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"Sex ratio" - C’est ainsi que démographes et biologistes désignent les taux comparés de mâles et de femelles au sein d'une espèce à reproduction sexuée. On comprend sans mal que la perpétuation de l’espèce réclame une répartition égale ou presque des deux genres, ce que permettent généralement les hasards statistiques des lois de la reproduction. Or tel n’est plus toujours le cas dans l’espèce humaine. Dans certains pays très peuplés, comme l’Inde et la Chine, les démographes observent un déséquilibre croissant du sex-ratio, la proportion des hommes étant supérieure à celle des femmes. Ce phénomène est pour l’essentiel la conséquence des politiques visant à la réduction de la natalité associées aux techniques de détermination du sexe avant la naissance et à la pratique de l’avortement (ou de l’infanticide); le tout dans des pays où la naissance d’un enfant de sexe masculin est valorisée pour diverses raisons qui ne sont pas seulement de nature économique.

 

Menée en Inde et publié dans The Lancet une étude conclut qu’au cours des deux dernières décennies un déficit statistique d’environ dix millions de femmes est apparu. En Chine ce déficit est d’environ quarante millions sur une population totale d'1,3 milliard. Les démographes considèrent que la situation commence à devenir inquiétante lorsque le sex-ratio dépasse 1,1 (en l’occurrence 110 hommes pour 100 femmes). Or de nombreux pays asiatiques ont dépassé ce seuil, parfois très largement. Dans certaines zones rurales indiennes on recenserait aujourd’hui 400 hommes pour 100 femmes.

 

Source : Slate

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Ça rappele la fiction d'Amine Mâalouf, Le Premier Siècle après Béatrice.

 

L'auteur montre de quelle façon si le choix du sexe des enfants peut être fait, l'humanité se détruit.

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Dans certaines zones rurales indiennes on recenserait aujourd’hui 400 hommes pour 100 femmes.

Les femmes doivent être chouchoutées la bas.

 

J'espère que la polygamie n'y existe pas, sinon ca fera un ratio de 1/16.

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On dit que dans l'Arabie pré-islamique on enterrait les filles vivantes. Or, si le peuple arabe ne s'est pas éteint, c'est que ça devait être une pratique marginale. Je suppose que dans un contexte de misère, on est plus enclin à sacrifier la fille que le fils qui est une force de travail plus utile.

Sinon, il paraît que c'est chaud aussi au Liban. Tous les hommes finissent leurs études à l'étranger... donc il n'y a plus personne les hommes sur place ont l'embarras du choix, et les pauvres filles sont poussées à la chirurgie plastique (pour se faire épouser). :44:

 

C'est l'heure de l'iftar, je vous laisse :44::04:

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"Sex ratio" - C’est ainsi que démographes et biologistes désignent les taux comparés de mâles et de femelles au sein d'une espèce à reproduction sexuée. On comprend sans mal que la perpétuation de l’espèce réclame une répartition égale ou presque des deux genres, ce que permettent généralement les hasards statistiques des lois de la reproduction. Or tel n’est plus toujours le cas dans l’espèce humaine. Dans certains pays très peuplés, comme l’Inde et la Chine, les démographes observent un déséquilibre croissant du sex-ratio, la proportion des hommes étant supérieure à celle des femmes. Ce phénomène est pour l’essentiel la conséquence des politiques visant à la réduction de la natalité associées aux techniques de détermination du sexe avant la naissance et à la pratique de l’avortement (ou de l’infanticide); le tout dans des pays où la naissance d’un enfant de sexe masculin est valorisée pour diverses raisons qui ne sont pas seulement de nature économique.

 

Menée en Inde et publié dans The Lancet une étude conclut qu’au cours des deux dernières décennies un déficit statistique d’environ dix millions de femmes est apparu. En Chine ce déficit est d’environ quarante millions sur une population totale d'1,3 milliard. Les démographes considèrent que la situation commence à devenir inquiétante lorsque le sex-ratio dépasse 1,1 (en l’occurrence 110 hommes pour 100 femmes). Or de nombreux pays asiatiques ont dépassé ce seuil, parfois très largement. Dans certaines zones rurales indiennes on recenserait aujourd’hui 400 hommes pour 100 femmes.

 

Source : Slate

 

petit à petit quand les femmes se feront vraiment rares elle vont avoir beaucoup plus de considération et elle vont exiger leur émancipation et leur rôle dans la société et du coup les gens seront de nouveau contents d'avoir une fille et tout rentrera dans l'ordre

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petit à petit quand les femmes se feront vraiment rares elle vont avoir beaucoup plus de considération et elle vont exiger leur émancipation et leur rôle dans la société et du coup les gens seront de nouveau contents d'avoir une fille et tout rentrera dans l'ordre

 

T'as pas tord !

Alors supprimons les filles à leur naissance, pour mieux chouchouter les survivantes :crazy:

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... Sinon, il paraît que c'est chaud aussi au Liban. Tous les hommes finissent leurs études à l'étranger... donc il n'y a plus personne les hommes sur place ont l'embarras du choix, et les pauvres filles sont poussées à la chirurgie plastique (pour se faire épouser). :44:

 

 

 

Vraiment, il y en a qui ont de la chance !

 

Ça coute combien un allé simple pour les libanaises ? euh, je veux dire pour le Liban ?

 

multiple-relationships-lucky-man-2.s600x600.jpg

 

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