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Un fils gay


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Guest Wipet

Je sais pas en fait.

 

Peut-être que je serais déçue. Peut-être pas.

 

Je parlerais avec lui, pour savoir ce qu'il vit, ce qu'il ressent, comment il voit les choses.

 

Et puis j'imagine qu'une mère peut ressentir son enfant. Son bonheur, sa détresse.

 

Je sais pas. On verra le jour J :D

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@Hurlevent: le quel de nous deux dit vrai?

 

anticonformiste: je ne parle pas a ceux qui insulte une religion, peu importe la quelle. donc, désolé de t'ignorer.

 

Risk: je n'en sais strictment rien. Cette question ne peut pas avoir une réponse valable de la part de ceux qui ont été enregimentés dans une religion dès la naissance comme c'est mon cas. On est biaisé au départ.

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Guest Wipet

C'est pas parce qu'on t'inculque des valeurs "religieuses", on qu'on t'imprègne d'une religion que ça fait de toi quelqu'un de "biaisé".

 

Faut comprendre qu'en plus de ce qu'on te donne, t'es quand même censé réfléchir et remettre les choses en question.

 

En gros, faut être convaincu. Une religion c'est pas une tâche de naissance. C'est une attitude, une philosophie.

 

Suivre un chemin qu'on a fabriqué pour toi comme un mouton, ça c'est biaisé. Et pas le fait qu'on te l'aiT fabriqué.

 

Bon je sais pas si c'est clair.

 

Hurlevent: Je suis souvent d'accord avec toi. Mais des fois, t'as tendance à stigmatiser les musulmans. "Les musulmans sont", "les musulmans croient". Faut pas généraliser comme ça.

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Guest mackiavelik

les enfants ayant vécu une vie normale, sans traumatismes ou dans un environnement adéquat ont beaucoup moins de chances de devenir homosexuels en grandissant

 

on ne nait pas homosexuels mais on le devient donc si mon enfant le devient, je dois l'accepter puisque ça serait de ma faute!

 

c'est une maladie? qui ne se guérit pas? je ne pense pas mais la nature humaine fait que pour avoir des enfants et avoir existé...il y a eu un homme et un femme:D

 

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Guest Wipet

c'est une maladie? qui ne se guérit pas? je ne pense pas mais la nature humaine fait que pour avoir des enfants et avoir existé...il y a eu un homme et un femme:D

 

 

Fertiles.

 

Ça n'a pas empêché quelques personnes d'êtres stériles.

 

Je sais pas si c'est un bon exemple mais bon. :56:

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Guest mackiavelik
Fertiles.

 

Ça n'a pas empêché quelques personnes d'êtres stériles.

 

Je sais pas si c'est un bon exemple mais bon. :56:

 

non ce n'est pas le bon exemple!:D

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les enfants ayant vécu une vie normale, sans traumatismes ou dans un environnement adéquat ont beaucoup moins de chances de devenir homosexuels en grandissant

 

on ne nait pas homosexuels mais on le devient donc si mon enfant le devient, je dois l'accepter puisque ça serait de ma faute!

 

c'est une maladie? qui ne se guérit pas? je ne pense pas mais la nature humaine fait que pour avoir des enfants et avoir existé...il y a eu un homme et un femme:D

 

 

J'ai des homosexuels dans mon entourage, ils ont eu une vie "normale", pour eux c'est aussi évident que le fait d'être hétéro pour toi, maintenant suivant le contexte, ils s'accepteront facilement ou non.

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Guest mackiavelik
Tant de certitudes :)

 

en tout cas,il y a eu des études qui prouvent qu'il y a plus de chances de devenir homosexuels en ayant eu des traumatismes à l'enfance ou avoir vécu dans un environnement''inadéquat''

 

ces études, on les étouffe puisque soit le lobby homo est trés puissant, soit pour ne pas faire vivre l'enfer à ceux qui sont homosexuels

 

Une étude universitaire suggère que des enfants ayant subi des abus sexuels ou des violences sont trois fois plus nombreux à devenir gay ou bi. Tollé au sein de la communauté LGBT néo-zélandaise.

 

 

C'est en décortiquant les données recueillies par une enquête nationale sur la santé mentale que la professeur Elisabeth Wells de l'Université d'Otago, à Christchurch, affirme être tombée «par hasard» sur ces chiffres troublants: 15% des personnes ayant été victimes d'abus sexuels ou de violences...

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Guest mackiavelik
J'ai des homosexuels dans mon entourage, ils ont eu une vie "normale", pour eux c'est aussi évident que le fait d'être hétéro pour toi, maintenant suivant le contexte, ils s'accepteront facilement ou non.

 

la norme change d'une personne à une autre mais je parle de celle de la majorité!!!!!!!!!!!!!

je ne veux pas comparer les homos aux pédophiles , loin de la mais cette déviance ne tient pas du hasard, ça vient d'une enfance ''anormale''

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Guest Wipet

Une étude universitaire suggère que des enfants ayant subi des abus sexuels ou des violences sont trois fois plus nombreux à devenir gay ou bi. Tollé au sein de la communauté LGBT néo-zélandaise.

 

C'est en décortiquant les données recueillies par une enquête nationale sur la santé mentale que la professeur Elisabeth Wells de l'Université d'Otago, à Christchurch, affirme être tombée «par hasard» sur ces chiffres troublants: 15% des personnes ayant été victimes d'abus sexuels ou de violences, ou en ayant été témoins, se déclarent aujourd'hui homos ou bisexuels. Seuls 5% des répondants se définissant comme hétérosexuels rapportent de tels faits, selon l'analyse des chiffres récoltés en 2003-2004 auprès de 13 000 personnes. «Il est possible que l'agression sexuelle mènent les gens à envisager d'avoir des relations sexuelles avec des personnes du même sexe», a suggéré la chercheuse dans les colonnes de «The Press».

 

Méthodes simplistes

 

De manière assez prévisible, le rapport a déclenché un feu nourri de la part des organismes LGBT néo-zélandais. Ils mettent notamment en doute les méthodes «simplistes» suivies par la chercheuse et la fiabilité de l'échantillon étudié. En l'occurrence, moins de 2% des personnes ayant répondu au questionnaire de 2003-2004 s'étaient alors déclarés comme autre chose qu'hétérosexuelles, et à peine plus de 1% s'étaient reconnues comme «gay» ou «lesbienne».

 

La New Zealand Aids Foundation a décrit les conclusions de la Professeure Wells comme «dangereuses pour la perception de l'homosexualité dans le public», tandis que Tony Simpson, un porte-parole de l'association LGBT Rainbow Group, fustigeait une étude confortant ceux qui, au sein de la droite religieuse, «se sont convaincus eux-mêmes qu'il y a dans l'homosexualité quelque chose qui peut être guéri.»

 

Pour sa part, la chercheuse s'est défendue de vouloir apporter une réponse définitive à la question de l'origine de l'homosexualité, expliquant avoir publié ses conclusions à la demande de gays et de lesbiennes.

 

SOURCE SUISSE GAY

 

Tu trouves pas que ça fait un peu léger comme étude ?

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