scooters et menacé de prévenir les flics.

 

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SUITE 1

 

Pendant cinq jours, encore traumatisé par la violence de l'agression, le jeune couple a bénéficié, grâce à leur assureur, de la protection d'un vigile. Mais après? Renforcer la cloison? Dérisoire! S'en remettre aux caméras de surveillance installées dans la ville pour prévenir des agressions? Elles ont fait la démonstration que la dissuasion ne suffisait pas face à des délinquants mineurs le plus souvent impunis. A quoi bon vouloir rester dans ce quartier quand leurs agresseurs étaient déjà libres, alors qu'eux-mêmes, à quatre heures du matin, n'avaient pas fini de déposer plainte? L'un d'eux, à 15 ans, comptait déjà 122 arrestations à son actif. Rester? Autant tenter le diable! « C'était intenable, donc nous sommes partis. Il aurait fallu me payer très cher pour que j'y reste un mois de plus », dit-elle aujourd'hui avec le sentiment coupable qu'en choisissant l'exil, elle démissionne et abandonne le terrain à ces nouveaux barbares.

 

Pour autant, cette jeune femme énergique sera la seule à témoigner à visage découvert, parce qu'« il faut sortir de l'omerta, briser la spirale du silence ». C'est qu'elle n'est pas seule à avoir connu l'enfer. Certains n'ont pas eu sa «chance».

 

Direction Saint-Assiscle, un quartier résidentiel de Perpignan. Le 2 juillet, Katy et Thierry, son compagnon, ont été à leur tour victimes de la violence ordinaire. Sur sa page Facebook, la jeune femme de 35 ans livre, lasse, ses sentiments: « C'est pas la joie en ce moment avec la merde qui traîne dans mon quartier... J'ai failli perdre la vue à l'œil gauche. Voilà, c'est pas trop la fête à Perpignan. » Lorsqu'elle consent à nous parler, enfin, elle explose. Son compagnon ? Agressé au poing américain et à la barre de fer, alors qu'il était descendu s'interposer, voyant que deux gamins à vélo qui rentraient du cinéma étaient sur le point de tomber dans un guet-apens, au milieu de jeunes caillassant des voitures. Ils étaient quinze à s'acharner sur lui. Résultat : douze points de suture sur le visage et trois autres sur le crâne. Elle ? Rouée de coups par des gosses à qui elle distribuait des bonbons à l'occasion des fêtes de quartier! « Pendant que nous déposions plainte, certains jeunes étaient déjà à nos fenêtres, salissant d'insultes notre fille de 10 ans qui n'arrivait plus à dormir et qui attendait notre retour... la menaçant : "On va t'attraper !" Depuis, elle fait des cauchemars ! » Et son petit frère de 8 ans, un garçon qui ne s'est jamais battu et, insiste Katy, a toujours été premier de sa classe... lui ne cesse désormais de répéter: « Quand je serai grand, je vous tuerai tous. » Depuis, des bandes traînent sous leurs fenêtres et font pression pour qu'ils retirent leur plainte. « Nos voisins eux-mê mes nous le demandent, pour en finir avec cette histoire qui empoisonne la vie de l'immeuble.

 

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