Guest houda03 Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 ça c'est une femme ! Citer Link to post Share on other sites
Guest anais Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 Bien plus courageuse que la plupart d'entre nous et pour une noble cause. Bravo, Shirin. "Quelle femme valeureuse" !!! Citer Link to post Share on other sites
Guest houda03 Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 Bien plus courageuse que la plupart d'entre nous et pour une noble cause. Bravo, Shirin. "Quelle femme valeureuse" !!! c'est ma mère :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Tchipernem Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 La valeur humaine se fout du sexe! ça c'est une femme ! M'ra ou noss! {une femme et demie** Citer Link to post Share on other sites
Guest Tchipernem Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 Allo...somes? On dit que la moitié des hommes sont des femmes. et qu'un homme est à moitié femme. Il est le seul à porter les chromosomes X & Y (allosomes). Citer Link to post Share on other sites
Guest anais Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 On dit que la moitié des hommes sont des femmes. Voilà pour quoi le demi !!! :D Citer Link to post Share on other sites
Proxima 334 Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 Tachakouratti alkhayam... Elle est l'exemple de la combativité... mais cela ne suffit pas..... lisez ça .... Iran : le fouet et la prison pour une féministe (lefigaro.fr) Une féministe iranienne a été condamnée à dix coups de fouet et à presque trois ans de prison pour avoir participé à une manifestation en 2006 contre des lois jugées "discriminatoires" envers les femmes. (Avec AFP) mais aussi .... Une étudiante franco-iranienne en résidence surveillée à Téhéran © AFP Paris - 20 juin 2007 Une étudiante en journalisme franco-iranienne, qui réalisait un documentaire dans le cadre de son doctorat, est retenue en résidence surveillée depuis mars 2007 à Téhéran après avoir passé un mois en détention, a-t-on appris mercredi auprès de Reporters sans Frontières (RSF). Mehrnoushe Solouki avait obtenu les autorisations des autorités iraniennes pour réaliser un film sur les événements qui ont suivi la fin de la guerre entre l'Iran et l'Irak en 1988 dans le cadre de ses études à l'université du Québec (Canada), a expliqué à l'AFP Ajar Smouni de RSF. "C'est après avoir interrogé des familles de moudjahidines du peuple (opposants au régime de Téhéran, ndlr) victimes de la répression que Mme Soulouki a été arrêtée", a indiqué Mme Smouni. Interpellée le 17 février 2007, elle a été placée en détention pendant un mois dans la prison d'Evin dormant à même le sol, sous la lumière permanente d'un néon et subissant de nombreux interrogatoires, selon son témoignage envoyée à RSF. Elle a été libérée le 19 mars 2007 après avoir versé une caution de l'équivalent de 80.000 euros et est depuis maintenue en résidence surveillée. Ses notes de travail et ses images ont été saisies par les autorités, selon RSF. Selon son avocat en France, Me William Bourdon, qui a saisi le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner, les autorités iraniennes lui ont rendu son passeport français mais refusent cependant de la laisser quitter le pays. Selon RSF et Me Bourdon, Mme Solouki a été convoquée à de nombreuses reprises par les services de renseignement iraniens et a été menacée d'être réincarcérée en cas de non coopération. "C'est une situation très préoccupante. J'attends d'un prochain rendez-vous avec le ministre des indications précises sur ce qui sera entrepris pour que Mme Solouki puisse rentrer en France", a déclaré Me Bourdon. Jean-Baptiste Mattéi, porte-parole du ministère des Affaires étrangères et européennes, a indiqué à l'AFP que la France était "bien sûr en contact avec les autorités iraniennes à propos du cas de Mme Solouki". "Nous espérons bien évidemment que sa situation pourra se régler, que notamment elle pourra avoir une pleine liberté de mouvement", a-t-il ajouté. et aussi Intensification de la lutte contre les "mal voilées", IRAN Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 c'est ma mère :D bonjour houda tu peux me presenter ta maman,j ai un truque à lui dire? Amicalement le parisien Citer Link to post Share on other sites
Guest houda03 Posted August 22, 2007 Partager Posted August 22, 2007 bonjour houda tu peux me presenter ta maman,j ai un truque à lui dire? Amicalement le parisien bonjour euh faudrait prendre un RDV avec elle parce qu'elle est très occupée :D Citer Link to post Share on other sites
Guest anais Posted September 6, 2007 Partager Posted September 6, 2007 Des dossiers délicats En tant qu’avocate, Shirin Ebadi s’engage dans la défense des droits de l’Homme, des femmes et des enfants. En 1998, elle représente les intérêts des familles des opposants libéraux Darioush Parvaneh et son épouse Forouhar, assassinés. En 1998 et 1999, elle mène des enquêtes sur les meurtres d’intellectuels et d’opposants à la suite d’émeutes estudiantines. Elle a été emprisonnée pendant 22 jours, il y a trois ans, sous l’accusation d’avoir enregistré sur cassette et diffusé les "confessions" d’Amir Farshad Ebrahimi qui s’exprimait sur son ancien groupe, l’Ansar Hezbollah (les partisans du Parti de Dieu). Cet enregistrement expliquait comment l’organisation d’extrémistes islamistes avait reçu instruction de briser les manifestations et tout autre contestation. Elle a alors été condamnée à huis clos, en même temps qu’un avocat défenseur des droits de l’Homme, à une peine de prison avec sursis et à cinq années d’interdiction de pratiquer son métier d’avocate. Comme elle l’a déclaré elle-même en 1999, au magazine américain The Christian Science Monitor : "Toute personne qui s’occupe des droits de l’Homme en Iran vit dans la peur de la naissance à la mort. Mais, j’ai appris à surmonter ma peur". Shirin Ebadi a dernièrement accepté de représenter, lors du procès, la mère de Zahra Kazemi, la journaliste irano-canadienne, morte en détention le 10 juillet 2003, trois semaines après son interpellation alors qu'elle prenait des photos devant une prison de Téhéran, lors d'une manifestation étudiante. Le procès de Mohammad Reza Aghdam Ahmadi, agent des services de renseignement iraniens, accusé du meurtre de Kazemi, est à nouveau reporté pour permettre aux avocats de prendre connaissance du dossier. Par ce geste, Shirin Ebadi s'engage de manière plus visible sur la scène judiciaire et politique. Un discours engagé Shirin Ebadi est la troisième personne de confession musulmane et la onzième femme à recevoir le Nobel de la paix depuis sa création en 1901. La lauréate a remporté ce prix parmi un nombre record de 165 candidats, dont des personnalités tels que le Pape Jean-Paul II et l’ancien président tchèque, Vaclav Havel. Elle a reçu un diplôme, une médaille d’or et un chèque de 10 millions de couronnes suédoises (1,1 millions d’euros). Shirin Ebadi a dédié son Nobel aux femmes musulmanes dans le monde entier. Elle a promis de poursuivre son combat pour les droits de l’Homme dans son pays, malgré les menaces de mort et les manifestations des extrémistes. C’est habillé à l’occidentale et sans voile pour couvrir ses cheveux courts..., comme toujours lorsqu’elle est à l’étranger, que Shirin Ebadi est montée à la tribune, ce que beaucoup voient comme une expression silencieuse de sa lutte pour les libertés. Elle a encore une fois ignoré les menaces lancées par des extrémistes qui l’avaient enjointe de se couvrir de ce voile islamique. Elle affirme toutefois ne pas faire campagne contre le tchador, estimant qu’il y a beaucoup plus important à faire. Lors de son discours de remerciements, elle s’est prononcée contre une intervention militaire contre son pays, classé par Washington dans l’axe du mal avec l’Irak et la Corée du Nord. Selon elle : "Au cours des deux dernières années, certains Etats ont violé les principes universels et les droits de l’Homme en utilisant les évènements du 11 septembre et la guerre contre le terrorisme comme prétexte". Elle a évoqué le cas des centaines de prisonniers détenus à Guantanamo "sans la protection prévue par les conventions internationales de Genève, par la Déclaration universelle des droits de l’Homme et par les textes des Nations unies sur les droits civils et politiques". Favorable à une démocratisation dans son pays, Shirin Ebadi veut montrer que les droits de l’Homme et la démocratie sont totalement compatibles avec l’Islam. "Si des personnes innocentes sont tuées au nom de l’Islam, c’est à tort", déclare-t-elle lors d’une conférence de presse à Oslo. "La condition de discrimination des femmes dans les pays musulmans, que ce soit dans le droit civil ou dans le domaine de la justice sociale, politique et culturelle, a ses racines dans la culture patriarcale et essentiellement masculine de ces pays, pas dans l'Islam", a-t-elle expliqué en présence de l'ambassadeur d'Iran en Norvège. Une femme qui dérange Une dizaine d’exilés iraniens étaient venus manifester dans les rues d’Oslo, jugeant la position de Shirin Ebadi trop modérée. Kimia Pazoki, une manifestante vêtue d’un tchador noir et symboliquement enchaînée, a confié à l’AFP : "Elle est trop tendre, elle s’entend avec le régime. Nous pensons que nous ne pouvons pas être une femme musulmane et être libre en même temps". Shirin Ebadi est trop tendre pour certains, trop gênante pour d’autres, comme pour la cinquantaine d’étudiants islamistes qui l’ont empêché, le 3 décembre, de prononcer un discours à l’université féminine Zahra de Téhéran. Lui interdisant l’entrée de l’université, ils scandaient : "Mort à Ebadi", "Shirin l’Américaine, demande pardon". Quoi qu’il en soit, Shirin Ebadi va continuer son combat en faveur de la démocratie et des libertés. Le Prix Nobel "ne changera pas grand chose pour ma propre vie, mais ce sera très important pour mon travail en faveur des droits de l’Homme et des citoyens en Iran", a-t-elle confié. Citer Link to post Share on other sites
Proxima 334 Posted September 7, 2007 Partager Posted September 7, 2007 bonjour houda tu peux me presenter ta maman,j ai un truque à lui dire? Amicalement le parisien qu'as tu à lui dire? je suis la maman de houda!!! Citer Link to post Share on other sites
Proxima 334 Posted September 7, 2007 Partager Posted September 7, 2007 QQ a t'il qq chose à dire sur Shirin Ebadi, une femme d'honneur. DROITS HUMAINS Shirine Ebadi, prix Nobel de la paix MUSULMANE ET IRANIENNE Shirine Ebadi est la première musulmane récompensée par le prestigieux prix Nobel de la paix. Cette avocate iranienne de 56 ans milite depuis de nombreuses années pour les droits humains dans son pays. Malgré les pressions et les intimidations dont elle a été victime de la part des conservateurs du régime iranien, Shirine Ebadi a continué à mener son combat pour la démocratie. Dans la course au Nobel, elle faisait figure d’outsider face à des candidats comme Vaclav Havel ou Jean-Paul II. Mais les membres du comité ont voulu, semble-t-il cette année, encourager une femme engagée à poursuivre sa lutte plutôt que récompenser l’œuvre d’une vie. « Toute personne œuvrant pour les droits de l’homme en Iran doit vivre avec la peur de sa naissance à sa mort mais j’ai appris à surmonter ma peur ». Cette phrase résume la détermination de Shirine Ebadi, une militante iranienne qui se bat pour faire progresser la démocratie dans son pays et notamment pour faire respecter les droits des femmes et des enfants. C’est cet engagement courageux que les cinq membres du comité Nobel, parmi lesquels figurent trois femmes, ont voulu saluer et aider en la choisissant. Lorsqu’elle a appris qu’elle avait obtenu le prix Nobel de la paix, Shirine Ebadi s’est dite « abasourdie ». Il est vrai que son combat n’est pas parmi les plus médiatiques et que sa nomination n’avait pas été la plus remarquée cette année. En tout, 165 candidats étaient en lice mais deux sortaient du lot : Vaclav Havel, l’ancien président tchèque, et le pape Jean-Paul II. D’ailleurs certaines personnalités ont fait part de leur immense surprise de voir ce dernier devancé par Shirine Ebadi. Le Polonais Lech Walesa, prix Nobel de la paix en 1983, a même été jusqu’à déclarer que ce choix était « une grande erreur... incroyable, invraisemblable » puisque « s’il y a parmi les vivant au monde quelqu’un qui mérite cette distinction c’est certainement le Saint-Père ». Première femme juge d’Iran Et pourtant, dans un contexte marqué depuis les attentats du 11 septembre 2001 et les interventions militaires en Afghanistan et en Irak, par le risque de choc des civilisations entre catholiques et musulmans mais aussi par les dangers des dérives intégristes, le choix d’une Iranienne, musulmane, avocate qui revendique, et sa nationalité, et sa religion, est au contraire particulièrement symbolique et porteur de sens. Shirine Ebadi a ainsi toujours affirmé qu’elle ne reniait rien de ses racines : « Je suis Iranienne, fière d’être Iranienne et je vivrai dans mon pays aussi longtemps que je le pourrai », ni de sa foi : « Je suis musulmane, donc vous pouvez être musulmane et soutenir la démocratie ». Elle montre à elle seule qu’il faut éviter les amalgames et que le combat pour la démocratie n’a ni frontière ni religion. En tout cas, pour Shirine Ebadi, il n’y a « aucune contradiction entre l’islam et les droits fondamentaux de l’Homme ». Shirine Ebadi, qui a été la première femme juge d’Iran en 1974, mais a été contrainte de quitter son poste après la révolution islamique car les femmes étaient, du point de vue des imams au pouvoir à Téhéran, trop « émotives » pour occuper de telles fonctions, a déclaré : « Ce prix est très bon pour moi, très bon pour les droits de l’homme, très bon pour la démocratie en Iran ». De la même manière, l’une des treize parlementaires réformatrices iraniennes Sharbanou Amani a voulu envisager ce choix comme un signe d’espoir : « J’espère que ceux qui s’opposent à elle vont reconsidérer leurs positions ». Reconnaissance internationale Shirine Ebadi, qui a joué un rôle important dans l’élection du président réformateur Mohammad Khatami en 1997 en mobilisant l’électorat féminin, est en effet en but à des attaques permanentes de la part des ultra-conservateurs du régime iranien car elle défend en tant qu’avocate les causes les plus difficiles : liberté d’expression et d’opinion politique, égalité des droits entre hommes et femmes. Elle prône aussi une interprétation du coran en harmonie avec les droits humains et condamne des pratiques comme la lapidation qui « n’ont pas de fondement dans le Coran ». Selon elle, l’Iran souffre avant tout d’une « culture patriarcale » qu’elle considère comme « le plus grand adversaire des droits des femmes dans les pays orientaux ». En Iran, l’annonce du choix des membres de comité Nobel n’a pas fait l’objet de réactions immédiates. Le porte-parole du gouvernement, Abdollah Ramezanzadeh, qui avait déclaré : « Nous sommes heureux qu’une femme iranienne musulmane ait su se faire distinguer par la communauté internationale pour ses activités en faveur de la paix », a dû très vite préciser qu’il s’était exprimé à titre personnel uniquement. Le prix Nobel de la paix confère au combat de Shirine Ebadi une reconnaissance sur la scène internationale d’autant plus importante qu’elle est la première musulmane, et seulement la onzième femme pour 79 hommes, à obtenir cette prestigieuse distinction. L’organisation Amnesty International a d’ailleurs estimé que « cette récompense, qui intervient à un moment où les principes des droits humains sont de plus en plus menacés, va apporter de nouveaux espoirs à tous ceux qui sont impliqués dans la défense quotidienne des droits de l’Homme ». D’ailleurs, Shirine Ebadi n’a pas tardé à continuer son combat en profitant de son nouveau poids médiatique pour demander « la libération le plus tôt possible des prisonniers iraniens luttant pour la démocratie ». Shirine Ebadi, prix Nobel de la paix Article paru dans Témoignages le samedi 11 octobre 2003 URL : Shirine Ebadi, prix Nobel de la paix *-* Monde Nout Zournal OnZeWéb Journal quotidien et actualité de l'ile de La Réunion - Océan Indien *-* Droits humains Citer Link to post Share on other sites
fantasia 10 Posted November 15, 2007 Partager Posted November 15, 2007 Le titre n’est pas de moi, il s’agit d’un article de 4 pages pleines de Colette Berthoud, dans le numéro double de Jeune Afrique (C’est un peu l’arnaque je sais, 6 euros pour un numéro et demi). Son prénom veut dire : La Douce, la sucrée ! Voici une femme qui a sacrifié sa vie pour défendre les opprimés en Iran, les femmes, les sans défense. Il s’agit de la première juge en Iran, à peine les mollahs arrivés, on lui a interdit d’être juge, au bout de qq années elle a fini en avocate, toujours à la recherche des causes désespérées. Cette femme qui a toujours été entre les 2 mondes, un monde un peu réac, et un autre qui passe son temps à stigmatiser l’Islam. Jamais elle ne s’est penché vers l’un ou l’autre. Une pragmatique comme pas possible, son objectif principal n’est pas de polémiquer, ni d’insulter les plus extremistes mais aider les opprimés à s’en sortir, les aider à la barre des tribunaux. Son dernier livre vient d’être édité en édition Poche à la Découverte (Début 2007). Ci après, la fiche Amazon : Présentation de l'éditeur Avocate et militante des droits de l'homme, Shirin Ebadi incarne aujourd'hui la résistance des femmes iraniennes au pouvoir autocratique du régime islamique de Téhéran. Elle a reçu à ce titre le prix Nobel de la paix en 2003, attribué pour la première fois à une femme musulmane. Ce livre raconte une vie tout entière consacrée à la justice. Au début des années 1970, elle est la première femme à être nommée présidente du tribunal de grande instance de Téhéran, à l'âge de vingt-trois ans. Quelques mois après la révolution islamique de 1979, elle estcontrainte de renoncer à ses fonctions. Avocate, elleengage alors un combat quotidien contre le régime, ce qui lui vaut d'être plusieurs fois emprisonnée et même menacée de mort : " Toute personne œuvrant pour les droits de l'homme en Iran doit vivre avec la peur de sa naissance à sa mort, mais j'ai appris à surmonter ma peur. " Aujourd'hui, Shirin Ebadi se consacre surtout à la défense des femmes et des enfants, qui subissent de plein fouet, et jusque dans leur chair, la violence de la culture patriarcale iranienne. Mère de deux filles, elle a fondé par ailleurs une Association de défense des enfants dont les droits sont inexistants dans son pays. Ce livre est le récit des combats d'une femme exceptionnelle contre l'obscurantisme religieux et l'oppression des femmes. Biographie de l'auteur Shirin Ebadi est née à Hamadan en 1947. Un an plus tard, sa famille s'installe à Téhéran, où elle étudiera le droit à l'Université à partir de 1965. Diplômée en 1971, elle sera la première femme iranienne à devenir avocate en 1975. Elle reçoit le prix Nobel de la paix en octobre 2003. elkhayam bonjour elkhayam, voila une femme qui nous honore, ça ma fait lever le morale de lire qu'une femme combatte pour la justice des autres, merci Shirin et merci elkhayam pour ce theme. Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.