pmat 276 Posted September 1, 2010 Partager Posted September 1, 2010 BONJOUR suite a un sujet qui parlait de la chique j'ai trouvé que j'aurais du faire celui la je me souviens Le titre et le sujet sur la chique étaient une allusion que je vais vous servir Comme pour dire malgré tout n’oublier qui vous été ni d’où venez Pendant les événements d'algerie Moi je me souviens avoir vue des habitations a WC ou les excréments qui était évacuer par des chemins tracé a même le sol et qui traversait le long des chemins que l’on rencontre a même ses pieds pour accéder son logement Dans nos montagnes et douars on etait pas mieux c'est la nature qui parle a la nature On voyait cela passer devant soi Venu en France ou je croyait que la France était que éclat magique ou presque la ou on ne mange pas on aura pas faim ni soif Moi qui arrivait de la ou on marchait pied nu et on avait comme préoccupation l'eau a aller chercher a des km de la Lorsqu’on est dans une ville La je découvre le premier jour la neige Que le wc quand il y en a il y en avait un par bâtiment de trois a quatre étages Il était disposé à un étage précis Ou ceux d'en bas y montait et ceux d'en haut y descendait Certaines habitations n’avaient pas encore l'eau courante On devait aller chercher l'eau dans des seau comme en algerie a une fontaine qui elle semblait ne jamais se tarir Mais je me souviens qu'a Grenoble par une visite avec l'école Partant depuis la gare Dans l'avenu jean jeaures allant vert pont de clé la une odeur nauséabonde on était obliger se boucher le nez La sur le coté était comme diverse tout les canalisations d'une partie de la ville Et on aurait dit que seule les wc était déversé la Et cela s'écoulait a son grée Et a ciel ouvert Dans nos habitations on n’avait pas la douche On allait à la douche municipale Le samedi On achetait de l’huile au verre oui on pouvait acheter un verre d’huile On achetait une a une les cigarettes Oui tout état vendu au détail qu’on disait et çà a la population française toutes entière L’immigration on était pas nombreux enfin les notre on était pas nombreux Il y avait beaucoup d’espagnole et des italiens Puis peu a peu On pouvait lire Loue chambre ou appartement avec eau courante Loue chambre ou apparentement avec eau courante et douche Certaine habitation n'avait pas d’électricité L’électricité était apparente On en a prit des cours jus ect ect.. Souvent on avait des disjoncteurs nus On voyait les fils Dans l’ancienne gaines en bois ect.. ect.. Eh oui toutes ces chose ont exister il y a pas longtemps J’ai vue sortir sa femme le dimanche elle se mettait derrière son vélos elle prenais place Ou devant sur le cadre Puis on a eut la vespas bien avant la dauphine et le reste Les Algériens des montagnes des douars et partout ou la guerre faisait rage ont dut quitter leur régions EN TOUT CAS EN CE TEMPS LA ON PRENAIS LE TEMPS DE VIVRE Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 1, 2010 Author Partager Posted September 1, 2010 Je me souvien en france on regardait la TV dehors dans les endroit fait pour çà de buerau des journeaux locaux bureau endroit des journeaux on avait chez nous le dauphinée et lep rogrées ou chacun avait ue salle et une telvision ouverte de.. a ... ah les samedi apres midi il etait plein a cause du foot et le sport une seule chaine pour tous et la axccoche au mur les photos des fait divers je me souvien avoir vu la femme qui avait ENFANTER SIX ENFANT elle avait un voiture d'enfant pour SIX aussi plein de chose comme çà oui on pouvait regarder des photos internationalement connue johnny hallidays debutais il y a vais louis mariani de moreno qui tenais les affiche des cinemas moi je n'eatis jamais aller au cinema il a fallut 1959 avec un oncle a ma mere qui m'enmena au cinema je me souvien un conw boye avant l('entracte et la piblicité de petit jean quand on avait tiré je me suuis caché derriere le siege j'ai eut peur çà avait fait rire mon grand pere maternbnnelle mon pere l'avait engeule pour m'avoir emmené au cinema Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 1, 2010 Author Partager Posted September 1, 2010 je me souvient du cinema pas chere en dehor du centre ville A 35 CENTIMES d'ancien francs sep3a doros je me souvient que nous les algerien avons manifesté en tournant avec nos voitures autour de la mairie de chambery pour notre independance je me souvient un colabos avait ete egorgé devant moi entre les elephants et l'hotel des prince de chambery un samedi apres midi devant la foule l'auteur m'avait meme frolle pendants sa course en s'evadant Citer Link to post Share on other sites
Guest dounia25 Posted September 1, 2010 Partager Posted September 1, 2010 tu me fais rappeler mon pére,il ne cesse de se remémorer "le bon vieux temps". Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 1, 2010 Author Partager Posted September 1, 2010 tu me fais rappeler mon pére,il ne cesse de se remémorer "le bon vieux temps". dounia on doit avoir prsque les memes du fait de nos origine et du meme soucis pour le meme pays ect.. tout le plaisir est pour moi mes amitiés a ton pere et a toute ta famille wa siam said wa makbole je croyait que ca interessait personne oui on traine avec nous beaucoup d'information nous les vieux qui est une richesse Citer Link to post Share on other sites
Guest dounia25 Posted September 1, 2010 Partager Posted September 1, 2010 dounia tout le plaisir est pour moi mes amitiés a ton pere et a toute ta famille wa siam said wa makbole je croyait que ca interessait personne oui on traine avec nous beaucoup d'information nous les vieux qui est une richesse merci à toi aussi ainsi qu'à toute ta famille. au contraire,je te lis souvent mais je n'arrive pas à te suivre parfois:o mais cette fois ci,ça m'a interessé au plus haut point. continue de nous raconter ce dont tu te souviens. Citer Link to post Share on other sites
Guest thafath Posted September 1, 2010 Partager Posted September 1, 2010 merci chère pmat au plaisir de lire comme toujours j aime bien tes sujets Citer Link to post Share on other sites
Charmant 10 Posted September 1, 2010 Partager Posted September 1, 2010 Bonjour PMAT. Des souvenirs ! C'est ce qui nous manque pour meubler ce vide qui nous tue. Je me souviens du réchaud à pétrole. On lui achetait le fameux carburant dans une station d'essence dans des bidons métaliques de forme cubique. Pour le mettre en marche il fallait remplir le réservoir et pomper à l'aide d'une petite tige qu'on actionnait horizontalement. Ce réchaud n'avait qu'un seul feu qui se bouchait souvent et qu'on arriver à remettre en état à l'aide d'une petite aiguille. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 merci chère pmat au plaisir de lire comme toujours j aime bien tes sujets Bonjour thafath Tout le plaisir est pour moi Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 Bonjour PMAT. Des souvenirs ! C'est ce qui nous manque pour meubler ce vide qui nous tue. Je me souviens du réchaud à pétrole. On lui achetait le fameux carburant dans une station d'essence dans des bidons métaliques de forme cubique. Pour le mettre en marche il fallait remplir le réservoir et pomper à l'aide d'une petite tige qu'on actionnait horizontalement. Ce réchaud n'avait qu'un seul feu qui se bouchait souvent et qu'on arriver à remettre en état à l'aide d'une petite aiguille. Bonjour Charmant oui d'un rechaut a alcool oui de çà je me souvien j'ai vue mette pardessus des marmites oui il fallait a chaque foie pomper et a l'aide de l'aiguille (un fil fr fer) on debouchait les tous il avait un oriffice par coté avec un bouchon vissé ou il fallait mettre l'alcool il y en a d'autre systeme , qu'on appelle lampe a carbure je crois on ouvre et on y met des pierres avec de leau et l'eau desout la pierre et la rend gaz et çà se met en pression et le gaz sort ou il suffit d'allumet Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 Je me souviens de journaux racontant d'autre guerre dans le monde en même temps que la guerre dans mon pays Souvent en regardant les journaux je me disant ah mais C'est nos fellaga a nous (ils leurs ressemble en tenus) Souvent les photos de Hồ Chí Minh De Che Guevara De CASTRO Dans leur camps souvent dans la foret parmi leur soldats Oui on parlait de la guerre de l'Indochine De cuba En ce temps la j'aimais pas lire je regardais que les photos En face de mon école il y avait une grande maison du secours populaire et la beaucoup de jeunes gens qui étaient drôlement habiller Pantalon ou jupe bleue nuit Chemise blanche ou a rayure et portant un béret avec une croix sur le coté Et devant le bâtiment la publiquement il faisait des entraînements de secourisme J’ai appris que ce fur des infirmiers et des infirmières que le secours populaire formait Oui les infirmières a la base c'est les école chrétienne qui les formaient Les soeurs quoi Il y en avait parmi eux en face de l’école Moi je passait des heure a le regarder Et je retenais leur geste de secouriste Comment aérer un homme blesser a terre Comment gérer les gens autour la foule qui se fait a chaque accident Comment prendre un corps comment soulever et déplacer un corps J’étais devenu un vrais secouriste D’ailleurs quand je suis près d'un accident et qu'il y a personne j'interviens par et grâce a ce savoir et les gens me font confiance et ils m'écoutent et me laisse faire Je me souviens qu’on est monté dans l’espace La russie avait mis en homme dans la fussé ce fut oui Youri Gagarine Est un cosmonaute qui, le 12 avril 1961, a marqué l'histoire de l'humanité et de la conquête spatiale en devenant le premier homme à voyager dans l'espace, réalisant une révolution complète autour de la Terre Citer Link to post Share on other sites
Charmant 10 Posted September 2, 2010 Partager Posted September 2, 2010 Je me souviens de cette imposante caserne qui trônait devant notre quartier sur l'autre rive de l'oued. Chaque soir sortaient de là beaucoup de soldats qui nous traitaient parfois de '' Ptits fellous'' . Il y avait des Légionnaires à la stature haute avec souvent des yeux bleus, des harkis et parfois même des Sénégalais qu'on appelait Saligane. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 Oui je me souviens dans mon douar L’armé française faisait des rasiats , on disait faire du cerclage Çà consistait a partir d'u haut d'une région en la descente tout en ramassant tout les hommes Toutes la journée ils ont attaches les uns aux autres avec une corde et font le meme trajet que les militaire de maison en maison Toute la journée debout sans s"asseoir Sans boire, sans manger Ils étaient emmener dans des camps et des village qu'on appelle le 2eme bureau ou la soit il était condamné a ne plus retourner chez eux Soit on cherchait plus d'information Soit le soit ils étaient lâchés au compte goûte On les voyait venir des qu'ils avait dépassé le tournant De très loin tout le douar chuchotait ah!! C’est X non c'est Y Et peut a peut nos cœurs se desserrer Et Z il l'on pas lâcher L’armée en ce temps la était de trois sorte on disait d'eux des parachutistes Et l'armée de béret Il y avait le béret rouge Les béret vert Et je crois le béret noire On disait souvent ah aujourd’hui ça va être dur pour nous tous c'est les bérets rouge Ou attention aujourd’hui c’est les sénégalais en arabe on disait SALIGANE vers la fin des Années 55 l'armes prenait même les anneau avec elle, o a vus elle avait avec elle, l’armée , les vaches , les chevaux et les ânes les chèvre des citoyens quelle emmenait pour elle sûrement l'armée n'avait plus de quoi manger Je me souviens des tire sur nous la population depuis d’autre ville par le canon , le 105 qu’on disait Je me souvient l’armée avait construit la DCA qu’on disait Sa consiste a construire comme une forteresse très haute en ciment et la se tien une sentinelle pour regarder avec ses jumelles nuit et jour ce qui se passe aux alentours Je me souviens des nuits depuis ces DCA l’armée lance des signale qu’on disait Et ça éclairait toute la région la nuit Puis ils nous ont tiré dessus On a vu les tous des balle dans les mures des maisons Je me souvien une nuit les fellagas nous avait dit quiter le douard On va couper la route et va leur tendre une embuscade Voila qu’on est parttie chaqu’un a choisi une direction avec sa famille Par groupe de 10, 15 a 20 personnes La nuit venu on s’est mis a traverser une riviere Et voila qu’a plus de 3 km on entendait le sont des voix on aurait dit un grondement d’une très très grosse machine Ou des chutes d’une grande riviere Il devait être plus de 5 mille hommes cette nuit Il avait rien fait Souvent ce fut la fuite des habitants des douars comme ca Quitter son douar son village pendant deux trois quatre jours On laissait derrière nous nos bête Pour ne pas subir la vengeance de l’armée francaise Citer Link to post Share on other sites
Charmant 10 Posted September 2, 2010 Partager Posted September 2, 2010 Je ne sais si c'était de notre propre gré ou si nous étions obligés d'héberger une famille française dont le père était militaire. Je n'ai aucune idée du grade qu'il avait . Il avait deux enfants ; une fille et un garçon qui pouvait avoir mon âge. Mon père que je n'avais vu qu'à l'Istiklal avait pris la poudre d'escampette après son séjour au deuxième bureau où il avait laissé les quelques dents qui lui restaient. C'était des années dures que nous avions passées ! Pour survivre ma mère avait bradé une partie du logis qui était heureusement assez vaste. Et si c'est à refaire nous sommes prêts au sacrifice pour que vive l'Algérie. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 Je me souviens Juste après avoir essuyer un bombardement le lendemain Nous voila forcer de quitter nos maisons averti par les mossablines (fellaga) qu'il allaient encore couper la route et nous priait de quitter nos maisons pendant quelques jours Pour ne pas subir la vengeance de l’armée française On avait (notre groupe choisi une destination) pris une direction en se disant la bas l'armée française n'a jamais mis les pied on serais plus en sécurité Jamais l’armée n’&avais mis les pied dans cet endroit Enfin le soir on est arrivé a destination Aucune porte ne s’ouvre a toi sauf si tu est connu ou tu te fais connaitre Enfin ceux qui nous accompagnaient nous ont fait faux bond on est rester seule que notre famille en tout une quinzaine de personne. NORMAL MOIN ON EST ET PLUS ON T’OUVRE LA PORTE CHEZ LES TIENS. Bref au bout de quelques temps on s’était installer a deux pas d’une maison a la belle étoile On a que nos habits pour nous réchauffes Un moment après voila que l’on nous sort un grand plat de couscous bien garni malgré la guerre et la pauvreté que dieu les protège et ne les oubli pas oui ils ont été charitable je témoigne que dieu leur réserve la place du paradis On a pus manger puis on a dormis confiant. Voila que le mati de bonheur on entendis les ronflement des moteur des chars venant de la ou on les attendais pas Réveillé tout le monde et puis on s’est mis sur chemin sens inverse , d’où on est venu A quelques mettre de la on rentrais dans la foret danse La ou pouvait échapper aux jumelles des soldats et aux avion (El Mouchara qu’on disait) Cela voulait dire avion mouchard Elle tournoie dans l’air et elle prospecte tout ce qui est en bas Mais elle nous avait aperçu dans notre marche et elle nous a surveillé pendant un long moment de la journée Elle a du se rendre compte que nous étions que des civiles Enfin du matin jusqu’au soir on a dut rester la pour ne sortir que ver le soir Le soir on s’est mis en marche pour le retour chez nous la on est passe dans des douars pas loin de chez nous , on s’est renseigner sur l’armée et sur la route si c’était RAS On nous a assuré qu’il y a rien Et nous voila en route on arrive a la rivière a quelques km plus haut On se met a passer la rivière mon grand père infirme resta en arrière Moi je fut le premier de la file Nous voila de m’autre cote de la rivière SUITE Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 SUITE ET FIN On s’approche de la route On est plus qu’a quelques mettre de la route devant nous des oliviers Puis de derrière chaque oliviers est sortie un soldat Moi qui était devant d’un coup je me suis trouvé derrière courant je ne sais ou !! Puis j’aperçus ma tante et deux femme qui courait tout le long de la rivière Je me suis mis a les suivre. Ma grande mère me chopa dans ma corse et m’entraîna dans les hautes végétation Et on s’est couché la . En retenant nos respirations on entendis tirer On avait le cœur serrer et on se disait au font de nous même, l’armée les a tuer Et encore des tirs O entend les soldats qui cherchaient dans la haut végétation touffu Puis aller venait nous on comprenais ^pas ce qu’ils disait Puis tard voila que deux soldats allait presque nous passer dessus, nous aperçoivent et nous prit de nous lever dans la position de haut les mains. Je ne peux pas vous dire ce qu’ils nous ont dit Je ne parlais pas le français en ce temps la. Il nous emmena dans une ancienne cabane et la il nous pris de nous installer Une baraque d’u mettre et demis sur un mètre et demis On se lamentaient et on pleuraient tout doucement les notre moi et ma grande mère Toute la nuit ils ont tirer dans la direction du cote d’où on est venu Et du cote ou ma tante s’est enfui avec les deux femmes L’air des pièces mitrailleuse venais jusqu'à nous Le lendemain matin on nous ramena un fond de ragout de pomme de terre Ma grande mere me dit ne mange pas c’est peut etre empoisonner , demande leur du pain plus de pain Donc je ne mangeais pas et des que les militaire sont venu J’ai demandr du pain en parlant en rabe eux aussi ne comprenais pas J’ai du montrer en faisant voir le pain qu’enfin ils m’ont donner l’impression qu’ils avaient compris Ils sont aller me chercher d’autres pains Puis ils se sont mis a nous parler, nous on comprenais pas et on rependait en arabe en disant mais qu’est que vous nous dites Puis l’un des militaires leva la main et l’a fait aller d’une cote puis de l’autre qu’on avait compris qu’il cherchait ou on habitait On lui montra par le même geste que lui en montrant de nos mains la direction ou on habitait Et la il nous accompagna jusqu'à un chemin qui commença a monter pour aller ver chez nous puis nous vis de sa main aller en avant Ma grande mère me dit fait attention c’est pour nous fusiller peut être Et un mètre, deux mètre trois mètre toujours pas de tir venant sur nous Quatre 5 , 10 100 mètres ouf !!!! on était relâcher on était vivant Arriver en haut la famille les familles la rencontre la rencontre du deuil Tout le monde pleurait Les hommes les femmes les enfants On nous dit que ma tante est la elle est vivante elle avait reçu 5 balles mais elle est vivante Les deux femme avec elle, la fille est la mère ont ete abattu elle sont couché le long de la rivière On attend que l’armé soit partie pour aller chercher les corps Me mère ma sœur ma tante furent reprises plus loin dans l’autre direction elle furent emmener dans une autre commune , puis relâcher et mis entre les mains de gens responsable qui les ont emmener de poste en poste qu’on disait car les gens ( le citoyens Algérien des douars) était organisé et ordonner comme chez les scouts Mon grand père et un de mon oncle nous ont rejoint un jour plu tard Ma tante vis a ce jour avec ses blessures 2 aux jambe traverser les deux jambes Deux la mains et une balle qui lui a traversé en diagonale le visage Elle l’a prise du bas de la lèvre du bas et a traversé sa tombe OUI TAHYA EL DJAZAIR Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 Je ne sais si c'était de notre propre gré ou si nous étions obligés d'héberger une famille française dont le père était militaire. Je n'ai aucune idée du grade qu'il avait . Il avait deux enfants ; une fille et un garçon qui pouvait avoir mon âge. Mon père que je n'avais vu qu'à l'Istiklal avait pris la poudre d'escampette après son séjour au deuxième bureau où il avait laissé les quelques dents qui lui restaient. C'était des années dures que nous avions passées ! Pour survivre ma mère avait bradé une partie du logis qui était heureusement assez vaste. Et si c'est à refaire nous sommes prêts au sacrifice pour que vive l'Algérie. oh que oui nous le somme en tout temps et de tout temps Charmant prêts au sacrifice Citer Link to post Share on other sites
talulah 10 Posted September 2, 2010 Partager Posted September 2, 2010 j'adore ce topic, les souvenirs des gens sont une excellente alternative (ou un complement plutot) aux livres d'histoire, aux archives etc je lis je lis et je lis:) Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 2, 2010 Author Partager Posted September 2, 2010 j'adore ce topic, les souvenirs des gens sont une excellente alternative (ou un complement plutot) aux livres d'histoire, aux archives etc je lis je lis et je lis:) je suis tres honoré et emus talulah que dieu te garde et te protege cela fait toujour plaisir de savoir qu'on a pas ecrit pour rien oui comme tu dis que font ils la bas est ce qu'il le font? de tout coeur je l'espere Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 3, 2010 Author Partager Posted September 3, 2010 Je me souviens a annaba Les calèches qui faisaient le taxi Les enfants qui s'accrochaient par derrière aux caleches Et prenaient des coups de fouets de la part du cocher Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 3, 2010 Author Partager Posted September 3, 2010 Je me souvien en 1956 vers la fin de l'après midi on entendait dans les villes et village on a pris ben bella on a pris les 6 chefs je crois que peut de gens les connaissait a ma connaissance les algériens achetaient le journal prenait la page ou l'article en parlait et ils jetent le reste du journal il y avait un vent a Annaba ce jour il faisait valser ces pages de journaux jeter a terre toutes l'Algérie avait mal ce jour en face de mon habitation il y avait la un moudjahid c'était un kabyle il avait la maman un autre fils plus jeunes le moussebelle (moudjahid)venait les voir il passait 1 , 2 VOIR QUATRE JOURS et il reprenais le maquis que sont il devenu? Citer Link to post Share on other sites
Charmant 10 Posted September 3, 2010 Partager Posted September 3, 2010 Juste quelques mois après l'Istiklal, comme si nous n'avions pas assez avec les 130 années de colonisationn, le Maroc nous réclamait le Sahara ! Alors nous revoilà en guerre face à nos frères du royaume chérifien. Dans la région de Tindouf ; au lieu dit Hassi El Baïda eu lieu une atroce bataille. Les meilleurs des deux camps tombèrent hélas pour une cause qui n'a jamais été élucidée. La petite ville frontalière de Béni-Ounif reçut quelques salves d'artilleries et sa population fut évacuée vers Béchar ! Ironie du sort celle-ci occupa les habitations déstinées aux enfants des chouhaddas de la révolution 54/62 et qui n'avaient pas encore été distribuées. Je fus témoin occulaire de ce déplacement massif et forcé. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 3, 2010 Author Partager Posted September 3, 2010 oui je me souviens de çà charmant et je me souvient de tele dimanche avec Marciac une seule chaine programme unique dans toute la France en 1963 un après Midi en directe on a vu a dallas tire sur le président John Kennedy oui le monde tire sur son president comme pour henry 4 ? il parait que c'est son gendre qui l'a poignardé henry 4 celui qui a le cheval blanc Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.