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Terrorisme en algérie


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=djallalnamri;1165458]quelqu'un a fait cette remarque une fois au sujet du "terrorisme islamiste" en Kabylie à savoir qu'il ne s'est jamais attaqué aux "églises" qui s'y trouvent

Les églises de kabylie sont très discrète, et se trouvent dans les centres-villes.

Le terrorisme islamiste opère dans les routes traversants les maquis: Route de Oued Aissi-Takhoukhte- Iwadiyen, et celle de Tizi-n'kouilal, de Zaknoune- at wacif, de Yakouren-Addekar, de Houra-chellata et encore il ne portent pas vraiment ateinte aux habitants car les térros savent qu'ils n'ont pas intérêt à trop chercher ces montagnards hargneux. Ils ne s'attaquent qu'aux militaires. Et vous êtes au courant des nombreux citoyens enlevés par eux puis relâchés après ultimatum de ces m^me montagnards

... curieux de la part de "musulmans" ... qui tuent leurs frères musulmans et épargnent leurs ennemis "chrétiens" ...

bien sur comme moi je ne crois pas au "terrorisme islamiste" ... je ne me suis pas attardé dessus ...

Contrairement aux autres régions du pays qui ont toutes plus ou moins financé et aidé les terroristes, croyant à l'avènement du royaume juste d'Allah que Abassi wa mochtaqatahi promettaient aux algériens déjà dégoutés du FLN, la Kabylie n'a jamais financé le terrorisme islamiste. Et je ne vous le fait pas dire: c'est curieux que le terrorisme ne soit que "risiduel" ailleurs et toujours présent en Kabylie. c'est voulu.

 

en rouge

__________________

La situation est grave, mais pas désespérée

 

Ce post était dans l'autre topic, QARARTOU qu'il doit être ici

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Roh telaabb yakhi djeyahhh!

 

pas la c.i.a. quand même (ils ne sont pas plus malins que le dernier flic de quartier d’Algérie )... pas les rednecks ... mais les juifs si ...!
Ktaaletel'houmm sorrat'houmm ya figourett HaschSi(6)cettes?:mdr:Tu defends les importateurs de l'herbe de sidek?:mdr:
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Donc t'es pas obligé de comprendre!!!Fa est la pour t'offrir...un lieu de mokhaznisation avancée.:mdr:

 

là je commence à comprendre ... lyautey ... makhzan .... le maroc????!!!:crazy:

 

là je suis de nouveau largué ... vraiment ... mais maaliche ... on reprendra cette discussion ... demain ...:D

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Je n'ai rien contre quiconque.

 

là je commence à comprendre ... lyautey ... makhzan .... le maroc????!!!:crazy:

 

là je suis de nouveau largué ... vraiment ... mais maaliche ... on reprendra cette discussion ... demain ...:D

Mais,la politique est autre chose.LARGUE:mdr:,c'est japoni?ouellah oualou ya kho!!!guesra barkk!!!
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Guest chebmourad

si-nistri

 

abu hamza, le prêcheur fondamentaliste en angletterre, à reçu une lettre emanant d'algérie au plus fort des massacres..

Selon le double objectif défini par le DRS, infiltration des réseaux du GIA en algérie, et ceux de l'europe,

 

cette lettre devait heurter la conscience de toutes les têtes pensantes exilés, qui soutenaient jusqu'alors l'action resistante du FIS contre le pouvoir algérien...

 

elle citait les massacres commis au nom de l'islam des "mécréants" qui ont choisi de supporter l'armée..

 

Cette lettre, et c'est là le fait troublant.. mentionna en bas de page la signature du GIA...

 

Abou hamza qui eut vent de cette nouvelle forme de térrorisme, brutal et inhumain (égorgements de bébés, eventrement des femmes enceintes) s'est désolidarisé, séance ténante, et publiquement du FIS et de son bras armé "diabolique" que fût le GIA....

 

l'objectif de "diabolisation" du GIA, qui avait pour but final, la désolidarisation de ses partisans, à travers l'infiltration en son sein, des éléments de l'armée, et autres "boucher auxilliaires", prisonnier, et criminels notoire, a été couronné de succès..

 

si-nistri, bentalah, had chekala, rais, sont autant de villes et villages martyr, qui ont servi de lieu d'experimentation, à "l'action térroriste déguisée": ces massacres se sont inscrit dans la même volonté de diabolisation du GIA....

 

L' AIS est l'exemple le plus pértinent et le plus frappant, corrobant ainsi la thèse du pouvoir térroriste: si le GIA s'est scindé en 2, et a été l'objet d'une guerre intestine entre ses membres, c'est exclusivement du fait de l'armée: le DRS a eclaté le GIA, par des techniques d'infiltration, provocant ainsi dans les rangs des combattants, doutes et suspiscion ... le GIA s'est livré à une véritable épuration de son groupe, la méfiance ambiante à provoqué une serie d'executions sommaires des maquisard soupçonnés de collaboration avec l'armée....

l'AIS est ni plus ni moins qu'une branche armée auxilliaire et factice du FIS, dont les térroristes sont tous, et sans exception, des individus qui n'ont pas de lien direct avec le FIS:

 

qui sont ils?

 

des anciens détenus de droits

des criminels notoires

des partisans du FIS emprisoner aux première heures de la guerre civiles

des violeurs

 

tous ces anciens détenus ont été instrumentalisé par le DRS, et former pour être les futur bourreaux des civils..

tous ces hommes ont été explicitement menacé de mort, en cas de désertions...

 

had chekala, une serie de hameaux situé à relizane, 1000 morts...ce massacre effroyable est l'une des "réalisations" de l'AIS...cette branche armée évoluant dans l'ouest algérien, et l'est...le GIA se concentrant quant lui, exclusivement dans le centre, la mitidja (sidi moussa jusqu'a baraki),à la périphérie de la ceinture d'Alger...

 

le GIA a commis des assassinats au nom de la lutte contre le pouvoir, la majorité des victimes étaient des têtes pensantes algériennes (politicien, journaliste, artistes), le reste etait les représentant de l'état (policier, armée, administration)

 

le GIA n'a jamais commis les massacres de grandes ampleurs

bentalha, had chekala et rais sont du fait de l'armée, et d'ailleur, la chronologie des evenements prouvent qu'aux dates de ces boucheries, le DRS avait complètement infiltré le GIA,

 

svp ouvrez vos yeux et arreter d'être naif, si vous voulez des preuves concretes de l'implication de l'armée dans ces ignominies, les récits des rescapés des massacres, des anciens cadres exilés, des lettres ouvertes, sont autant de pièces à conviction, autant de charge, qui sont disponible...

 

votre islamophobie aveuglante vous empêche seulement de voir l'autre vérité, celle qui dérange, celle qui fait du resistant du FIS, un individu lavé de toute soupçon, oui votre haine de la religion instrumentalisé en Algérie par les hommes vous empêche de croire au scénario, pourtant réel, du pouvoir algérien térroriste, celui qui a délibérement ordonnés à une horde de criminels fraichement sortis de prison d'aller fracasser la tête des bébés (Allah yarhamoum)

 

elle est la vérité, mais encore faut-il vouloir la regarder...

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Ouana ganitt...

 

si-nistri

 

abu hamza, le prêcheur fondamentaliste en angletterre, à reçu une lettre emanant d'algérie au plus fort des massacres..

Selon le double objectif défini par le DRS, infiltration des réseaux du GIA en algérie, et ceux de l'europe,

 

cette lettre devait heurter la conscience de toutes les têtes pensantes exilés, qui soutenaient jusqu'alors l'action resistante du FIS contre le pouvoir algérien...

 

elle citait les massacres commis au nom de l'islam des "mécréants" qui ont choisi de supporter l'armée..

 

Cette lettre, et c'est là le fait troublant.. mentionna en bas de page la signature du GIA...

 

Abou hamza qui eut vent de cette nouvelle forme de térrorisme, brutal et inhumain (égorgements de bébés, eventrement des femmes enceintes) s'est désolidarisé, séance ténante, et publiquement du FIS et de son bras armé "diabolique" que fût le GIA....

 

l'objectif de "diabolisation" du GIA, qui avait pour but final, la désolidarisation de ses partisans, à travers l'infiltration en son sein, des éléments de l'armée, et autres "boucher auxilliaires", prisonnier, et criminels notoire, a été couronné de succès..

 

si-nistri, bentalah, had chekala, rais, sont autant de villes et villages martyr, qui ont servi de lieu d'experimentation, à "l'action térroriste déguisée": ces massacres se sont inscrit dans la même volonté de diabolisation du GIA....

 

L' AIS est l'exemple le plus pértinent et le plus frappant, corrobant ainsi la thèse du pouvoir térroriste: si le GIA s'est scindé en 2, et a été l'objet d'une guerre intestine entre ses membres, c'est exclusivement du fait de l'armée: le DRS a eclaté le GIA, par des techniques d'infiltration, provocant ainsi dans les rangs des combattants, doutes et suspiscion ... le GIA s'est livré à une véritable épuration de son groupe, la méfiance ambiante à provoqué une serie d'executions sommaires des maquisard soupçonnés de collaboration avec l'armée....

l'AIS est ni plus ni moins qu'une branche armée auxilliaire et factice du FIS, dont les térroristes sont tous, et sans exception, des individus qui n'ont pas de lien direct avec le FIS:

 

qui sont ils?

 

des anciens détenus de droits

des criminels notoires

des partisans du FIS emprisoner aux première heures de la guerre civiles

des violeurs

 

tous ces anciens détenus ont été instrumentalisé par le DRS, et former pour être les futur bourreaux des civils..

tous ces hommes ont été explicitement menacé de mort, en cas de désertions...

 

had chekala, une serie de hameaux situé à relizane, 1000 morts...ce massacre effroyable est l'une des "réalisations" de l'AIS...cette branche armée évoluant dans l'ouest algérien, et l'est...le GIA se concentrant quant lui, exclusivement dans le centre, la mitidja (sidi moussa jusqu'a baraki),à la périphérie de la ceinture d'Alger...

 

le GIA a commis des assassinats au nom de la lutte contre le pouvoir, la majorité des victimes étaient des têtes pensantes algériennes (politicien, journaliste, artistes), le reste etait les représentant de l'état (policier, armée, administration)

 

le GIA n'a jamais commis les massacres de grandes ampleurs

bentalha, had chekala et rais sont du fait de l'armée, et d'ailleur, la chronologie des evenements prouvent qu'aux dates de ces boucheries, le DRS avait complètement infiltré le GIA,

 

svp ouvrez vos yeux et arreter d'être naif, si vous voulez des preuves concretes de l'implication de l'armée dans ces ignominies, les récits des rescapés des massacres, des anciens cadres exilés, des lettres ouvertes, sont autant de pièces à conviction, autant de charge, qui sont disponible...

 

votre islamophobie aveuglemente vous empêche seulement de voir l'autre vérité, celle qui dérange, celle qui fait du resistant du FIS, un individu lavé de toute soupçon, oui votre haine de la religion instrumentalisé en Algérie par les hommes vous empêche de croire au scénario, pourtant réel, du pouvoir algérien térroriste, celui qui a délibérement ordonnés à une horde de criminels fraichement sortis de prison d'aller fracasser la tête des bébés (Allah yarhamoum)

 

elle est la vérité, mais encore faut-il vouloir la regarder...

J'ai commis le tremblement de terre de zemmouri en 2003!!!:D
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Guest chebmourad
Oui oui et Katyn c'était les Nazis aussi on la connaît l'histoire ...

 

non des russes, et l'Histoire comme tu dis la dévoilé au grand jour...

 

et inchaAllah qu'elle fasse de même avec ses pourritures du FLN qui a massacré mon peuple

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En juillet 1996, le chef du GIA Djamel Zitouni fut assassiné par une ex-faction du GIA et Antar Zouabri lui succéda, se révélant encore plus sanglant.

Les élections législatives se déroulèrent le 5 juin 1997. Elles furent dominées par le Rassemblement national démocratique (RND), un nouveau parti créé au début 1997 par les défenseurs de Zéroual, qui obtint 156 sièges sur 380, suivi par le MSP (après le changement de nom du Hamas) et le FLN avec plus de 60 sièges chacun. Les analyses de cette élection furent partagées ; la plupart des principaux partis d'opposition se plaignirent, et le succès du tout nouveau RND surprit tout le monde. Le RND, le FLN et le MSP formèrent un gouvernement de coalition, avec Ahmed Ouyahia du RND comme premier ministre. Il y eut des mesures d'assouplissement envers le FIS : Abdelkader Hachani fut libéré, et Abbassi Madani assigné à résidence.

410px-Algerian_massacres_1997-1998.png magnify-clip.png

Massacres de plus de 50 personnes pendant les années 1997 et 1998

 

 

C'est à cette époque qu'apparut un nouveau problème. Au cours du mois d'avril, l'Algérie subit des massacres d'une brutalité et d'une ampleur sans précédent (voir le massacre de Thalit) ; d'autres massacres avaient été commis au cours du conflit, mais toujours à une échelle nettement moindre. Visant particulièrement les villages ou les banlieues sans distinction d'âge et de sexe des victimes, les partisans du GIA tuèrent des dizaines, et parfois même des centaines, de civils à la fois. Ces massacres se poursuivirent jusqu'à la fin 1998, modifiant notablement la situation politique. Le sud et l'est d'Alger, qui avait voté pour le FIS en 1991, furent particulièrement frappés ; les massacres de Rais et de Bentalha choquèrent en particulier les observateurs internationaux. Des femmes enceintes furent éventrées et découpées en tranches, des enfants furent taillés en morceaux ou jetés contre des murs, les membres des hommes furent coupés, dans leur retraite les attaquants enlevèrent des jeunes femmes pour en faire des esclaves sexuelles. Bien que cette citation attribuée à Nesroullah Yous, un survivant de Bentalha, soit peut-être une exagération, elle exprime l'humeur apparente des attaquants :

« nous avons toute la nuit pour violer vos femmes et les enfants, boire votre sang. Même si vous nous échappez aujourd'hui, nous reviendrons demain pour vous finir ! Nous sommes ici pour vous renvoyer à votre Dieu ! »[11

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La responsabilité du GIA dans ces massacres est incontestable. Il revendiqua les massacres de Rais et Bentalha, les qualifiant « d'offrandes à Dieu » et les victimes de défenseurs « impies » des tyrans dans un communiqué de presse. Cette politique de massacres de civils fut l'une des principales raisons de la scission du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). À ce stade, il avait apparemment adopté l'idéologie takfiriste, selon laquelle tous les Algériens ne combattant pas activement le gouvernement étaient corrompus au point d'être des kafirs, et pouvaient être tués « légalement » en toute impunité ; un communiqué non confirmé de Zouabri déclarait qu'« excepté ceux qui sont avec nous, tous les autres sont des apostats et méritent la mort »[12]. Certains pensent, que le motif de la destruction d'un village venait de l'adhésion de celui-ci au programme gouvernemental, qu'il vit comme une preuve de déloyauté ; pour d'autres, la rivalité avec d'autres groupes (par exemple, la faction détachée de Mustapha Kartali) joua un rôle.

Cependant, pour Rais et Bentalha, Amnesty International [1] et les survivants relèvent que l'armée avait des baraquements à quelques centaines de mètres, mais n’était pas intervenue ; ceci et d'autres détails conduisirent certains à voir des connexions entre l'armée et le GIA, et en particulier remettre en lumière la théorie selon laquelle le GIA était infiltré par la police secrète, non seulement parmi des théoriciens de la conspiration, mais aussi parmi quelques chercheurs occidentaux. Dans un certain cas (le massacre de Guelb el-Kebir et le massacre Sidi Hamed) les journaux algériens soupçonnèrent l'AIS, en dépit d'un démenti formel de sa participation ; la crédibilité de ces rapports est peu claire.

C'est à cette époque que l'AIS engagea une guerre totale tant avec le GIA, qu’avec le gouvernement, se trouvant dans une position intenable. Le GIA apparut comme un ennemi plus immédiat, et les membres de l'AIS craignirent que les massacres, qu'ils avaient régulièrement condamnés, leur soient imputés. Le 21 septembre 1997, le dirigeant de l'AIS, Madani Mezrag, ordonna le cessez-le-feu unilatéral et sans condition débutant le 1er octobre, « dévoilant l'ennemi qui se cache derrière ces massacres abominables. » L'AIS s'est mis en grande partie hors de la scène politique, ramenant le combat à une lutte entre le gouvernement, le GIA, et les divers groupes qui quittaient petit à petit de l'orbite du GIA. La ligue islamique pour Da'wa et Jihad d'Ali Benhadjar (LIDD), formée en février 1997, s'allia à l'AIS et observa le même cessez-le-feu. Au cours des trois années suivantes, l'AIS négocia une amnistie graduelle pour ses membres.

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Oueche rakk takhratt?

 

Oui oui et Katyn c'était les Nazis aussi on la connaît l'histoire ...
Que tu supportes tarek ramadan(el-masri)ou tarek bnou-ziyad echaoui...je suis Algerien avant tout,aala koulli hall :cool:

,c'est ton avis.Que tu melanges nazis,mokhaznis et casbadji..hadi affaire kahouadji!!!:mdr:

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Le massacre de Thalit eut dans le petit village de Thalit (dans la Wilaya de Médéa, près de Ksar el Boukhari), à environ 70 km d'Alger, du 3 au 4 avril 1997, en pleine guerre civile algérienne.

52 des 53 habitants du village furent égorgés par les terroristes du Groupe islamique armé (GIA). D'autres massacres eurent lieu le même jour à Amroussa, Sidi Naamane, Moretti et Beni Slimane où on dénombra 30 morts.

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Je n'ai meme pas lu tes ...latineries!!!

 

En juillet 1996, le chef du GIA Djamel Zitouni fut assassiné par une ex-faction du GIA et Antar Zouabri lui succéda, se révélant encore plus sanglant.

Les élections législatives se déroulèrent le 5 juin 1997. Elles furent dominées par le Rassemblement national démocratique (RND), un nouveau parti créé au début 1997 par les défenseurs de Zéroual, qui obtint 156 sièges sur 380, suivi par le MSP (après le changement de nom du Hamas) et le FLN avec plus de 60 sièges chacun. Les analyses de cette élection furent partagées ; la plupart des principaux partis d'opposition se plaignirent, et le succès du tout nouveau RND surprit tout le monde. Le RND, le FLN et le MSP formèrent un gouvernement de coalition, avec Ahmed Ouyahia du RND comme premier ministre. Il y eut des mesures d'assouplissement envers le FIS : Abdelkader Hachani fut libéré, et Abbassi Madani assigné à résidence.

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Massacres de plus de 50 personnes pendant les années 1997 et 1998

 

 

C'est à cette époque qu'apparut un nouveau problème. Au cours du mois d'avril, l'Algérie subit des massacres d'une brutalité et d'une ampleur sans précédent (voir le massacre de Thalit) ; d'autres massacres avaient été commis au cours du conflit, mais toujours à une échelle nettement moindre. Visant particulièrement les villages ou les banlieues sans distinction d'âge et de sexe des victimes, les partisans du GIA tuèrent des dizaines, et parfois même des centaines, de civils à la fois. Ces massacres se poursuivirent jusqu'à la fin 1998, modifiant notablement la situation politique. Le sud et l'est d'Alger, qui avait voté pour le FIS en 1991, furent particulièrement frappés ; les massacres de Rais et de Bentalha choquèrent en particulier les observateurs internationaux. Des femmes enceintes furent éventrées et découpées en tranches, des enfants furent taillés en morceaux ou jetés contre des murs, les membres des hommes furent coupés, dans leur retraite les attaquants enlevèrent des jeunes femmes pour en faire des esclaves sexuelles. Bien que cette citation attribuée à Nesroullah Yous, un survivant de Bentalha, soit peut-être une exagération, elle exprime l'humeur apparente des attaquants :

« nous avons toute la nuit pour violer vos femmes et les enfants, boire votre sang. Même si vous nous échappez aujourd'hui, nous reviendrons demain pour vous finir ! Nous sommes ici pour vous renvoyer à votre Dieu ! »[11

Les tueurs,c'est les terro-zatlo-wahabo-etc-istes!!!:DAALLAKK ROHEKK,c'est la stricte verité.:04:ellah yer'ham'houmm!!!
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Guest chebmourad
La responsabilité du GIA dans ces massacres est incontestable. Il revendiqua les massacres de Rais et Bentalha, les qualifiant « d'offrandes à Dieu » et les victimes de défenseurs « impies » des tyrans dans un communiqué de presse. Cette politique de massacres de civils fut l'une des principales raisons de la scission du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). À ce stade, il avait apparemment adopté l'idéologie takfiriste, selon laquelle tous les Algériens ne combattant pas activement le gouvernement étaient corrompus au point d'être des kafirs, et pouvaient être tués « légalement » en toute impunité ; un communiqué non confirmé de Zouabri déclarait qu'« excepté ceux qui sont avec nous, tous les autres sont des apostats et méritent la mort »[12]. Certains pensent, que le motif de la destruction d'un village venait de l'adhésion de celui-ci au programme gouvernemental, qu'il vit comme une preuve de déloyauté ; pour d'autres, la rivalité avec d'autres groupes (par exemple, la faction détachée de Mustapha Kartali) joua un rôle.

Cependant, pour Rais et Bentalha, Amnesty International [1] et les survivants relèvent que l'armée avait des baraquements à quelques centaines de mètres, mais n’était pas intervenue ; ceci et d'autres détails conduisirent certains à voir des connexions entre l'armée et le GIA, et en particulier remettre en lumière la théorie selon laquelle le GIA était infiltré par la police secrète, non seulement parmi des théoriciens de la conspiration, mais aussi parmi quelques chercheurs occidentaux. Dans un certain cas (le massacre de Guelb el-Kebir et le massacre Sidi Hamed) les journaux algériens soupçonnèrent l'AIS, en dépit d'un démenti formel de sa participation ; la crédibilité de ces rapports est peu claire.

C'est à cette époque que l'AIS engagea une guerre totale tant avec le GIA, qu’avec le gouvernement, se trouvant dans une position intenable. Le GIA apparut comme un ennemi plus immédiat, et les membres de l'AIS craignirent que les massacres, qu'ils avaient régulièrement condamnés, leur soient imputés. Le 21 septembre 1997, le dirigeant de l'AIS, Madani Mezrag, ordonna le cessez-le-feu unilatéral et sans condition débutant le 1er octobre, « dévoilant l'ennemi qui se cache derrière ces massacres abominables. » L'AIS s'est mis en grande partie hors de la scène politique, ramenant le combat à une lutte entre le gouvernement, le GIA, et les divers groupes qui quittaient petit à petit de l'orbite du GIA. La ligue islamique pour Da'wa et Jihad d'Ali Benhadjar (LIDD), formée en février 1997, s'allia à l'AIS et observa le même cessez-le-feu. Au cours des trois années suivantes, l'AIS négocia une amnistie graduelle pour ses membres.

 

ecoute on ta bien lavé la cervelle...tu es du camps de la thèse officielle, toi tu fais un copier coller, d'un article qui soutien la thèse officielle, celle defendu par les occidentaux (normal, si le FIS etait au pouvoir, leur légitimité aurait été une menace certaine pour l'approvisionement en gaz et pétrole des pays de l'europe), relis moi une seconde au lieu de faire l'autruche

 

sinon débat clos

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Tu oses parler de sidi-naamane!!!

 

Le massacre de Thalit eut dans le petit village de Thalit (dans la Wilaya de Médéa, près de Ksar el Boukhari), à environ 70 km d'Alger, du 3 au 4 avril 1997, en pleine guerre civile algérienne.

52 des 53 habitants du village furent égorgés par les terroristes du Groupe islamique armé (GIA). D'autres massacres eurent lieu le même jour à Amroussa, Sidi Naamane, Moretti et Beni Slimane où on dénombra 30 morts.

Roh atsvkedh affimanik!!!:D,djebt'ha errass dialekk yal-bghell!!!Qu'advienne que pourra!!!:D
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Guest chebmourad
Decidemment, ca ne sert a rien d'essayer de vous convaincre du contraire, tout ce qu'il nous reste est de vous ignorer. :rolleyes:

 

c'est toi qui est naif mon pauvre....

 

moi je suis le premier à condamner l'emergeance d'un parti islamiste au pouvoir, pour moi religion et politique ne font pas bon ménage...

 

tu veux vraiment savoir de quel bord je suis??

 

du coté de la justice...tout simplement...

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