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Les arbres captent de moins en moins de carbone


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Le stockage naturel du CO2 dans la végétation diminue depuis l'an 2000. Une conséquence probable mais inattendue du réchauffement climatique qui inquiète les scientifiques.

 

Le résultat est aussi surprenant qu'inquiétant: les arbres n'en peuvent plus. Ils n'en veulent plus. Depuis 10 ans, la quantité de carbone naturellement absorbée par la végétation n'aurait cessé de diminuer, expliquent deux chercheurs de l'université du Montana dans une récente publication parue dans Science. Ce sont les analyses de données satellitaires de la NASA qui ont permis aux deux auteurs d'arriver à cette conclusion.

 

Une étude similaire effectuée en 2003 avait pourtant montré qu'entre 1982 et 1999, le réchauffement climatique avait contribué à un meilleur piégeage du dioxyde de carbone atmosphérique par les plantes. Les conditions climatiques favorisaient la croissance des végétaux qui, en poussant, absorbaient du dioxyde de carbone. Beaucoup de dioxyde de carbone.

 

Les végétaux contiennent en effet des substances (la plus connue étant la chlorophylle) qui leur permettent de capter le carbone du CO2 et de rejeter le dioxygène restant en utilisant l'énergie lumineuse. C'est cette «respiration à l'envers» qui permet à ces organismes de créer les chaînes carbonées indispensables à leur développement.

 

 

550 millions de tonnes de carbone en moins de captées

 

Mais depuis les années 2000, l'Australie, l'Amérique du Sud et l'Afrique ont connu de terribles sécheresses. Dans ces zones, 70% de la végétation a absorbé moins de carbone que d'ordinaire entre 2000 et 2009. Heureusement, cette baisse vertigineuse a été en partie compensée par le phénomène inverse dans l'hémisphère nord où près des deux tiers des végétaux ont continué à piéger un peu plus de carbone chaque année. Toutefois, le bilan reste négatif: en 10 ans, ce seraient environ 550 millions de tonnes de carbone qui n'auraient pas été captées.

 

Les auteurs ne veulent toutefois pas dramatiser. «Il faut continuer à surveiller le piégeage de manière continue afin de déterminer si cette variation est décennale ou bien s'il s'agit d'un point de basculement pour la séquestration terrestre naturelle provoquée par le changement climatique», écrivent-ils.

 

En 2007, l'humanité a émis dans l'atmosphère environ 7,9 milliards de tonnes équivalent carbone de CO2. Ce chiffre augmente tous les ans. Si les puits de carbone naturels commencent parallèlement à s'essouffler, cela pourrait bien accélérer le réchauffement de la planète. Ce qui augmenterait les sécheresses, réduisant ainsi encore un peu plus le piégeage végétal: un exemple-type de ce que l'on appelle une rétroaction positive. Ou plus simplement, un cercle vicieux.

 

 

Par Tristan Vey

Journaliste web, lefigaro.fr

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Guest cerisecerise
C'est vraiment inquiétant tout ça. D'autant plus que depuis quelques décennies, les promoteurs ont pigé dans les grandes forets qui sont les poumons de la terre. Même la foret amazonienne n'y échappe pas.

les poumons de la Terre, contrairement à ce qui est laissé entendre (on se demande bien pourquoi) c'est les océans

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Voici une chanson que j'aime bien et qui est de circonstance

 

Parole de chanson Maudit Bordel

 

J'm' ouvre les yeux

Je r'garde tout autour

J'ai juste envie d'les r'fermer

Juste envie de te faire l'amour

J'me dis qu'on va réveiller

Au beau milieu du cauchemar

Que la lumière va s'allumer

Un jour ben y sera trop tard

 

J'ai pas envie d'me lever

De prendre conscience à mon tour

J'ai juste envie d'me recoucher

De ne pas voir c'qui m'entoure

On a coupé même les arbres

Au beau milieu de ma cour

Et mon coeur est en larme

On a même polluer l'amour

 

{Refrain:**

Mais dis moé où s'qu'on s'en va

Où s'que ça va nous m'ener

On n'veut plus faire d'enfants

On s'aime pu on fait semblant

Quand est qu'on va s'arrêter

+

Pour prendre le temps de se dire

Que toute la planète

Est en train de mourir

On prend la terre pour une poubelle

Maudit bordel

 

Quand je vais marcher sous la pluie

Ou m'étendre au soleil

Me baigner toute nue

Respirer le grand air

Comme faisait ma grand-mère

Te r'garder dans le blanc des yeux

Et dire qu'on va vivre vieux

Mais à force de me taire

J'ai fini par plus voir

Que d'autres à côté de moi

Ont plus rien à manger

On peut même plus baiser

Sans avoir à se protéger

Et tout le monde s'en lave les mains

Y a plus rien qui nous fait rien

{au Refrain**

Mais dis-moi où ce qu'on s'en va

Je peux plus vivre ça

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Guest MARCEL
Le stockage naturel du CO2 dans la végétation diminue depuis l'an 2000. Une conséquence probable mais inattendue du réchauffement climatique qui inquiète les scientifiques.

 

Le résultat est aussi surprenant qu'inquiétant: les arbres n'en peuvent plus. Ils n'en veulent plus. Depuis 10 ans, la quantité de carbone naturellement absorbée par la végétation n'aurait cessé de diminuer, expliquent deux chercheurs de l'université du Montana dans une récente publication parue dans Science. Ce sont les analyses de données satellitaires de la NASA qui ont permis aux deux auteurs d'arriver à cette conclusion.

 

Une étude similaire effectuée en 2003 avait pourtant montré qu'entre 1982 et 1999, le réchauffement climatique avait contribué à un meilleur piégeage du dioxyde de carbone atmosphérique par les plantes. Les conditions climatiques favorisaient la croissance des végétaux qui, en poussant, absorbaient du dioxyde de carbone. Beaucoup de dioxyde de carbone.

 

Les végétaux contiennent en effet des substances (la plus connue étant la chlorophylle) qui leur permettent de capter le carbone du CO2 et de rejeter le dioxygène restant en utilisant l'énergie lumineuse. C'est cette «respiration à l'envers» qui permet à ces organismes de créer les chaînes carbonées indispensables à leur développement.

 

 

550 millions de tonnes de carbone en moins de captées

 

Mais depuis les années 2000, l'Australie, l'Amérique du Sud et l'Afrique ont connu de terribles sécheresses. Dans ces zones, 70% de la végétation a absorbé moins de carbone que d'ordinaire entre 2000 et 2009. Heureusement, cette baisse vertigineuse a été en partie compensée par le phénomène inverse dans l'hémisphère nord où près des deux tiers des végétaux ont continué à piéger un peu plus de carbone chaque année. Toutefois, le bilan reste négatif: en 10 ans, ce seraient environ 550 millions de tonnes de carbone qui n'auraient pas été captées.

 

Les auteurs ne veulent toutefois pas dramatiser. «Il faut continuer à surveiller le piégeage de manière continue afin de déterminer si cette variation est décennale ou bien s'il s'agit d'un point de basculement pour la séquestration terrestre naturelle provoquée par le changement climatique», écrivent-ils.

 

En 2007, l'humanité a émis dans l'atmosphère environ 7,9 milliards de tonnes équivalent carbone de CO2. Ce chiffre augmente tous les ans. Si les puits de carbone naturels commencent parallèlement à s'essouffler, cela pourrait bien accélérer le réchauffement de la planète. Ce qui augmenterait les sécheresses, réduisant ainsi encore un peu plus le piégeage végétal: un exemple-type de ce que l'on appelle une rétroaction positive. Ou plus simplement, un cercle vicieux.

 

 

Par Tristan Vey

Journaliste web, lefigaro.fr

 

 

 

 

Tu copies n'importe quoi Ladoz.

Au fait!il ya des arbres là où

tu habites??Si c'est Géryville,

je suis sur qu'il y'en a pas.

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Guest Biobazard
Le stockage naturel du CO2 dans la végétation diminue depuis l'an 2000. Une conséquence probable mais inattendue du réchauffement climatique qui inquiète les scientifiques.

 

Le résultat est aussi surprenant qu'inquiétant: les arbres n'en peuvent plus. Ils n'en veulent plus. Depuis 10 ans, la quantité de carbone naturellement absorbée par la végétation n'aurait cessé de diminuer, expliquent deux chercheurs de l'université du Montana dans une récente publication parue dans Science. Ce sont les analyses de données satellitaires de la NASA qui ont permis aux deux auteurs d'arriver à cette conclusion.

 

Une étude similaire effectuée en 2003 avait pourtant montré qu'entre 1982 et 1999, le réchauffement climatique avait contribué à un meilleur piégeage du dioxyde de carbone atmosphérique par les plantes. Les conditions climatiques favorisaient la croissance des végétaux qui, en poussant, absorbaient du dioxyde de carbone. Beaucoup de dioxyde de carbone.

 

Les végétaux contiennent en effet des substances (la plus connue étant la chlorophylle) qui leur permettent de capter le carbone du CO2 et de rejeter le dioxygène restant en utilisant l'énergie lumineuse. C'est cette «respiration à l'envers» qui permet à ces organismes de créer les chaînes carbonées indispensables à leur développement.

 

 

550 millions de tonnes de carbone en moins de captées

 

Mais depuis les années 2000, l'Australie, l'Amérique du Sud et l'Afrique ont connu de terribles sécheresses. Dans ces zones, 70% de la végétation a absorbé moins de carbone que d'ordinaire entre 2000 et 2009. Heureusement, cette baisse vertigineuse a été en partie compensée par le phénomène inverse dans l'hémisphère nord où près des deux tiers des végétaux ont continué à piéger un peu plus de carbone chaque année. Toutefois, le bilan reste négatif: en 10 ans, ce seraient environ 550 millions de tonnes de carbone qui n'auraient pas été captées.

 

Les auteurs ne veulent toutefois pas dramatiser. «Il faut continuer à surveiller le piégeage de manière continue afin de déterminer si cette variation est décennale ou bien s'il s'agit d'un point de basculement pour la séquestration terrestre naturelle provoquée par le changement climatique», écrivent-ils.

 

En 2007, l'humanité a émis dans l'atmosphère environ 7,9 milliards de tonnes équivalent carbone de CO2. Ce chiffre augmente tous les ans. Si les puits de carbone naturels commencent parallèlement à s'essouffler, cela pourrait bien accélérer le réchauffement de la planète. Ce qui augmenterait les sécheresses, réduisant ainsi encore un peu plus le piégeage végétal: un exemple-type de ce que l'on appelle une rétroaction positive. Ou plus simplement, un cercle vicieux.

 

 

Par Tristan Vey

Journaliste web, lefigaro.fr

 

 

Faut les comprendre les amis végétaux, l'offre en CO2 est devenue tellement importante de nos jours, qu'ils en ont marre d'en consommer matin et soir (surtout si c'est pour (re)jeter le surplus à la poubelle après).

Augmentons la demande et le marché s'équilibrera de lui même et naturellement.

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Je ne comprends pas que vous preniez un sujet aussi sérieux à la légère.

 

Les maladies pulmonaires se multiplient à un rythme effréné. Le nombre d'enfants asthmatiques doublent presque chaque année;Si l'air est impropre aux humains , il l'est pour tout le reste: règle animal et végétal.

 

Vraiment: on prend la terre pour une poubelle

sacré Bordel.....comme le dit la chanson

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Guest Biobazard
Je ne comprends pas que vous preniez un sujet aussi sérieux à la légère.

 

Je ne prends pas du tout ce problème à la légère :confused: :) ... mais je t'avouerais que sur un problème aussi complexe, je n'ai pas les compétences nécessaires ne serait-ce que pour proposer une seule mesure crédible et réaliste et à court terme.

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Oh il y a de petites habitudes à prendre pour chacun d'entre nous et qui au total font une différence:

Avoir le système d'échapppement de la voiture toujours en ordre; ne pas se servir inutilement d'une voiture; éviter le chauffage au bois; éviter tout ce qui est en bombonne comme les laques à cheveux; planter des arbres; avoir des plantes ...........

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Tu copies n'importe quoi Ladoz.

Au fait!il ya des arbres là où

tu habites??Si c'est Géryville,

je suis sur qu'il y'en a pas.

 

Mr Ladoz vit en .......Algérie autrement il serait un "immense" hypocrite eu égard à ses écrits . :mdr: :mdr:

Faut suivre Mr Marcel !!

Le Topic a pour objet de rappeler qu'on vit sur une ........... planète et que si cette planète "explosait" d'une façon ou d'une autre , nos nations (et pour certains leurs tribus et 3arouch) n'iront nulle part ailleurs que dans le cimetière inter galactique :rocket::rocket:

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Guest Biobazard
Oh il y a de petites habitudes à prendre pour chacun d'entre nous et qui au total font une différence:

Avoir le système d'échapppement de la voiture toujours en ordre; ne pas se servir inutilement d'une voiture; éviter le chauffage au bois; éviter tout ce qui est en bombonne comme les laques à cheveux; planter des arbres; avoir des plantes ...........

 

C'est très louable mais je suis persuadé que pour "sauver" la planète, il faudra obligatoirement que l'homme change radicalement son mode de vie et de consommation et ça c'est pas demain la veille que les gens, les entreprises et les gouvernements vont faire ce choix.

Les gestes écolos du quotidien ne tiennent pas sur la balance devant la pollution des industries, des avions et les catastrophes écologiques cycliques qu'on a l'habitude de voir.

Pour moi, pour sauver la planète, il faut que la décision soit prise à de très hauts échelons et non pas pas le simple citoyen.

 

Et ce n'est pas pour toute de suite car les pays développés qui restent les plus gros pollueurs ne vont pas abandonner leurs avantages (sans oublier la pression de leurs salariés qui leurs réclament du salaire et des avantages) pour le bien être de la planète ... et les pays émergents qui vont rejoindre le cercle des pollueurs, non plus, une fois qu'ils auront gouté aux joies de la croissance ... une croissance de laquelle ils ont été privés bien bien longtemps.

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