timesmoney 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Déjà rien qu'à la naissance, un bébé de sexe masculin a moins de chance de vivre par rapport à un autre de sexe féminin. ..........c'est ça qui confirme la supériorité de la femme? :rolleyes: Citer Link to post Share on other sites
ytreza 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 oooooooooooooo Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 ..........c'est ça qui confirme la supériorité de la femme? :rolleyes: Comment es-tu arrivé à faire ce lien? Citer Link to post Share on other sites
echinococcus 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Déjà rien qu'à la naissance, un bébé de sexe masculin a moins de chance de vivre par rapport à un autre de sexe féminin. Qu'est-ce qui vous fait dire ça?? :confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest kastor Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Qu'est-ce qui vous fait dire ça?? :confused: je me souviens de toi echino ! mais tu n a pas oublié ton mot de passe ? :D ça va? Citer Link to post Share on other sites
Guest Biobazard Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Il existe des hommes fragiles et qui pleurnichent aussi, des fils à maman.............sans besoin de statistiques ou d'études, j'en connais beaucoup dans les parages......... Salut, Pour rebondir par rapport à la sexualité (:04:), je dirais que de façon général, c'est la société qui fragilise l'homme en lui imposant le statut de "mâle fort et dominant", statut qu'il doit assumer (malgré lui des fois) et qui le met tellement sous pression que ça fait de lui un bon candidat pour "le craquage psychologique". En gros, et dans beaucoup de cas, cette fragilisation n'est pas inné mais acquise (transmise par le milieu). Citer Link to post Share on other sites
Licorne 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 pourquoi vouloir confirmer une supériorité, on n'est pas des moyennes de stats, certaines femmes peuvent mettre KO un homme, certains homme peuvent mieux supporter la douleur qu'une femme, mais à la fin on n'est pas représentatifs de notre genre, juste de nous même. Si effectivement il faut passer par ce débat pour remettre au même pied d'égalité l'homme et la femme devant la loi...je m'incline Mais si chacun parle de ce qu'il sait et de ce qu'il a constaté en toute franchise et en toute sincérité ,nous pourrons faire un début de stats sur FA!:mdr: Citer Link to post Share on other sites
echinococcus 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Salut, Pour rebondir par rapport à la sexualité (:04:), je dirais que de façon général, c'est la société qui fragilise l'homme en lui imposant le statut de "mâle fort et dominant", statut qu'il doit assumer (malgré lui des fois) et qui le met tellement sous pression que ça fait de lui un bon candidat pour "le craquage psychologique". En gros, et dans beaucoup de cas, cette fragilisation n'est pas inné mais acquise (transmise par le milieu). Ahh parceque l'homme s'il s'avère être faible ça doit sûrement être acquis et dû milieu environnant alors que la femme elle est faible innée :mdr:on aura tout entendu ! Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Le match filles-garçons Pourquoi ils finissent par l'emporter «J 'ai trois garçons de 8 à 14 ans et une fille de 11 ans que j'élève seule. Mon fils aîné ressemble à un petit caïd, uniquement parce qu'il fait partie d'un groupe d'enfants de son âge. Mon fils de 8 ans me fait encore des câlins, mais il commence à s'éloigner de moi. Et c'est ce qui me trouble ; je sais que mes garçons feront ce qu'ils doivent faire, mais j'ai peur pour eux. Je n'ai pas autant peur pour ma fille » , confie cette mère, divorcée. « Mes parents et mes professeurs ne comprennent rien à ce que je suis. Ils m'ont mis dans une petite boîte avec une étiquette "C'est un garçon. Soit il deviendra président, soit il tournera mal" » , dit Laurent, 14 ans. Des propos comme ceux-ci, Michael Gurian en entend par centaines depuis près de vingt ans. Psychothérapeute, cet Américain s'est bâti une coquette fortune (1 million de livres vendus dans le monde, douze traductions) en scandant un message qui pourrait faire sourire s'il n'avait à ce point convaincu des foules de parents : vos garçons ne sont pas des enfants comme les autres, ils sont agressifs, dysorthographiques, indisciplinés, bagarreurs, de santé fragile, plaintifs. En conséquence, il faudra les éduquer en sachant tout à la fois canaliser leur violence, stimuler leur vocabulaire, remédier à leur échec scolaire, solliciter l'expression de leurs émotions. Faute de quoi... Le psychothérapeute, père de deux filles - « mais j'étais moi-même un garçon », se défend-il -, a un temps choqué ses compatriotes, qui aimaient croire que l'égalité entre les sexes était une donnée de base de l'éducation contemporaine, voire un progrès. Mais Michael Gurian a trouvé l'astuce pour les ébranler : « J'ai commencé à montrer dans mes conférences des photos d'IRM. Par un effet de coloration de l'hémisphère, on constate les différences criantes de fonctionnement entre le cerveau d'un garçon et celui d'une fille. Les parents regardent ces photos et prennent aussitôt rendez-vous à mon cabinet. » Débordé par ce succès, Michael Gurian a ouvert en Californie le Gurian Institute, formé des thérapeutes par dizaines et lui-même sillonne l'Amérique, prêchant devant des salles archi-combles qu'élever des garçons exige des compétences particulières. Son dernier livre, exposant sa méthode à l'efficacité tout américaine, arrive en France : « Ce qu'il y a de formidable chez les garçons ; mieux les comprendre pour mieux les élever » (Albin Michel). Michael Gurian n'a pas trop de mal à égrener des statistiques accablantes impliquant des garçons. Elles sont légion. Ainsi, 85,99 % des crimes et délits commis en France le sont par des hommes. Et cela commence tôt, puisque, en l'an 2000, 555 mineurs furent condamnés pour crimes, contre 25 mineures. 34 022 garçons furent condamnés pour des délits, contre 3 244 filles. « La transgression de la norme et la prise de risques demeurent des traits constitutifs de la façon dont les garçons se croient obligés de construire leur identité sociale : accidents de moto et d'auto, petite délinquance, toxicomanie, excès alcooliques, bagarres jalonnent plus fréquemment les itinéraires de la jeunesse masculine » , confirment les sociologues Roger Establet et Christian Baudelot dans « Allez les filles ! » (Seuil). De quoi s'inquiéter vraiment... Ajoutons à cela que les garçons ne sont pas seulement volontiers agressifs, voire plus fréquemment délinquants, ils sont surtout en général de bien piteux élèves. A l'école, ils ont en quelques décennies perdu pied, écrasés par le succès des filles, qui affichent leur revanche fougueusement conquise. Un garçon sur trois n'atteindra pas la classe de quatrième, une fille sur cinq seulement. Sur 100 enfants, 42 filles ont leur bac pour 32 garçons. Pour 100 garçons arrivés en quatrième sans avoir redoublé, on recense 116 filles (enquête Education nationale, 2001). Aux tests de détection de l'illettrisme, qui, depuis la suppression du service militaire obligatoire, ont lieu lors des journées d'appel de préparation à la défense, on observe que, parmi les jeunes qui font entre 16 et 20 fautes, 85 % sont des garçons. Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 A lire ces chiffres, on en vient à se demander si les garçons ne seraient pas subrepticement devenus le vrai sexe faible, s'ils ne se sont pas laissé écraser par les filles, qui, elles, ont vite su rattraper le temps perdu. 624 étudiantes en France en 1900, plus d'un demi-million aujourd'hui, et environ 80 000 filles de plus à l'université que de garçons. Peut-on rassurer ces messieurs en leur accordant que, à défaut d'avoir de bonnes notes à l'école, il leur reste la force physique ? Ne sont-ils pas plus vaillants, plus résistants aux infections microbiennes, plus musclés, sachant construire des cabanes dans les arbres et tirer des fléchettes dans le coeur de la cible ? Cette idée répandue n'est pas tout à fait juste. Les garçons sont des enfants plus fragiles, plus malades, plus vulnérables que leurs soeurs. « Dans la morbidité, on trouve 70 garçons pour 30 filles , remarque Aldo Naouri, pédiatre renommé de la capitale. Aucune raison physiologique ne permet d'expliquer ces faiblesses particulières ; cependant, je remarque dans ma pratique clinique qu'ils sont plus fréquemment malades. Et en cas de maladies graves, les filles s'en tirent mieux. » Aldo Naouri est loin d'être le seul praticien à s'étonner de cette faiblesse masculine. Dans la revue scientifique British Medical Journal (décembre 2000), le psychiatre pour enfants Sebastian Kraemer dresse, sous le titre « La fragilité masculine », un constat sanitaire effarant. « A la conception, il y a plus d'embryons mâles que femelles. Mais l'embryon mâle est plus vulnérable. A terme, pour 120 conceptions mâles ne naîtront que 105 garçons. A la naissance, poursuit l'auteur, une fille est l'équivalent physiologique d'un garçon de 4 à 6 semaines. Les garçons seront trois à quatre fois plus sujets à l'autisme, à l'hyperactivité, au syndrome de Tourette, aux retards de lecture . » Non contents d'être désormais le sexe faible à l'école, les garçons seraient également le sexe fragile, en tout cas le plus vulnérable. Et, de surcroît, s'il fallait en ajouter à leur panoplie, ils appartiennent aussi au sexe muet, incapable de mettre en mots leurs émotions, leurs blessures, leurs peines d'enfant. « Lorsque des petites filles entrent dans mon cabinet, elles s'installent dans le fauteuil et entament une conversation , raconte Nicole Fabre, psychanalyste pour enfants, auteur de "J'aime pas me séparer" (Albin Michel), tandis que les garçons pénètrent en trombe, grimpent sur le tabouret, renversent le panier à peluches, commencent un jeu allongés par terre, en général sans me dire un mot. Ils sont d'emblée dans l'action et souffrent plus de problèmes de langage. » Un handicap constitutionnel que personne n'explique, mais qui s'aggravera à l'adolescence. « Les garçons me paraissent plus fragilisés aujourd'hui, car notre société valorise plus que jamais les échanges verbaux, tandis qu'eux sont dans l'échange physique, dans le souci de se mesurer, de se réassurer » , observe Patrice Huerre, psychiatre pour adolescents et directeur médical de la clinique Georges- Heuyer. Les garçons expriment en coups de poing et silences butés ce que leurs soeurs verbalisent. La comptabilité de leurs faiblesses ainsi dressée, il faut chercher des explications à cette mystérieuse fragilité innée. Pourquoi les garçons cumulent-ils faiblesses scolaires, retards de lecture et troubles orthographiques ? Pourquoi chahutent-ils en cours, tandis que les filles s'appliquent ? Pourquoi leur enfance paraît-elle, paradoxalement, plus délicate à conduire ? Du côté de la biologie, deux écoles d'explication s'affrontent. Sommairement, disons que quelques chercheurs, américains souvent, s'échinent à démontrer que la différence des sexes se manifeste dans le cerveau, qui obéit, docile, à des impératifs hormonaux. En bref, citons l'ouvrage de Doreen Kimura, professeur de psychologie à la Simon Fraser University, « Cerveau d'homme, cerveau de femme » (Odile Jacob) : « Le raisonnement mathématique est lié à la concentration de testostérone chez l'homme. Dans les activités qui avantagent la femme, nous savons que les fluctuations des concentrations d'oestrogènes sont associées avec des modifications de l'aisance verbale, de la rapidité de perception et de la dextérité manuelle. » Les hommes calculent et marchent sur la Lune. Les femmes bavardent et brodent au point de croix. Et c'est inscrit dans le cerveau, donc pas la peine de lutter contre cette exaltante répartition des compétences. Voilà pourquoi les garçons sont doués pour la bagarre et les fléchettes, et moins bons en concours de rédaction. Cela pourrait être limpide, sauf que ce primat de la biologie est ardemment réfuté en France. N'en déplaise à Michael Gurian et à ses photos comparatives. Citer Link to post Share on other sites
Harf Djar 10 Posted August 27, 2010 Author Partager Posted August 27, 2010 ..........c'est ça qui confirme la supériorité de la femme? :rolleyes: Où tu vois qu'il est question de supériorité ? La grande confusion des concepts fait que le débat balance dans tous les sens, c'est pour ça que ça finit dans la confusion et chacun reste sur son opinion. On parle de supériorité ici ? Dès qu'on parle d'un homme, il faut que tout tourne autour de sa supériorité, et de l'infériorité de la femme, sinon y a un problème ? On va faire un sujet sur la bêtise pour voir les résultats et bien s'amuser !. Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 « Aucune différence significative entre les sexes ne ressort de la grande majorité des études d'imagerie qui, depuis dix ans, analysent l'activité du cerveau dans les fonctions cognitives supérieures » , tranche Catherine Vidal, neurobiologiste, directrice de recherche à l'Institut Pasteur ( La Recherche , hors-série n°6). Entre le cerveau décortiqué d'un homme et celui disséqué d'une femme, rien qui aide à comprendre pourquoi les femmes parlent tandis que les hommes plantent des clous, pourquoi les garçons s'écorchent les genoux tandis que les filles font des entrechats et lisent, à voix basse, les récits édifiants de la comtesse de Ségur. Rien, car l'explication est ailleurs. Du côté de ce que la sociologie nomme les « rôles sociaux du sexe ». En gros, selon les normes implicitement ou expressément prescrites par la société, les parents, les enseignants s'adressent à chacun en tant que garçon ou en tant que fille. Une attente à laquelle, soucieux de s'intégrer, les enfants se conforment peu à peu. Ainsi, tout s'éclaire. Si les garçons sont des élèves médiocres tandis que les filles se montrent appliquées, si les garçons se bagarrent et fument en cachette tandis que les filles se confient en sautant à l'élastique leurs premières peines de coeur, c'est parce que ces enfants s'adaptent intuitivement à un modèle, extrêmement prégnant. « Je me souviens de ces deux enfants rencontrés chez des amis , raconte Nicole Fabre. La fillette se rendit aux toilettes et y passa un temps fou à se débrouiller de sa jupe, de ses collants, tandis que son petit camarade s'impatientait devant la porte. Lorsqu'elle sortit enfin, grommelant que c'était terrible d'être une fille avec tous ces habits compliqués, le garçon la toisa : "Oui, mais toi, tu ne devras pas faire de grandes études, alors te plains pas." » L'éducation selon le sexe commence à la maison, bien que les parents s'exclament qu'ils n'ont cure de cette différence anatomique. « On formate très tôt filles et garçons. Cela s'observe sur les allées et venues à table, sur les rangements des jouets, sur la propreté, sur les horaires de chemin vers l'école » , dit Françoise Vouillot, maître de conférences en psychologie à l'Inetop-CNAM. Un modelage selon le sexe maintes fois vérifié. Lorsqu'on demande aux parents de citer « les quatre qualités qui paraissent le plus souhaitable chez un garçon ou chez une fille » , les réponses tombent. Archétypales. « Pour les garçons, les parents évoquent le dynamisme, la débrouillardise, l'ambition, le sens de l'effort. Pour les filles, le sens de la famille, le charme et le sens moral » , lit-on dans Economie et Statistique (n° 293). Tout est joué. Ce chapelet de qualités contredit, de prime abord, l'idée d'une faiblesse masculine. Et, de fait, la plus saillante vulnérabilité qui apparaît chez les garçons n'a qu'un temps. Si les garçons démarrent dans les premières années lentement, c'est en fait pour mieux se rattraper et tout rafler en entrant dans l'âge adulte. « De nombreux travaux attestent des différences sensibles de socialisation, dès les premières années de la vie, selon que le bébé se trouve être un garçon ou une fille , démontre ainsi Marie Duru-Bellat, sociologue, professeur à l'université de Dijon et auteur de "L'école des filles" (L'Harmattan). Les pleurs d'un bébé sont interprétés comme de la colère si c'est un garçon, de la peur si c'est une fille. On parle plus, on reprend plus les bruits émis par l'enfant lorsqu'il s'agit d'une fille, par contre les garçons sont plus stimulés sur le plan moteur. D'une manière générale, dans la vie quotidienne de la famille, mille et un détails vont faire la différence. » En débarquant à l'école, les rôles sont connus, ils seront fidèlement joués. Les garçons - pardon de cette généralisation - crient, sont tapageurs et dissipés, peinent à lire, tiennent salement leur cahier. « Ils ont du mal à s'adapter, car ils paient le prix de l'enfance des chefs. Ils débarquent à l'école, petits rois dont on attend qu'ils se rebellent. Les filles arrivent en ayant déjà parfaitement intégré des notions d'ordre, de règle, d'effort, d'application » , dit Annette Jarlegan, maître de conférences en sciences de l'éducation à Nancy-II. Alors, sages enfants, elles s'échinent, s'appliquent, et du coup réussissent. Pendant ce temps, les garçons s'amusent. Au désespoir de leurs enseignants, qui misent davantage sur eux pour réussir que sur les filles. Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Annette Jarlegan a observé, tapie dans le fond d'une classe, les enseignants de 22 classes de CE2 dans l'académie de Dijon. « Les instituteurs s'adressent plus aux garçons, les sollicitent plus. Les interactions verbales entre maître et élève privilégient nettement les garçons. Ce pourrait être une piste permettant d'expliquer pourquoi les garçons deviennent peu à peu meilleurs scolairement. » Comment les enseignants, largement féminins, justifient-ils ces différences de traitement selon le sexe ? « En Grande-Bretagne, on les a filmés, puis on leur a diffusé la bande. Ils sont en général extrêmement surpris, tout à fait culpabilisés. Ils retournent en cours, font des efforts pendant vingt minutes, puis reprennent les vieilles habitudes » , répond la chercheuse. « On retrouve finalement entre garçon et fille, à l'école, les mêmes stéréotypes qu'entre milieu social ouvrier et cadre supérieur , note Annette Jarlegan. Les filles sont acharnées, courageuses, elles arrivent à l'effort. Ce qu'on dit par ailleurs des classes populaires. » Les garçons savent, en leur for intérieur, que le monde leur appartient, qu'ils peuvent s'amuser dans le primaire, chahuter au collège, puisque les meilleures filières les attendent. Les filles s'en seront d'elles-mêmes massivement écartées. « Les filles commencent très tôt à se sous-estimer , reprend l'universitaire, tandis que les garçons, au contraire, se surestiment. » Elle a ainsi demandé à des élèves de CE2 de deviner la note obtenue à un devoir de mathématiques. Les garçons, systématiquement, s'attribuent plus de points qu'ils n'en ont reçu. « C'est cette logique qui les fera plus tard choisir les meilleures formations , analyse Roger Establet, professeur de sociologie à l'université de Provence, tandis que les filles s'en penseront incapables et choisiront des orientations moins prestigieuses. » Les parents abondent dans ce sens. Toujours dans le questionnaire mené par la revue Economie et Statistique , il leur est demandé d'anticiper la capacité de leur enfant à obtenir un baccalauréat scientifique. Les parents imaginent que 70 % de leurs fils en seront capables, contre seulement 45 % de leurs filles. Ces projets de vie, d'emblée exigeants ou modestes, ne se limitent pas aux ambitions scolaires. A la question « Quel genre de personne voudriez-vous que devienne votre fils, votre fille ? » , les réponses « en termes de carrière ou de succès professionnel sont beaucoup plus fréquentes quand il s'agit de garçons ». « La réussite est attendue du côté des garçons » , commente Françoise Vouillot. La faiblesse des garçons n'est qu'un leurre. Un petit ralentissement au démarrage, avant de se rattraper au sprint. Sexe faible, mais pas longtemps. Par Jean Laplanche - Le Point. Citer Link to post Share on other sites
Guest Biobazard Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Ahh parceque l'homme s'il s'avère être faible ça doit sûrement être acquis et dû milieu environnant alors que la femme elle est faible innée :mdr:on aura tout entendu ! Bien que tu caricature mes propos, je ne vais pas jouer l'hypocrite et je vais te donner mon opinion : "Je pense que la femme est globalement plus fragile que l'homme et qu'elle doit fournir plus d'efforts pour compenser cette différence". C'est mon opinion et elle vaut ce qu'elle vaut Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Qu'est-ce qui vous fait dire ça?? :confused: Dans l'article que j'ai posté, la partie en gras répond normalement à ta question. Citer Link to post Share on other sites
jiraya123 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 oui :D:D:D Citer Link to post Share on other sites
Harf Djar 10 Posted August 27, 2010 Author Partager Posted August 27, 2010 slt les homme sont plus fort que les femme car l'homme se réfléchit avec son cerveau ils ne laisse jamais les sentiments entrees la dedans par contre les femmes laisse ses sentiments jouer et influences sur la prise de decision errejalou kaouamouna 3la nissa :mdr::mdr:saha ftourkom Tu es sûr que l'homme réfléchit avec son cerveau ? Citer Link to post Share on other sites
Kael` 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 L'homme vit avec sa raison. La femme vit avec son coeur. En conclusion, l'homme est moins fragile que la femme. Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 L'homme vit avec sa raison. La femme vit avec son coeur. En conclusion, l'homme est moins fragile que la femme. Kael, il faut voir tout autour pour constater la réalité. Un exemple me vient à l'esprit quand j'ai vu ton message. Une fille de ton âge est plus responsable qu'un garçon ayant toujours le même âge. Les enfants qui perdent une mère ou un père trouvent facilement une nouvelle mère dans cette soeur encore jeune alors qu'ils peinent à trouver un nouveau père en ce frère aussi jeune (le contraire est rare). La fille accepte d'endurer contrairement au garçon et c'est tout à son honneur. Il faut savoir avouer et dire les choses comme elles le sont Kael. Réfléchis bien à ce que je viens de te dire. Citer Link to post Share on other sites
ytreza 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 oooooooooooooo Citer Link to post Share on other sites
Kael` 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 "Les hommes sont Qawwamounes sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde aux uns sur les autres, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à Allah puis à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah..." (4:34). L'homme est plus responsable, et moins fragile que la femme. Toute les cultures, toute les religions, et toute les civilisations le prouvent. Citer Link to post Share on other sites
Jasmine77 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Mais je ne pensais pas que le débat allait tourner comme ça, quelle naïveté de ma part. Mais je ne mens pas sur "fragile", C'est une chose connue depuis longtemps, même les mères et les grand-mères le savent. J'ai pas de source (un lien tu veux dire ?). Je peux juste dire sur quel plan et tu pourras chercher après. Mais j'aime bien les démonstrations que font certains, une ligne de certitude et qui finit par "donc", pour prouver que leur opinion est La Vérité ! Les mamans préfèrent leurs fils à leurs filles, ouais c'est connu... Je sais pas si c'est "chimique" ou la conséquence d'un trouble affectif ??!!! Citer Link to post Share on other sites
Ouragan 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 "Les hommes sont Qawwamounes sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde aux uns sur les autres, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à Allah puis à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah..." (4:34). L'homme est plus responsable, et moins fragile que la femme. Toute les cultures, toute les religions, et toute les civilisations le prouvent. Je fais beaucoup plus confiance à mes soeurs qu'à mon frère, elles sont plus responsables et se plaignent moins. La religion ne dit rien de ce qui va à l'encontre de ce fait, après, la société n'est pas un exemple à suivre. Citer Link to post Share on other sites
Victime 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 ils sont égaux ni plus forts ni plus faibles, indispensables et complémentaires l'un envers l'autre. Citer Link to post Share on other sites
Kael` 10 Posted August 27, 2010 Partager Posted August 27, 2010 Je fais beaucoup plus confiance à mes soeurs qu'à mon frère, elles sont plus responsables et se plaignent moins. La religion ne dit rien de ce qui va à l'encontre de ce fait, après, la société n'est pas un exemple à suivre. Je viens tout juste de te copié un verset. Citer Link to post Share on other sites
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